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Marie et le sculpteur aveugle – Chapitre 5




CHAPITRE 5

QUATRIÈME SÉANCE

Je me redresse en tenant mon froc sous les regards attentifs des deux hommes qui semblent repus.

« Enlève ton pantalon et allonge toi sur le podium » m’intime Lucien.

Je m’exécute à contre cur en voyant Alain qui lorgne encore sur mon corps dénudé.  Sa queue remonte soudainement en l’air.

« Prends la pose ; On va commencer par la bouche ; Alain, approche-toi et tu vas juste rester immobile devant la bouche de Marie »

« La bouche ?? » je dis…

Mince…

Je m’allonge sur le petit podium rond et laisse tomber ma tête en arrière.

Alain présente son sexe à moitié bandé devant ma bouche que j’ouvre timidement.

« Bien, j’ai juste besoin de représenter la bouche de Marie qui est supposée englober un sexe…  Donc, si tu pouvais juste appuyer ton sexe sur les lèvres de Marie pour les écarter, ce serait parfait pour moi"

Alain a du mal à retenir sa joie et son excitation.  Au fur et à mesure que son gland s’approche de mes lèvres, son sexe se durcit…

 Lucien palpe mes lèvres… « Eh bien, est-ce qu’Alain est là ?  Tu peux enfoncer ton sexe légèrement entre ses lèvres ?  Inutile de bouger ensuite ; d’ailleurs, ne bougez plus »

J’entrouvre ma mâchoire tandis que son gland glisse entre mes lèvres forçant ma bouche à s’ouvrir et mes lèvres à s’arrondir autour du membre désormais bien bandé…

Alain respire fort et reste ainsi dans cette pose d’une immobilité insoutenable

Je sens sa mouille et des restes de sperme de son éjaculation précédente couler sur ma langue.  Il y en a tellement que je dois le nettoyer en passant ma langue sur son méat… Il trésaille !

« On ne bouge plus vous deux » fait Lucien agacé qui passe ses doigts sur tout le pourtour de ma bouche et de ma joue gonflée par l’appendice enfoncé dedans…

Je ne bouge pas et déglutis pour avaler ses jus.

 Mais dès que Lucien repart à sa sculpture, Alain pousse. Il pousse son engin plus loin…et commence à faire des aller-retours lents et profonds…. Je le regarde avec mes grands yeux de biche alors qu’il semble incroyablement excité.  Son sexe vibre dans ma bouche alors que je continue de balayer son gland de ses jus qui ne cessent d’inonder ma cavité buccale.

Je dois en avaler. Ça le transcende !

Robert qui s’est rhabillé avec de grosses taches de sperme sur sa braguette, dessine frénétiquement et en gros plan, ce sexe qui coulisse lentement dans ma bouche et déforme ma joue.  Le gout est très enivrant et je prends plaisir à resserrer mes lèvres sur sa queue turgescente. Je m’amuse à lui titiller le gland avec le bout de ma langue…pour voir.

Lucien revient et refait un passage sur mes lèvres.  Alain s’arrête immédiatement et fait de gros efforts pour rester immobile tant il ne peut se retenir de baiser ma bouche.

Il halète profondément alors que je sens son sexe saccader continuellement.  Malgré la présence des doigts de Lucien, il s’enfonce très lentement, presque imperceptiblement jusqu’à la garde !  Je sens son gland toucher ma luette !  Je manque de m’étouffer et il le ressort en grognant bizarrement.

Lucien lance « Parfait, j’ai presque fini ; vous pouvez changer de pose ; enfin, toi Marie, tu restes couchée en remontant les jambes pliées comme d’habitude et toi Alain , tu peux passer .. hum… de l’autre côté… »

Alain s’apprête à s’exécuter lorsque Robert fait "chut" de la main et lui dit de continuer de me baiser la bouche.

Sur ce, Robert se désape silencieusement et se positionne entre mes jambes, le regard vissé sur mon sexe béant…

Sa bite est à nouveau grosse et veineuse et il l’approche de mon sexe….

Alain, du coup accélère ses va-et-vient dans ma bouche alors que je continue de lui laper le gland comme une petite chatte lorsqu’il s’enfonce au plus profond de ma gorge.  Il est aux anges mais reste le plus silencieux possible.

« Bon, tu es en place ? » fait Lucien croyant s’adresser à Alain.

 « Alors, tu fais la même chose… Tu places ton sexe et l’enfonce légèrement pour forcer sa fente à s’ouvrir.  Je vais alors pouvoir le remodeler dans cette pose avec les grosses lèvres bien distendues.  Évidemment, tu restes ainsi sans bouger jusqu’à ce que j’aie fini. »

Alain et Robert ne répondent rien, mais Robert enfonce légèrement, comme demandé, la tête de son sexe entre mes grosses lèvres qui s’écartent. Il frémit de bonheur.

Lucien passe alors ses mains sur mon sexe et ses doigts tout autour pour prendre la forme de ma chatte grande ouverte en train d’être pénétrée…

Je deviens moite et excitée et remue mes hanches inconsciemment…. Tandis que le sexe de Robert me titille l’entrée du vagin, les doigts de Lucien me pelotent tout autour et ne font pas de distinguo avec mon clitoris qui subit par inadvertance ses caresses répétées.   Il grossit et durcit et je sens tout mon bas ventre prendre feu !

