Chantal prit la cigarette que je lui proposais.
Elle me fit un sourire et pencha sa tête en arrière en lâchant une bouffée de cigarette. Elle s’était habillée en décontracté, vêtue d’un short et un polo.
En caressant ses orteils si élégants, je m’aperçus qu’elle n’avait pas de culotte ni de soutien-gorge. Son polo en attesta avec ses tétons bien visibles. Chantal engagea la conversation.
— Jean, c’est merveilleux ce que nous vivons mais je ne sais pas où nous allons. Il n’y a aucune finalité dans notre relation, tu comprends ?
— Oui je ne vais pas t’épouser !
Ma tante partit dans un énorme fou rire. Je continuai à câliner ses pieds sublimes en déposant quelques baisers sur le dessus de ses orteils. Que la peau fut douce au contact de mes lèvres.
— Bon tu arrêtes Jean ! Écoute-moi.
— Où veux-tu en venir ?
— Je suis ta tante, j’ai 45 ans. Tu es mon neveu de 19 ans. Il faut qu’on arrête nos bêtises. Ce que l’on fait s’appelle de l’inceste.
— Oui Tatie, je te baise et tu adores ça, non ?
— Tu sais très bien que je ne vais pas te dire le contraire ! Maintenant, on a bien rigolé mais il faut savoir dire stop.
— Ok, je comprends ton embarras mais personne ne le sait. J’adore te sauter Chantal, c’est un pur régal de te baiser. J’en rêvais depuis ma puberté !
— Eh bien tu l’as fait !
— En tout cas, Andrew ne se pose pas la question avec sa jeunette !
— Oui mais c’est mon problème.
— Si je comprends bien, tu veux arrêter ?
— Oui je préfère.
Je déposai les pieds charmants de ma tante. Elle en fut un peu surprise. Je me levai et lui déposai un baiser sur le front.
— Mais que fais-tu Jean ?
— Je pars !
— Ah non ! Tu prends la mouche en plus, j’ai du travail pour toi.
— Je t’écoute.
— Aide moi à tondre la pelouse quand Mike va passer.
— Allez je sors la tondeuse.
— T’es un amour. dit-elle sur un ton embarrassé.
Je fis la gueule. Ma tante ne savait pas ce qu’elle voulait. Elle venait de jouir comme une bête et une heure plus tard, elle m’expliquait qu’il fallait tout arrêter !
Je pris cette fameuse tondeuse et je m’occupai de cette pelouse. Ma tante ramassa le peu d’herbe, préoccupée par ses propos.
Nous déjeunâmes puis vers 14 heures, je décidai de partir.
— Tu ne restes pas dire au revoir à Mike ?
— Tu le feras pour moi, à demain Tatie.
Ma tante ne dit rien.
Je lui fis la bise, autant s’y faire dorénavant.
En rentrant, j’analysai la situation. Du fait de la venue de son fils, ma tante culpabilisait de notre relation incestueuse. Il lui fallait certainement un peu de temps et puis, le départ de Mike la ferait sans doute changer d’avis.
16 heures. Le téléphone retentit.
Étant chez moi devant la télé, j’avais bien une idée…
— Allo ?
— Jean, c’est Chantal, Mike est bien parti, je t’appelais parce que tu as oublié ton maillot de bain.
— Tu peux me l’amener au bureau demain.
— Enfin, tu peux venir le chercher ! Je ne vais pas venir au bureau avec ton maillot.
— Oui bon du calme, je passerai.
— Mais quand ?
— Oh avec le superbe soleil qu’il fait, je compte me balader, m’installer dans un parc, bronzer et passer en fin d’après-midi.
— Ah d’accord, on oublie sa tante dont tu es amoureux !
— Tu as changé ton point de vue depuis ce matin ?
— J’ai envie aussi de prendre un bain de soleil avec mon neveu, je peux lui demander s’il veut bien ?
— Dans 30 minutes, je suis chez toi.
— Et tu restes pour dormir…
— Mets-toi en maillot déjà !
— A vos ordres mon neveu chéri.
Rien qu’en raccrochant, mon sexe était déjà en alerte ! Mon analyse se révéla juste. Le départ de Mike l’avait décomplexée sur notre relation.
Moins de 30 minutes plus tard, je me présentai à la porte d’entrée, j’entrai et j’entendis la voix de Chantal.
— Je descends mon chéri et je suis à toi.
— Je m’installe…
Forcément, je restai au bas de l’escalier pour la voir descendre en bikini. J’adorai voir ma tante dans cette tenue. Elle le sut très bien quand elle descendit.
Wouah me dis-je dans la tête, "quelle nana" perchée sur ses escarpins à talons, ma tante devait mesure 1 mètre 75 avec ses 54 kilos. Cela lui donna des jambes sans fin et surtout un style sensuel voire érotique.
Elle avait mis le bikini qui tue : Blanc.
J’éviterai les superlatifs sur sa silhouette féerique (!).
— Alors mon chéri, on s’installe ?
— Volontiers ma chère !
Je la regardai de bas en haut. Pieds toujours aussi parfaits, chevilles élégantes, jambes longilignes, fesses à croquer, chute de reins à vous faire chavirer…
Ma tante déambula dans le salon pour se rendre sur la terrasse d’une manière volontairement sexy.
Installée sur le transat, elle ôta le haut en restant assise, je pus observer la fermeté de ses seins pour son âge. Toujours en forme de poire, je craquai à l’idée de les saisir, d’en aspirer la pointe.
— Tu peux me mettre de la crème Jean ?
