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Garde ma fille – Chapitre 4




Garde ma fille 4

Allongés dans le sable des dunes, jai retiré mon haut. Il est à demi allongé sur moi, membrassant à pleine bouche. Sa main caresse mes mini-seins, descend sur mon ventre. Je le sens hésitant quand il arrive à la ceinture du short.

Alors je prends linitiative : je le déboutonne moi-même. Une fois fait, je passe ma main sur son ventre, déboutonne le sien et entre ma main à la recherche de sa verge. Elle est tendue, dure.

Je le masturbe doucement, prenant plaisir à sentir ce membre chaud vivre entre mes doigts. Les siens sont malhabiles ; il a glissé sa main dans ma culotte et me caresse doucement, me faisant gémir de plaisir. Il se redresse un peu, me regarde dans les yeux.

Tu as envie ?

Je fais juste oui de la tête, je me redresse également et retire mon short et ma culotte pendant quil baisse le sien. Je peux voir son sexe raide : il est assez gros et long. Comme cest le premier réel que je vois, je le compare à un sex-toy. Il nest ni énorme, ni petit : je le classe dans la normalité. Je me penche vers cette barre de chair ; je vais enfin goûter un sexe dhomme.

Quel plaisir que de sentir le gland glisser entre mes lèvres ; cest la première fois et jy prends un plaisir monstrueux. Je le suce comme si javais fait ça toute ma vie. Je me fiche quil pense que je suis une salope ou pas ; après les vacances, je ne le reverrai plus. Alors je prends mon plaisir, je le mène jusquoù je veux quil aille, jusquà sa jouissance. Je sens le gland grossir encore, le sperme monter dans sa verge qui tressaute entre mes lèvres. Le premier jet me surprend mais je ne le lâche pas, continuant à sucer et à branler la verge.

Jen ai une pleine bouche ; je recrache tout dans le sable. Il me pousse sur le dos, sallonge sur moi, sa verge encore raide dans sa main. Je sens le gland écarter ma vulve, entrer dans mon vagin étroit.

Ne jouis pas dedans, je ne prends pas la pilule.

Je me demande sil a même entendu ce que je viens de dire, il saffaire en soufflant au-dessus de moi, sa verge allant et venant dans mon vagin. Je le vois se cabrer au bout dune dizaine de coups. Non, ce nest pas possible Ce con est en train de jouir : je nai même pas eu le temps den profiter, et en plus il jouit dans mon vagin !

Je le pousse, lui administrant une claque.

Petit con, je tai dit de ne pas jouir dedans ! Tu es débile ou quoi ? En plus, tu ne me fais même pas jouir ; mais tu es vraiment un con !

Excuse-moi ; comprends, tu es ma première fille : cest parti tout seul.

Je ne lécoute même pas. Je prends mes affaires et cours jusquà la plage, jentre dans leau jusquà la taille, me lavant des doigts lintérieur de ma vulve, essayant de faire sortir le plus de sperme possible.

Il est là, tout penaud, debout sur le bord à me regarder. Je sors et mhabille.

Je suis désolé.

Pas autant que moi ; si javais su que tu étais puceau

Comprends, cest rare les filles aussi faciles que toi.

Facile ? Jai passé lâge de jouer à la poupée, figure-toi ; et les vacances ne durent pas léternité pour te faire lambiner. Je dois rentrer prendre une douche et attendre demain pour aller à la pharmacie, imbécile. Tu as intérêt de prendre des capotes la prochaine fois.

Tu ne me plaques pas ?

Non : jespère que tu te retiendras un peu plus longtemps, je nai même pas joui.

Si tu veux, nous pouvons le refaire ; je tassure que je ferai attention.

Au point où nous en sommes, pourquoi pas ? Mais tu as intérêt à me faire jouir, sinon tu te cherches une autre copine.

Nous voilà allongés sur le sable, au bord de leau ; jai lenvie de jouir qui me tenaille le ventre. Je le laisse faire. Cette fois, il prend son temps. Il lèche mes seins, descend sur mon ventre, écarte mes cuisses et lèche ma vulve, mal, mais cest bon tout de même.

Lèche plus haut et mets un doigt dedans. Il faut tout tapprendre ; ça va être joyeux… Jai deux trous, je te signale. Lautre nest pas orphelin : tu peux ten occuper également. Et autant que tu jouisses dans celui-là. Mais avant, tu me fais jouir ou je te mords la queue.

On ne dirait pas que tu es aussi cochonne en te voyant.

Lhabit ne fait pas le moine. Tu seras surpris. Profite et apprend. Tout à lheure, tu mas baisée ; fais-moi lamour, ça changera.

Il réussit tout de même à me faire jouir ; rien dextraordinaire, il faut lavouer, et quand il veut me sodomiser, sa queue nest pas assez raide : il ne réussit pas à entrer ou se débrouille mal. Il faut dire que le sable narrange rien et cela commence à mirriter. Nous rentrons en nous tenant par la taille. Il me laisse devant la porte après mavoir embrassée goulûment et pris rendez-vous pour le lendemain après-midi.

À la première heure, je passe à la pharmacie ; ma matinée se finit dans la salle dattente chez le médecin. Il est là ; devant la porte, à quatorze heures. Je lui fais une bise sur la bouche.

On fait quoi ?

On va à la plage.

Tu ne préfères pas que nous allions dans un endroit tranquille ?

Pour me sauter ? Le soir, ça suffit. Tu y auras droit ce soir : laprès-midi, cest la bronzette.

Tu veux faire un tour de bateau ? Je peux emprunter celui de mon père.

Nessaie pas de me prendre pour une courge : le bateau, cest ton endroit tranquille. En plus, jai le mal de mer. Tu ne peux pas attendre ce soir ?

Je voudrais te montrer que je ne suis pas si cloche que ça. Hier soir jai été minable, je le sais.

Cétait ta première fois avec une fille et je dois tavouer que cétait ma première fois avec un garçon.

Tu nes plus pucelle pourtant.

Tu as remarqué ? Il ny a pas que les mecs qui dépucellent les filles.

Tu es gouine ?

Non : jai eu loccasion dessayer avec une fille, et jai beaucoup aimé. Jaime tout autant avec toi.

Nous pouvons tout de même prendre le bateau ; je tassure que je ne tenterai rien.

Menteur ! Daccord, prenons-le ton bateau, sinon tu vas me faire une crise ; mais tu as intérêt à être doué. Mais ce soir, bernique.

Tu es vache, tout de même Pour une fois que jai une copine qui veut bien.

Je veux bien, mais pas dix fois par jour.

Ce soir, je ne demanderai rien.

Menteur ! Il est où, ton bateau ?

Tu as dit que tu as le mal de mer.

Cétait pour te décourager. Mais finalement, je crois que jen ai envie.

Tu es drôle comme fille. Tu sembles avoir seize ans et pourtant quand je suis avec toi, jai limpression dêtre avec une de mes profs. Elles veulent toujours tout gérer.

Bonne pioche : je suis ta prof de sexe.

Tu parles Tu nen connais pas plus que moi.

Attends dêtre dans ton fichu bateau ; je vais te montrer qui en connaît plus que lautre.

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