 Je halète difficilement, la bouche pleine de la grosse masse de chair qui me laboure de plus en plus vite !

Lucien repart à sa sculpture mais tout comme Alain, Robert, totalement exalté à l’idée de me pénétrer la chatte ne peut résister longtemps et s’enfonce jusqu’à la garde.

 Puis il ressort et finalement s’active dans de puissants et lents allers retours qu’il ne peut réfréner.  Il m’attrape mes genoux et les écarte pour mieux s’enfoncer dans mon con complètement offert… Il me pénètre de plus en plus profondément.  Je suis en feu !  Je suis prise des deux côtés et je ne vais pas trader à jouir !  Je gesticule.

C’est lorsque Lucien revient sur moi et repasse ses doigts sur le pourtour de ma chatte en massant mon gros bouton que j’explose et me convulse dans un orgasme invraisemblable !  Je gémis et me tords de plaisir alors qu’ils me défoncent silencieusement de leurs puissants coups de reins

Je jouis comme une folle pendant de longues secondes.

« Décidément… » lâche, Lucien laconique… « Il ne te faut pas grand-chose… » sans se rendre compte que je me fais littéralement labourer des deux côtés !

Mon puissant orgasme incontrôlé était la goutte qui fait déborder le vase….  Ils se mettent alors à jouir simultanément à leur tour et à éjaculer en moi deux lourds jets de sperme chaud qui envahissent mes orifices

Si Alain est discret par nature… Robert grogne un petit peu mais se pince les lèvres pour rester le plus silencieux possible.  Il souffle comme un buf.

Leur foutre épais se répand dans ma gorge et dans mon sexe au même instant et un sentiment de symbiose jouissive parfaite entre nous trois me submerge.  Je prends un plaisir incroyable et insoupçonné mais avant même que je reprenne mes esprits, Lucien lance :

« Bon, et bien tout est nickel ; Alain, tu peux remballer ton matériel et Marie, pourrais-tu m’aider à préparer les moules pour dupliquer le sexe que tu as sculpté ?  Demain, j’assemblerai tout ça. La sculpture de l’ensemble devrait être prête demain soir ; le client va être content »

« Woui Cheuf » Je fais la bouche pleine

LA PISCINE

 Robert lance à Alain « Et si on allait piquer une tête après cette longue épreuve ? »

Alain sourit et les deux se sauvent dans la piscine.

Je me relève doucement, hébétée, l’esprit en vrac, le corps repu de sexe, la bouche engorgée, un sentiment jamais connu auparavant ; Je viens de me faire pénétrer par deux hommes.  Du sperme me dégouline des mains, du visage et de ma chatte. J’ai l’air d’une trainée et un sentiment de honte me brule les joues ; mais quel pied !

Ma serviette est dehors alors je me presse d’aider Lucien et j’ai hâte, moi aussi de nager et de me laver de ses impudiques coulures…

Pendant un bon moment, je l’aide à préparer ses moules.

« Tu n’es pas très bavarde… »

Je déglutis en avalant le sperme.   

« Heu… Je réfléchissais…ces séances sont… tellement… tellement… »

« Oui ? » fait-t-il d’un air narquois.

Du coup je me retiens de lui avouer le plaisir sexuel que je prends « Heu… épuisantes »

« Vas donc te rincer dans l’eau… »

« Oui, je… je vais aller nager un peu… »

Il sait…. Il ne voit rien mais sait très bien ce qui s’est passé.  

 Comment en serait-il autrement avec cette odeur de sperme qui flotte dans l’atelier et émane de mon corps souillé. Il n’est pas dupe mais ne semble pas s’en offusquer.  Je me lève et me dirige vers la douche mais Robert qui se baigne m’invite à venir dans la piscine directement.  L’eau est tellement tentante et il fait une chaleur si écrasante ; On est tous en sueur.

Je plonge direct et nage sous l’eau quelques secondes profitant de cette merveilleuse sensation d’apesanteur aquatique et de purification corporelle et morale…

Je ressors la tête de l’eau alors qu’Alain et Robert batifolent un peu plus loin.  Robert nage vers moi.  Il est resté nu comme Alain et moi.

Alain m’observe de l’autre extrémité, ne sachant pas s’il doit venir me parler.  Il me doit des excuses ce menteur !

 Mais mon empathie naturelle me dit de faire le premier pas.  Je m’apprête à me diriger vers lui quand Robert s’approche en souriant et à l’aide de ses bras, se soulève pour s’assoir sur la margelle dans un coin de la piscine, les jambes dans l’eau mais le sexe à l’air juste à la hauteur de ma tête. Il est un peu ventripotent et sa toison blanche argenté est des plus déconcertante pour une jeune fille, mais il est encore un bel homme pour son âge.

Puis, il s’adresse à moi à voix basse comme s’il ne voulait pas qu’Alain entende. « Approche Marie, je dois te dire quelque chose »

J’hésite car son sexe est juste devant moi.  Il ne bande pas vraiment ce qui n’a rien d’étonnantaprès deux éjaculations il y a près d’une heure…  

Ma bite ressemble à une grosse saucisse à demi ramollie qui pendouille de travers en s’appuyant sur une cuisse…J’avoue que j’ai un peu de mal à le regarder dans les yeux… J’ai encore du sperme collé sur mes lèvres que j’essaye de nettoyer.

A peine suis-je près de lui qu’il me saisit les avant-bras et me tire vers lui en les posant sur ses hanches.  Il a les cuisses grandes ouvertes à l’équerre.

