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Pris la main dans le bac – Chapitre 3




Salut c’est votre folle de lycra

Dans les chapitres précédents je vous racontais comment je m’étais fait prendre par Catherine alors que j’avais enfilé c’est dessous usagés, j’avais été les récupérer dans le bac à linge sale de chez elle. Nous nous connaissions très bien et elle m’a surpris une fois dans sa chambre totalement travestis avec ses vêtements. Il faut reconnaître qu’elle l’a bien pris et du coup je me suis retrouvé à lui faire l’amour ainsi vêtu. Pour la première fois de ma vie j’étais l’amant d’une femme mariée, le plus beau c’est que le lendemain je me retrouvais l’amant d’une deuxième femme mariée prénommée Geneviève. À noter que j’étais toujours dans la même tenue féminine peu en ma faveur. Ce dimanche-là je me retrouvais donc amant de deux femmes mariées et d’un âge certain, facilement 20 ans de plus que moi.

Le plus drôle c’est que ces deux femmes étaient clientes dans l’hypermarché où je travaillais, nos regards ne se croiseraient plus de la même façon désormais. Après cette aventure d’un weekend nous avons repris nos aventures avec Catherine sauf que maintenant Geneviève nous accompagnait presque partout. Quand nous allions au cinéma au restaurant ou au théâtre je me retrouvais entre elles deux. Quand nous étions au restaurant mes deux maîtresses adoraient troubler le serveur en m’embrassant chacune leur tour à chaque fois qu’il passait. De mon côté j’ai trouvé ça très érotique et cela avait la fâcheuse tendance à me donner une bonne érection.

Quand nous étions au cinéma toutes les deux me caressaient de la façon la plus efficace en toute discrétion pendant la séance. Il m’est souvent arrivé de ressortir du cinéma sans être capable de dire de quoi parlait le film tant mes deux maîtresses s’étaient bien occupées de moi. J’avais l’impression que ces deux femmes là, quand elles étaient ensemble elles étaient déchaînées sexuellement. En fait quand j’étais là j’ai l’impression que je les excitais rien qu’à me voir. Le plus gênant c’est quand nous allions faire les courses car maintenant elles faisaient leurs courses ensemble; je servais de mannequin pour qu’elles regardent si les dessous allaient leur aller ou pas. Nous faisions attention à faire nos courses très loin du domicile pour ne pas qu’il y ait de ragots à leur égard. Elles prenaient les robes ou les culottes et les posaient sur moi pour voir cela leur convenait.

Il m’est souvent arrivé d’avoir à leur brouter le minou dans une cabine d’essayage et honnêtement ce n’est pas désagréable. Le pire que nous ayons fait c’est sur l’initiative de Geneviève alors que nous étions une fois au théâtre. L’ouvreuse avait été fort peu aimable avec ma maîtresse et cette dernière avait décidé de se venger. Geneviève nous a quitté quelques instants puis est revenue me chercher et nous sommes partis à la recherche de l’ ouvreuse dans les couloirs du théâtre. Une fois l’employée retrouvée elle a prétexté un souci au dernier étage là où il n’y avait personne pour la coincer dans un petit cagibi. L’ouvreuse était d’une grande beauté tout aussi belle que Catherine et Geneviève avec une dizaine d’années en moins. Ma maîtresse l’a plaquée contre le mur pour ensuite l’embrasser de force.

Les deux femmes étaient de force égale sur le papier mais Geneviève avait beaucoup plus de techniques pour immobiliser sa proie. La victime avait abdiqué assez rapidement et se laissait maintenant caresser et embrasser par ma maîtresse, j’en étais même à me demander si elle n’était pas demandeuse désormais. Je l’entendais soupirer de plaisir sous les caresses de Geneviève, il n’y a pas de doute maintenant elle en redemandait. Du coup Geneviève n’avait plus besoin de la forcer et c’est ainsi qu’elle a soulevé sa douce jupe sobre et est partie glisser sa main dans sa culotte mouillée. Un peu horrifiée au début sa partenaire y a pris goût très très vite. Geneviève m’a fait m’approcher de sa victime puis m’a fait agenouiller j’ai compris ce que je devais faire.

Je me suis glissé entre les jambes de l’ouvreuse et j’ai commencé à lui manger le minou. Son abricot sentait très très bon et il avait surtout très très bon goût elle sentait la femme distinguée. Ses lèvres étaient fines et relativement de grandes tailles, de là où j’étais je pouvais constater que cette femme adorait faire l’amour. Dans le cas présent elle y était contrainte mais cela n’avait finalement pas l’air de lui déplaire. Pendant que je lui broutais son minou et que Geneviève l’embrassait, cette dernière est partie visiter son entre fesses avec des doigts explorateurs sous sa culotte déjà trempée. Il n’y a pas à dire notre ouvreuse avait l’air d’être aussi sensible par derrière. Geneviève qui menait les débats a décidé que il fallait que je la prenne par derrière.

