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Histoires de cocus (extra)ordinaires – Chapitre 5




— Tiens, c’est Basil.

— Il n’a pas l’air d’être seul.

— En effet.

Au bout de quelques minutes, après un moment de silence, des gémissements nous parvinrent.

— En effet, il n’est pas seul ! Et qu’est-ce qu’il lui met !

— Prends-en de la graine !

— Hmmm… viens là que je te mange la chatte. Tu vas voir, j’vais t’en foutre de la graine moi, plein de petites graines…

Et nous nous livrâmes l’un à l’autre, excités par ce que nous entendions derrière la cloison.

Assez rapidement, je me mis moi-même à exprimer toute ma satisfaction tandis que de sa grosse voix, Idris m’encourageait.

J’étais à cheval sur lui, dansant sur le pieu fiché en moi quand la porte s’ouvrit sans qu’on eût frappé.

Il était nu, magnifique, en érection… C’est ainsi que je fis la connaissance de Basil.

— Salut ! On s’amuse bien ici.

J’avoue que j’étais très gênée.

— On s’amuse bien à côté aussi cousin, reprit Idris en éclatant de rire. C’est votre boxon qui nous a chauffés.

— On échange ?

— Quoi ?

— Tu me prêtes ta meuf, je te prête la mienne ?

— Ouais cool man… Oh euh, si tu es d’accord hein, évidemment. Sens-toi libre. Me dit-il en se ravisant aussitôt.

Toujours fixée sur la queue solidement dressée en moi, je demandai, tout en fixant attentivement l’énorme queue de Basil.

— Vous faites souvent ça ?

— Jamais, répondirent-ils en chur et en riant de plus belle.

Je ne compris pas ce rire. Etait-ce vrai, ou pas ? Avaient-ils manigancé quelque chose ? Quoi quil en soit, le type était si beau et son sexe si gros, que je dis de l’air le plus enjoué possible.

— Oui, oui, super. Venez.

La fille qui était restée en arrière en attendant la réponse, parut. C’était une superbe jeune nana d’à peine vingt ans, rousse, la peau très pâle et des seins énormes.

— A quatre pattes les filles !

— Doucement Basil avec ton gros nud, elle est toute serrée.

— C’est la femme dont tu m’as parlé ?

— Ouais.

— Putain, tu m’as pas menti cousin ! T’as le flair pour les gonzesses !

Nous fîmes les présentations puis il m’enfila et, même en douceur, j’eus du mal à supporter le mandrin. J’accompagnais l’intromission par un "aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" tonitruant.

— Putain, elle est pas seulement canon, elle est bonne. Ça c’est de la chatte man !

Et ils se mirent à nous déglinguer. On n’entendait plus que les chairs qui claquaient, nos cris de jouissance et leurs commentaires salaces ("tu la sens ma bonne queue, etc…").

Quant à moi, j’étais aux anges. Je ne croyais pas qu’un tel plaisir pût exister.

— Dis-donc, j’la prendrais bien dans le cul ta copine, dis Idris.

— Pareil pour moi !

— Vous êtes prêtes les filles ?

Nous dûmes convenir l’une et l’autre que c’était nouveau pour nous.

— OK, on va se faire une petite toilette intime et on s’y met. Qui y va d’abord ?

Après une courte réflexion, je me décidai, me disant que, pendant que l’autre fille serait en train de se préparer, on me forcerait l’anus sans témoin.

— Allez ma belle, fais vite.

Quand je revins, ils étaient tous les deux sur la fille, un dans la bouche et un dans la chatte.

— Allez, on change.

La jeune fille disparut vers la douche pendant que Basil s’enduisait la pine de graisse.

— Tu veux pas que je commence ? C’est mieux une petite bite pour commencer, non ?

— Oh cousin, elle est pas petite ta bite… C’est la mienne qui est grosse… et puis vaut mieux commencer par un gros calibre, après ça rentrera tout seul.

Il m’enduisit le cul et commença à forcer.

— Suce Idris ma belle, suce-le, ça va t’aider à te concentrer sur autre chose pendant que je te déchire.

Je fis comme on me le recommandait mais j’eus du mal à supporter l’effraction. Enfin, il terminait comme l’autre fille entrait.

— A toi Idris, je prépare l’autre.

Idris m’enfila donc mais la douleur fut encore immense. Je finis par m’y habituer.

La fille sembla mieux encaisser que moi.

Les deux garçons finirent par éjaculer quasiment simultanément. Nous restâmes un long moment tous les quatre à ne rien dire.

— Fatiguées les filles ?

— M’ouais un peu… répondis-je.

— Moi je suis prête à recommencer…

— Ola ! Elle est coquine la petite… Nous on doit faire une bonne pause, hein Idris.

— Putain, j’ai les burnes vidées. j’pourrai pas baiser avant deux jours ! Dit-il en se marrant.

— Et si vous nous faisiez un show les filles ?

— Hein ?

— Broutez-vous le minou…

— Oh oui, bonne idée… t’en dis quoi ? me demanda la jeune.

— Ben, à vrai dire…

— T’as jamais fait…

— Clairement pas mon trip.

J’étais peu chaude pour cela.

— Oh s’te plaît, essaie… fais-le pour moi ! insista Idris.

— Bon… OK… mais si cela ne me plaît pas, j’arrête.

— D’accord.