Je suis obligée d’avancer jusqu’à ce mes épaules s’emprisonnent entre ses cuisses et que son sexe vienne taper dans mon cou alors que je relève le menton pour ne pas me le prendre en pleine figure.  Il ne me relâche pas et je reste ainsi. Son sexe bouge et se redresse un peu au contact de ma peau et grattouille mon menton.

Je tire sur les bras pour reculer mais il resserre sa prise et me dit

« Écoute moi, Alain est fou amoureux de toi… tu l’as remarqué ? »

Je suis à la fois embarrassée par la question et par ce sexe qui s’érige de plus en plus haut et tape mon menton !

Malgré son âge, il bande encore bien après avoir éjaculé deux fois plus tôt. Je n’en reviens pas. Je recule et tourne la tête de gauche à droite pour l’éviter mais le résultat est pire ! Sans le vouloir, je lui frotte son gland qui glisse sur mes lèvres.

« Et tu sais pourquoi ?» continue-t-il imperturbablement.

Je le regarde sans répondre et deviens toute excitée au contact de cet engin qui me caresse le menton et la bouche comme une délicieuse glace qu’on agiterait juste devant la bouche…   Je me retiens de sortir la langue…

Il tire de plus en plus sur mes bras pour accentuer la pression de son sexe sur mon visage.   

Sa bite est à nouveau toute dure et grosse et quel que soit le mouvement que je fasse avec la tête, son engin se frotte sur mes lèvres malgré moi.

« Alors ? »   Insiste-t-il.  Sa question est ambiguë… je me demande s’il attend une réponse ou s’il attend que je le lèche !

    

« Je… je sais pas » dis-je en louchant de mes yeux écarquillés sur sa bite qui se balance comme un métronome et effleure mes lèvres de la douceur de la peau du prépuce entrouvert.

Quand je parle, son sexe capte le souffle de ma bouche et il se met à saccader en tapotant innocemment sur mes lèvres.  Ça m’affole complètement !

« C’est parce qu’il t’identifie à sa sur jumelle qui te ressemble »

«  Sa sur ??  Comment ça ?  Il a une sur ?  Et ils sont jumeaux ? Comment vous savez ça ? Vous la connaissez ? »

« Oui, je connais bien leur mère en fait »

« Ma logeuse ? Mme Desmoulin ? Vous êtes sorti avec leur mère ? »

« En quelque sorte… c’est une vieille histoire » répond -il évasivement.

« Sa sur est très belle, comme toi, et vous avez quelques ressemblances. Je ne l’avais pas vu depuis longtemps jusqu’à ces dernières semaines.  Je l’ai rencontrée par hasard. Elle a grandi et m’a fait penser à toi effectivement »

Mince !  C’est sa sur que j’ai aperçu dans la boutique de fleurs alors ?

Tout en discutant, son sexe se balade sur mes lèvres et inconsciemment, comme je parle, je laisse ma bouche ouverte…

Le sexe raide s’engouffre alors négligemment parfois entre mes lèvres du bout du gland au grès des balancements et parvient à toucher le bout de ma langue qui ne peut l’éviter…. Je me surprends même à la sortir un peu plus…

Alain reste dans son coin à nous mater, les mains sous l’eau à faire je ne sais quoi et sans entendre ce qu’on dit alors que j’entends Lucien déplacer les grosses sculptures dans l’atelier.

« Des jumeaux ? Ça alors, il ne m’a rien dit… il faut dire qu’il me cache beaucoup de choses… »

« Oui et tu lui fais penser à sa sur et je pense qu’il fait une fixation sur toi »

A ce moment, il donne un petit coup de rein et tire sur mes bras en même temps. Sa bite force mes lèvres à s’ouvrir et il me pénètre soudainement la bouche !

J’ai un réflexe de rejet mais elle est trop rentrée et même en reculant la tête, je ne peux pas l’expulser.  

« Ça te laisse bouche bée, hein ? »  Le coquin ! J’ouvre grand les yeux la bouche pleine sans pouvoir répondre. « Mmmmh !! »

Je me retrouve à saliver sur sa queue et à l’entourer de ma langue sans le vouloir.  Il gémit ; « Mmmm tu ne peux pas savoir quel pouvoir de séduction tu as sur les hommes et quel plaisir tu peux leur donner… »

« Vous… vous êtes un pervers mmmmpft » je bredouille la bouche pleine.

« Pervers ? Je parie que c’est Lucien qui t’a mis ça en tête… »

Il se met à enfoncer son sexe et à le ressortir de ma bouche lentement, puis à s’enfoncer dedans encore plus loin…  Je sens son prépuce se retrousser et son gland lisse et luisant se dévoiler et se lover dans ma langue.

Sa bite se vautre dedans et glisse sur toute la texture granuleuse. Il s’en sert pour son bon plaisir. Il l’utilise et se frotte le gland dessus sans même que j’ai besoin de la bouger. Il gémit à nouveau et lâche un grand soupir de plaisir. Il essaye de reprendre une contenance pour justifier son approche philosophique de la vie

« C’est une question de point de vue, moi je me considère comme un hédoniste. J’aime prendre du plaisir tout autant qu’en offrir lorsque les personnes en valent la peine, c’est à dire lorsqu’elles partagent les même plaisirs ; c’est simple et je….aaah »

Il s’étrangle et n’arrive pas à finir sa phrase car je fais soudain exprès de resserrer mes lèvres autour de sa queue en lui titillant son gland du bout de la langue à chaque pénétration pour voir s’il arrive à parler en même temps. Sa phrase inachevée me donne la réponse.