— Volontiers
Ma tante se tenait bien droite, le buste en avant. J’entamai mon étalage dans le bas du dos pour remonter sur ses épaules. À vrai dire, j’avais peu de crème pour sentir la peau claire de Chantal.
Étant derrière elle, j’en profitai pour lui faire un baiser dans le cou, tandis que mes mains partirent vers le devant la scène. Je massai son ventre bien plat, j’en profitai pour la serrer contre moi. Enfin, j’accédai à l’étape supérieure, sa poitrine.
Mes deux mains englobèrent ses deux seins qui n’en demandaient pas tant. Je les pétrifiai à pleines mains, puis avec la paume, j’effleurai ses tétons. Ma tante pencha sa tête en arrière à la recherche d’un baiser.
Comme au ralenti, elle se leva, se débarrassa du bas de son bikini et vint mettre sa somptueuse intimité à hauteur de mon visage. Pris au dépourvu, je m’allongeai sur le transat, la tête relevée et Chantal se mît à califourchon sur mon buste.
— Alors, elle te plaît ma chatte ?
— Oui, elle est belle, bien soignée et très appétissante.
— Dans ce cas, je te permets de la goûter !
Ma tante avança sa chatte au-dessus de ma bouche. Il lui suffisait de plier légèrement les jambes pour que je la goûte. Il lui suffisait également de balancer son bassin à sa guise pour je la lèche, tantôt vers son point culminant, tantôt vers son orifice bien trempée vu les circonstances.
— Chantal, avec ta position, je deviens ton esclave.
— J’en suis parfaitement consciente.
— Et tu peux te faire jouir à ta convenance !
— Mais je le sais mon petit neveu.
— Alors ma si jolie tante, je te laisse l’initiative.
Chantal se baissa, ainsi je pus effleurer son intimité. Ses lèvres humides se firent materner par ma langue remplie de salive. J’aspirai sa vulve et Chantal commença à osciller son bassin. Tantôt ma langue glissait tout le long de sa fente pour son plus grand bonheur, tantôt elle suçotait avec beaucoup de tendresse son point culminant.
— La vue te plait mon chéri ?
— C’est juste fantastique Chantal !
En effet, j’étais devenu une sorte de sextoy, ma tante se faisait lécher là où elle le désirait.
J’eus l’impression d’être un enfant dans un manège essayant d’attraper le fameux pompon (!).
Mais dans le cas précis, je ne savais plus où donner de la tête. Je sentis la liqueur de sa chatte fabuleuse s’abandonner sur mes lèvres. Que ce fut bon de la voir mouiller ainsi. Puis Chantal se redressa.
Elle jeta un coup d’il sur mon membre bien portant.
— Ca m’a l’air bien intéressant tout ça ! dit-elle dans un sourire malicieux.
Je retirai mon maillot dans la seconde et Chantal toute excitée saisit mon membre. Sans aucuns préliminaires, elle le porta à sa bouche pour gober mon sexe en entier.
Ce fut une véritable fièvre qui s’empara de tout mon corps. Je sentis les lèvres de ma tante glisser tout le long de mon pénis, sa langue tournoya autour de mon gland. Je fus dans l’absolu, les mots me manquent.
Il ne fallut pas que Chantal s’attarde trop. Un bref moment, je fus sur le point de jouir.
Et je regardai ma tante me sucer, avec sa bouche somptueuse, ses lèvres déposant de la salive sur mon organe. Ses joues se creusèrent, me faisant ressentir une intense chaleur dans son aspiration divine.
Oh la vache (!), elle me suçait comme une reine et dire qu’elle était la sur de ma mère…
— Ca va mon chéri ?
— Je ne sais pas quoi dire.
— Attends…
Cette fois, Chantal se dressa puis me chevaucha. Elle s’accroupit sur moi, puis dirigea mon sexe plus que rigide vers son intérieur rêvé. Je sentis ses lèvres caresser mon membre en feu, que se fut doux, agréable, plaisant en devinant le futur…Et le rêve devint réalité.
Avec précautions, ma tante se baissa en douceur, tout en se laissant pénétrer les yeux fermés. Elle savourait le bonheur de me recevoir en elle.
Inutile de préciser que je fus aux anges. Que ma tante fut belle durant cet instant. Que la vie était belle désormais avec elle.
Mes mains ne surent que faire devant le spectacle offert par Chantal. Elle me prit l’index et me le suça amoureusement. Elle me fixa avec ses yeux bleu clair en souriant.
Il fut évident que ma tante cherchait à me faire jouir, je lui caressai ses adorables seins aux tétons enflés, durcis du plaisir d’avoir mon sexe enfoui en elle.
Elle se mît à mordre mon doigt intensément, tout en redoublant sa gestuelle. Un orgasme puissant s’empara d’elle.
— Je jouis mon amour ! Viens…viens.
— Oooh oui je viens en toi ma Chantal !
À mon tour, plusieurs spasmes me submergèrent. Ma tante tressauta sous mes assauts. Encore une expression guère plaisante, mais je me vidai littéralement en elle.
Chantal posa ses mains sur mon torse comme pour mieux résister au plaisir infernal qui inonda sa chair profonde, je pétris ses fesses douces sans relâche.
— Que c’est bon de te baiser ma belle salope !
— Jean…enfin !
— T’aimes ça avec moi, non ?
— Oooh ouiiiii…si tu savais…
Chantal s’écroula sur son neveu, trempée.
