Je crois rêver. Je ne sais pas où il veut m’emmener. De quelles limites parle-t-il ? Jai toujours deux mains sur les fesses et j’arrive au vestiaire. Philippe récupère mon manteau et le garde sur son bras. Les mains quittent mes fesses et nous sortons du cabaret. J’ai le temps de me regarder dans une vitrine et je vois une femme sexy en robe courte avec des bas résille.
Philippe m’éloigne de la sortie du cabaret, me fait enfiler mon manteau et va retrouver le duo qui a touché mes fesses. Je me regarde de plus près dans la vitrine pour contrôler que mon maquillage est toujours bien. Je sors le rouge à lèvres de mon petit sac et en remets une couche.
Je regarde plus attentivement ces deux hommes. Ils doivent avoir dans la quarantaine, l’un est brun et l’autre châtain clair. Ils sont un peu plus petits que Philippe. Ils sont habillés très classe avec des costumes trois-pièces.
Les trois hommes se rapprochent d’un chasseur du cabaret. Je sens qu’ils demandent quelque chose. L’homme en uniforme rentre dans l’établissement et en ressort une minute plus tard en leur faisant signe que c’est OK. Mon homme vient vers moi et me tend le bras. Je passe mon bras dans le sien et je me colle à lui. Il m’emmène auprès de ces "nouveaux" amis.
— Ma belle, ces messieurs ont le désir de se joindre à nous pour la suite de la soirée.
Je suis déçue, je voulais rester seule avec lui
— Mais… Je croyais… j’espérais que nous finirions la soirée que vous et moi.
— Ne sois pas impatiente, nous finirons la nuit tous les deux, mais avant j’ai envie de beaucoup m’amuser avec toi
En disant ces derniers mots, il met une main sur mes fesses et me pousse en avant vers ces deux hommes. Ils me tendent la main que je lui présente. Ils me font un baisemain. C’est mon premier et je trouve ça très charmant.
— Bonsoir Mademoiselle, je suis Paul et je suis ravi de faire votre connaissance, vous êtes charmantes et vous avez un magnifique cul.
— Bonsoir Mademoiselle, moi c’est George, je suis enchanté de vous voir de face après avoir eu la chance de caresser votre magnifique fessier.
Je rougis de ces présentations peu banales devant ce lieu de spectacle.
— Messieurs, je vous présente Martine, elle est en apprentissage avec moi depuis quelque moi.
A ce moment une limousine blanche se gare près de nous. Le chauffeur fait le tour et vient ouvrir la porte. Je pense voir descendre une personne connue et je regarde l’intérieur du véhicule.
— Ma jolie, voici ton carrosse. Ces messieurs l’ont commandé pour nous.
— Ouahh, c’est extraordinaire, j’ai toujours rêvé de monter dedans
— Donne-moi ton manteau
Je le retire et le donne à Philippe. Les deux accompagnateurs me prennent chacun une main pour m’aider à monter. A l’intérieur c’est du velours rouge qui nous attend avec une banquette sur le côté gauche et une au fond. Ces messieurs me font signe de m’asseoir au fond et ils prennent place tous les trois sur l’autre.
Je m’assois et croise les jambes par pudeur car avec ma veste qui fait mini robe, ils vont voir toute mon intimité. Le chauffeur ferme la porte et nous démarrons.
George sort une bouteille de champagne du frigo et sert quatre coupes. J’en prends une et nous trinquons. C’est Paul qui lance le toast.
— A cette belle soirée et à notre rencontre.
Les verres tintent les uns contre les autres
— Alors Philippe, vous nous disiez qu’elle est en apprentissage ?
— Oui en effet, cette charmante personne qui est subordonnée à moi dans notre activité professionnelle, est venue me voir il y a quelque jour dans mon bureau pour me faire une requête que je n’ai pas pu refuser.
— Vous nous mettez l’eau à la bouche, qu’elle est elle ?
— Je pense que c’est à Martine de vous le dire.
