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Ma poupée russe en club hot – Chapitre 1




Les premiers mois avec Anastasia se sont vite écoulés et comme je l’avais imaginé, plus les semaines passaient, et plus je trouvais qu’Anastasia était une femme faite pour moi. Pour mémoire, je rappelle que ma jeune compagne de 23 ans est ukrainienne, grande blonde platine, très mince, le portrait craché d’Anita Blonde pour les connaisseurs (euses) et un gros 90 F naturel de tour de poitrine.

Elle avait appris notre langue en un clin d’il, quasiment sans accent d’ailleurs, bien qu’elle roucoulait encore les « rrrr » ce qui demeurait fort charmant. Elle se libérait sexuellement de plus en plus ; davantage ouverte et demandeuse de nouvelles sensations. Nous nous y sommes donnés à cur joie. Toutes les pièces de la maison y sont passées. Elle a appris à se libérer, à exprimer ouvertement son plaisir. Nous faisions l’amour trois ou quatre fois par jour durant plusieurs mois depuis qu’elle était arrivée dans ma vie. C’était fabuleux. Comment refuser ce corps de rêve? Dès que je la voyais dans la journée, allez hop, c’était parti pour un tour ! Loin de tomber dans la routine, bien au contraire, nos galipettes devenaient même de plus en plus hards, de plus en plus sauvages, bref, c’était le pied absolu. D’ailleurs, nous ne faisions plus l’amour comme au début. Nous baisions littéralement comme des animaux en rut. C’était comme un besoin impétueux, une pulsion incontrôlable qui avait un seul remède : copuler le plus vite et le plus souvent possible ensemble.

Pourtant ma princesse m’avait jusqu’à présent toujours refusé son autre entrée, sous prétexte qu’elle n’avait jamais trouvé la position excitante. Cela devint à force plutôt frustrant. Mon objectif était donc d’arriver à lui posséder son fondement à terme. J’abordais régulièrement le sujet mais elle s’y refusait implacablement, comme d’habitude. Pourtant, lorsque nos échanges fougueux atteignaient leur paroxysme, elle tenait un tout autre discours à ce sujet. Bien au contraire, elle m’avouait sur le moment que cela l’exciterait de se sentir encore plus soumise. Je n’hésitais donc pas à lécher de temps en temps son illet ; ou en missionnaire à laisser égarer un doigt dans son anus dégoulinant sans qu’elle s’en aperçoive. D’abord surprise, n’avouant pas le plaisir éprouvé grâce à ce doigt inquisiteur, je finis par la convaincre, au fil de nos discussions, qu’elle devrait explorer cette nouvelle piste.

Pour lui faire sauter le pas, nous sommes aller dans un sex-shop acheter un arsenal de godes de différentes textures, tailles, formes ou couleurs pour qu’elle puisse s’entrainer par cet orifice. Nos multiples parties de jambes en l’air ne s’en sont que décuplées d’intensité. Bien souvent, elle s’introduisait elle même le plus gros des godes noirs qu’elle choisissait souvent pendant que je la prenais par la chatte, ce qui la comblait au plus haut point. Elle multipliait les orgasmes comme jamais. Au cours d’une de nos cavalcades endiablées, je lui ais même soumis l’idée qu’elle puisse se faire prendre par plusieurs hommes noirs en même temps, très bien membrés de surcroit. Elle ne cessait de répondre sans cesse des « oui, oui, oui… », sans réellement être convaincu qu’elle saisissait la teneur de mes propos. Je savais seulement qu’elle s’était une nouvelle fois écroulée dans un orgasme démentiel.

Plusieurs mois s’était écoulés sans que je n’eue l’occasion s’assouvir ce fantasme de voir ma future femme se faire prendre par plusieurs hommes. Puis, à l’occasion d’un voyage, l’opportunité se présenta.

Durant l’été qui nous amenait en Provence rendre visite à une amie d’enfance, un événement inattendu allait réveiller une envie spéciale de ma princesse. Cette semaine de vacances s’annonçait caniculaire, 35°C de moyenne et nous décidions de sortir uniquement le soir afin de profiter des nuits rafraîchissantes. Nous étions proche de la côte d’Azur et les multiples activités nocturnes favorisaient les sorties. Ce soir là, j’avais décidé d’invité ma belle russe dans un club privé. Une de mes anciennes connaissances féminines m’y attendait. Tout de bleu vêtu, j’invitais ma belle à s’habiller très sexy. Elle s’était littéralement transformée en « Marylin » : une robe blanche hyper moulante et très courte, sans bretelle, un décolleté découvrant la moitié de sa poitrine, de grandes boucles d’oreilles gitane, un maquillage rouge très prononcé, des escarpins de près de 10 cm blancs, sa magnifique chevelure blonde platine lâchée et son petit sac à main brillant, elle était splendide. J’ai loué une limousine pour nous rendre à l’établissement où notre arrivée fut largement remarquée. Marcher avec ma main sur sa taille était un vraiment régal, au milieu d’une foule d’hommes mariés qui lâchaient leur mâchoire devant la vision de ma belle jument. Arrivés dans le salon principal, un groupe de personnes se présenta à nous. Parmi elle, je reconnu la rayonnante Eva que je n’avais pas vu depuis une dizaine d’années. Elle était accompagnée de deux hommes noirs, l’un plus jeune que l’autre et d’une jeune demoiselle d’origine africaine. Leur accueil est très chaleureux, presque familier, enfin surtout Eva qui monopolisait la parole. Il faut dire qu’elle a toujours eu une personnalité extravertie en plus d’être encore très séduisante pour son âge. Passée 40 ans, elle avait su maintenir la silhouette d’une magnifique femme sportive. Très grande, peut être 1m80, élancée, elle s’était surement fait refaire les seins au vu des deux boules anormalement rondes qui surgissaient de son décolleté à peine voilé par sa robe en dentelles noires. Eva avait une chevelure très noire, fine avec une frange stricte au carré. Un visage très fin, un nez légèrement en trompette et des yeux d’un noir profond. Elle avait un style un peu gothique genre Elvira pour les connaisseur de jeux vidéos. Son probable compagnon, le plus âgés des hommes noirs s’appelait Stéphane : la petite quarantaine, une armoire de près d’un mètre quatre vingt quinze, style BCBG. Les jeunes devaient également être en couple car il discutaient fermement entre eux. Ils habitaient dans les quartiers nord de Marseille au vu leur accoutrement vestimentaire style « racaille » (casquette, basket, baggy et tee-shirt). Le jeune couple avait à peine remarqué notre présence. Le garçon était de petite taille, 1m70. Il s’appelait Abou et il était le petit cousin de Stéphane. La jeune fille se prénommait Malika : des lèvres très épaisses, mais un corps très juvénile. Peu de poitrine mais un bassin anormalement large laissant deviner de petites fesses hautes. Eva nous convia à prendre possession de la piste de danse avant de se restaurer dans une salle à part qu’elle avait réservé. Nous nous sommes défoulés sur la musique, les trois couples côte à côte. Nos regards se croisaient souvent, les hommes savourant les courbes des autres femmes. Eva s’amusait comme une gamine accrochée à mon bras alors que Anastasia avait entamé une danse sensuelle corps à corps avec Stéphane, ce qui me rendait un peu jaloux. Nous avons regagné notre table excepté nos deux plus jeunes camarades de soirée.