  Je lui souris alors, avec plein d’innocence et mes yeux qui papillotent tout en le fixant avec candeur.  Enfin, ma bouche doit avoir une drôle de forme pour sourire avec un bâton de chaise énorme entre les lèvresLe contraste de cette grosse bite qui coulisse entre mes lèvres pulpeuses et mon visage juvénile plein d’angélisme semble ne pas le laisser de marbre.

Il me regarde en retour avec des yeux écarquillés de stupéfaction devant mon attitude si provocatrice. Son ardeur est soudainement décuplée !

Mes jus affluent abondamment tant ça m’excite de sentir ce sexe tout dur vibrer de plaisir entre mes lèvres.  Surtout, il me tient… et le fait de ne pas pouvoir m’échapper décuple mon excitation. Mais le plus fort peut-être, c’est de découvrir ce pouvoir que j’ai de l’exciter à l’extrême par un simple regard ou sourire. Ça m’enflamme !

J’ai du mal à croire qu’un homme de son âge puisse éjaculer une troisième fois en si peu de temps mais en tout cas, il me baise de plus en plus fort et se met à haleter.  

« Oh oui, vas-y Marie, vas-y, suce moi comme si tu bouffais un eskimo, avale là, déguste là comme un fruit mûr et juteux mmmh » Son ventre arrondi se tord dans tous les sens et ses cuisses s’ouvrent et se referment sur mes épaules au rythme de ses poussées.

C’est à ce moment que je m’aperçois de la présence d’Alain…juste derrière moi.

S’il me touche, je crie !

Mais toujours debout dans l’eau, il m’enlace par la taille tendrement et m’embrasse le cou….

Je ne crie pas…

Je fonds !  J’me déteste.

Ses mains me caressent les hanches et le ventre.  Je continue de littéralement bouffer la grosse bite de Robert qu’il ressort alors complètement pour mieux la renfoncer mais juste avant de le laisser s’engouffrer, je ne peux résister à lui renvoyer un second sourire encore plus ingénu que le premier tout en agitant ma langue que je passe érotiquement sur le pourtour de mes lèvres épaisses et en clignant naïvement de mes grands yeux en amandes.

Ses yeux sont exorbités ! Alors, d’un puissant coup de rein, il s’engouffre violemment au plus profond de mon orifice ; jusqu’à la garde.

 Et se fige, tétanisé par l’orgasme, en tirant mes bras au maximum pour empaler ma tête sur son phallus affolé qui disparait dans ma gorge jusqu’aux couilles.  

Il lâche un énorme cri rauque et bafouille « Oh sasalope ! Oh putain ! oooh bon sang de salope !! »

Ses grosses cuisses tremblent ! « Aaaaahrgh »

Il explose sauvagement dans ma gorge d’un puissant jet chaud et gluant qui envahit toute ma cavité buccale et regicle sous la pression entre mes lèvres et le cylindre de chair.

Alain, chauffé à blanc par le spectacle, participe en pétrissant mes seins passionnément dont les tétons grossissent outrageusement.

Il se colle à moi et je sens sa queue en béton s’insinuer dans la raie de mes fesses. Il se frotte dedans sans vergogne !

Robert se relâche enfin et me libère les bras.  Il s’écroule en arrière sur les coudes en gémissant de satisfaction.  « Ooooh bon sang Marie…tu es incroyable »

 Je prends une grande bouffée d’air alors que je suis surexcitée et profite de mes mains de libres pour continuer de le branler et de lui masser les bourses.  Repus, il me regarde faire avec des yeux attendris et ne peut s’empêcher de lâcher quelques commentaires embarrassants qui me font rougir « Tu es née pour ça Marie ; tu à un don de la nature et on va t’apprendre à en développer tout le potentiel »

 Son engin ne cesse de dégouliner d’une bave crémeuse qui s’étale sur mes doigts. Je relève la tête et le regarde en souriant, du sperme pendouillant à la commissure de mes lèvres.  Il me caresse les cheveux tendrement. « Tu es incroyable »

Pendant ce temps, je sens le sexe dur d’Alain se frotter de plus en plus fort dans la raie de mes fesses. Ça me rend dingue, mais je suis bien décidé à le punir et à le planter là dans la plus totale frustration.

C’est à ce moment que le sculpteur nous rejoint, en sueur et éreinté d’avoir poussé ses lourdes statues.

« Voilà, terminé pour aujourd’hui »

« Viens piquer une tête Lucien, t’es en nage, ça va te faire du bien » lance Robert

« Pas de refus mais je vous préviens, je n’ai pas de maillot »

« Comme nous tous ! » rigole Robert.

Lucien nu !  Je vais enfin voir le sculpteur nu… Il enlève sa large chemise d’artiste et dénoue le nud de son pantalon en lin mais au moment où il glisse à ses pieds, Alain m’embrasse sur la bouche, me privant de la vision de Lucien à poil car j’entends un grand plouf avant que je puisse repousser Alain.