Elle a donc décoller du mur et retourné l’employée de 180 degrés de telle façon à lui titiller son petit trou pour préparer la pénétration. Notre victime avait l’air d’y prendre grand plaisir car elles ondulait du bassin et soupirait très fort. Une fois que geneviève a jugé qu’elle était prête elle l’a de nouveau retourné pour m’offrir son petit cul. Sophie c’est ainsi qu’elle se prénommait était de la taille idéale pour que je puisse la prendre par-derrière, plus petite que moi sans doute un mètre 78. C’est ainsi que notre ouvreuse s’est fait pénétrer par derrière pendant la pièce de théâtre en roulant une grosse gamelle à Geneviève. Ma maîtresse en profitait aussi pour lui caresser les seins et par-dessus ça maintenant elle allait lui doigter le minou, doitgs qu’elle lui donnait ensuite à sucer. Vu l’érotisme du contexte je n’ai pas été bien long à me vider dans le boyau de ma partenaire d’un soir. 

Manifestement notre ouvreuse avait l’air bien excitée aussi car elle aussi a pris son pied très rapidement. Je suis resté encore un peu en elle histoire de ne pas laisser une goutte à côté. Puis au moment de sortir Geneviève a demandé à Sophie de me faire une fellation histoire de me nettoyer ma queue qui venait de servir et se vider dans un préservatif. Sophie était un peu réticente mais Geneviève l’a forcée à s’accroupir et lui a collé de force mon dard dans la bouche. J’avais un peu peur qu’elle me mettre des dents mais mon petit doigt me dit que ce n’était pas la première fois qu’elle faisait une pipe. Sophie s’en sortait même très très bien. Geneviève a aidé notre victime à se refaire une petite beauté histoire qu’il n’y ait pas de trace de ce qui venait de lui arriver.

Contre toute attente, juste avant de repartir errer dans les couloirs du théâtre, Sophie est venue embrasser amoureusement Geneviève; j’étais sur le cul. On venait d’abuser d’elle sans son accord et elle avait aimé. Geneviève lui a rendu de baisers et lui à coller une main au cul en partant. nous partîmes reprendre nos places, Geneviève m’a expliqué elle avait appris tout ça un peu comme Catherine dans les vidéos coquines et dans les histoires coquines que l’on trouvent sur Internet. Geneviève m’a dit que au moins elle avait été entre guillemets punie pour lui avoir mal parlé au moment du placement. Au moment de reprendre nos places geneviève a glissé à l’oreille de Catherine que l’ouvreuse se souviendrai de nous.

Pendant la fin du spectacle Catherine me caressait le sexe en me demandant si il avait servi avec l’ouvreuse je lui ai répondu par l’affirmative avec une confirmation complice de Geneviève. À la fin du spectacle nous sommes sortis en passant par le grand hall d’accueil où nous avons croisé Sophie, Geneviève en a profité pour la gratifier d’une magnifique mais discrète main au cul. En partant dans la voiture nous avons parlé de Sophie tous les trois et Catherine a reconnu qu’elle était quand même bien mignonne. Là où Geneviève nous a laissé sur le cul c’est quand elle nous a avouer qu’elle avait trouvé le moyen de laisser son numéro de portable à Sophie. Catherine a fait un commentaire à Geneviève comme quoi depuis que nous étions tous les trois à savoir à peu près deux mois; Geneviève s’était fortement dévergondée.

Geneviève nous a avoué que depuis le déclic qui avait eu lieu voilà deux mois en elle, cela avait réveillé une salope dominatrice qui sommeillait en elle. Ces 2 femmes de plus d’un mètre 80 avaient tout pour être dominatrices, mais Geneviève avait le dessus psychologique sur Catherine. Et moi de mon côté je les avais comme clientes de temps à autre dans ma grande surface et il m’arrivait de passer des soirées voir des weekends avec elles 2. Il m’était juste imposé de m’habiller en femme quand j’étais chez l’une ou chez l’autre et de porter des dessous féminin quand nous sortions. Cela n’était pas vraiment une corvée pour moi mais plutôt un plaisir, un plaisir que de sentir la douceur de ses vêtements de ces dessous à même mon corps.

En plus de voir ces deux femmes qui avait toujours envie de moi, j’avais en plus le contact de ses vêtements qui me mettaient encore plus dans tous mes états. Les deux femmes roulaient dans des voitures de marque allemande et mon petit doigt me dit que l’une avait influencé l’autre quant à la marque. Quand nous sortions j’étais souvent au volant et il m’arrivait d’avoir le droit à de petites faveurs de leur part. Régulièrement pendant que je roulais, elles me libéraient l’accès à mon sexe pour me le caresser voire le prendre en bouche. Je ne vous raconte pas comment il faut rester concentré au volant lorsque vous subissez de tels assauts… Il m’arrivait aussi d’avoir à les honorer sur les sièges arrière en revenant d’un spectacle ou du restaurant.

