Quand le dernier eut fini d’abuser de moi, je me relevai et me dirigeai vers mon maître et mon mari. J’avais du sperme qui coulait le long de mes jambes.
« Tu vas rester avec Mr Goffin toute la nuit. A tout à l’heure chérie »
Mon mari monta dans la voiture et parti, me laissant nue avec ce vieux pervers.
Je me sentais abandonnée.
« Tu as été une bonne esclave, tiens, remets ta robe ! »
C’était la seule chose de réconfortant. Je la renfilai rapidement.
Puis on monta dans sa voiture. Je le suivais docilement.
« On va voir quelques amis, tu devras être gentille avec eux »
« Oui maître » et il posa la main sur mes jambes .
On arriva une demi-heure plus tard devant une sorte de petit club privé.
Il me tenait la main et m’entraîna dans le club. Il semblait être habitué car le personnel le saluait familièrement.
C’était un genre de club sombre avec des fauteuils. Il n’y avait que des hommes d’âges mûrs qui fumaient le cigare et buvaient des alcools forts.
Il me présenta à des hommes assis à une table qui semblaient être des amis.
On s’assit et discuta. Il y avait trois hommes passés la cinquantaine.
On me fit des compliments sur ma robe.
L’homme assis à côté de moi posa sa main sur mes jambes croisées et passait son temps à me caresser.
Je me laissais faire comme Mr Goffin l’avait demandé.
L’homme me prit par la nuque et m’embrassa devant tout le monde.
Le baiser dura longtemps. Les autres l’encourageaient.
Il ouvrit son pantalon et son sexe en sortit tout raide.
« Viens t’asseoir sur moi petite !»
Résignée, je me levai et l’enjambai pour placer mon sexe au-dessus du sien.
Il me prit par les hanches pour m’ajuster et força pour que je m’assois.
Son sexe tendu me pénétra sans difficulté.
Je mis mes bras autour de son cou et commençai à monter et descendre discrètement sur son membre.
Il devait avoir bon car il gémissait tout en m’embrassant avec la langue.
Après quelques minutes de ce traitement, il eu des convulsions violentes indiquant qu’il venait d’atteindre l’orgasme dans mon ventre.
Je m’effondrai de fatigue sur lui, contente que tout ce soit passé discrètement.
Soudain, il prit ma robe par le bas et la releva complètement pour me l’ôter.
J’étais gênée car j’étais à présent entièrement nue sur cet homme devant tout le monde, son membre encore fiché dans mon vagin.
Les hommes de ma table souriaient et faisaient des commentaires désobligeants.
« Tu as raison, elle est vraiment bonne cette fille »
« Quelle salope ! »
« Merci de nous avoir amené cette pute »
.
« Va nous chercher 4 cognac maintenant ! »
« Mais je suis toute nue . »
« Justement ! »
Je me levai alors de mon amant qui n’avait pas arrêté de me peloter les seins et les fesses.
Humiliée, je déambulais entre les tables entièrement nue pendant que mes amants et les autres clients se rinçaient l’oil.
Arrivée au bar, je m’adressais aux deux barmen pour passer la commande.
« Waw ils nous ont apporté une pute ! Tu es avec qui poupée ? »
« Je suis avec Mr Goffin, je voudrai 4 cognac s’il vous plaît »
« Passe de ce côté du bar chérie »
Je passai de l’autre côté comme on me le demanda.
Une main aux fesses, le barman me guida. Il me mit contre le bar, légèrement recourbée vers l’avant, les seins écrasés sur la tablette.
J’étais vraiment embarrassée car j’étais face aux clients assis au bar. Je pouvais voir aussi les clients des tables ainsi que mon maître au loin.
Le barman posa ses mains sur mes hanches et je sentis quelque chose de dur forçant l’entrée de mes fesses. Je tournai la tête brusquement et vis le barman qui était entrain de me pénétrer l’anus. comme ça devant tout le monde.
Il rentra lentement pour ne pas me faire mal, puis arrivé au bout, il commença à me ramoner énergiquement.
Les clients du bar regardaient avec intérêt, d’autres venaient passer commande à l’autre barman et profitaient du spectacle.
Mon amant bavait sur mon dos pendant qu’il me défonçait l’anus.
Puis il ralentit et ses coups de boutoirs devinrent violents me soulevant littéralement et faisant vibrer le bar en bois ainsi que les verres posés dessus.
Il venait de se décharger dans mon cul.
Le reste de la nuit fut ponctué de la même façon par des humiliations sexuelles avec des clients sur les tables ou dans les toilettes.
Mon corps était rempli de sperme d’inconnus qui s’étaient servis de moi comme d’un vulgaire vide-couilles.
Reprenant la route avec Mr Goffin, j’espérais que mon calvaire serait terminé.
« Tu as assuré chérie pour une première. Ca présage que du bon pour l’avenir »
Il s’arrêta sur la même aire de repos qu’en début de nuit. Il recula son siège au maximum, me fit enlever ma robe et m’ordonna de m’empaler sur lui.
Je montais et descendais sur son pieu pendant que ses mains se baladaient sur mon corps.
Tout à coups il se contracta et se répandit en moi.
Terrassée, épuisée, humiliée, il me fit descendre de la voiture tout en gardant ma robe en souvenir.
« Tu vas aller faire de l’autostop à poils sur le bord de l’autoroute pour rentrer chez toi . »
Et il partit me laissant seule, nue, sans téléphone ni argent.
Je n’eu pas d’autre choix que de faire ce qu’il me dit et me plaçai donc sur le bord en levant le pouce. J’étais humiliée définitivement.
Quelques camions passèrent en claxonant puis une voiture s’arrêta.