Une fois l’apéro commencé, nous avons discuté afin de faire connaissance. Tout le monde s’est mis à boire, même Anastasia et beaucoup. Les femmes papotaient bien entre elles, comme deux bonnes amies. Anastasia expliqua comment elle m’avait connu puis se fut le tour d’Eva : « Oh tu sais, comme j’aime vraiment le cul, je me suis lancée dans le porno amateur. Les cougars très cochonnes dans mon genre sont très recherchées dans le milieu. C’est comme ça que j’ai connu Stéphane qui est photographe. On a commencé à se filmé ensemble puis progressivement, on l’a fait à plusieurs. Ça fait deux ans qu’on se connaît mais tu sais, on sait pas de quoi est fait demain alors on en profite. Et puis comme tous les blacks ont une grosse queue… et la sienne, elle l’est vraiment », détailla-t-elle en sirotant son cocktail. Anastasia semblait à la fois choquée d’une telle confidence et en même temps toute émoustillée malgré elle.

Nous avons fini par trouver Abou seul, assis sur une chaise, la tête prise dans ses mains. Apparemment, il venait d’avoir une violente dispute avec la jeune Malika avec pour toile de fond sa jalousie maladive de jeune mâle. Malgré nos efforts pour essayer de le réconforter, nous sentions bien que la soirée prenait de l’aile. Le jeune homme semblait très énervé et très agité. Nous nous sommes donc mis à la recherche de la jeune fille pour essayer de recoller les morceaux. Entre temps, pas mal de monde était arrivé dans l’établissement et il devenait difficile de se frayer un chemin. Nous avons tourné en rond sans avoir trouvé la moindre trace de la demoiselle sur les pistes de danse. Il fallait se rendre à l’évidence. Soit elle était rentrée à Marseille par ses propres moyens, soit elle s’était aventurée vers les sections les plus chaudes à l’étage de l’établissement. Un peu mal à l’aise de pouvoir imaginer la découvrir dans une posture inconvenante, nous voulions tout de même savoir si rien de grave ne lui était arrivé.

Cette partie du club transpirait une tout autre ambiance, plus intimiste, plus torride. Après le long escalier en colimaçon, un long et large couloir se présentait à nous, donnant sur plusieurs salles où les activités lubriques ne se cachaient pas : Une petite blondinette dont je doutais de sa majorité suçait plusieurs hommes d’un âge fort avancé, une salle offrait une vue sur deux femmes matures s’acoquinant autour d’un homme monstrueusement membré, une femme asiatique s’adonnait à la sodomie, etc. C’était sans équivoque. Impossible que la jeune fille se soit rendue dans ces lieux.

Pourtant, nous fûmes tous les cinq attirés par une autre musique venant du fond. De là s’échappaient distinctement des bruits de rires et d’applaudissements. En s’approchant, un certain nombre de personnes s’attroupait en masse autour d’un box, nous obstruant la vision de ce qui pouvait bien s’y passer. Quel ne fut pas notre choc lorsque nous aperçûmes la jeune Malika en plein strip-tease sensuel au centre d’une flopée d’hommes blancs d’ailleurs qui ne perdaient pas une miette du spectacle. D’ailleurs rapidement, les attouchements se sont multipliés sur toute les parties de son jeune corps. La jeune ébène se laissait joyeusement tripoter et elle les encourageait même à poursuivre leurs manèges dans un grand éclat de rire. Elle semblait bien s’amuser, bien loin de sa mauvaise humeur du début de soirée, et vu son enthousiasme, elle devait s’être fortement alcoolisée.

« Je vais la butter la salope ! » Abou était hors de lui, levant les bras au ciel, exprimant son désarroi. Eva eut le réflexe de le contenir physiquement puis ils évacuèrent promptement le lieu.