Comme ce fut bon de caresser son corps perlé de sueur. Nous collâmes nos lèvres comme une évidence pour s’embrasser farouchement. Nos bouches s’accordèrent tels des aimants. Nos langues n’en finirent pas de se taquiner.
Je n’oubliai pas de caresser la peau soyeuse de ses fesses de rêve.
Nous savourions cet instant de se savoir l’un dans l’autre, nos corps toujours en fusion.
Puis ma tante se redressa, superbe. Je n’eus qu’une envie : recommencer…
— Chéri, je vais prendre une douche.
— Je te rejoins ma belle Chantal.
Elle se dégagea paisiblement, patiemment. Un grand sourire de satisfaction rempli d’amour accompagna son départ.
Nous nous mîmes à table vers 20 heures.
A ma demande, Chantal avait accepté de ne porter que sa robe de chambre. Nous prîmes notre temps pour dîner. Nous parlâmes du départ de Mike. Pas un mot sur Amanda…
La vaisselle finie, il fut temps de nous installer dans le salon, le temps devenant frais.
— Je suis fatiguée ce soir, on fume une petite cigarette et on monte ? me proposa ma tante.
— Oui, demain la semaine commence.
Chantal s’étendit sur le canapé, sa robe largement entrouverte me fit apparaitre sa poitrine reposée. Machinalement, elle posa ses pieds sur mes cuisses.
— Tu aimes mes caresses sur tes pieds ?
— J’avoue y prendre goût ! Au début, j’ai trouvé ça bizarre et puis c’est à la fois apaisant et même excitant, personne n’a jamais fait ça avec mes pieds. Me dit Chantal.
— J’adore m’en occuper, tu as des pieds d’une grâce, d’une beauté sans pareil.
— Ouh là la que de compliments ! alors à mon tour, qu’est-ce que j’aime faire l’amour avec toi, si tu savais !!
— Je pense que tu t’es rendue compte que nous sommes fusionnels tous les deux.
— Parfaitement mon chéri, mais dis donc t’es vachement avancé sur le plan sexuel, tu as un sacré savoir-faire pour ton âge ? dit-elle intriguée.
— Avec toi, c’est inné, mes gestes viennent automatiquement, quand par exemple je te lèche, je sais ce que tu vas ressentir.
— Bon jean, on parle de mon intimité, ça devient gênant.
— Au contraire, c’est cool d’en parler, quand je rentre ma langue dans ton vagin, je sais que tu adore.
— Oui c’est vrai, allez on va se coucher !
— Et maintenant, je sais très bien que tu adores te faire prendre par derrière.
— Oui, tu t’y prends comme un chef, t’es un expert dans ce domaine, tu es doux, délicat.
— Alors toujours follement amoureuse ?
— Evidemment et même de trop ! rajouta-Chantal en pleine confession.
Un peu embarrassée par notre conversation assez intimiste, ma tante se leva en prenant soin de me faire un baiser. J’en profitai pour l’attraper par la taille et la poser sur mes genoux.
Je lui dégageai le haut de sa robe de chambre, laissant apparaitre ses épaules gracieuses et son buste arrogant. Mes petits bisous dans le cou la firent frissonner, mes caresses bien circulaires sur l’ensemble de ses seins ne l’effrayèrent point.
Bien que notre conversation l’ait au départ désorientée, ma tante se prêta au jeu de mes caresses, elle se montra docile comme j’aime. Sans regarder, je sentis le bout de ses seins durcirent. Aussi, je continuai invariablement la cadence de mes mouvements.
Chantal poussa un petit soupir pour poser sa tête sur mon épaule. L’émotion ressentie par ma tante dut être vive, son sexe au contact de mes cuisses se fit relativement humide. J’aimai ressentir ses lèvres s’épanouir au gré de mes caresses sur ma peau. Sa robe de chambre disparut par enchantement.
— Jean, tu sais vraiment y faire avec moi !
— T’es une vraie perle…
Chantal m’embrassa dans le cou. Je continuai à la stimuler en posant mes mains sur ses hanches. Je l’enveloppai totalement avec sa robe de chambre, comme si ma tante m’appartenait. Elle promena sensuellement sa langue dans mon cou pour atteindre mes lèvres. Je lui donnai se baiser tant recherché.
Mon sexe réclamait sa présence et ma tante se rendit à l’évidence.
— Mon chéri, je ne peux pas te laisser comme ça.
— Oui…
— Attends.
Elle se mît à mes côtés, toujours entièrement nue. Belle à baiser.
J’en profitai pour me débarrasser de mes vêtements. Chantal vit mon sexe en éruption (!).
— Aaah oui !! Je vois que mon neveu est en grande forme.
— Eh oui, tu me plais tant.
— Alors ainsi je te plais !
— Suce-moi ma belle Tatie.
— Dans ce cas… dit-elle avec un grand sourire, les yeux brillants.
Ses doigts fins caressèrent mon pénis. Elle mouilla son index en l’enfonçant dans sa chatte et le posa avec sa liqueur sur mon méat. Elle tournoya avec son doigt.
Sensation forte pour son neveu !
Elle recommença une seconde fois en cherchant à nouveau son précieux liquide.
Sensation trop forte…
— Chantal ?
— Oui mon neveu chéri ?
— Viens sur moi, je n’en peux plus.
— Ah ah ! me répondît-elle.
Chantal se leva, mit sa robe sur les épaules et me fit signe avec le doigt de la rejoindre en haut.
Le temps de récupérer mes vêtements, j’arrivai dans la chambre.
Ma tante savait y faire avec moi.
