VISITE A UNE HONNÊTE FAMILLE (SUITE)

Luc reprend place à coté dAndré ravi de ce quil interprète comme un encouragement. Odile et Martine se serrent lune contre lautre au milieu du canapé pour permettre aux deux garçons de sasseoir. Comme à la fin de la première mi-temps, Jean glisse la main sous le tissu du chemisier. La jeune femme frémit mais ne contrarie pas la progression. Ce nest que lorsque la paume enveloppe le mamelon quelle murmure :

— Sil vous plait, pas devant mon mari.

— Si vous ne bougez pas, il sapercevra de rien, rétorque Jean à mi-voix sans ôter la main.

— Oh ! Vous navez pas honte ?

Malgré sa révolte de façade, elle tourne le buste pour faciliter la caresse et grogne de plaisir quand les doigts triturent le téton. Elle efface dun froncement du nez le faible remord qui leffleure. Son mari, dont la main sapproche sournoisement de la bosse du sexe de Luc, est mal placé pour lui reprocher sa conduite. Elle peut soctroyer ce petit plaisir, André navait quà pas la délaisser ces derniers temps.

Marc se bat avec la jupe de Martine et tente, sans succès au début, de passer dessous. Ah ! Enfin ! Il touche la peau satinée et remonte le long de la cuisse. La jeune fille ne bloque la main que lorsque les doigts tentent de glisser sous la culotte. Ce nest pas lenvie qui lui manque, mais la proximité des parents lempêche de se laisser aller. Un mouvement du chemisier dOdile lalerte. Jean pelote la poitrine de sa mère qui ne fait rien pour lempêcher ! Et devant son père en plus ! Un regard vers celui-ci accroit létonnement de la jeune fille : André caresse le sexe de Luc par dessus le pantalon. Oh mais ça change tout ! Puisque ses parents donnent lexemple pourquoi se priver ? Quelle meilleure occasion de vérifier si les garçons caressent aussi bien quIngrid ! Elle écarte un peu les cuisses ce dont Marc profite sur le champ.

La poitrine de sa femme et la vertu de sa fille ne sont pas les préoccupations actuelles de lavocat. Que ne donnerait-il pas pour isoler Luc ! Il rêve quà la fin du match les copains sen vont et que le garçon reste. Il enverrait Odile et sa fille se coucher prétextant lexamen de cas décole et là Un gros soupir soulève sa poitrine. Un coup dil à lautre canapé, tous semblent fascinés par le match. Placé comme il est, en léger retrait par rapport à sa femme, ses faits et gestes passeront inaperçus pourvu quil reste discret. A travers le tissu du pantalon, il empoigne la verge dont il éprouve la raideur. Sil osait, il ouvrirait la braguette et introduirait les doigts

En se levant, Martine le surprend. La main sur le sexe convoité, il nose bouger de peur dattirer lattention.

— Où vas-tu ? interroge Odile.

— Je reviens tout de suite Maman.

Elle sort sans un regard à son père. Celui-ci se persuade que ni sa fille ni sa femme nont remarqué son geste et reprend la caresse interrompue. Cela fait sourire Marc : Quoiquen dise son copain, cest mal parti pour venger les stagiaires, cest plutôt lavocat qui va faire une victime de plus ! Ma foi si ça plait à Luc cest son problème, il ne le savait pas de lautre bord. Lui, il se contentera de la fille qui, il en est sûr, ne le laissera pas tomber.

Jean met le nez entre les seins. Odile lattire contre elle.

— Non pas ça !

Lexclamation dAndré les fait sursauter. Ils sécartent avec confusion, la tête tournée vers lautre canapé. Un même soupir de soulagement sexhale de leurs lèvres. Lavocat sadresse à Luc et non à eux. Odile ne voit pas très bien ce quils font mais comprend que les événements ne se déroulent pas comme le souhaite son mari. Il a trouvé son maître et pour une fois, ne dominera pas. Elle en éprouve une intense satisfaction. Cest le moment den profiter ! Elle presse la figure de Jean contre sa poitrine. Le garçon happe un téton et le suce la faisant gémir de plaisir : il y a longtemps quon ne lui avait pas caressé les seins de la sorte !

Sur le canapé deux places, la situation a changé. André à qui lapparente docilité de Luc fait perdre toute mesure, a tenté douvrir la braguette pour prendre le sexe entre les doigts. A sa grande surprise, le garçon, au lieu de profiter de laubaine, a écarté la main et dégrafé la ceinture de lavocat déclenchant lexclamation. Loin de se laisse intimider, le jeune homme insiste et commence à ouvrir le pantalon. Sa brusque détermination laisse André pantois et désemparé. Il contemple comme si cela ne le concernait pas la fermeture éclair coulisser et une main décidée sengouffrer dans louverture. Un soupir qui mêle frustration et plaisir séchappe de ses lèvres lorsque les doigts empoignent la verge.