Maintenant, à genou sur une chaise de bar, la petite blackette fit glisser son jogging sur les talons. Malika agitait son arrière train espérant, s’il était encore possible, exciter davantage l’assistance masculine prête à lui sauter dessus. Elle écartait son postérieur découvrant à travers son minuscule string, un anus d’abord minuscule, devenir en un éclair ouvert dans des proportions incroyables. Un gars s’est jeté sur ses orifices pour les dévorer abondamment. D’autres agitaient furieusement leur main sur le sexe de notre jeune coquine. « Vous me donnez chaud là. Je suis super excitée…. Je veux vraiment du sexe de blanc ». Comme un signal, les bites tendues sont vite sorties de leur antre et la jeune femme les a léché l’une après l’autre pendant que d’autres messieurs se masturbaient doucement à distance. « Allez venez mes chéris » ! Près d’un demi douzaine d’homme s’affairaient autour d’elle, se disputant leur place pour se faire sucer par cette jeune coquine. Un type a eu l’audace de prendre sa tête à deux mains et il s’est acharné sans retenue au fond de sa gorge. Devant son assentiment, chaque homme fit de même. Instantanément, les sexes tendus vinrent tapoter sa langue tendue sur son visage. Elle cherchait à lécher tous les glands en même temps « j’aime la queue » soupirait elle entre deux inspirations. Elle aspirait très fort libérant des bruits de succions lubriques. Les gars l’encourageait de plus belle par des « suce bébé suce, oh oui », elle astiqua même deux bites en même temps avec une extraordinaire facilité, s’aidant d’une abondante salive.

Anastasia, Stéphane et moi restions scotchés face à cette scène surréaliste.

Alors qu’elle s’accroupit sur le phallus d’un mec de dos, un autre type se présenta pour continuer à se faire sucer. Mais rapidement le gars dessous lui écarta les jambes pour accélérer et se finir dans sa chatte qui du coup, dégoulinait abondamment. Peu importe, un autre mâle prit sa place mais cette fois, elle était face lui, toujours avec une nouvelle bite dans la bouche. Les autres types autour d’elle lui giflaient ses fesses pour l’exciter davantage. Après un moment, elle s’est retournée vers les autres, « encore, venez me baiser ». Un gars la posséda assez brutalement d’un seul coup. Malika lui demandait de la prendre fort, d’aller plus vite, ce dont il ne se privait pas. Elle s’est alors mise à crier comme une folle, des cris très aigus raisonnaient dans toute la pièce, elle devait vraiment prendre son pied. Elle avait tellement apprécié qu’elle crut bon de lui préciser « tu me fais tellement jouir (…) vas-y donne », elle voulait goûter sa queue lubrifiée de sa mouille et elle se jeta dessus comme une affamée. Folle à lier, elle ne put s’empêcher de remarquer « ma chatte a le goût de bonbon » en direction de son auditoire. Cette fille était terrible.

Je voyais du coins de l’il Anastasia qui était comme hypnotisée par la scène, ne quittant pas des yeux ce qui se passait. Stéphane était collé de dos à elle, le regard porté dans la même direction. Excité lui aussi par la scène, il étala ses deux grandes mains noires sur la poitrine d’Anastasia qu’il commença à malaxer. Machinalement, elle posa sa tête sur son épaule, le laissant faire et elle glissa une main dans son entre jambe. En revenant sur la vedette, j’ai vu Malika planter son regard dans le mien, quittant momentanément les multiples queues turgescentes pour m’interpeller par une phrase inoubliable : « Mumm. J’adore les bites de Blancs » Elle partit dans un fou rire déjanté découvrant au passage des bagues dentaires qui soulignaient davantage son air juvénile. Puis elle reprit son activité de succion sans se préoccuper du visage de son partenaire. Les saspirations donnaient suite à des gorges profondes et son soutif finit par être complètement trempe de salive, révélant ses deux petits haricots de mamelons.

Le spectacle n’était pas terminé pour autant, loin de là. Prise en chien de fusil, les fines jambes recroquevillées de Malika ne faisait qu’accentuer la beauté et rodeur de sa large croupe. D’ailleurs les gars ne pensaient qu’à saisir et malaxer ses petites fesses musclées. Tout le monde était en admiration devant son merveilleux postérieur. Un des gars, surexcité par cette vue, stoppa le coït en cours pour s’accaparer la jeune femme par la taille comme un vulgaire sac de patate. Le bougre se l’est amené sur l’épaule dans un fauteuil pour lui déguster la chatte seul tranquillement. Satisfait de sa manuvre, il ne se doutait pas de la réaction de la jeune black, « Met me la dans le cul j’ai jamais fait ça avant ! » Elle s’étala complètement sur le dos, jambes écartées. Malika guida lentement la queue turgescente du mec dans son anus en n’arrêtant pas lui dire « baise mon cul, oui baise mon petit cul ». Elle s’agitait sur son sexe en même temps et rapidement elle s’exclama, « Houu bon Dieu qu’est ce que c’est bon ! ». Incroyable, impossible de se douter que cette soirée révèlerait à ce point le potentiel sexuel de cette jeune fille de banlieue. Son cavalier du moment s’est retiré de son anus et il a pris possession de son vagin avec une grande facilité. Elle continuait à couiner très fort, toujours avec un sexe dans la bouche « J’aime la queue dans la bouche et la chatte… et bien sûr par derrière ». Les grosses lèvres glissaient sur les phallus pâles à grande vitesse. Jamais rassasiée, elle en redemandait de plus belle, « j’en veux une autre, j’en veux plus ».