Le spectacle qu’elle m’offrit dépassa mon imagination.
Bien entendu, elle était allongée sur le lit. Entièrement nue, elle avait les jambes royalement écartées. Elle se caressait la poitrine tout en ondulant son bassin. Elle était dans les conditions requises pour me recevoir.
Ce fut superbe de voir son corps s’afficher avec autant d’impudeur devant son neveu.
— Alors mon chéri ? me dit Chantal, toujours en train de se tortiller.
— Tu es tout simplement éblouissante.
— J’ai envie de toi, toi mon neveu chéri.
— Moi aussi je vais venir, mais avant je veux que tu fasses une chose.
— Ah oui et laquelle ? avec un sourire rempli de curiosité.
— Masturbe-toi ma chère tante.
— Tiens tiens, mon cher neveu aimerait voir sa Tatie se donner du plaisir ?
— Absolument. Lui dis-je d’un ton ferme, sachant qu’elle aimait être dirigée.
— Oui mais après, il faudra baiser votre tante adorée !
— J’attends ma chère Tatie !
Chantal entreprit ce que je lui avais demandé. Elle me fixa intensément, porta son majeur à sa bouche et se mit à le sucer lascivement. Puis elle le retira pour amorcer une lente caresse le long de sa belle fente resplendissante.
Je fus contemplatif devant cet espèce de strip-tease improvisé. J’avoue dans l’instant ma surprise, de voir ma tante s’abandonner devant moi de la sorte. Elle joua avec ses lèvres pour se caresser son clitoris à sa façon, douce et délicate comme une femme sait le faire. Elle sut fort bien le moment fatidique que j’attendais.
Chantal prit tout son temps. J’avais pris une chaise pour m’assoir. Cela me permit d’être aux avant-postes, confortablement installé face au spectacle incestueux improvisé par ma charmante tante.
— Tu te débrouilles très bien ! lui dis-je en guise d’encouragement.
Elle me fit chut avec le doigt…
Ses mains caressèrent ses seins en pleine ébullition, son cratère, si j’ose dire, fut au bord de l’éruption totale pour recevoir mon pénis en manque de chaleur. Je ne mouftai pas. Ma tante se caressa l’intérieur de ses cuisses, ses mains descendirent vers le lieu tant attendu. Chantal me fit un clin d’il et introduit finalement son majeur en elle. Elle se doigtait en faisant un va et vient méthodique.
Quelle sensualité de voir sa tante en pleine séance de masturbation !
Quel aveu de confiance envers son neveu de faire une chose pareille !
J’avais complètement dévergondé ma tante !
Elle y prit forcément goût. Deux doigts occupaient désormais son intimité. Je la vis gémir, soupirer, fermer les yeux, se cambrer face au plaisir qu’elle s’infligeait.
J’eus droit au finish : Chantal retira ses doigts et se mît à les sucer. Elle écarta les jambes et d’un mouvement furtif de son bassin, elle m’invita à la rejoindre ou plutôt à se faire pénétrer.
— Tu aimerais quelque chose de ton neveu ? lui dis-je un brin provocateur.
— Viens baiser ta tante petit con !
— Quelle grossièreté ma chère…
— Eh oui jeune homme, votre tante attend de se faire sauter par son beau neveu.
— Je vais exaucer se vu mais savez-vous que c’est le fils de votre propre sur qui va vous pénétrer, vous faire jouir ?
— Oui, c’est génial de me faire baiser par son fils ! dit-elle, tout sourire.
— Vous êtes une belle salope…
— C’est pour cela que vous m’aimez, non ?
— Tout à fait Tatie !!!
Je ne tenais plus.
Je me levai directement et lui saisis les jambes. Je vis à son regard, son désir fou de se faire pénétrer. Sa chatte hurlante, brûlante, béante, éclatante fut un appel à copuler avec ma tante tant désirée.
Chantal se laissa faire, se laissa caresser sa belle fente avec mon sexe, le long de ses lèvres trempées. Elle n’avait qu’une envie : que je la fasse jouir, que je lui donne son orgasme tant demandé. Mon gland toucha ses lèvres, je la pénétrai juste à son entrée pour en ressortir et je recommençai. Elle devint folle du désir de se faire baiser par son jeune neveu.
— Jean, rentre en moi, je t’en prie.
— Oui je vais te baiser toi !
Chantal devint plus que câline dans son sourire. Comme le regard d’une gosse à qui on a promis une glace au chocolat.
Cette fois, mon sexe prit la direction de l’entrée, passa par le couloir et s’installa dans le salon (!). Ma tante en poussa un long cri et se lâcha avec des mots.
— Ooh Jean !! Que c’est bon !! J’adore mon chéri…Continue de me baiser.
Mes lents va et vient se mirent en action. Quel bonheur de voir mon sexe bien rigide sortir puis disparaître entre les cuisses de ma tante, dans son bas ventre si accueillant. Ma tante fut si excitée que je ne sentis que la chaleur de son orifice, tant il fut dilaté par ses doigts habiles auparavant.
Je me collai désormais contre elle et tout en la baisant, nos lèvres partagèrent notre fièvre. Nous nous embrassâmes passionnément oubliant qui nous fûmes. Ma cadence, mes coups furent plus brutaux. Chantal aimait se faire sauter sauvagement, bien sentir mon sexe en elle. Elle sentit à ma respiration ma jouissance naissante. Cela l’excita elle aussi.