Je ne sais plus où me mettre. Je me doute bien que s’ils sont avec nous dans cette limousine ce n’est pas pour jouer à la belote, mais quand même leur dire ce que Philippe attend de moi. Je ne sais pas quoi dire et je croise le regard de mon homme qui regarde mes jambes en fronçant les sourcils. Je sais ce que cela veut dire.
Paul insiste
— Alors ma chère dites-nous.
Je regarde ces trois hommes avec un large sourire. Je retire ma jambe droite de dessus ma cuisse gauche, tous doucement et je viens la poser suffisamment loin pour qu’ils voient ma culotte. Je prends les deux pans de ma veste, relève mes fesses, remonte ma veste sur ma taille et repose mes fesses sur la banquette.
— Je lui ai dit le souhait que j’ai de devenir une……………………… SA… LO… PE,……………….. SA………. SALOPE
Je dis ces mots avec beaucoup d’envie et en insistant sur chaque syllabe. Après l’avoir dit, je me sens libérée et reprends une gorgée de champagne. Je commence à prendre goût à ce breuvage. Je les fixe et je vois dans le regard de Paul et George, de la surprise mais surtout une très grosse excitation.
Dans les yeux de mon homme, c’est plus de la fierté que je vois, mais aussi une grosse excitation.
— Voilà Messieurs, vous savez ce qu’elle m’a demandé.
— Et donc vous en êtes où de l’apprentissage ?
— Je l’aide à repousser ses limites dans l’acceptation de sa condition de salope. Pour l’instant elle s’accepte en tant que femelle, elle prend goût à se montrer, elle commence à aimer son corps.
— Et elle aime le sexe ?
— Je pense que oui au vu de ses réactions quand je la touche. Mais elle est encore vierge de partout, j’attends le bon moment pour la déflorer.
Encore une conversation surréaliste sur ma personne, mon physique et mon avenir. Je ne devrais plus être choquée, mais cela me perturbe encore. Je crois que cela me donne chaud alors qu’avant cela m’offusquait. Il n’y a qu’une conclusion à cela c’est que j’aime que l’on parle de moi comme cela.
— On veut s’approcher et la toucher
— Oui certainement, je vous demande juste de suivre mes directives
Les deux hommes se lèvent et viennent vers moi au fond de la limousine. Philippe reste sur l’autre banquette et se rapproche pour regarder. Mes admirateurs se placent de chaque côté de moi.
— Donne-moi ça !
George prend mon verre et le penche aussi de ma bouche. J’ouvre mes lèvres et il fait couler les fines bulles. Il vide complètement le verre qui déborde de ma bouche et coule sur mon cou.
— Oh zut tu as tout mouillé ta jolie robe !
— Il ne faut pas rester comme cela
En disant cela Paul retire les boutons qui tiennent ma veste et ouvre les deux pans.
— Humm, très bon choix de lingerie Philippe. Elle est super bandante.
Ils me font pencher en avant afin de faciliter l’enlèvement de ma veste. Il me repousse dans le fond de la banquette.
— Mets ton cul au bord salope… vous permettez que je l’appelle salope ? Philippe
— Oui vous pouvez c’est ce qu’elle veut être, elle vous l’a dit elle-même
— Très bien
Pendant cet échange j’avance mon bassin vers le bord et je me retrouve presque allongée avec les cuisses largement écartées. Les mains des deux hommes se posent presque en même temps sur mes genoux et descendent à l’intérieur de mes cuisses en me caressant.
Ça y est je suis encore excitée, j’aime me faire toucher. Mon corps se laisse faire comme d’habitude et je fonds. Paul me renverse son verre dans la bouche qui déborde encore, coule le long de mon cou, sur mon torse et je sens le liquide arriver à mon nombril.
— Maintenant c’est son soutif qui est mouillé. Philippe, on peut continuer de déballer cette salope ?
— Et vous nous autorisez à fouiller sa bouche avec nos langues ?
— Oui faites, cela m’excite beaucoup
Paul me prend la nuque pour me redresser et rentre sa langue dans ma bouche. C’est mon deuxième baiser sexuel de la journée. J’ouvre ma bouche le plus grand possible et je lui donne ma langue. Georges en profite et dégrafe l’attache de mon soutien-gorge. Il fait glisser les bretelles sur mes bras, le retire et le donne à mon homme. Il passe ces deux mains sur mes tétons et les caresse.