Aussitôt dit, un autre prétendant bien motivé fit son apparition à l’entrée de son anus, « oh c’est une bonne queue » souligna t elle à la vue de l’énorme sexe prêt à la dévaster. La jeune fille qui, il y a une heure se disputait avec son copain, allait connaître sa première double pénétration avec des inconnus. Son nouveau partenaire avait du mal à la perforer entièrement mais il a insister en tenant son manche bien en main. Progressivement, son arrière train a gobé le monstre lentement mais sûrement. Les gars s’étaient bien coordonnés en elle, la pilonnant en alternance ou simultanément. Après quelques instants, ses plaintes se sont transformées en jubilation. La danse s’accélérait lorsque ses yeux se sont révulsés, preuve qu’un orgasme foudroyant venait de la terrasser. Pourtant ces messieurs n’en avaient cure. Après un long moment, rassasié pour de bon, le mec de dessous la libéra enfin de cette éteinte folle. Dans le même mouvement, elle tenait des propos hallucinants : elle affirmait à quel point elle était en manque, à quel point elle voulait être prise, à quel point elle était une petite salope. Un nouvel étalon est alors venu. Un véritable colosse est rentré très lentement dans son fondement. Une fois de plus, elle criait ouvertement son bonheur. Le sexe blanc se contractait dans ces fesses rondes, noires et luisantes. Le grand gaillard la fit glisser sur le côté tout en continuant de la sodomiser. Très excité, il la traitait de tous les noms en lui giflant les seins alors qu’un nouveau postulant se finissait dans sa bouche. Un homme beaucoup plus âgé avec un petit sexe est venu le remplacer. Lui non plus ne résista pas longtemps et il lâcha quelques petits jets sur le visage de la jeune ébène.

Malika s’est levée et on voyait à quel point son anus était irrité par les nombreuses visites reçues. A ce moment là, moi aussi j’aurais bien voulu me joindre à eux pour la sodomiser violemment. Elle s’agitait sur le gros malabar en missionnaire mais rapidement, un autre étalon s’est également précipité sur son anus. Elle était de nouveau prise par tous les trous. Comme si cela était encore possible, elle s’est cambrée davantage. « Oh oui baisez moi » s’exclamait elle à la recherche d’un nouvel orgasme tonitruant et les gars se sont acharné sur elle sans ménagement. Ils permutaient, Malika continuait de hurler. Elle avouait même qu’elle était au paradis, qu’elle n’avait jamais baiser comme ça… même ave son copain. Pendant ce temps, un gars venu de l’arrière se déverser sur sa maigre poitrine sans qu’elle y prête la moindre attention. Un nouveau binôme de mâles prit part à la fête en la possédant dans d’autres positions toutes aussi scabreuses. Malika se faisait embrocher à une cadence effrénée, sans se reposer. Les doubles pénétrations se succédaient. Tous les mecs présents ont pu profité de sa chatte et de son anus, parfois plusieurs fois pour certains.

Repue, épuisée d’avoir été autant labourée, il était temps pour la jeune coquine de clôturer le spectacle. A genou, elle ouvrit très grand sa bouche puis chaque gars est venu s’y vider à l’intérieur. Elle fut littéralement inondée sans qu’elle n’en laisse échapper une goutte. De bruyants applaudissements retentirent ce qui la fit éclater de rire bien qu’elle s’attachait encore à essorer les derniers sexes ramollis se présentant à elle.

Sans un mot, nous regagnâmes tout émoustillés notre propre box en espérant qu’Eva ait trouvé les mots adéquats pour réconforter notre petit racaille. Mais Eva s’empêtrait dans une pâle argumentation. Pendant que Stéphane relayait notre hôtesse, j’en profitais pour questionner Anastasia sur le ressentie qu’elle avait eu en voyant cette scène de sexe. « Au début, j’étais choquée puis petit à petit, ça m’a fait des choses, et puis ça m’a vraiment excitée.

ça te donne des idées ?

Oh oui oui, si tu savais, ma culotte est trempée. Ce soir, j’ai vraiment envie de m’amuser » me dit elle d’un sourire comparable à une petite fille allant commettre une bêtise.

Alors te gêne pas, fais toi plaisir ce soir ma belle. Je t’aime.

Je t’aime aussi mon chéri », me dit elle en m’embrassant.

Pendant ce temps, Abou n’était toujours pas calmé. Anastasia et moi nous sommes installés sur les canapés en face d’eux, histoire d’en savoir un peu plus. Eva se leva d’un coup comme excédée « t’as cas essayer toi » pestait elle vers Anastasia. D’abord mal à l’aise, j’encourageais ma blondinette à se rapprocher de notre jeune coq passablement attentif aux propos de Stéphane. Du coup, je me retrouvais à côté de la chère Eva qui se collait déjà à moi et ma frêle blondinette encadrée entre deux hommes couleur ébène.

—  Qu’est ce que tu en penses ils sont jolis tous les deux non ? Elle blanche, lui noir, me souffla Eva à l’oreille,

— Tu crois que ?… Pour seule réponse, elle leva le menton dans leur direction.

Nous fixâmes notre regard vers le duo en face de nous : ma petite russe cherchant à réconforter le jeune noir en lui caressant la joue. Elle semblait compatissante, elle lui souriait, lui soufflait quelques phrases à l’oreille, le fixait dans les yeux. Lui, de son côté, la regardait interrogatif du coin de l’il. Puis elle s’est carrément penchée sur lui pour poser rapidement sa petite main sur son entrejambe. On entend distinctement dans un ricanement enfantin, « Allez maintenant, tu va me montrer ta grosse queue de noir ». Nous avons tous sursautés, n’en croyant pas nos oreilles. Abou me regarda. Il resta sans réaction comme tétanisé ; il sondait ma réaction, ne sachant que faire. Anastasia lui tourna le menton avec son index vers elle pour venir déposer ses lèvres sur les siennes. « T’inquiète, il veut », toujours avec son sourire charmeur. Puis elle lui déposa un nouveau baiser cette fois plus profond, plus intense. Il dura un bon moment d’ailleurs. Leurs bouches se séparèrent un instant, puis ils se regardèrent à nouveau. Ils fondèrent à nouveau l’un sur l’autre en se roulant leurs langues baveuses. Abou se laissait aller. Anastasia lui mangeait littéralement la bouche, elle lui suçait la langue. Il devait déjà se dire qu’il était tombé sur un sacré numéro, qu’elle lui ferait oublier sa copine plus facilement, au moins pour la soirée.