— Ooh oui ! Ouii… Oui…
-Je t’aime Chantal
— Encore ! Ouii… Ouiiiii…
Ma tante se crispa, me serra aussi fort qu’elle pouvait. Nos baisers cessèrent, nos bouches restèrent côte à côte, entendant le souffle de l’autre. Je sentis cette fois ses muscles vaginaux se contracter fortement, ma tante fut en pleine orgasme.
À mon tour, j’accédai au plaisir de jouir en elle, dans ma tante chérie, dans cette femme de tous mes fantasmes. Je la baisai comme un damné, elle en redemandait. Son vagin fut la proie de mes coups de reins ravageurs, ses muscles se détendirent, preuve que son orgasme fut au zénith.
— Continue mon chéri ! Plus fort !!! Encore. Encore …
— Oui mon amour !
— Je t’aime Jean.
Nous n’avions pas changé de position. Uniquement la même, face à face, pour nous voir, échanger nos regards, nous parler. Que ce fut bon. Bon de faire l’amour avec ma tante.
Elle me caressa tandis que je restai en elle amoureusement, nous reprîmes nos baisers interrompus.
Nous nous délectâmes ainsi pendant plusieurs minutes. Je regardai Chantal dans ses yeux bleus.
— T’es faite pour moi Chantal !
— Oui on dirait bien.
— Qu’est-ce que ça marche bien entre nous.
— T’es une vraie bête de sexe ! me dit Chantal, admirative.
— Ca n’est pas pour te déplaire ?
— Ah ça non, depuis le temps que j’en avais envie avec toi !
— Comment- ça ? lui dis-je, assez surpris.
— Je te l’avoue, quand tu es arrivé et que je t’ai vu, j’ai commencé à tomber amoureuse de toi en t’écoutant parler, en te parlant aussi.
— Continue Chantal…
— Le jour où je me suis mis en bikini, j’étais sûre de l’effet que je te ferais, que tu oserais enfin me caresser, me faire l’amour mais au-delà de ce que j’imaginais…
— Et le fait que je sois ton neveu ?
— C’était plus fort que moi, tu m’attires tellement, tu me donnes des émotions jamais ressenties avec un homme et j’en oublie que je suis ta tante. Voila ! me dit-elle avec un air ravi.
— Pas mal ce que tu dis ! A mon tour, je te l’ai déjà dit mais je ne pensais pas t’aimer à ce point et que l’on ferait autant de choses ensemble, si bien.
— Oui, pour être bien, c’est purement génial mais je fais des choses… enfin tu me fais faire des trucs un peu dingues !
— Je t’adore Chantal.
— Et moi donc.
Je fis basculer ma tante sur moi, ainsi je pus passer mes mains sur ses fesses si fermes pour son âge. Toujours un pur délice de caresser son corps fascinant. J’avais sa paire de fesses en main quand Chantal avec sa langue, me lécha le cou. Je fus toujours en elle. Mes lentes caresses sur son postérieur enflammèrent ma tante qui redoubla son léchage avec sa langue si douce.
Je ne sais si ce fut notre conversation, mais Chantal se mit à onduler son bassin, preuve qu’elle devenait à nouveau désireuse d’un futur coït. Mon membre ne me trahit pas, bien au contraire. Je sentis qu’il se rigidifiait sous le charme opérant de ma tante. Je parcourus tout son dos, remontant vers ses épaules pour redescendre vers son cul, en lui caressant son bel anus presque vierge à 45 ans. Un de mes doigts le pénétra, aidé par notre liqueur répandue sur ses lèvres intimes.
Elle savourait de se faire doigter en me faisant de petits soupirs dans le creux de l’oreille. Mon sexe retrouva sa forme du départ. Sans rien voir, je sentis Chantal écarter ses jolies fesses pour que j’y introduise mon doigt plus profondément.
Sentant ce nouveau désir en elle, je me retirai avec délicatesse. Sans un mot, Chantal se mit sur le ventre. Elle frétilla son arrière train. Je devinai ce qu’elle avait en tête (!).
Je l’incitai à se tenir sur ses genoux, en position de levrette. Chantal se retourna, les cheveux sur son visage renforçant la sensualité qu’elle dégageait.
— Oh oui mon chéri, tu sais que j’adore quand tu me prends ainsi.
Sa chatte ayant été soulagée comme il se doit, je me devais d’honorer la paire de fesses docile de ma douce tante. Je me reculai pour mieux contempler son cul vraiment parfait, avec son dos cambré. Sa silhouette inspira mon sexe passionnément, il se dressa, prêt à posséder le sulfureux derrière de ma partenaire infatigable. Il me fallut préparer cette si belle rose, capricieuse à souhait si on omet le mot patience.
Ma langue, au contact de sa rose fit frissonner ma tante. Je caressai sa vulve tandis que ma langue s’affaira autour de son orifice. J’osai lui fourrer la pointe de ma langue à l’intérieur de sa langue. S’en suivit un long gémissement de Chantal. Ce fut bon de sentir la chaleur de son cul par son orifice. J’adorai.
— Comme tu sais t’y prendre, c’est délicieux ce que tu fais mon chéri.
— Je te connais.
— Ah oui, tu me connais, tu es devenu mon prince charmant !
Chantal n’avait plus aucune retenue avec moi. J’étais son mec, son amant attitré. Elle m’offrait son cul généreusement, elle avait hâte de se faire prendre. Je présentai mon sexe à l’entrée de son beau derrière, il glissa toujours avec lenteur dans ce canal étroit.
Je voulais rester très délicat avec Chantal. Vu qu’elle appréciait de se faire prendre par derrière de plus en plus, il eut été dommage de briser son plaisir par manque de finesse.
