Ceci est la fin des aventures de Pascaline…
Je sentais David me soigner de mes blessures, des souillures infligées en prenant soin de moi comme un homme de sa femme, avec délicatesse et attention. Mon esprit vagabondait encore dans une brume épaisse mais je pouvais tout de même sentir, respirer et entendre la voix de mon Mâle m’encourager et me féliciter de mon courage et de ma dévotion durant cette nuit d’enfer. Il me déposa sur son grand lit avec tendresse et amour, m’embrassa sur le front et me recouvrit d’un délicieux drap de satin. Je m’endormis sur le champ alors que des rêves de phallus venaient déjà toquer à la porte de mon âme.
Quand je me réveillai, une drôle de sensation au bas de mon ventre se fit jour. Je repoussai le drap soyeux et découvris avec stupeur que ma virilité avait été mise en cage de chasteté ! C’était une cage en métal étincelant où un anneau très étroit ceignait mon service trois-pièces alors que la cage emprisonnait fermement ma petite chose circoncise, le tout surmonté d’un cadenas bien visible. Je touchai ce nouvel « engin », surprise et humiliée, me rendant compte que je n’avais plus la possibilité de bander comme un vrai homme. Je me dirigeai maladroitement aux toilettes, fis mes besoins assise, sentant mon urine se jeter au travers des barreaux de ma nouvelle prison sexuelle. Ma chatte de lopette criait aux supplices quand il fallut contracter mes sphincters, mes tétons étaient hyper sensibles et ma nouillette encagée se réveilla sans pouvoir s’émanciper, venant buter sur l’acier de la chasteté. Le poids de celle-ci tirait mes testicules et ma verge me forçant à adopter une démarche contorsionnée et visiblement efféminée.
J’enfilai une petite culotte afin d’oublier cette odieuse situation pour aller à la cuisine me faire un petit repas quand on sonna à la porte. Je me couvris d’un kimono en satin bleu pour aller ouvrir. C’était David, tout sourire, un bouquet de fleurs à la main : « Bonjour chérie ! Je suis fier de toi tu sais ! « . Il me tendit le bouquet que j’acceptai et entra.
A peine la porte refermée qu’il écarta le pan de mon kimono afin de dévoiler ma cage : « Comment trouves-tu ta nouvelle amie ? », me demanda-t-il en soupesant de sa main le reste de ma virilité.
— Je trouve cela très humiliant. Tu veux me la faire porter longtemps ?
— Désormais tu n’auras plus le droit de la quitter !!! Tu porteras cette cage avec fierté car une lopette assermentée telle que toi n’a plus le droit d’utiliser sa virilité ou de choquer quiconque en exposant son membre.
— Mais je ne pourrai plus bander ?
— Non Pascaline. Tu ne jouiras qu’avec ta chatte et tu verras que tu prendras encore plus de plaisir quand tu sentiras ta semence s’écouler de ta petite nouille sans même être dure.
— Je… Suis-je devenue la lopette que tu attendais, David ?
— Oui chérie et on va dès maintenant graver cela dans ta peau !
Il me pria de m’asseoir sur le sofa et d’écarter les jambes afin que mon pubis soit parfaitement exposé. Il m’embrassa sur la bouche avant de passer un coup de fil : « Elle est prête ! Ramène-toi au plus vite ! ».
— Que cela signifie-t-il ?
— Qu’un pote va venir immortaliser ta condition de lopette…
A peine cinq minutes plus tard, la porte sonna, tandis que je suçais le phallus de mon Mâle : « Entre Denis ! ». Un homme tout en cuir vêtu fit irruption devant nous alors que David éjaculait dans ma bouche, comblé de bonheur. J’avalai son sperme avant de saluer cet inconnu en un bonjour monsieur Denis englué de foutre.
— Elle est jolie ta petite femelle, dis-moi !
— Oui, répondit David, elle est parfaite ! Enfin presque… Tu vas pouvoir lui donner la touche finale, comme convenu !
Denis se mit à l’aise, exhibant ses bras tatoués et musclés, défit ses affaires alors que je lui servais un verre de café : « Va t’allonger sur la table lopette et prépare-toi à être tatouée ! ».
— Oooh ! C’est donc cela immortaliser ma condition ?
— Oui petite femelle. Ton Mâle et moi avons dessiné spécialement pour toi ta nouvelle carte d’identité !
Le picotement très désagréable se fit sentir sur mon pubis. David me tenait la main mais la douleur insidieuse des aiguilles me fit chialer comme une gonzesse. Je devais me concentrer sur la queue de mon Mâle, la caressant de ma main droite pour sentir une chaleur réconfortante. Je ne sentais plus rien entre mes jambes, que la douleur du tatoueur musclé et concentré sur le haut de ma cage, cage qui le faisait sourire, me trouvant ridicule et très tapette : « Ta fiotte va être parfaite avec ce tatouage, David ! Elle sera reconnue partout où elle ira. Tu vas lui faire pousser des petits seins pour l’humilier encore plus ? ».
— C’est déjà en route ! Cela fait cinq jours qu’elle prend des hormones sans qu’elle le sache !
A ces paroles j’ai eu un petit sursaut : « Qu’as-tu fait ? Tu m’as donné des hormones ???
— Oui chérie, comme cela tu te sentiras très femme et ta voix changera aussi.
— Mais tu te rends compte ? Que vais-je dire à mon entourage ?
— Que tu as changé de vie et que maintenant tu es une gonzesse !!!
. Mon Dieu !!! Mais…
— C’est ta destinée, Pascaline, et tu le sais !!!
— Je… Oui… Mais… je sentis ma verge gonfler sans pouvoir jaillir, ma chatte palpiter à ces mots.
— Tu le sens en toi non ?
— Oui c’est vrai. Je… je suis une fiotte. Ta lopette.
Ils rirent de bon cur et moi je pleurais de désir. Oui, je suis une lopette, une vraie bonne petite femelle qui n’est plus un mâle. Toute ma vie j’avais enfoui ce désir d’être une gonzesse, une lope, une bonne enculée, une baisée magnifique et prête pour le sexe, alors maintenant je me devais d’en assumer la réalité : Je suis Pascaline la lopette !!!
David m’embrassa, m’aida à me relever et me plaça devant le miroir, nue, où je pus enfin lire sur mon pubis qui j’étais réellement.
Au-dessus du reste de ma virilité était inscrit en lettres romantiques :
Sissy Pascaline.
Fin