Cet interminable baiser terminé, nez contre nez, yeux dans les yeux, il lui empoigna le sein gauche sur le tissu. Elle s’en mordait les lèvres. Dans un sourire vainqueur, elle libérait son corsage très lentement de sa fine étoffe. Il le lui soupesa et le jeune homme se mit à lui lécher toute l’aréole en s’attardant sur son mamelon ; « tu aimes mes gros nénés ? » lui demanda t elle. Pendant qu’Abou lui tétait vulgairement un sein à deux mains comme un trésor précieux, Steph lui susurrait surement des cochonneries à l’oreille au vu de ses sourires. De l’autre côté, Stéphane ne se fit pas prier et prit le relai d’Abou. Les deux hommes finalement se lâchèrent complètement: quand un embrassait Anastasia, l’autre se régalait de sa poitrine déjà gonflée. Les mamelons de la belle blonde, sous l’effet de leurs langues agiles et virevoltantes, pointaient terriblement.

Elle leur caressait leur crâne nu, « je veux voir…

— Tu veux voir quoi ? Lui demanda sérieusement Stéphane.

— Je veux voir vos grosses barres de chocolat».

Sous l’effet de ces caresses, elle s’est laissée glisser au sol. Elles a levé la tête afin de regarder ses partenaires de jeu en leur caressant leur entre-jambe. Très excité par ces paroles, Abou se dépêcha de se séparer de son pantalon. Pendant ce temps, ma poupée s’est emparée du sexe déjà libéré de Stéphane qui était d’une longueur surdimensionnée. Il lâcha son sexe mou sur le visage d’Anastasia. La chose lui couvrait la longueur de son visage ; elle en était aveuglée. Immédiatement hypnotisée par cette vision inattendue, Anastasia saisit le membre frétillant pour le porter au dessus de sa tête. Réalisant sa dimension, elle tenta néanmoins de progressivement le gober. Son gland disparu dans sa bouche, même si ma belle russe prenait son temps pout la déguster dans sa totalité. Elle ne s’est pas démontée et ses épaisses lèvres rouges ont entouré cet énorme membre mou qui ne tarda pas à durcir. Elle commença des va et vient assez rapides tout en cherchant les gorges profondes. Steph lui saisi un sein en même temps pour mieux maîtriser l’excitation de la belle blonde. Pour alterner, elle lui gobait ses énormes testicules l’une après l’autre. Aussitôt dur comme un baobab, elle n’eut plus besoin de tenir la queue. Sous son action, ses jambes flagellèrent et il dut s’asseoir. Dans le même mouvement, sans lever le nez, Anastasia se pencha sur son entrejambe pour continuer son activité. Pendant qu’elle lui titillait le gland avec sa langue, il lécha son propre majeur pour aller doigter directement l’anus de ma belle. Anastasia s’occupait à genou de la bite de Stéphane pendant un bon moment.

Puis elle leva subitement la tête, « tu veux baiser mes seins? … Bien sûr, je suis bête », se répondît elle. La jeune femme saisit non sans mal ses seins à deux mains débordant de toutes parts, pour emprisonner le sexe de Stéphane entre ses extraordinaires mamelles. Malgré la grosseur de sa poitrine, le mandrin dépassait de son corsage et il venait même buter contre son menton à chaque aller retour. Le bougre ne se priverait pas pour s’en donner à cour joie. J’avais expliqué plusieurs fois à ma princesse à quel point son opulente poitrine était très excitante, parfaite, naturellement en forme de poire, de larges mamelons clairs sur une blonde platine aux yeux très clairs,… Un black ne pouvait pas résister.

A ce moment, Abou saisit le visage d’Anastasia par la mâchoire pour laisser couler une belle salve de salive dans la bouche ; amusée, ma poupée l’invectiva « toi t’es un sacré gros cochon. Tu peux pas savoir à quel point », lui rétorqua t il.

Ma belle russe avait repris la queue luisante de Steph en bouche et s’en barbouillait le visage. Le grand black lui baisait la bouche à une cadence accélérée. A nouveau de belles coulées de salive atterrissaient sur ses seins malmenés. De l’autre côté, Abou lui giflait les fesses avec son sexe mou car il voulait également se faire honorer. En effet, la coquine s’est retournée et une autre belle surprise l’attendait.