Ma tante débuta un léger mouvement de son bassin. Ce fut comme un signal, je restai immobile. Dorénavant, quand je sodomisai ma tante, au bout d’un moment, elle imprimait sa cadence. Certainement pour mieux me sentir, ce qui fut le cas.
Mes mains posées sur ses fesses bien claires, elle dirigeait la pénétration de mon sexe à sa guise. Cette position n’est guère glorieuse pour une femme et pourtant, ma tante dégageait une allure majestueuse avec sa croupe sublime, croupe dans laquelle mon membre solide s’engouffrait à tout va.
Ses doigts se mirent à serrer les draps, Chantal accélérant son mouvement.
— C’est bon ma tante ?
— Oui mon chéri, viens ! Viens !! Viens…
Son orifice étroit se relâcha, Chantal ralentit et je pris la suite. Baiser ma sublime tante, cette belle femme mûre de 45 ans me transcenda. Et qui m’aurait dit que je la baiserai par le cul et qu’elle en redemanderait ?
Le rêve continua quand j’entendis ma tante.
— Oh ouiii Jean ! Défonce-moi mon chéri… Tu sais que je t’aime ??
— Ouiii… Lui dis-je dans un râle profond.
— Tu me fais jouir comme une folle ! Ouiii ! Ouiii ! Plus fort…
Quelle journée !
Chanta ressentit les décharges violentes de mon corps en elle. Je rentrai en elle comme dans du beurre. L’expression n’est guère plaisante mais reflète la réalité. Je possédai par derrière ma belle femelle bien mûre. Ressenti inégalable non pas physiquement mais sur un plan émotionnel et affectif.
Ma tante se rétracta, elle avait joui intensément elle aussi. Il fallut que je quitte l’intérieur de son cul féerique. Je m’accordai une pause en m’allongeant à ses côtés.
— Jean, t’es un mec génial !
— Et toi, la femme de mes rêves Chantal.
Une larme coula sur la joue de ma tante, je l’avais touchée dans ses émotions les plus intimes. Elle m’accorda ses lèvres. Encore un baiser passionné entre nous deux.
Chantal fit un brin de toilette tout comme moi, puis nous nous retrouvâmes dans son lit conjugal.
Ma relation incestueuse avec ma tante fut à son comble ce dimanche soir. Elle vint se blottir contre moi, toute câline, repue du plaisir que je lui avais procuré.
De mon côté, je ne pensai pas au lendemain, je savourai le présent avec ma belle Tatie, celle qui m’avait tant fait fantasmer et que je pouvais baiser comme bon me semble. Seule ombre à ce tableau idyllique, le retour programmé de son mari vendredi.
Le lendemain, nous décidâmes de ne pas faire de bêtises au bureau. Ce fut idiot.
Je passai la semaine chez ma tante.
Nous arrivâmes au jeudi soir. Le dernier soir. Notre dernière nuit.
J’avais pris mes habitudes.
Une fois arrivé, je me mettais en décontracté, caleçon et tee-shirt. De son coté, Chantal enfilait uniquement sa robe de chambre. Cela ne la dérangeait pas et elle avait pris l’habitude de se promener relativement nue devant moi.
Bien entendu, il arrivait que mes mains se promènent vers des endroits défendus pour un neveu envers sa tante. De temps à autre, tout en préparant la cuisine, je saisissais un de ses seins fabuleux, je le portais à ma bouche et j’aspirais durant de longues minutes son précieux mamelons. Chantal aimait ce genre de dérapage si j’ose dire.
De son coté, il lui arrivait également qu’elle me voit en forme à travers mon caleçon. Sans complexe et sans rien dire, elle se mettait à genoux et venait me gober mon sexe. Elle me suçait quelques minutes et je lui rendais la pareille dans le canapé.
Nous avions pris pour habitude de faire l’amour dès que nous arrivions. Nous avions une telle faim l’un de l’autre que cela se faisait de manière quasi automatique dans le salon. Nous dînions et échangions des points de vue. Nous nous entendions très bien. Nos avis différaient rarement. Puis nous montions dans la chambre à coucher pour recommencer à faire l’amour. C’était l’entente parfaite.
Nous venions de dîner et n’avions pas fait l’amour en rentrant ce soir-là. Je lui proposai une de mes cigarettes spéciales… Elle ne refusa pas. Chantal engagea la conversation avec un verre de vin pour accompagner la fin de notre repas.
— Demain Andrew rentre, tu ne pourras plus rester là.
— Oui je sais, mais tu ne seras pas à sa disposition, tu auras des libertés. Dis-je à Chantal pour préparer le terrain de nos futures rencontres.
— Ah ça oui, j’ai bien envie de profiter de toi ! Tu sais Jean, moi aussi je suis en plein rêve.
— Il n’y aurait pas Andrew, la famille… Je crois que j’aimerais vivre avec toi.
— Jean, c’est juste un rêve qui ne me déplairait pas, mais bon c’est ainsi !
— Profitons de notre dernière soirée chez toi Chantal.
— Qu’est-ce que tu me mijotes encore ? dit-elle dans un grand éclat de rire.
Je sus par ces derniers mots que ma tante se prêterait à toutes mes volontés, à condition que cela lui procure du plaisir. Ma tante se fit des grands sourires. Elle se mit à rire pour rien. Ma cigarette et son verre la rendirent assez gaie. Nous fûmes installés dans le salon, côte à côte sur le canapé.
— Alors dis-moi. Que veux-tu que je fasse à mon neveu chéri ? dit-elle avec un sourire charmeur.