Et nous nous allongeâmes l’une contre l’autre. Adèle, commença à me caresser le clitoris puis elle me suça les seins. Elle était douce et bientôt nous nous retrouvâmes en 69. Elle était géniale et bientôt je me laissai aller à sa fièvre dévorante. Je palpai ses gros seins lourds et doux, les suçai quand elle revint vers moi. C’était génial. Elle me fit jouir et nous restâmes assez longtemps ainsi pour que les mecs se remettent à bander.

La partouze fut des plus débridées. Nous n’arrêtâmes pas de nous gouiner pendant que les gars nous tringlaient… Et ils nous rebaisèrent comme des putes. Ils prirent Adèle en double devant moi pendant que je leur bouffais les boules. Je ne voulais pas qu’ils me prennent ainsi maintenant. Je voulais être seule avec ces deux hommes pour cette première expérience que j’attendais avec impatience.

Je suçai les boules, les bites, les nichons de la fille, les trous de culs, la chatte et je ne savais plus qui mangeait la mienne. Le summum fut atteint quand Adèle s’allongea sur Idris, sur le dos pour qu’il la sodomise. Je m’étendis sur le couple en 69 pour qu’elle me lave la vagin avec sa petite langue de chatte pendant que je bouffais sa moule et les couilles d’Idris qui s’agitait au-dessus. Pendant ce temps, Basil me fendait l’anus.

Puis nous inversâmes. Adèle vint à ma place et vice versa.

— Allez mes louloutes, on s’approche ? J’vais jouir ! Partage de sperme ?

La question était pour la forme. En se retirant du cul d’Adèle, Basil continua de se branler vigoureusement pendant que la fille se dégageait et se mettait à genoux pour l’offrande promise. Je me levai et Idris se mit debout à côté de son cousin. J’eus à peine le temps de me coller à la fille que le sperme lui tombait déjà dans la bouche. Il fallut attendre un peu celui d’Idris, ce que nous fîmes en nous embrassant franchement. Il y en avait moins, bien sûr que le première fois, mais nous n’en perdîmes pas une goutte.

Je rentrai chez moi très en retard.

— Putain, c’est à c’t’heure-là que tu rentres ? J’ai la dalle moi ! T’étais fourrée où ?

— La formulation n’est pas exacte !

— Quoi, quoi, qu’est-ce que tu racontes ?

— Il ne faut pas dire "t’étais "fourrée où" mais "t’étais fourrée par qui" ? Encore qu’à bien y réfléchir la première formule peut se comprendre.

— C’est quoi ton baratin là ?

— J’étais fourrée par mon amant et dans ton les trous.

Il y eut un grand moment de silence. Sa tronche était pathétique. Il ne quitta pas le canapé ni la bière et n’éteignit même pas la télé.

— Quoi ? Quoi ? Tu dis quoi là ? C’est quoi ce délire, j’comprends rien moi !

— Je dis que j’étais en train de m’éclater avec un mec et que nous allons divorcer.

— N’importe quoi !

— C’est comme ça. J’ai un amant et je ne veux plus vivre avec toi.

Alors il sembla réaliser et explosa. Pendant un quart dheure, j’entendis un flot d’insultes, pute, salope, feignasse, traînée, etc. Ça me glissait dessus comme l’eau sur les plumes d’un canard. Quand il en eut justement marre et qu’il conclut son propos par un "casse-toi sale pute", je répondis :

— Tu vois je te laissais encore une chance. Si tu m’avais dit au moins que tu m’aimais que tu tiens à moi, peut-être que j’aurais eu la tentation d’y croire, mais non, tu t’es plaint, tu t’es lamenté sur ta petite personne… t’es désolé parce que t’as plus de boniche. Tu vas être obligé de faire ton ménage tout seul, ta bouffe, ta lessive, les courses… et tu vas même être obligé de te pignoler une fois par semaine… remarque, tu y prendras peut-être plus de plaisir.

— Ça c’est sûr ! Eructa-t-il.

— Ne te tracasse pas, je ne perds pas non plus au change.

— De toute façon j’vais aller lui casser la gueule à ton bâtard là.

— Si tu veux, j’vais chez lui là. Mais je te conseille de ne pas venir seul.

Je fis mes valises et me cassai.

Je m’établis chez Idris et, tout en divorçant, je me mis en colocation avec les deux garçons dans un appart plus grand.

Quelques mois après, en faisant une pause dans un dimanche après-midi où nous venions de faire l’amour tous les trois comme des bêtes, Basil me demanda.

— T’as jamais voulu d’enfants ?

— Si, mais l’autre con voulait pas.

— Ça te dirait d’en faire un avec nous ?

— Comment ça avec vous ?

Le plan de Basil était simple et fut ponctuellement validé.

Je l’ai épousé. Nous formons un ménage à trois. Parfois les garçons ramènent une copine qu’ils partagent ou pas, ou baisent en ville et parfois, c’est moi ramène un mec, mais c’est rare. Il leur arrive d’inviter des potes.

Nous avons eu un adorable petit garçon dont le père est Basil pour l’état civil. Il en sera ainsi et nous ne chercherons pas à savoir lequel des deux est le géniteur. Nous sommes heureux comme cela… et tant pis si certains trouvent bizarre ce couple qui vit sous l’il si rapproché de son cousin.

Alors, ai-je bien fait de tromper mon premier mari ?

Fin.

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