Le jeudi 18 décembre est la date de notre première sortie en couple. Cathy a choisi un restaurant en centre-ville, ce qui nous permet de nous balader dans les rues décorées pour Noël. Nous ne nous cachons absolument pas. Nous nous embrassons fréquemment. Nous ne croisons personne que nous connaissons. Le souper est excellent et nous montons ensuite à pied en vieille-ville. J’emmène Cathy derrière une bâtisse d’un autre âge où une connaissance, professeur d’histoire à l’université, m’avait jadis montré un escalier complètement dissimulé de la rue, mais parfaitement accessible, qui permet d’atteindre le sommet du bâtiment et d’avoir une belle vue sur la ville. Cathy est enchantée.
— Merci de m’avoir amenée ici, je ne connaissais pas du tout. Dire que je suis née dans cette ville !
Elle m’embrasse.
— Très peu de gens connaissent ce coin.
— C’est très romantique, mais…
— Mais ?
— Ce n’est pas de romantisme dont j’ai envie tout de suite.
Elle s’agenouille devant moi et me gratifie d’une de ses meilleures fellations. Quand elle se relève, elle se tourne immédiatement et soulève sa robe sur un porte-jarretelles, mais au lieu de la pénétrer, je m’agenouille à mon tour et lèche tour à tour ses lèvres mouillées et son anus. Je la pénètre mais après quelques instants, Cathy me dit :
— Viens derrière…
— Tu es sûre ?
— Oui…
Je m’enfile alors lentement dans son cul.
— Viens, viens plus vite…
Je pousse plus loin, elle gémit puis je commence à aller et venir en elle. Cathy me regarde par dessus son épaule :
— C’est bon, continue…
Je sodomise la jolie blonde devant cette vue magnifique sur notre ville. Cathy jouit et crie son plaisir sans se retenir. Je viens une dizaine de secondes après elle. Je me retire. Cathy se nettoie. Nous nous embrassons.
— Tu es folle et j’adore ça.
— Je suis folle à cause de toi… ou peut-être folle de toi.
Notre baiser est très intense, mais piqués par le froid, nous ne nous attardons pas sur le toit. Dans la descente, nous croisons quatre jeunes femmes qui montent à leur tour. En bas, Cathy s’en amuse :
— Imagine si elles étaient arrivées dix minutes plus tôt !
Nous allons chez elle où nous aurons un autre rapport. Je passe la nuit avec elle et promets à Cathy de trouver une date pour que nous fêtions Noël ensemble.
Jessica est en vacances dès le vendredi 19 décembre au soir et elle vient à la maison y passer la semaine de Noël, bien que je travaille jusqu’au 24 inclus. Je suis heureux qu’elle soit à la maison et pourtant, quelque chose ne tourne pas rond. En réalité, je remarque que je suis agacé par Jessica lorsque je vis avec elle. Elle est sur mon dos le matin et le soir dès que je rentre du travail. Le premier jour, le lundi 22, je ne dis pas que je ne suis ravi de rentrer et de me faire sucer. Mais ensuite, je me rends compte que j’ai aussi besoin d’échanger et de discuter. Avant de rencontrer Cathy, je ne m’étais pas rendu compte combien cela était important.
Mais surtout, j’ai honte. Honte de tromper Jessica, honte de lui faire cela alors qu’elle est adorable avec moi. Elle est juste elle-même et si cela ne me convient plus, je dois prendre une décision. Mes journées de travail cette semaine-là sont troublées. Je m’en veux, je sens que je ne peux pas continuer comme cela, en trompant et mentant sans cesse à Jessica. Le pire, je crois, est qu’elle le sent. Elle ne me le dit plus, mais je le vois dans ses yeux. Elle sait qu’il se passe quelque chose et en rajoute. Elle a pris ce qu’il fallait pour que nous pratiquions la sodomie et réclame que nous essayons chaque jour. Elle justifie cette soudaine envie par le fait que je lui ai dit que j’adorais cela.
Jessica porte tous les jours de la lingerie fine pour me plaire, y compris lors des fêtes de Noël en famille. Le 24 au soir, nous sommes dans sa famille et le 25 dans la mienne. Jess est sublime lors des deux évènements. Elle porte de la lingerie rouge sous ses tenues, une guêpière le 24 et un porte-jarretelles le 25.