— Aurais-tu envie de t’occuper de ton bébé ?
— Oh ouiii ! mon petit bébé qui me manque tant !!
— Mais il faut t’en occuper jusqu’au bout ?
— Compte sur moi chéri. dit-elle d’une voix grave pour rigoler.
Ma tante se leva, je me soulevai pour ôter mon caleçon. Elle se mit à genoux.
— Ah c’est un gros bébé, c’est mon gros bébé à moi ! pour moi toute seule !
— Tatie, t’es une vraie cochonne !
Ma tante pouffa de rire, elle me saisit mon membre, gorgé à bloc. Il est vrai que les lèvres de ma tante étaient très appétissantes, bien dessinées, légèrement charnues. Des lèvres qui respiraient la sensualité.
Elle se passa un coup de langue sur sa bouche pour humidifier ses lèvres, charmant. Avec ses longs doigts fins, elle les posa délicatement sur ma verge et commença à me branler. Tout en le faisant, elle me regarda fixement. Je fermai les yeux un moment et la chaleur de ses lèvres se fit ressentir au niveau des testicules. Je vis ma tante, la langue tirée en train de me lécher les bourses pour remonter vers la racine de mon sexe.
Elle fit une pause en m’adressant un sourire. Ses lèvres parcoururent la hampe. Sentir ses douces lèvres humides sur mon sexe me donna des frissons. Puis, Chantal attaqua le haut, elle glissa subtilement sa langue dans le creux de mon méat. Sensation intense.
Elle prit mon sexe et balada mon gland le long de sa bouche, de gauche à droite avec le regard fixé sur moi. Je ne pus m’empêcher de lâcher un soupir. Doucement, elle introduit mon pénis à l’intérieur de son palais. Elle avala pratiquement tout mon sexe pour le faire ressortir, puis l’aspira une seconde fois.
Ma tante était en train de me sucer royalement. Je devenais complètement fou de voir ma tante avec ses lèvres ravissantes, aspirer mon sexe, le sucer tel un joyau. Force est de constater qu’elle mettait du cur à l’ouvrage !
Elle me garda en bouche et se mit à faire des va et vient langoureux avec ses sublimes lèvres épousant toute ma verge. Sa langue vint se joindre à la partie. Je sentis à l’intérieur de sa bouche adorée sa langue festoyer avec mon gland décalotté.
Je portai un regard contemplatif sur la beauté des gestes de ma tante chérie. Elle suça mon pénis dans sa bouche admirable, elle atteignit la perfection en matière de fellation. Elle se recoiffa les cheveux puis se remit à l’ouvrage, sentant que le fruit de son travail arrivait à grand pas.
— C’est totalement fantastique mon amour ! lui dis-je dans un souffle.
Chantal releva la tête, affichant un sourire rempli de fierté. Elle me caressa les bourses avec ses mains si douces puis immobilisa son visage, mon sexe entièrement rentré en elle. Sûre de son fait, elle s’amusa uniquement avec sa langue à tournoyer autour de mon gland. J’adorai savoir mon sexe au fond de la bouche de ma tante… Chantal reprit sa fellation. Elle engloutit ma verge pour la faire ressortir et l’aspirer à nouveau.
Chantal me suçait avec la régularité d’un métronome. Je sentais ses lèvres glissant sur mon sexe, je n’en pouvais plus et Chantal me fit un sourire.
Les spasmes me secouèrent sans déranger Chantal continuant à me sucer comme une diablesse. Ma liqueur explosa dans sa bouche somptueuse, je vis ma tante avaler ce liquide puis elle se recula. J’eus une deuxième secousse, Chantal me branla tout en gardant ses lèvres proches et se prit ma semence blanchâtre dans sa belle frimousse. D’un coup de langue habile sur ses lèvres, elle en avala encore une fois. Le rêve…
Mais ma tante, loin de renoncer au reste me reprit en bouche et continua de pomper mon sexe amoureusement, tendrement. Instant merveilleux dans la vie d’un jeune homme.
Se faire sucer par une femme comme ma tante fut une sorte de consécration. La voir à 45 ans en train de sucer le jeunot que j’étais m’excita au plus haut point. Quelle était divine, belle, magique ma sublime Chantal, sur de ma mère néanmoins…
Elle me garda dans sa bouche tout en me caressant le torse. Mes derniers spasmes eurent raison de mon sexe…
— Satisfait mon neveu ?
— Que dire… Laisse-moi un peu de temps.
— Mais volontiers.
Chantal se rendit dans la salle de bain. Elle redescendit, joyeuse.
Elle se remit à genoux et se mît à caresser mon membre, peu farouche.
— Alors mon beau bébé, maman t’a fait un gros câlin ! Viens un peu me voir.
Je n’en crus pas mes yeux. Ma tante porta mon sexe à ses lèvres et se mît à lui faire des baisers. Elle décalotta mon gland et le prit en bouche. Elle le suça sans y mettre sa belle langue. Mon sexe reprit de la vigueur.
— T’es incroyable Chantal !
– C’est juste pour te redonner un peu de force mon chéri
J’invitai ma tante à s’assoir près de moi. J’allumai une nouvelle cigarette. Elle prit plusieurs bouffées. Elle vint se blottir près de moi. Nous évoquâmes un film américain avec l’actrice Kim Basinger faisant un strip-tease. Elle me demanda en quoi cela la concernait. Je lui expliquai posément que cette actrice mesurait 1m71 et 55kg. Je rappelai à ma tante qu’elle faisait 1m70 pour 54kg. Elle devina mes pensées. Elle me chuchota…
— Qu’aimerais-tu que je fasse maintenant ?