Luc indifférent aux états dâme de lavocat dégage la queue de sa gangue de tissu. André jette un coup dil affolé autour de lui. Personne ne semble remarquer ce que fait le garçon, ce nest pas le moment dattirer lattention. Il enrage que sa femme se fasse peloter par ce godelureau, il est vexé de subir ce quil voulait imposer mais la caresse de Luc lui ôte toute velléité de rébellion. Avec un soupir, véritable aveu de défaite aux oreilles de son tourmenteur, il se tourne à moitié pour se cacher de lautre canapé.

Martine reprend place. Elle soulève haut la jupe pour sasseoir. Marc déchiffre le message et pose tout de suite la main sur la cuisse avant que le tissu ne retombe. Il étouffe un cri de surprise en découvrant la moiteur du sexe nu. La coquine a quitté sa culotte ! Il na plus de crainte pour la suite de la soirée ! Il mordille loreille tout en introduisant un index fureteur.

— Aaah !

— Quest-ce que tu as ma fille ? interroge Odile.

— Ri Rien.

Elle avance sur le siège pour faciliter la caresse. Encouragé Marc ajoute un deuxième doigt que la jeune chatte absorbe sans difficulté.

A coté, Jean ouvre le corsage dOdile et embrasse et patouille tour à tour les deux seins. La jeune femme veut le remercier. Sa main part à la recherche du sexe du garçon. Elle est étonnée de trouver la braguette ouverte: Jean avait discrètement pris cette précaution. Après une seconde dhésitation, elle farfouille et referme la paume sur un barreau de chair ferme et tendre à la fois.

Luc enveloppe la verge de ses doigts et décalotte le gland. André retient un gémissement. Il regarde le bout du sexe émerger du poing comme si ce nétait pas le sien. Le méat en souvrant semble lui sourire. « Est-ce que mon sexe ressemble à ça quand il entre dans le cul de Joseph ? » Il rougit de cette pensée. Il nen revient toujours pas de tolérer la caresse. Cest lui qui devrait la faire ! Il na pas la force de se rebeller et ferme les yeux pour emprisonner le plaisir qui envahit son bas ventre.

Odile réprime un hoquet de surprise en découvrant que Luc masturbe son époux (« Comment André ose-t-il ? Devant moi et sa fille en plus ? »). Elle rougit : Et elle ? Que fait-elle en ce moment ? Le parallèle de leur situation la fait ricaner. Le mari et la femme caressés par des étrangers lun devant lautre ! Jusquoù leurs visiteurs les mèneront-ils ? Tel que cest parti, on peut tout imaginer. Elle espère que la présence de Martine à leurs cotés empêchera André daller trop loin. Elle, elle ne sait pas si elle en aura la force

Un mouvement de la jupe de sa fille lalerte. Que lui fait le garçon ? Serait-elle aussi victime des jeunes gens ? Victime ? Elle nen donne pas limpression, les yeux fermés, un rictus aux lèvres savourant la caresse. Quelle honte ! Odile va réagir mais un suçon plus appuyé de Jean brouille son sens moral. Martine est majeure à présent. Si sa fille ne se défend pas elle na plus à le faire à sa place se convainc-t-elle. A présent, ni elle ni son mari ne sont responsables de ses faits et gestes et à son âge elle avait déjà découvert le plaisir. Puis, si elle fait du scandale, quelle sera lattitude dAndré ? Peut-être renverra-t-il les garçons la privant dune douce caresse sur la poitrine. Elle appuie la figure de Jean contre son sein, succombant aux baisers avec un délicieux sentiment de culpabilité.

Marc samuse à titiller du pouce le petit clitoris.

— Aa-ah ! Ou-ouiii !

— Quest-ce que tu as ma fille ? interroge son père.

— Ri-rien. Oh ! Regarde ! Il va marquer ! Non Si ! Ouiiii !

— GOOOL ! crie Odile ravie.

— Ce Ce nest que jus Justice, bafouille André sous la caresse de Luc. Ça fait un moment que la France domine.

Odile a compris que Marc est responsable de lémotion de sa fille. Elle est persuadée maintenant que rien narrêtera les garçons. Comment cela va-t-il finir ? Une baise collective ? Elle sera incapable de sy opposer. Pourvu quelle y prenne du plaisir

— Il faut marquer le coup, décide Luc.

Il fait lever André. Surpris, celui-ci na pas lidée de retenir son pantalon qui glisse sur les chevilles.