C’est alors qu’à ma grande surprise, debout dans l’eau dans les bras d’Alain, je regarde Lucien nager avec une puissance et une vitesse que je n’avais jamais vues auparavant, si ce n’est dans des meetings de natation.  Il nage comme un Dieu et laisse derrière lui un long sillage d’écume qui se creuse dans une belle courbe.  C’est un véritable athlète et mes yeux restent rivés sur lui alors qu’Alain en profite pour me peloter de partout !

Il est dans un état d’excitation indescriptible et passe ses mains frénétiquement sur tout mon corps en s’attardant sur mes tétons dressés et entre mes cuisses.   Je n’ai pas la force de le repousser tant il semble prendre un plaisir incroyable et que je sens moi-même une vague de chaleur envahir mon corps et mon esprit.

Mon regard est scotché sur le rythme effréné des longueurs de bassin que Lucien couvre et sur ses fesses musclées qui émergent à chaque retournement en bout de bassin.  Il effectue ses revirements avec une telle élégance et précision que je me demande comment il sait à quel moment il doit faire sa volte-face.  Il doit compter dans sa tête…

« Il a été champion d’université quand il était jeune » lance Robert.

« Mais… » Je me surprends à répondre d’une voix rauque et je me reprends comme je peux alors qu’Alain me masturbe carrément sous l’eau.

« Mais… il ne nage jamais » je balbutie en respirant fortement

« Ah si tous les jours, mais au lever du soleil »

C’est pour ça… à l’heure où j’émerge, je n’ai encore jamais vu de levé de soleil ici !  Moi qui croyait que la piscine ne servait qu’à la décoration…

Si j’avais su… je serais venu l’espionner pour le voir nager nu…car ça vaut le spectacle.   L’effet de l’eau transparente qui coule le long des courbes de ses fesses fermes n’est pas le spectacle le plus repoussant que j’ai vu !

Mais mes pensées sont interrompues par l’ardeur à laquelle Alain s’attache à me faire jouir ! Il plonge et me lèche sous l’eau ! Puis le temps de ressortir pour prendre sa respiration, il reprend ses attouchements avant de replonger pour me sucer mon clito. C’est lorsque Robert descend de la margelle pour m’enlacer et m’embrasser les seins à son tour que je me sens partir ; et quand il me passe une main sous l’eau dans la raie des fesses jusqu’à pousser deux doigts dans ma chatte désormais assaillie des deux côtés, je n’ai pas le temps de comprendre que je me mets à me convulser sous les ondes de plaisir qui me submergent d’un coup et me prend par surprise !

Sous les yeux amusés de Robert, Alain me retient de ne pas couler alors que je jouis entre leurs mains qui continuent de me masturber doucement.  Je m’écroule dans leurs bras et Alain en profite pour coller sa bouche sur la mienne pour m’embrasser passionnément en poussant son sexe turgescent entre mes cuisses encore tremblantes de jouissance.

Il veut clairement me baiser maintenant. Mais c’est l’heure de sa punition et je me dégage de son étreinte pour regagner l’échelle que je monte en tortillant bien mon cul exprès pour qu’il voit bien ce qu’il loupe !  Il reste dans l’eau pantois à me regarder sans comprendre.

Je chope une serviette, salue tout le monde et m’éclipse en regardant mes trois hommes nus dans la piscine, Lucien ne s’apercevant pas de mon départ, trop absorbé à faire ses longueurs dans une indifférence déconcertante.

Ce soir de canicule, je prends une longue douche froide chez moi pour me laver de tout le sperme que ces deux hommes ont vidé sur et en moi….

Je réfléchis sous le jet d’eau régénérateur et me dis que demain, je dois éclaircir les choses avec Alain. J’espère qu’il va passer me voir d’autant que j’ai plus de provisions. 

Je réalise aussi avec quelle facilité je fais jouir les hommes et j’avoue que ce nouveau pouvoir que j’essaye d’apprivoiser m’exalte.  Je repense à ses yeux exorbités et sa queue désespérée quand je suis grimpée à l’échelle en arrondissant mon cul à l’extrême.  Je rigole mais ne suis pas trop fière quand même.

Je réfléchis encore et me rends compte que la vie ne doit pas être très facile pour lui.

 Avec son handicap, ce ne doit pas être aisé de trouver une petite copine.  Tandis que moi…. J’ai tout.  J’ai tout ce qu’il faut pour mettre les hommes à mes pieds apparemment.

Je me mets à culpabiliseret je m’en veux de l’avoir laissé dans cet état.

Puis, après un repas léger, je me couche, toute fraiche sur les draps propres, mon corps nu illuminé par les rayons de la lune qui pénètrent ma chambre au travers des volets entrouverts.

Je jette un dernier coup d’il à mon nouveau sexe imberbe que je rase au plus près tous les jours. Il luit doucement sous la lueur céleste et ses courbes rebondies jouent de tout leur relief avec les ombres de ses replis. C’est sur cette jolie vision érotique, que je ferme les yeux et m’endors dans un souffle.

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A L’HÔTEL

Dans la chambre d’hôtel, il fait nuit noire.  J’ai allumé un lampadaire qui éclaire Marie, toujours assise sur son fauteuil.  Elle fait une pause et boit un grand verre d’eau.

Je reste dans la pénombre de la pièce, avec juste une liseuse pour voir mes notes.

"Tout va bien » ?   Je demande en rajustant mon assise.

"Oui, oui, c’est juste que de me remémorer ces éventements me donnent des… des bouffées de chaleur !" réponds-t elle embarrassée.