Le jeune Abou était doté d’un engin monstrueusement massif non pas en longueur (qui restait respectable d’ailleurs) mais d’une largeur extrême, peut être 15 cm de circonférence ! D’un air ébahi à la vue de cet énorme engin tout juste en érection, Anastasia s’est exclamée par un silencieux « waouh » d’admiration. Elle s’est léchée instantanément les babines à l’idée de ce prochain festin, du sacré morceau qu’elle allait goûter. Le gland était presque aussi gros que la bouche de ma belle blonde. Elle a commencé par l’aspirer comme une ventouse. Elle arrivait à peu a en gober le tiers de la longueur. Puis la coquine s’est mise à le masturber tant qu’il n’était pas au maximum de sa dureté. Anastasia me regardait pour montrer à quel point, elle avait du mal à le gober en entier. Elle prenait la grosse bite d’Abou à deux mains du bout des doigts comme un trophée sur sa langue pour la déguster. Ses ongles rouges s’agitèrent sur cet énorme sexe devenu dur comme un roc. La main d’Anastasia semblait toute fine et fragile à côté de cette largeur inimaginable. Elle en avait d’ailleurs les yeux révulsés à chaque retour de ses lèvres déformées. Abou lui tenait les cheveux et rapidement, son sexe a atteint son maximum, rarement vu même dans un film porno. « Dingue ! Il est pas long le gamin, mais je n’ai jamais vu une queue aussi grosse ; pourtant j’en ai vu des bites » me répondit Eva effarée. En plus de son engin, les couilles d’Abou étaient elles aussi anormalement hypertrophiées. Elles semblaient lourdes et pendantes. La peau distendue de ses bourses associée à leur volumes donnait une image impressionnante. Il ne devait pas avoir fait l’amour depuis un bon moment avec sa copine et lorsque ma poupée aspirait une de ces testicules, nous pouvions voir combien son anatomie était impressionnante à côté de son visage angélique. Excitée comme une folle, Anastasia lui pris d’une main ses grosses testicules et de l’autre, l’ensemble de son engin. Elle le faisait avec beaucoup d’entrain ; elle y prenait manifestement beaucoup de plaisir.

Abou demandait à la belle russe, « alors ça te plait petite coquine ? Oh oui, c’est parfait ». Anastasia le masturbait à deux mains, puis elle taquinait son pénis contre ses gros obus. Se fut comme un signal : Abou voulait lui aussi baiser ses seins. Elle a coincé sa bite entre ses seins pour la sentir coulisser. « Depuis le temps que je voulais faire ça ! Dès que je t’ai vu, je voulais faire ça. Avec ma copine c’était pas possible ». Il ne la voyait plus comme une femme à peine plus âgée que lui, compagne d’un invité de soirée, mais comme une femme blanche terriblement sexy, manifestement avide de sexe interracial dont il allait profité. Il la désirait irrésistiblement ; ça se voyait dans son regard de prédateur prêt à dévorer son innocente proie. Il était comme une bête assoiffée de sexe.

Couchée de côté sur le canapé, elle se faisait déguster la chatte par Abou pendant qu’elle suçait la longue bite de Stéphane, assis à côté d’elle qui lui tenait la main amoureusement. Elle leva la tête vers Eva pour la défier, lui dire « tu vois comme je suce ton mec ? ». Elle, bien au contraire, loin d’être jalouse, jubilait de la voir satisfaire son homme. Stéphane a basculé son bassin vers le haut, les jambes en l’air pour qu’elle vienne lui gobé les testicules un bon moment, avant de lui lécher une bonne partie de sa raie des fesses. Les commentaires crapuleux d’Eva m’étaient à nouveau fredonné à l’oreille, « quelle sacré cochonne, cette fille quand même », un sourire en coin.

Anastasia chuchota à l’oreille de Steph un « attend », avec un sourire coquin. Elle entama une petite danse sur place pendant que les gars s’écartaient un peu. Elle s’enroulait sur le canapé en cuir comme un serpent. Elle se malaxait les seins et se suçait l’index, l’appelant « viens bébé ». Ils se dévoraient mutuellement les lèvres et elle le masturbait avec ses deux mains, « tu va me défoncer fort hein ? Très fort ! » Stéphane l’a prise en missionnaire. Ils baisaient les yeux dans les yeux. L’amant habituel d’Eva s’acharnait comme un malade et Anastasia écartait au maximum ses jambes en l’implorant « baise moi baise moi encore ». Elle gémissait très fort et il se régalait de sa poitrine. Leur complicité était telle qu’ils se souriaient. J’ai même entendu à un moment un « continu, je t’aime mon amour ». Là je commençais a être un peu jaloux d’entendre cette phrase. Le corps du grand black s’emboitait au milieu de deux longues jambes fines pointées vers le haut ; deux longilignes avant bras rompaient cette nuque noire. Et par dessus une épaule, le regard captivant d’Anastasia pointait en notre direction. Je croyais qu’elle me regardait mais c’était à Eva « tu aimes ça ? Tu aimes me voir me faire prendre par ton mec? », avec un air de défi. Pour seule réponse, Eva s’exclama, « baise là ! » afin d’encourager davantage son amant, si cela était encore utile. Stéphane redoublait d’ardeur et seul son bassin s’agitait de mouvements amples à une cadence de plus en plus soutenue. Abou observait la scène de très prêt avec beaucoup d’attention et beaucoup d’envie. Il se masturbait à un rythme effréné.

Hypnotisé par cette scène irréelle, je ne m’étais pas rendu compte, affalé au fond de mon fauteuil en cuir, que je me masturbais frénétiquement sous mon pantalon, l’il agar comme le ferait un vieux vicieux devant un bon porno, avec des respirations rapides et gémissements comme dialogue en fond. A un moment, je sentis la bouche d’Eva se coller à mon oreille, « ça t’excite pas ça, toi ? Moi ça m’excite grave ». Elle ouvrit largement son corsage dévoilant ses gros obus effectivement refaits, ses petits mamelons dardant outrageusement. « Tu devrais te mettre plus à l’aise, laisse toi faire, je vais te branler ». Nos langues sont sorties pour se titiller un bon moment. Un sourire de satisfaction et de victoire se dessinait sur son visage. « J’en peux plus, j’ai trop envie de sucer ta bite » et elle a plongé son tête comme une affamée sur mon sexe enflé. Elle m’a pompé comme une damnée à un rythme d’enfer, ce qui a failli me faire jouir sur place d’étonnement. Le temps de m’ajuster à son traitement, je pus enfin me concentrer sur ce qui se passait en face de moi.

