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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 5




Remise de ses émotions, Vanessa passe à la salle de bains avant moi. Quand j’en ressors, elle est sur son téléphone portable.

— A qui écris-tu ?

— Mes copines.

— Je peux lire ?

Vanessa sourit :

— Si tu veux.

Vanessa vient visiblement d’engager la conversation via un "ÇA Y EST !" suivi de plusieurs smileys souriants au sein d’un groupe de discussion. La suite est aussi touchante pour Vanessa qu’agréable pour mon égo. Jessica, Jennifer, Elise et Caroline ne se contentent pas, en effet, de féliciter et d’envier Vanessa pour la perte de sa virginité. Non. Rapidement, la première vante la taille de mon engin et surtout, mon aptitude à donner du plaisir, précisant que je l’ai faite "monter aux rideaux". Jennifer fait par de sa curiosité à mon égard et Caroline, de son excitation ("je suis toute mouillée"). Enfin, Elise indique son intérêt pour les gros sexes et sa jalousie amicale envers Jessica et Vanessa d’avoir couché avec moi.

Les échanges des messages durent quatre ou cinq minutes avant que Vanessa ne pose son téléphone. Je la repousse dans le lit. Je viens sur elle, nous roulons, elle se retrouve sur moi. Baisers. Je la caresse, la pelote, la couvre de compliments. Elle m’embrasse puis s’allonge sur mon torse, l’embrasse. Je recommence à bander. Je laisse Vanessa s’occuper de moi, découvrir, prendre ses marques. Curieuse et impatiente, elle descende rapidement à mon sexe. Hésitante, elle le caresse avec douceur, le prend entre ses doigts, le relâche. Elle le serre, le malaxe, le masturbe un peu. Elle me regarde, un peu gênée. Elle l’embrasse enfin. Un baiser suivi d’autres le long de ma verge qu’elle finit par prendre lentement dans sa bouche. Elle lèche mon gland, l’embrasse, j’apprécie ses caresses et la laisse gérer à son rythme. Mon sexe emplit petit à petit sa bouche. Elle cesse, me masturbe, me regarde :

— Tu fais ça super bien, ma belle, vraiment super bien.

Vanessa sourit, rougit, et me reprend dans sa bouche et monte et descend, toujours très lentement.

— Mmmh Aspire Oui, comme ça Oh mon Dieu Repasse ta langue à cet endroit Oh là, oui, encore Mmmh Masturbe-moi en même temps Oh ! Oui ! Oh Un peu plus vite Oui, voilà, comme ça Oh oui

Vanessa me pompe ainsi durant près de dix minutes et j’avoue qu’il n’en aurait pas fallu beaucoup de plus pour que j’explose dans sa bouche. Elle remonte sur moi, m’embrasse, et dit :

— J’ai envie de toi.

Tandis que Vanessa s’allonge sur le lit, j’enfile une capote et je m’introduis entre ses jambes ouvertes. Les mains sur mon ventre, Vanessa maitrise la pénétration. Elle n’a pas mal et je commence mes mouvements de hanches. Yeux dans les yeux, nous faisons l’amour avec tendresse. Aujourd’hui, seul son plaisir compte et j’ai envie qu’elle en prenne un maximum. Je suis à son écoute, tout en faisant en sorte de l’emmener à la jouissance. Elle l’atteint quelques minutes plus tard, à deux reprises consécutivement.

Après quelques secondes enlacé dans ses bras, je me retire et reviens en elle en cuillères. Caressant son clitoris, je la fais jouir une troisième fois. Vanessa se couche ensuite sur le ventre et je suis le mouvement en me couchant sur son dos. Derrière elle, je continue d’aller et venir puis, lentement, je me redresse et l’entraine avec moi : Vanessa se retrouve à quatre pattes. Avant que je ne bouge en elle, elle me jette un coup d’il par dessus son épaule, souriante. Sa première levrette.