« Vous voulez que j’ouvre la fenêtre ?"

"Non, non, le bruit de la rue va nous gêner"

Elle retire la veste de son tailleur qui découvre un corsage suffisamment transparent pour qu’on devine le soutien-gorge qui enveloppe sa belle poitrine opulente.

"On continue ?" demande-t-elle.

"C’est vous qui décidez Marie; jusque-là, c’est tellement prenant que j’admets être impatient de connaitre la suite"

Je rajuste un peu ma position car mon sexe est à l’étroit et je ressens quelques douleurs inconfortables. Je me gratte la gorge.

Elle sourit timidement et reprend.  

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L’EXTASE DU PROF

A ce moment de mon séjour, je me posais un tas de questions, comme le rapport à la moralité.  Est-ce que cette situation était normale ?  Cette relation avec plusieurs hommes ?  Je n’avais aucune expérience de ce genre et n’avais jamais imaginé que ça puisse exister.  Tout ce que je savais, c’est que je me sentais « bien ». Et que pour rien au monde je n’aurais repris ma vie d’avant.

Je repense à ce que m’a dit Robert aussi : « On va t’apprendre à développer ton potentiel ! »

« On ». L’idée que ces messieurs veuillent m’enseigner l’Art de baiser ou peut-être juste l’Érotisme, ou d’augmenter la puissance de mes orgasmes ? De quoi parlait-il exactement ? Ces propos me troublent au plus haut point.

Et quand je vois l’effet que mon corps produit sur eux, je me demande : mais qui manipule qui ?  Et tout cas, c’est gagnant-gagnant.

Le lendemain, je ne sais plus quel jour c’était, mais je m’en souviens comme si c’était hier parce que c’était une journée très particulière.

Elle avait pourtant mal commencée ; dans une sale ambiance.

Lorsque, comme chaque midi je passe la haie uniquement revêtue du Marcel trop grand pour entrer chez le sculpteur, celui-ci m’apostrophe et semble contrarié.  Mince, qu’est-ce que j’ai fait…

« Viens voir »

Je le suis comme un petit toutou inquiet…

« Regarde ça… »

Je découvre alors les quatre sexes qu’il a dupliqué et qui sont cassés en petits morceaux.

« Mince, qu’est-ce qui s’est passé » je demande désolée.

« J’ai été trop vite, je ne les ai pas assez évidés et voilà le résultat à la sortie du four »

« Et l’acheteur vient demain… »

« On peut pas les recoller ? »  Il me lance un regard noir.

«Ben, j’essaye d’aider… autrement, il faut recommencer »

« Oui mais Alain n’est pas libre.  Il est au chevet de sa mère »

« Ben y’a votre frè… » je m’arrête net.  J’allais dire une grosse bêtise en suggérant Robert !

« Qui donc ? »

« Non, rien… »

« Y’aurait bien mon frère… »

« Ah ben oui, ça c’est une idée ! Je n’y aurais pas penséIl serait trop content j’suis sûre…Appelez le »

Il rentre pour téléphoner et revient un instant plus tard.

« C’est bon, il passera dans la soirée.  Tu pourras être là ? »

« Bien sûr ; Bon, faut vous décontracter.  Et si on finissait votre sculpture en attendant ? ça vous changerait les idées »

Les sourcils froncés, il continue de réfléchir sans répondre.

« Allez, venez… je travaille plus vite maintenant vous savez ? »

« Oui, j’ai remarqué.   Bon, d’accord, allons-y »

On regagne l’atelier et installons le matériel.

« On a déjà la tête, les épaules, le buste.  On va faire le bassin à part et j’assemblerai tout ça après. »

« Ok Boss, j’suis prête » dis-je comme un petit moussaillon à son capitaine.

 Un moussaillon parce que j’ai trouvé une casquette de marin que je me suis mise sur la tête.

Je l’ai trouvé sympa et ça me donne un petit air masculin.  En plus du Marcel et de mes cheveux courts.

Enfin, y’a que moi pour l’apprécier…

Il se déshabille…  Je déglutis et admire son corps viril et musclé.  En fait, à part la tête carrée, il ressemble au David de Michel-Ange.

Il se positionne debout face à moi, assise sur mon tabouret, mais il garde son caleçon…

« Heu… je dois bien faire le bassin, n’est-ce pas ? »

« Il faudra te débrouiller avec ça » me réplique-t-il.

Je grommelle « Ben oui, mais bon… »

 En plus, je rêvais déjà de mettre mes mains partout…

Du coup, je fais ce qu’il me dit …du moins au début parce que le caleçon commence vraiment à m’entraver dans mes introspections et je mets de la glaise partout.

Pour le derrière, je cherche à reproduire fidèlement le bas des fesses, alors je glisse timidement mes doigts sous le caleçon ; d’un geste purement professionnel évidemment.

Il ne bronche pas alors je remonte plus loin et englobe toutes ses fesses puissantes et musclées.  J’adore ça mais reviens vite sur ma sculpture qui prend une belle forme plus que correcte.

En fait, j’ai fini… enfin, sauf le devant.  Alors j’y vais doucement lorsque je m’aperçois que sa bosse est plus gonflée qu’au début…

Est-ce que mes palpations des fesses ne l’auraient pas laissé de marbre ?

