1 – Du fantasme à la réalité
Je m’appelle Julien, j’ai 20 ans, je suis brun, mesure 1 mètre 70 et je suis plutôt pas mal d’après mes nombreux coups d’un soir. Malgré ces nombreuses conquêtes, une seule femme me donne réellement envie. Ma tante ! Elle s’appelle Sandrine et a 42 ans. Elle est blonde, mesure 1 mètre 60 et est très bien conservé pour son âge. Des fesses parfaitement rebondies et des seins qui donnent envie de plonger dans son 95D. Elle est marié et a deux enfants, son mari est très souvent absent et ses enfants sortent eux aussi souvent.
Il m’est à plusieurs reprises arrivé de me masturber en pensant à elle, dans toutes les positions, dans tous les endroits possibles et imaginables. Je la voyais beaucoup quand je venais voir mes cousins, surtout en été pour profiter de leur piscine. Ma tante avait l’habitude d’y être souvent et de ne pas mettre le haut de son maillot, m’offrant la vue de ses seins magnifiques.
Puis un jour, le rêve devint réalité. Alors que jétais chez elle avec un de mes cousin, celui-ci du partir. Je me retrouvais donc seul dans la maison, avec ma tante ! Et cest à ce moment que jai décidé de passer à laction. Ma tante était en train de dormir dans la chambre et rien que de penser à elle, je commençais à être excité.
Plutôt que de masturber, je suis monté dans sa chambre pour admirer ma sublime tante. Elle était allongée sur le lit dans une nuisette en soie et surtout sans soutien-gorge, ni string ! La vue de son entrejambe parfaitement épilée ma soudainement donné des pulsions. Je nai pas pu me retenir et sans réveiller ma tante, je pris linitiative de lui faire plaisir.
Je mapprochais doucement de son sexe, puis donna un premier coup de langue. Jenchaînais les léchages et succions, quand après plusieurs minutes, Sandrine eu un orgasme qui la réveilla.
— Quest-ce que tu fais ?
— Laisses-toi faire tu vas aimer. Lui répondis-je.
— Mais tu es mon neveu, ça ne se fait pas !
— On ne le dira à personne, jen rêve depuis des années.
Ma tante eu un rictus et accepta alors limpensable. Elle descendit du lit et se mit à genoux devant moi. A peine lai-je vu comme ça que jeu une érection comme jamais je nen avais eu. Elle me baissa mon pantalon et mon caleçon pour soffrir la vue de mon membre qui ne demanda quà être avaler. Elle commença donc une fellation, qui ne sera surement pas la dernière de sa part. Et en plus, elle savait y faire. Elle jouait avec sa langue sur mon gland, et faisait des allers-retours en me regardant dans les yeux.
Jétais de plus en plus excité et je pris ma tante pour lallonger sur le lit, après avoir retiré sa nuisette. Nous étions tous deux nus et cétait le moment que jattendais depuis des années. Jallais enfin baiser ma tante, Sandrine.
Je pris mon sexe en main et le mis à lentrée de la chatte de ma tante, puis minsérais de toute ma longueur dun seul coup. Elle poussa un petit gémissement qui me donna envie de lui donner encore plus. Jenchaînais donc les va-et-vient pendant plusieurs minutes, nous prenions notre pied ensemble.
Après quelques coups de boutoir, je pris Sandrine et la retourna. Elle comprit ce que je voulais et se mit à quatre pattes. Je lattrapai par les hanches et recommençai à la pénétrer, mais cette fois-ci un peu plus violemment car cest une position dans laquelle je voulais vraiment la prendre. Les parois de sa chatte commençaient à se resserrer sur mon sexe, ce qui était signe que son orgasme commençait à arriver. Je me mis alors à accélérer mes mouvements pour faire monter son plaisir encore plus vite. Elle poussa alors un cri synonyme de sa jouissance. Javais réussi à me retenir car javais une idée en tête.
Jai retourné ma tante pour mettre ma bite entre ses seins. Elle les resserra pour faire pression sur mon sexe et après quelques allers-retours, je sentis la sauce monter. Je dis donc à ma tante de se mettre de nouveau à genoux et de me sucer. Elle fit la moue.
— Préviens moi quand ça vient me dit-elle.
Visiblement elle naimait pas le sperme, mais pris quand même mon sexe en bouche. Elle me faisait de plus en plus de bien et je sentis que ça venait. Plutôt que de la prévenir, je lattrapais par larrière de la tête pour enfoncer mon membre le plus loin dans sa gorge. Jenvoyai un premier jet dans sa bouche avant de sortit pour finir sur son visage. Cette vision métait très agréable.
— Je tavais dit de me prévenir ! cria-t-elle en sessuyant les yeux.
— Désolé mais je nai pas pu me retenir et je te trouve très belle comme ça lui dis-je en riant.
— Même si cest un peu dégueu, cest pas si désagréable que ça en fait. Cest même assez excitant.
— Jespère quon le refera, cétait vraiment trop bon, Sandrine.
— Jespère aussi mon neveu, ça faisait longtemps que je navais pas vécu ça.
Elle se leva en me disant :
— Je vais prendre une douche, je suis toute poisseuse. Et si tu veux je serais seule toute la semaine prochaine. Je pense quon va bien samuser.
Elle ne pensait pas si bien dire. A peine avait-elle dit ça que des tonnes de scénarios me passèrent par la tête, la semaine prochaine allait être inoubliable.