Large et rebondi, son cul me rend fou et dans cette position, Vanessa donne vraiment envie de sexe très vigoureux. Je me permets tout de même 2 ou 3 coups de rein plus appuyés qui font gémir la jeune femme. Augmentant progressivement l’intensité, je jouis en elle quelques minutes plus tard.

Affalés sur le lit, nous nous embrassons ensuite durant de longues minutes. Vanessa est aux anges, heureuse et comblée de sa première fois. Après la douche, elle passe une tenue bien plus soft composée d’un jean et d’un t-shirt. Nous quittons l’hôtel comme si nous sortions manger. Dans la voiture, sur le chemin du retour, un magnifique sourire ne quitte plus le visage de Vanessa. :

— Je te dépose chez Jennifer ?

— Non, elle est à son cours de tennis à cet heure-ci. Tu peux me poser vers chez moi ?

— Sans problème.

Elle rit. Un dernier baiser à un feu rouge avant de la laisser à un arrêt de bus à deux cents mètres de chez elle.

Il est 17h30 et je reprends la route, ravi moi aussi de cet agréable journée. A proximité de mon domicile, arrêté à un feu rouge, j’aperçois sur une publicité, un célèbre joueur de tennis. Il me vient une idée parfaitement saugrenue. J’attrape mon téléphone portable, entre l’adresse de Jennifer et cherche alentour Le lieu le plus proche pour jouer au tennis est le Centre Sportif de Saint-Angel, un magnifique complexe sportif à la campagne. Demi-tour. Évitant les grands axes un peu chargé en cette fin d’après-midi, il me faut une vingtaine de minutes pour atteindre le centre. En arrivant, je saute de la voiture et me dirige d’un bon pas vers les courts de tennis. Je ne me suis pas trompé : Jennifer s’entraine sur le second court de tennis, seule avec un entraineur. Les premiers coups de raquette que j’aperçois me surprennent : Jennifer semble très douée. Mais à peine cinq minutes après mon arrivée, le coach met fin à la séance et Jennifer réunit l’ensemble du matériel. Elle salue l’homme et sort du court, remplacée par une autre tenniswoman.

Alors que Jennifer se dirige vers le club house, je me rends alors compte de l’incongruité de ma présence ici. Mais il est trop tard pour me cacher. Je suis la seule personne alentours et Jennifer m’a vite aperçu. Elle s’approche de moi, sourire aux lèvres.

— Florent ! Que faites-vous par ici ? La journée s’est bien passée avec Vanessa ?

Son aplomb me déstabilise quelques secondes. Je ne réponds pas tout de suite.

— Oui, la journée a été très agréable. J’avais rendez-vous au ici avec un ami mais il vient de m’envoyer un message pour me dire qu’il ne pourra pas venir. J’allais partir quand je t’ai aperçue. Tu es vraiment douée.

Jennifer rougit et rit. Je croise les doigts pour que mes flatteries noient sa curiosité et cela semble marcher.

— Je joue depuis l’âge de 7 ans et je suis classée depuis cinq ans maintenant. Je ne sais pas si j’ai envie d’aller plus haut, car cela demanderait bien plus de sacrifices personnels.

Alors qu’elle me parle, je la dévore sa tenue des yeux. Je pensais qu’il s’agissait d’une robe, mais c’est en fait un débardeur moulant et une jupe plissée, tous deux blancs, comme ses chaussettes et ses chaussures. Sous le débardeur, je devine un brassière de sport. Je lui dis :

— Tu as le temps de boire un verre ?

— Pas vraiment. Je dois aller me doucher rapidement puis prendre le bus pour rentrer chez moi et si je le rate, je dois attendre 1h30.

— Je peux te raccompagner.

— Dans ce cas-là, on va boire le verre chez moi.

— Tu vas te doucher avant de partir ?

— Bah, si ça ne vous dérange pas, je préfère autant le faire à la maison.

— Aucune problème. Si tu cesses de me vouvoyer.

Elle rit.

— Ok, pas de problème.

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