Je commence à passer mes mains sur le devant en épousant la forme…les formes et reproduis ainsi cette…bosse bien arrondie…

Mais quand je reviens sur le Prof, elle a encore grossi !  Je palpe pour appréhender le nouveau "volume" et rajoute de la matière à ma statue.

Je vérifie à nouveau et constate que le caleçon est carrément en forme de tente !!

Je ne vais quand même pas reproduire ça !  J’ai envie de lui dire pour plaisanter que je ne vais pas avoir assez de glaise, mais je me retiens et rigole toute seule intérieurement.

Du coup, à cause de l’érection, comme le caleçon présente de belles échancrures de chaque côté, j’en profite pour passer mes doigts afin de peaufiner les plis des hauts de cuisses… puis de l’aine… mes doigts effleurent ses bourses et la sensation doit l’électrifier car son membre est pris de petites secousses et est sur le point de percer la braguette fermée par un seul petit bouton…

Je sculpte les plis des cuisses et retourne à ma "statue" vivante et bien vigoureuse…

Je pose mes mains ouvertes sur les cuisses et remonte doucement, les pouces ouverts…Je passe sous le caleçon à nouveau mais cette fois, mes pouces viennent buter sur ses bourses…  Il tressaille.  J’aventure mes doigts plus haut…jusqu’à sa toison et rejoints mes mains à plats autour de son sexe…

Il grogne un peu alors que sa grosse verge trépigne et pousse comme une folle sur la toile fine du caleçon, cherchant désespérant une sortie pour se déployer de toute sa beauté érectile.

Je meurs d’envie de la voir …

« Heu…Prof. je me demandais… »

« Quoi donc » fait-t-il dans un soupir rauque.

« Eh bien, vu votre état, ce serait peut-être une occasion de refaire les sexes ratés ? »  Tout en disant ça d’une petite voie timide, je caresse la grosse verge toute gonflée et dure, pliée en deux à l’intérieur du caleçon…  L’attouchement direct sur sa verge le fait flageoler…

Il souffle mais ne réponds rien, la tête droite, imperturbable.

« J’dis ça, j’dis rien »

Au travers du tissu, je malaxe le sexe doucement en espérant une réponse qui ne viendra jamais.    Il n’acquiesce pas mais ne fait rien pour se soustraire non plus.

Alors, n’y tenant plus, je déboutonne le petit bouton qui sous la tension, est sur le point de sauter.   Immédiatement, la chaire du coude de sa verge pliée apparait au travers de la braguette ouverte dans un bel ovale…

Je baisse légèrement le caleçon pour que la fente de la braguette se place devant son gland et lorsque l’ouverture est au niveau du gland, soudain…l’engin explose littéralement du caleçon, sous mes grands yeux ébahis !

Elle est épaisse et veineuse comme celle de Robert et continue de se tendre en faisant de petits soubresauts.

 Maladroitement, car troublée, je prends un autre bloc de glaise et mets grossièrement en forme le phallus en érection.  

Je reviens sur son sexe et en appréhende ses formes généralesje le fais glisser dans ma main en fourreau.  Il s’allonge encore comme une belle saucisse dure à cur et tendre en surface !

Je me rassois et sculpte le plus vite possible pour ne pas laisser son sexe en rade trop longtemps.  

Je décide de sculpter d’une main et de l’autre je passe et repasse mes doigts dessus sur sa queue en comparant constamment la forme…. Je commence à avoir l’habitude maintenant !

Je dégage ses grosses bourse lourdes du caleçon et lui pelote "techniquement".  Je les sculpte rapidement d’une main tout en les malaxant de l’autre, puis reviens sur le membre tellement bandé, qu’il se courbe vers le plafond…Il dégouline d’un filet de mouille…

Je n’arrive cependant pas à bien coordonner mes mouvements.  C’est comme si on voulait dessiner un carré de la main gauche et un cercle de la main droite !  Alors je me concentre sur la sculpture en premier et je ne fais plus attention à mon autre main qui ne le palpe plus mais le branle inconsciemment par inadvertance !

Il respire lourdement et trépigne sur ses jambes.  «  T’en a encore pour longtemps » me dit-il d’une voix bizarre et en cherchant à s’appuyer sur quelque chose.

Mais je suis tellement concentré et pressée de finir pour le libérer que je réponds distraitement «  Oui, oui, encore un peu de patience »

J’ai fini le gros boudin et les veines mais je dois encore peaufiner le gland qui est à peine dégrossi.

J’abandonne ma sculpture un instant pour revenir sur la matière vivante… je ne me suis pas aperçue que, distraite, avec les mouvements saccadés de ma main, j’avais tiré le prépuce en arrière par mégarde et décalotté le gland Ça tombe bien pour le sculpter, mais je ne peux m’empêcher de prendre un instant pour le reluquer avec de grands yeux admiratifs ; il est magnifiquement rosé et luisant de mouille.

  Je balbutie des excuses car je dois maintenant toucher le gland…

Je le prends dans mes doigts pour en percevoir tous les détours et les courbes si lisses…

Ce faisant, mes doigts passent et repassent tout autour, le long de la couronne et d’une main je reproduis fidèlement la forme dans la glaise alors que l’autre continue d’emprisonner le gland avec de petits mouvements tournoyants. Ma paume frotte partout.

Puis, je passe mon index dans tous les recoins ce qui étale sa mouille et m’attarde en particulier sur la couronne et le frein, à l’arrière du gland qui est assez technique à reproduire;  Je fais glisser et re-glisser le bout de mon index sur cette petite partie sans prêter attention à mon sculpteur qui est en fait au bord de l’orgasme !