— Prends une bonne douche et redescends avec ta robe de chambre en bikini blanc et des escarpins.
— Tu m’en demandes des trucs ! C’est vraiment pour te faire plaisir…
— T’es géniale !
J’entendis le bruit de la douche. En attendant, je mis la chanson de Joe Cocker. Ma tante avait fumé et but un peu de vin. Elle avait un peu envie de se dévergondé pour notre dernier soir.
J’entendis des pas dans l’escalier, moi paisiblement installé dans le canapé. Ma tante arriva, sa robe de chambre bien ceinturée. Elle s’était remaquillée, juste ce qu’il faut sans rouge à lèvres. Elle mit ses mains sur les hanches et me lança.
— Ca va ! je plais à mon neveu ?
— Ah c’est parfait, tu vas pouvoir me faire un strip-tease !
— Mais je ne sais pas voyons…
— Laisse toi guider par ton imagination.
— Mais comment ?
— Imagine que tu as envie de me séduire ! mets-toi dans le rythme de la musique…
— Jean, d’accord je suis légèrement pompette mais là tu exagères !
— Allez ma tante chérie, fais plaisir une dernière fois à ton neveu.
— Donc je vais terminer à poil comme cette fameuse Kim Basinger ?
— Ca n’est pas une mauvaise idée… et après tu auras une belle récompense.
— Oh je devine déjà ! Bon je commence mais avant, on fume une cigarette et tu m’offres un petit Gin tonic.
— Léger le Gin tonic.
Ma tante approcha, féline à souhait, hyper sexy. Je me levai et passer à ses côtés en lui faisant un smack. Je revins avec deux verres et j’avoue avoir mis un fond de Gin et beaucoup de Schweppes (!). Sans être prude, je n’aimais guère les excès.
Sans exagérer, j’avais remarqué au bureau le regard disons, attentif, que certains collègues portaient sur ma tante. Il est vrai qu’une femme, passée la quarantaine peut être au sommet de sa beauté. Je parle pour certaines dont ma tante bien entendu.
Je n’oserai la comparer à cette actrice américaine, mais ma tante avait du répondant (!). Sans vouloir être vulgaire, elle n’était pas dégueulasse à regarder. Elle avait la chance d’avoir une poitrine moyenne, donc qui restait ferme au regard de son âge. Et puis pour le reste, la nature comme on dit, l’avait gâtée. Plus d’un type se retournait sur son passage pour jeter un bref coup d’il sur son joli derrière. Ma tante le sut très bien.
Chantal termina son verre assez rapidement et prit une dernière bouffée. Elle m’embrassa d’un seul coup.
Qu’elle sentait bon !
— Alors tu veux que je te fasse un strip-tease !
— Ah je crois que tu es prête.
— Augmente le son et éteints le lustre !
Sans me gêner, je remis la chanson au début en prenant soin d’éteindre la lumière. Heureusement, la lampe de la cuisine donna une ambiance feutrée.
Ma tante s’éclipsa en haut… et revint avec une nuisette. Je devinai qu’elle avait gardé le bikini blanc, tant son bout de tissu fut transparent. Elle avait tout prévu.
Elle prit une chaise et débuta par un déhanchement très sensuel. La musique battait son plein.
Elle se retourna, je vis son beau derrière, elle tourna la tête en m’envoyant un baiser en soufflant avec la main. Chantal posa ses mains sur les hanches, fit en tour sur elle-même. Ses cheveux se décoiffèrent au passage pour retomber sur son visage. Elle saisit une chaise et posa sa jambe. Stupéfaction !
Elle portait des bas que je n’avais vus du fait de la lumière tamisée.
Avec délicatesse, elle le fit glisser le long de son irrésistible mollet. Elle se déchaussa et fit la même chose avec son autre merveilleuse jambe. Puis elle s’assit en face de moi en se caressant les cuisses. Elle se mît debout face à moi, agita sa poitrine aguichante puis se retourna à nouveau. Les bretelles de sa nuisette se dérobèrent pour apercevoir son dos et le début de sa chute de reins.
En faisant onduler avec grâce son bassin, du bout de ses doigts, sa nuisette se trouva à terre. Elle fut désormais en bikini blanc. Est-ce utile de préciser l’état dans lequel je me trouvais ? …
Chantal me fit un clin d’il coquin. Elle fit un demi-tour et fit voler le haut de son bikini tel un lasso au-dessus de sa tête. Face à moi, jambes écartées, elle mît ses bras en croix pour protéger sa poitrine fabuleuse.
J’admirai le spectacle de ma tante. Moment inoubliable.
Chantal était dans son délire le plus fou.
Elle s’arc-bouta contre le mur, je pus admirer le profil parfait de ses seins. Admirable !
Elle pencha sa tête en arrière, se tourna pour se coller langoureusement contre le mur. Elle ondula d’une manière sexuelle son bassin avec son ventre plat. J’observai sa silhouette de profil. Rien à dire, vraiment super bien foutue ma tante (!).
Chantal se trémoussa tout en donnant sa liberté au bas de son bikini, avec l’aide de ses doigts fins. Elle se baissa de manière érotique pour le retirer.
Ma tante, totalement nue me jeta un regard rieur et me fit signe de l’index de l’approcher tout en prenant le chemin du 1er étage.
Au moment où je me levai, je fus certain que ma tante avait vu cette fameuse scè