J’aimais beaucoup ce moment-là car du coup il y en avait une qui conduisait pendant que je m’occupais de l’autre; celle qui conduisait demandait des détails où s’informait sur l’évolution des événements. Presque toujours quand nous sortions mes deux maîtresses portaient de douces et longues robes. En fait quand je ne conduisais pas j’étais derrière et je savais comment cela allait finir. J’aimais autant leur faire une langue dans la voiture que les pénétrer dans la voiture, il y avait le côté acrobatique qui me plaisait beaucoup. Quand je voyais ma partenaire se caler dans un coin de la voiture, bien écarter les jambes; je savais ce qui devait se passer. Quand elle était un peu allongée cela voulait dire qu’elle désirait une pénétration, quand elle était assise, jambes écartées bien calée contre la paroi de la voiture c’est qu’elle voulait une langue. Ce qui me plaisait aussi c’est que dans la voiture l’odeur de minou et de sexe ne se dissipait pas et j’adorais…

Il y a des fois où Geneviève m’appelait sur mon portable pour que je vienne chez elle lui faire du bien. De mon côté je n’habitais pas trop loin de chez elle, je prenais mon vélo et là rejoignais; il y a même des fois où elle venait carrément me chercher tant elle était en manque. Dans ces cas-là je passais souvent la nuit avec elle avec un pacte qui était de ne rien dire à Catherine. Geneviève était bien plus gourmande que Catherine et j’étais étonné qu’elle ait réussi à tenir tant d’années de chasteté. Ce qui était formidable c’est que je rentrais dans tous leurs vêtements; ainsi, souvent quand j’allais voir Geneviève, sur le parcours de sa chambre était positionnée la tenue qu’elle m’imposait. 

Déjà avant d’arriver chez elle mon sexe était au garde-à-vous mais quand je me faisais belle pour ma partenaire, mon sexe était dur comme du bois. Il y avait un escalier d’angle (lui aussi en bois) pour accéder à l’étage et des vêtements se trouvaient sur la rampe. Systématiquement je trouvais des escarpins en haut de l’escalier. Sa chambre se trouvait à droite de ce dernier et elle m’attendait toujours nue sous un drap de satin. En arrivant dans sa chambre je devais me glisser sous les draps puis allez lui manger son entrejambe, il suintait toujours abondamment. Le plus plaisant c’est qu’elle m’avait avoué ne pas faire sa toilette pendant une journée avant pour que je m’en charge. Cela donnait un goût formidable à sa cyprine et je crois que les effluves la chauffaient autant que moi. Je prenais grand plaisir à frotter mon sexe sur des draps de satin.

Il arrivait de temps à autre à Geneviève de se plier un petit peu pour saisir mon sexe et le caresser; j’en retirais un plaisir formidable. Une fois qu’elle avait pris suffisamment de plaisir grâce à ma prestation buccale, il fallait que je vienne me glisser en elle. Il lui arrivait de me griffer tellement fort que même à travers les vêtements cela me laissait de rouges traces. Je pense que Catherine n’était pas dupe quand elle voyait ce marquage au rouge, elle savait que Geneviève avait profité de moi. Mais ma maîtresse originale ne disait rien, j’étais là pour répondre à ses désirs ces derniers étant bien moins importants que ceux de Geneviève. Quand j’étais en elle, excepté le fait qu’elle me griffe un peu fort, Geneviève était d’une grande douceur très câline et adorant embrasser.

Pendant que mes jambes gainées de collants voile se frottaient l’une à l’autre, je m’accrochais aux épaules de ma partenaire pour aller le plus loin possible en elle. Je n’avais jamais pris autant de mon pied qu’avec ces 2 femmes de plus de 20 ans que moi et qui me comblaient à merveille. Avec Geneviève je ne passais par l’issue de derrière que quand nous étions tous les trois sinon nos rapports étaient des plus conventionnels. Par contre de son côté Catherine adorait que je la prenne par derrière dans la cuisine, ou appuyée sur la table du séjour ou appuyée sur le mur des toilettes et il m’est même arrivé de la prendre sur le capot de la voiture. Par correction, j’ai toujours veiller à partir avant ma partenaire et elles appréciaient beaucoup le geste. J’aimais beaucoup sentir la pointe dure des seins de Geneviève érafler mon corps.

J’aurais volontairement comparé Geneviève à une tigresse pour ce qui est du rapport sexuel tant elle était désireuse, demandeuse et autoritaire. Quand je partais en elle j’avais le coup de barre habituel et en fait je m’allongeais sur le dos en restant emboîté en elle. Nous restions l’esprit entre deux eaux une demi-heure durant; histoire de les reprendre nos esprits… C’est un moment magique après l’amour que j’apprécie et savoure toujours. Ensuite Geneviève se levait vêtue d’une nuisette ou d’un déshabillé toujours fin, elle allait faire sa toilette intime et puis ensuite nous descendions manger un petit quelque chose. Rien que de la voir, ainsi vêtue, se promener dans la maison mon érection revenait très rapidement. Une fois le ventre plein nous remontions nous coucher quelquefois pour nous endormir, d’autre fois pour remettre ça.

Après plusieurs mois à ce rythme je me disais que leurs deux maris passaient à côté de choses formidables et que j’étais le petit chanceux qui en profitait. Voilà donc plusieurs mois que maintenant je n’avais plus besoin de copine, j’étais heureux avec ces deux femmes dont j’étais l’amant; même si je culpabilisais un peu.

On verra si l’histoire vous plaît et qu’elle est publiée, j’y rajouterai un chapitre

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