Paul me lâche la bouche. Je retombe en arrière et reprends mon souffle. Georges vide sa flûte dans ma bouche et elle coule à nouveau. Cette fois-ci les deux hommes boivent le champagne qui coule sur mon torse et s’attarde sur mes tétons. Leurs bouches les triturent, leurs langues les lèchent et moi je gémis autant de plaisir que de souffrance de mon sexe coincé dans sa cage.
— J’ai envie de voir son cul
— Moi aussi
— Salope met toi à quatre pattes face à ton maître
C’est la première fois qu’il parle de Philippe comme cela et je vois un sourire sur son visage qui valide ce mot. Je me redresse, je descends sur mes genoux, pose mes mains au sol et remonte mes fesses vers eux.
— Mais quel beau cul, rond et gros comme il faut. En plus elle a des hanches et une belle taille marquée. J’adore.
Encore des hommes en extase devant ce corps que je trouve disgracieux pour un homme. Je crois que je suis faite pour donner des envies en tant que femme. Je cambre davantage le dos pour faire ressortir mes fesses.
— J’aime sa croupe de femelle, elle ne demande qu’à être saillie comme une jument cette salope.
— Cette jolie dentelle et ces résilles encadrées par ces deux grosses lunes blanches, c’est un spectacle tellement excitant.
— En effet messieurs mais ce sera mon privilège.
Des mains se posent sur mes hanches, caressent mes fesses, les palpent, les malaxent. Une main se faufile entre mes cuisses, les obligeant à s’écarter et rejoint la protubérance à l’avant de mon string. Les doigts se referment dessus et écrasent doucement la cage avec ce qu’il y a à l’intérieur.
Je gémis, je suis en train de prendre mon pied. Je me vois comme les filles des films que Philippe m’a donnés à regarder.
Mon homme se penche vers moi, prend mon menton et redresse ma tête vers lui.
— Tu aimes leur servir d’objet
— Ohhhhhh ouiiiiiiiiiiii
— Tu as envie de plus
— Si vous le souhaitez MONSIEUR
J’ai crié ce dernier mot lorsque la main qui tient mon sexe a serré plus fort son emprise.
— Je peux lui lécher les fesses ?
— Oui vous pouvez
Un liquide froid se répand aussitôt sur chacun de mes lobes et je sens deux langues jouer à le rattraper avant qu’il tombe. J’ai des langues sur mes fesses !!! Ce n’est pas possible, je deviens folle. C’est un rêve, un cauchemar. Je ne sais plus mais je n’ai pas envie d’en sortir.
A nouveau je sens ce même liquide descendre, mais cette fois c’est entre mes fesses et une langue pénétrer mon sillon.
— Ouiiiiiiiiiiii
Et je pousse ma croupe, comme ils ont dit vers cette langue qui joue entre mes fesses. Mon homme me redresse à nouveau le visage vers lui.
— Tu veux quoi salope ?
— Je veux… je veux
Je sais ce que je veux mais je n’ose pas le dire. La honte m’envahit. Je sens la chaleur monter sur mes joues. Personne ne peut le voir avec la lumière tamisée du véhicule.
— Alors !!! dis-moi
— Oui dis-nous salope tu veux quoi ?
La langue essaye d’aller plus loin, la main sur ma cage l’a fait rouler doucement en caressant le haut de mes cuisses.
— Hummm, je veuuuux…… sexe
— Tu veux du sexe, c’est-à-dire.
— Ouiiiiiiiiiii je veux voir votre sexe Monsieur, je veux que vous l’utilisiez sur moi
Je ne me contrôle plus, je ne contrôle plus mes paroles, j’ai basculé en cet instant vers cet autre que je suis en train de devenir et qui me fait peur devant ses réactions. Mon homme me fait redresser la tête. Il ouvre la ceinture de son pantalon, défais les boutons de la braguette. Son caleçon est tendu comme une tente avec un énorme piquet au milieu. J’ai déjà senti ce pieu dans mon dos, mais je ne l’ai jamais vu.