Enfin, je me repositionne juste en face de son sexe pour m’assurer que mes proportions sont bonnes également sous cet angle.

Je regarde fixement le gland et son méat grand ouvert que je reproduis avec un zèle de bonne petite étudiante studieuse.

Je suis tellement concentrée que je ne vois pas qu’il est cramoisi ! Il fait des efforts invraisemblables pour se retenir de jouir et se contorsionne douloureusement sans que j’y prête attention. Il trouve le trapèze auquel il s’accroche fermement des deux mains pour maintenir son équilibre.

« Marie…Marie ! »  Fait-t-il d’une voix angoissée.

« Oui ? Quoi encore ? » Je fais distraitement, concentrée, les sourcils froncés, car je suis sur le point d’achever mon superbe travail. 

Je l’abandonne à ce moment-là sans état d’âme et je prends alors la sculpture terminée dans mes mains.  Les bourses dans la main gauche et le membre énorme dans la main droite.  Je regarde mon beau phallus de glaise sous tous les angles et souris au vu de l’excellent résultat.

Je ne suis pas peu fière !

 Puis, je fais de même avec le Prof pour une ultime vérification…

Je prends ses bourses dans ma main gauche que je soupèse et malaxe tout en attrapant son sexe turgescent dans ma petite main droite en forme de fourreau et le fais coulisser pour voir si les proportions sont bien respectéesjusqu’au gland que j’emprisonne entre mes doigts en frottant le frein pour m’assurer qu’il est fidèle à ma sculpture.

Concentrée sur mes dernières petites touches, je ne me rends pas compte qu’il a atteint le point de non-retour.   

« Vous vouliez me dire quelque chose ? »

En guise de réponse, il se met à grogner et refréner comme il peut un râle guttural et soudain….une monumentale décharge de foutre chaud s’écrase lourdement en plein dans ma figure !!

Surprise, j’ai mouvement de recul mais ne lâche pas le sexe qui vibre et branle de toute sa carcasse et que je continue de  faire coulisser par automatisme.

Dans un spasme incontrôlé, agrippé à son trapèze, il pousse son bassin en avant et son sexe me touche presque le visage pour me cracher une seconde large trainée de purée crémeuse qui zèbre ma bouche jusqu’à ma casquette de marin en me bouchant une narine au passage.

« Ooooh ! » Je fais autant surprise par son orgasme imprévu que par la quantité de sperme qu’il éjacule.

 Il grogne et vacille sur ses puissantes jambes en criant «  Nooon… »  Il est tout rouge de l’effort qu’il a fait pour se retenir mais c’est trop tard et sa verge continue d’expulser de longues salves plâtreuses à n’en plus finir comme s’il n’avait pas éjaculé depuis des années…

Ce qui est sans doute le cas

Consciente soudainement de ce moment exceptionnel, je l’accompagne en prenant son sexe à deux mains que j’astique en longs et lents mouvements, la paume de ma main droite frottant agréablement sur son gland visqueux et ma main gauche emprisonnant ses couilles de taureaux en train de se vider.

Il jouit à n’en plus finir, sa bite vomissant le reste de sa semence gluante sur ma poitrine et mon T-shirt.  Je suis maculée d’un épais tapis de zébrures et glaviots de sperme de la casquette jusqu’au nombril.

« Tu… tu as fini ? » me demande-t-il dans un souffle.

« Et vous ?? » je rétorque médusée mais amusée ; mais je me reprends immédiatement

« Heu… oui Prof, je crois que vous allez être content »

« Excuse-moi… » ajoute-t-il en se rhabillant.

« Vous excusez ?  Vous excusez de quoi ? Vous n’êtes pas le premier à qui ça arrive et vous ne serez pas le dernier ; Vu ma technique si particulière, c’est une réaction complètement naturelle et vous n’avez pas à en rougir… »  Je lui rétorque mot pour mot ce qu’il m’avait dit avec un petit sourire de moussaillon ayant bien rempli sa mission et en rajustant ma casquette de Capitaine d’où pendouille un gros morceau de sperme qui me fait loucher.

Il sourit sans rien dire.  Je suis assez contente de lui renvoyer sa belle formule !

J’ai marqué un point on dirait.  « Maintenant, vous comprenez mieux ce que peuvent ressentir vos modèles quand vous les… palpez ? »

« Tu m’as pris à mon propre jeu.  Bravo. J’avoue que c’est une bonne expérience… »

Il remet son caleçon avec difficulté, son engin n’ayant pas encore recouvré sa taille au repos. Puis, il reprend vite ses esprits.

« Bon, fait moi voir ce que tu as fait ; je dois la dupliquer, les évider et les mettre au four au plus vite pour les coller sur les statues avant l’arrivée du client »

Puis, il me regarde en posant sa main sur mon épaule nue, sans me voir bien sûr, mais je peux lire une grande émotion de tendresse sur son visage d’habitude si froid et rigoureux.

« Merci Marie… tu as mérité un bon bain, allez va te détendre et… te nettoyer je suppose ? »

« Ça oui, un bon nettoyage s’impose ; vous voulez que je vous essuie ? … » Dis-je d’une voix d’ange.

« Non, occupe-toi de tes vêtements »

« Oui, et de ma figure ! »

 Je dois avoir re&cced

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