— Pourquoi cesses-tu la care Euh Je veux voir la suite du match, corrige-t-il vexé de son aveu.

— Mais oui, mais oui, sois tranquille Marc, sil te plait, aide moi.

Le garçon abandonne un instant la jeune fille.

— On tourne le canapé dans lautre sens.

— Mais je ne verrai plus rien ! sinquiète lavocat.

Il est trop perturbé pour se réajuster. Les yeux de Martine sagrandissent en apercevant le gland violacé émerger du slip, mais elle sabstient démettre une remarque.

— Mais si tu verras, le calme Luc.

— Je ne comprends pas.

— Tu comprendras Viens ici.

Mâté, André obéit. Luc le force à sagenouiller sur le canapé les bras sur le dossier. Il ne rouspète même pas lorsque Luc le débarrasse du pantalon et du slip. Il devine ce qui lattend : Luc va le sodomiser, il subira ce quil rêvait dinfliger. Cette constatation au lieu de leffrayer le soulage. Il va enfin découvrir ce que ressent Joseph. Ce ne doit pas être si terrible puisque le stagiaire le réclame à chaque occasion. La seule chose qui le tracasse cest que sa femme et sa fille assistent mais cest insuffisant à le faire fuir. Il est satisfait de la nouvelle disposition du canapé qui leur cache ses fesses nues. Cela nempêche pas Odile de juger de la situation.

— Il va se faire enculer mon mari ?

Jean lève la tête de la poitrine. La position de lavocat est sans équivoque.

— Cen men a tout lair. Ça te gêne ?

— Euh No-non Non ! Pas du tout ! Oh ! Que fais-tu ?

Le garçon ôte le chemisier des épaules de la jeune femme. Elle se défend sans conviction.

— Sil te plaît, mon mari peut voir.

— Toccupe ! Il a dautres préoccupations.

Martine na pas le temps de se poser des questions sur la tenue de ses parents car Luc linterpelle.

— Martine mon chou, viens tagenouiller à coté de ton père.

Marc sourit : en avant pour la baise finale ! La jeune fille sinstalle. Elle échange avec André un sourire qui réchauffe le cur de lavocat. Toute honte bue, malgré sa position humiliante, il est heureux quelle soit là, à ses cotés, comme elle aurait du lêtre dans la salle de bain il y a deux mois Cela lui donne le courage de tenter dinfléchir ses tortionnaires.

— Que nous voulez-vous ?

— Ten as pas une petite idée ? rétorque Luc.

— Oh ! Pas ma fille, je vous en supplie. Elle est vierge. Pitié !

— Cette blague !

— Elle nest jamais sortie avec un garçon, approuve Odile. Nest-ce pas Martine ?

— Ça métonnerait, intervient Marc que ses investigations digitales ont renseigné.

Martine prend la main de son père.

— Euh Papa Jai joué avec Ingrid.

— Drôle de nom pour un mec !

— Cest notre fille au pair, renseigne André. Quest-ce que vous faites toutes les deux ?

— Elle ma montré avec un god Euh Un jouet en plastique.

— Quelle honte ! Je vais la renvoyer celle-là !

Luc glisse la main entre les fesses.

— Hé ! Oh ! Vous règlerez vos problèmes domestiques plus tard, quand nous serons partis. On a autre chose à faire.

Marc soulève la jupe sur les hanches dévoilant le postérieur. Un cul bien proportionné, ferme et doux à la fois, pas trop volumineux, comme il les aime.

— Il ne va pas lui faire du mal ? sinquiète Odile.

— Marc est un vrai gentleman, tu peux lui faire confiance, rétorque Jean qui sest déshabillé entre temps.

Il promène le gland sur les tétons tout fripés.

— Jaimerais te faire lamour entre les seins, tu veux bien ?

— Tu veux jouir sur ma poitrine ?

— Oui, rien ne me ferait plus plaisir.

— Je Je lai jamais fait, murmure-t-elle.

— Tu verras ce nest pas difficile.

Il la fait sasseoir sur les talons les jambes serrées et sinstalle à califourchon sur les cuisses, le bas ventre à hauteur de la poitrine.

— Tu vois la télévision comme ça ?

— Oui, je peux suivre le match. Comment faut-il faire ?

— Je place ma queue entre tes seins Là tu vois ? Maintenant serre tes nichons lun contre lautre Oui Aah !

Jean pistonne plusieurs coups.

— Ça va ? sinquiète-t-il.

— Oui, mais toi tu ne vois rien.

— Aucun problème, le spectacle que jai sous les yeux compense largement.