En retournant mon regard au cur de l’action, je vis ma poupée cette fois-ci, pomper fiévreusement Abou à quatre pattes. Les jambes de ce dernier flagellèrent et il dut s’assoir sur le canapé pour mieux apprécier le moment. Steph, lui, se rapprochait dangereusement du postérieur de la belle Anastasia. Il lui remonta ce qui lui restait de robe pour se jeter sur ses fesses qu’il écarta fortement pour y introduire sa langue. Il lui suçota direct son anus pendant un long moment, ce qui capta l’attention de la demoiselle. Stéphane pouvait à nouveau profiter d’elle en levrette. Ses coups de bassin se faisaient plus secs, presque violents et la belle blonde savourait ces instants par de puissants gémissements. Il faisait claquer ses testicules sur son postérieur. Stéphane semblait bien apprécier de prendre Anastasia debout. « Tu sais, ça fait un moment qu’il ne s’est pas vidé mon homme. Elle va vraiment se faire remplir ta femme », jubilait Eva à côté de moi, toujours en train de s’activer sur mon membre. Stéphane lui claquait les fesses et les gars semblaient bien s’amuser de la situation. Ils dialoguaient entre eux sans se soucier des plaintes d’Anastasia. Un dialogue surréaliste débutait où chacun confirmait à quel point ils allaient bien profiter de cette « grosse salope », que « cette petite pute était un régal », etc. Comme Steph voulait encore en profiter un peu, il s’est allongé sur le canapé et elle s’est empalée machinalement sur lui. Elle enroulait son bassin autour de ce long bâton noir. Elle s’efforçait de creuser au maximum ses reins pour accentuer la pénétration. Son partenaire lui écartait ses fesses rondes qui détendirent son illet. Elle semblait terriblement apprécier et elle s’est doigtée elle-même l’anus. Stéphane accéléra le rythme et on voyait ses testicules monter et descendre à un rythme impressionnant.

Mais, elle stoppa net. Elle tourna juste la tête. Elle dévisageait Abou d’un regard de salope lui faisant comprendre par un « mais qu’est ce que tu attends  pour nous rejoindre? » ; et sans un mot, Abou est venu se présenter férocement à sa bouche. Il ne manqua pas de l’étrangler encore une fois. Eva intervint « Vas y baise là, baise là » pour encourager son homme. Anastasia, les joues écarlates, les yeux clôts, perdue dans ses multiples orgasmes, ouvrit les yeux et fixa Eva et moi pendant un bon moment avant de soupirer de plaisir par un grand sourire. Les gars avaient également l’air de prendre un pied formidable.

A peine essoufflée, Elle s’est enfilée sur Stéphane non sans mal, en contrôlant la poussée. Elle écartait même ses fesses pour que son sexe puisse rentrer dans sa matrice. Anastasia  montait et descendait sur cette longue colonne de chair qui luisait par ses propres sécrétions. Les lèvres de sa chatte s’étiraient à leur maximum et semblaient s’arracher de son corps. Elle était vraiment excitée car l’orifice gonflait vers l’extérieur. Elle restait bien droite pour qu’il puisse malaxer sa énorme poitrine. La pénétration était très sensuelle. Le couple semblait en osmose. La belle blonde savourait chaque instant, chaque pénétration par l’expression de profonds gémissements qui n’en finissaient plus de nous exciter. « Oh oui c’est si bon ! », elle n’arrêtait pas de soupirer. Après un court instant, son partenaire a voulu changer de position.

Cette fois, Stéphane s’est assis sur le canapé face à nous et Anastasia s’est assise sur son dard face à nous en écartant bien ses lèvres pour nous montrer les ravages qu’il lui causait. Son antre représentait à présent un trou béant, dilaté comme jamais. La cavalcade reprit de plus belle avec son lot de sonorités obscènes. Sa poitrine sautillait dans tous les sens malgré sa lourdeur. Elle jubilait sur ses coups de boutoirs et Abou est monté sur le canapé, à côté d’elle à hauteur de sa bouche pour se faire sucer. Elle cherchait carrément à l’avaler pour avoir son sexe directement au fond de sa gorge. Je ne l’avais jamais vu ainsi excitée, autant en transe.

Anastasia voulut enfin s’occuper d’Abou. Elle avait hâte de sentir enfin la grosse matraque du jeune mâle dans ses entrailles. C’était plus fort qu’elle même si elle n’était pas convaincue que ce monstre rentrerait en elle malgré le passage de Stéphane. Elle redoutait cet instant où elle se retrouva au dessus de cette fabuleuse tige luisante imbibée de sa salive. Elle contrôla très lentement la poussé, élargissant largement son vagin. Elle lui retenait le bas ventre pour ne pas qu’il aille trop loin en elle. Elle se plaignait qu’il était très gros. Arrivée au pubis d’Abou, elle fit sens inverse jusqu’à ce qu’elle s’habitue à cette largeur qui la labourait, mais qui lui faisait découvrir des sensations jamais ressenties auparavant. Pourtant, très rapidement, elle se mit à gesticuler en petit mouvements saccadés. Elle s’excitait d’elle-même sur cet énorme pieu.

Abou la laissait faire, profitant de son opulente poitrine : la pinçant, la pressant, la malaxant, tout y passait. Le jeune homme dévorait les seins de la belle blonde avec gourmandise. Puis progressivement, elle imprimait son propre cadence, plus lente, plus profonde, plus sensuels… Elle gémissait profondément, ses plaintes venait du plus profond de son corps. A chaque aller retour sur cette colonne de chair, elle donnait l’impression de jouir. Abou redoublait d’excitation et il saisit les fesses de cette femelle libérée pour faire activer son anus. Elle demandait à Abou de lui frapper son arrière train ce dont il ne se privait pas.