Je parviens à téléphoner à Cathy le 24 au soir. Quelques minutes seulement, mais un vrai plaisir de l’entendre. J’en profite pour lui demander si elle serait d’accord pour notre Noël le 30 au soir. Elle me dit qu’elle va regarder. Elle me confirme par message le lendemain matin.
Jessica rentre chez elle le dimanche soir. Je lui ai dit que j’avais deux jours de travail intenses et que je ne viendrai que le 31 chez elle puisque nous réveillonnons chez l’une de ses amies. Je n’arrive plus à savoir si elle me croit ou si elle a des doutes. J’analyse tout, j’analyse trop. Elle part à 19h30 et j’appelle Cathy. Je lui dis que je passe en vitesse, mais elle a des invités. Je renonce.
Deux jours plus tard cependant, je ne m’attarde pas au travail et fonce chez elle. Nous avons convenu que je me changerai sur place. En arrivant, j’ai un petit mot sur la porte :
— Sonne. Compte lentement jusqu’à dix. Entre et va directement à la salle de bains et changer. Tu peux te doucher. Ne viens au salon que lorsque tu es prêt. Tendres baisers. Ta Cathy
Je suis les consignes à la lettre et file à la salle de bains sans même jeter un coup d’il au salon. A l’intérieur, son parfum et des savons parfumés à ma disposition. Je me douche rapidement et me prépare. Je mets un costume et une chemise, puis coiffé et parfumé, je sors et je m’annonce. Bouteille de vin dans une main, joli bouquet de fleurs dans l’autre. Cathy se montre enfin. Mini-robe blanche stretch sous laquelle il est clair qu’elle ne porte aucun dessous. Nous nous embrassons à pleine bouche et j’ai déjà envie d’elle.
A l’apéro, nous nous échangeons nos cadeaux. Elle m’offre un livre sur le vin et elle est aux anges en découvrant l’ensemble soutien-gorge et string de sa marque préférée que je lui offre. Nous trinquons. Je ne cesse de lui répéter combien elle est belle ce soir.
— J’apprécie particulièrement que tu n’aies pas mis de soutien-gorge sous cette robe.
Elle m’embrasse.
— Tu t’occupes si bien de mes tétons durant nos ébats que je ne pouvais pas faire autrement.
Nous rions et elle ajoute ensuite.
— Ce n’est pas inexacte en réalité. Il est très rare que je ne porte pas de soutien-gorge à cause de la taille de mes bouts.
— Tu sortirais ainsi ?
Elle hésite.
— Il y a quelques semaines, j’aurais dit non sans hésiter. Aujourd’hui, je suis plus nuancée. Avec toi…
Nos baisers se font plus chauds et Cathy me suce quelques instants.
— On avait dit rien avant le dîner mais c’était trop tentant.
Nous rions, mais nous en restons là pour l’instant. Quand Cathy se lève pour passer à table, je ris intérieurement en voyant la tache humide qui marque sa robe à l’arrière. Le dîner (aux chandelles) est divin et tout en séduction. Cathy me répète qu’elle n’est pas une bonne cuisinière chaque fois que je lui dis que c’est bon.
Nous repassons au salon. Le vin nous fait tourner la tête. Lorsque Cathy se lève pour aller chercher le café, je l’attrape et lui dis finalement :
— Il y a une tache sur la robe.
Cécile tombe dans le panneau :
— Ah bon ? Ou ça ?
Je pointe ses fesses. Cathy se tortille pour voir la tache. Je soulève la jupe au-dessus de ses fesses et en profite pour lui embrasser la croupe. Cathy rit tandis que je mordille et lèche son cul à pleine bouche. Quand j’écarte ses fesses, elle se penche légèrement en avant. Je lèche son petit trou avec avidité, elle gémit et proteste :
— Arrête, arrête, nous avons toute la nuit.
Après le café, il est clair que nous pouvons enfin nous laisser aller. Nous faisons une première fois l’amour sur le canapé. Puis Cathy passe son nouvel ensemble et nous baisons une seconde fois sur le canapé, ébat qui se termine en sodomie. Après une douche, nous couchons une troisième fois ensemble dans son lit, clairement notre ébat le plus tendre depuis que nous sortons ensemble. Au réveil, mercredi matin, nous remettons ça. Cathy comprend que je ne m’attarde pas. Elle doit toute façon rejoindre des amies à la montagne pour le Réveillon.