Marc extrait de sa poche deux préservatifs avant de quitter son jeans. Il en tend un à Luc. Les deux garçons recouvrent leur verge puis grimpent ensemble sur le canapé qui gémit sous le poids supplémentaire.

— Écarte les cuisses et pointe ton cul Allez ! ordonne Luc.

Lhomme hésite. Ils sont tous les trois victimes de jeunes débauchés sans scrupule qui vont abuser deux. Son rôle de père de famille exigerait quil prenne la défense de sa femme et de sa fille. Mais il nen a plus la force. Cest au début quil fallait se manifester, pas maintenant quand il est trop tard, se justifie-t-il pour excuser sa faiblesse. En plus aucune ne réclame de laide. Avec un soupir à fendre lâme, il obéit à son tourmenteur. Un gémissement de plaisir en provenance de lautre canapé lui fait tourner la tête vers sa femme mais Martine et Marc lui bouchent la vue. Quest-ce que lautre énergumène fait à Odile ? Elle na pas lair de se plaindre, ni sa fille à coté de lui.

Luc introduit le doigt.

— Meuhhh ! gémit sa victime.

— Cesse de faire landouille, je te fais pas mal !

— Ne me faites pas mal non plus, quémande Martine à qui Marc caresse le sexe entre les jambes écartées.

— Mais non ma jolie, mais non.

— Pas dans le cul, dites, vous promettez ?

— Cest ton joli petit con que je vais baiser, tes daccord ?

Ces paroles font mal à André, les gémissements provenant du canapé voisin aussi. Il se traite de lâche mais ne réagit pas. Tout son être, toute son énergie est accaparée par le doigt qui va et vient dans son cul. Oh ! Il sen va ! André regarde derrière lui : Luc prépare sa pine.

— Marc, prête-moi de la mouille, rien de tel pour lubrifier.

Celui-ci introduit le doigt dans le vagin et tourne pour lenduire sous toutes ses faces. Martine se tord sous la caresse.

— Ouiii !

— Tiens Luc, approche que je te badigeonne.

Il tartine le latex.

— Merci, ça suffit !

Luc se positionne derrière lavocat. Il tient sa queue dune main et de lautre tente décarter les fesses.

— Tu veux bien maider un instant.

Marc qui sapprêtait à embrocher Martine sempresse à son secours. Il tire sur lautre fesse sous le regard intéressé de la jeune fille.

— Aaah ! gémit André.

— Ouiiarrghh ! répond Martine en écho quelques secondes plus tard, quand la verge de Marc écarte à son tour les muqueuses.

Odile regarde le gland surgir entre ses mamelons. Jamais une caresse sur la poitrine ne lui avait fait cet effet. Elle serre les seins lun contre lautre.

— Ouiii ! gémit Jean.

Luc farfouille devant André. Il empoigne la queue vibrante et la masturbe au rythme de ses coups de rein.

— Meuhhh !

— Tu Tas pas mal Papa ?

— Ssssh !

Marc samuse à chatouiller le clitoris de la jeune fille.

— Ooooh !

— Quest-ce Quil y a Ma chérie ? interroge sa mère.

— Rien Rien Tout Tout va bien.

Non rien ne va pour André, il se fait enculer, sa femme et sa fille se font baiser et il ne peut que subir ! Il prend la main de Martine et la serre convulsivement. Luc et Marc coordonnent leurs mouvements.

— Han ! Cest bon, une pine dans le cul Hein mon gros ! Han !

— Beuuhh !

— Hein que cest mieux Quun gode !

— Aah ! Ouiii !

— Han ! Tu voulais menculer

— Arggh !

— Une bonne grosse

— Ouiii !

— Avoue que Taime ça, te faire Trouer la rondelle.

— Arggh !

— Queue bien vivante Dans la chatière.

— Ouiii !

Jean les accompagne. Odile est fascinée par le gland qui pointe entre ses seins. Elle baisse la tête et donne un petit coup de langue timide sur le méat lorsquil apparaît.

— Cest ça Ouiii ! Serre-la bien Entre tes nichons Aah !

La pièce semplit de gémissements. Les trois garçons échangent un regard de triomphe. Ils ont réussi dans leur entreprise : apporter la joie et lanimation dans une honnête famille.

Personne ne remarque la porte du salon pivoter sans bruit. Une jeune fille en brassière et mini jupe sencadre dans louverture. Elle sourit au spectacle des trois couples en pleine action : Enfin il se passe quelque chose dintéressant dans cette maison ! Elle nen espérait pas tant quand elle a saupoudré daphrodisiaque le repas du soir. La visite des trois jeunes gens est une bénédiction !

— Vous amusez beaucoup je vois.

A suivre

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