Abou la pénétra avec plus d’entrain, plus de bestialité qu’elle acceptait totalement, plus encore qu’elle désirait. Comme attisé par les feux d’un désir ardent et incontrôlable, Il s’appuyait sur elle de toute ses forces ; Abou la besognait à quatre pattes en levrette sur le canapé. Elle l’aida en écartant elle même son postérieur dont le petit anus s’ouvrait naturellement. Sa queue était vraiment énorme et Anastasia jouissait en permanence. Elle n’arrêtait pas de dire « baise moi, baise-moi » en regardant l’engin coulisser en elle à grande vitesse. Quand il glissait, elle lui remettait tout de suite dans son vagin. Ils se dévoraient les lèvres de manière animale plus que de s’embrasser. C’était sauvage, brutal. «Y a pas à dire, vraiment les blacks baisent bien », me gratifia Eva, fière de la perversité de son jeune ami. Elle semblait tout comme moi hypnotisée par la scène.

Derrière, Stéphane lui titillait l’anus. La blonde pouliche ne cessait de sangloter d’incessant « ohhh ouuuiii » de plaisir. Il saliva puis lui introduit sans procès un majeur dans l’anus qui coulissait sans aucune résistance. Rapidement deux autre doigts l’on rejoint et ma belle russe se cambrait davantage pour aller à la rencontre de ce nouvel intrus en elle. Il s’arrêta de la sodomiser puis laissa couler une longue jet de salive dans son anus béant. Elle semblait très excitée à l’idée de dépasser ses limites, elle était prête à céder à toutes ses pulsions les plus inavouées. La chevauchée sur le pieu d’Abou l’avait totalement transformé en une véritable dépravée sexuelle, comme habitée par le démon de la luxure.

Adossée à l’accoudoir du canapé, les genoux collés aux épaules, les jambes ouvertes au maximum, Anastasia regardait Stéphane avec un regard de perverse que je ne lui connaissais pas. Se léchant les lèvres, elle voulait lui offrir en primeur son anus encore vierge. « Vas y encule moi bien, régale toi », dit elle en se masturbant ouvertement. Stéphane commençait à s’enfoncer en elle doucement et une fois le gland disparu dans son anus, il s’arrêta puis avança péniblement le reste de son organe. Elle hurla prodigieusement, surprise de la douleur engendrée à chaque fois qu’il s’y introduisait trop loin. Mais l’envie était trop forte. Après s’être habitée à la présence du corps étranger dans ses entrailles, Stéphane a progressé très lentement dans sa antre. La douleur de la blonde s’estompa progressivement. Avec beaucoup de patience, toute la tige de Stéphane prit possession d’Anastasia qui restait tétanisée, comme bouche bée. Compacte, ramassée sur elle-même, la jeune russe encaissait avec de plus en plus d’aisance les coups de butoir du grand black. Ces petits cris de douleur devinrent progressivement appréciés.

Comme tout à l’heure, Stéphane s’était assis confortablement sur le canapé face à nous et la blonde platine est venue s’emboiter sur lui directement dans l’anus. Maintenant, c’est elle qui bougeait. Elle a posé ses pieds sur les cuisses de son partenaire, nous offrant une vue flagrante sur son vagin, largement gonflée, rougi, hyper dilaté. Ses seins dansaient dans tous les sens.

Mais Abou n’a pas voulu s’en laisser compter : il avait dans l’idée de prendre possession de l’anus de la belle blonde. Inquiète de voir ses dimensions monstrueuses qui allaient prendre possession de son postérieur, Anastasia s’est néanmoins adossée au canapé, fesses en l’air, tête penchée vers le bas, en position idéale pour sucer Stéphane qui dans le même temps s’est empressé de passer derrière le canapé. Abou a serré les jambes d’Anastasia l’une contre l’autre pour la prendre en levrette. Elle se laissait dominer par le jeune black qui était excité comme une puce. Comme prévu, elle hurla dès le début de l’introduction de son gros calibre. Mais il insistait fort, il ne se retenait pas. A force, Anastasia finit par se calmer. Après quelques minutes de sailli, elle gémissait très fort non plus de douleur mais d’un plaisir intense, « Oh oui, tu me baises trop bien ! » lui dit elle. La belle posa sa joue droite sur le dossier du canapé, ferma les yeux pendant que Abou continuait ses de petites pénétrations rapides. Elle se retourna vers Abou, « continu, surtout t’arrête pas », ce qu’il fit pour son plus grand plaisir. Le coït dura bien un quart d’heure avant qu’il la fasse basculer sur le dos, sur le lui. Je n’avais jamais vu ses grandes lèvres aussi ouvertes, aussi baveuses. Elle suçait même les doigts de Stéphane. « Tu veux gouter à nos grosses queues petite chienne ? Oh oui plus que tout ! », lui répondit elle. Ils se levèrent tous les trois de concert et Anastasia s’est agenouillée par terre, le visage immédiatement cernée par les deux grosses queues noires et luisantes de plaisir.

Ma belle russe était aux anges au milieu des deux matraques qu’elle suçait avec avidité malgré son incapacité à les gober dans leur totalité. Qu’importe, elle passait de l’une à l’autre en face de nous. Abou lui tenait sa chevelure pendant qu’elle s’acharnait sur la bite de Stéphane, « alors tu aimes la bite ? Les grosses bites de noir ? Oh oui, je suis au paradis. Mais maintenant, j’en veux plus ». C’était donc le signal pour aller plus loin. Ma belle russe était enragée, sans limite. Elle leur demanda de la prendre les deux en même temps, ce qui semblait ravir nos compagnons d’un soir.

Stéphane s’est de nouveau assis sur le canapé afin de prendre possession de l’anus d’Anastasia a

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