J’ai tellement envie de voir son sexe, depuis tellement longtemps que je fixe son caleçon avec la bouche ouverte autant par surprise que par envie. Georges et Paul se sont rapprochés de ma tête pour regarder ce qui se passe tout en gardant leurs mains sur mes fesses.
— Tu veux voir mon sexe ma belle ?
— Oui Monsieur
— Alors demande comme il faut
— Je veux votre sexe s’il vous plaît
— Arrête avec tes mots de petites bourges, parle comme une salope
— Je… je… je veux votre BITE
— Voilà, là j’ai compris.
Enfin je vais voir ce que je convoite depuis tellement longtemps.
— J’aime voir une femelle réclamer son mâle, est-ce que nous pouvons aussi montrer nos bites à cette salope. Elles sont très contraintes dans nos pantalons.
— Oui il faut qu’elle voie un maximum de bite ce soir. Allez-vous asseoir au fond je vous rejoins.
Les deux hommes se déplacent jusqu’à la banquette du fond et Philippe les rejoint en se mettant entre eux deux. Il passe à côté de moi et je me retourne sur mes genoux pour le suivre du regard. Paul et Georges ouvrent leurs pantalons.
— Viens nous rejoindre comme une petite chienne ma belle.
Je me déplace sur mes mains et genoux doucement en tournant exagérément mes hanches de chaque côté. Et d’instinct je me lèche les lèvres. Je viens poser mon menton sur les genoux de mon homme.
— Messieurs, montrons-lui ce qui va devenir sa raison de vivre
Les trois hommes dégagent leurs sexes des caleçons et ils jaillissent comme des diables de leurs boîtes. J’ai trois phallus devant moi qui sont orientés vers le ciel et j’en suis la cause. C’est moi qui les ai mis dans cet état !!! Je suis enfin douée pour quelque chose.
J’ai toujours le menton sur les genoux de Philippe. Je suis à 50 centimètres de son sexe tendus pour moi. Je salive. Je le sens puisque je suis obligée de déglutir pour ne pas que cela coule de ma bouche. Il prend son sexe dans sa main et commence à faire des va-et-vient dessus en me regardant. Ces mouvements font jouer son prépuce qui se retire et se remet à chaque fois.
Une odeur que je ne connais pas gagne mes narines. C’est l’odeur d’un sexe d’homme quand il bande. J’inspire fort pour qu’elle rentre dans mon nez et ma mémoire. Mon regard est hypnotisé par ce sexe….. cette bite comme je dois dire. Mon homme me fait tourner la tête vers Paul en appuyant sur ma joue.
Paul fait les mêmes mouvements mais avec une bite plus longue, plus fine et sans prépuce. Je suis fascinée par la longueur quand je repense à mon sexe. Quand mon regard s’est bien rassasié de cette autre bite, une nouvelle impulsion sur mon autre joue me fait tourner la tête de l’autre côté.
Je vois maintenant celle de Georges, plus petite mais deux fois une grosse avec un prépuce très long. Je fixe cette nouvelle découverte comme les autres.
— Alors messieurs elle n’est pas bandante ma salope ?
— Si très, et vous voulez qu’elle fasse quoi maintenant ?
— Je veux qu’elle nous regarde nous branler pour l’instant
Et les trois hommes continuer de se caresser tous doucement pendant que je tourne la tête de droite à gauche sans m’arrêter. Je les veux ces bites, je veux les toucher, les sentir…
— Vous croyez qu’elle aime cela
— J’en suis sûr, j’ai eu la chance de passer ma langue entre ces deux magnifiques fesses et je peux vous dire qu’elle sent la femelle en chaleur. Son cul dégage une odeur de sexe qui montre qu’elle mouille du cul.
Je n’entends plus ce qu’ils disent. Je suis concentrée sur ces trois bites. Je les veux. Je ne sens plus mon petit sexe qui a dû épouser complètement la forme de ma cage. Je sens juste mon sphincter palpiter et couler sur le petit bout de tissus qui me passe entre les fesses.