Les vacances sont vraiment un moment où L se laisse aller. Depuis l’aventure racontée précédemment, seul un moment intime dans notre jardin est venu pimenter nos relations.

Pour ces nouvelles vacances d’été, nous avons opté pour une petite maison avec piscine en bord de méditerrané, pour l’occasion, je lui ai acheté un maillot de bain string complété par un bandeau pour le haut. Pensant qu’il serait utilisé uniquement pour une soirée ou deux lorsque les enfants seraient couchés. Ma première surprise est de voir qu’elle n’a pris qu’un seul maillot de bain en plus de celui acheté, a-t-elle l’intention de la mettre en journée ? La réponse arrive le quatrième jour. Alors que les enfants sont dans la piscine, je la vois sortir de la maison avec ce petit bout de tissu sur les fesses. Les enfants se moquent d’elle en lui disant que l’on voie ses fesses, chose qui est plutôt agréable pour moi, je me rince l’il en regardant ce beau petit cul qui gigote dans l’eau et sous mon nez, après quelques minutes de voyeurisme, je les rejoins dans l’eau en plongeant pour foncer directement vers cette partie du corps qui me fait tant rêver.

Je refais surface dans son dos, lui attrape le cul et lui glisse à l’oreille qu’elle est splendide et qu’elle me fait bander.

L’après-midi reste bien sage, tout comme les jours suivants, malgré plusieurs tentatives pour faire monter un peu la chaleur, comme en lui proposant de me rejoindre pour un petit bain de minuit. Avant de se lâcher la deuxième semaine.

Nous jouons dans l’eau, les enfants et L s’amusent à sauter dans l’eau pendant que je suis tranquillement le cul dans une bouée à les regarder en faisant le juge de ce concours. A chaque saut, le bandeau que L porte glisse pour libérer ses deux belles poires. Elle est donc obligée de le replacer à chaque saut. Au bout de quelques minutes elle, l’enlève et me le lance, la voilà les tétons à l’air, devant les enfants qui se moquent à nouveau d’elle. De mon côté, je reste sans voix et profite une nouvelle fois du spectacle pendant deux trois minutes avant que L ne s’approche de moi, m’agrippe le paquet en me lançant tout bas « le spectacle semble te plaire, tu veux jouer avec moi ? », un petit jeu commence alors, à la manière de deux ados qui se cachent pour se bécoter, nous profitons de chaque moment à l’abri des regards pour nous tripoter, ou cachés tous les deux dans la bouée pour lui lécher les seins pendant qu’une de ses mains est plongée dans mon maillot.

Notre jeu coquin fini, le cours de la journée reprend son rythme normal, mais une tension sexuelle est présente entre nous deux.

L’heure du coucher des enfants arrive enfin, je laisse L s’en occuper pendant que je me charge de sortir le chien. Pendant mon tour du quartier, je me remémore nos jeux de l’après-midi et espère qu’ils reprendront rapidement à mon retour. Ces pensées provoquent une réaction dans mon short qui est décuplé à mon arrivée lorsque je vois L de l’autre côté de la piscine, elle a remis son maillot de bain string et le bandeau. Elle plonge dans l’eau et ressort le bandeau sous les seins, elle rejoue la scène de l’après-midi, mais avec une pointe d’érotisme en plus, le temps de rentrer le chien et de faire voler mes vêtements pour plonger nu, L continue de sauté dans l’eau en remettant en place son haut à chaque fois. Une fois que nous sommes tous les deux dans l’eau, L se rapproche de moi, s’arrête à un mètre de moi, me fixe droit dans les yeux, pose un doigt sur mon torse et me pousse jusqu’à un bord.

Puis elle continue sa route pour sortir de l’eau par les marches, avant la dernière marche, elle s’arrête un instant, retire le haut et repart en le tenant au-dessus de son épaule droite par un doigt.

Sans rien dire, elle continue son chemin pour faire le tour de la piscine, elle passe derrière moi, me jette un coup d’il et laisse tomber le haut avant de rejoindre le plongeoir en roulant sensuellement du bassin. Une petite pause sur le plongeoir avant de s’élancer à nouveau pour réapparaître prêt des marches pour ressortir à nouveau sans me regarder. Sa façon de me snober m’excite au plus haut point, je ne peux m’empêcher de la suivre du regard. En haut des marches, L s’arrête glisse ses mains sur ses hanches sous son bas prêt à l’enlever, s’immobilise puis repart pour reprendre son chemin, je me retiens de l’attraper lorsqu’elle passe derrière moi, mais la laisse défiler sur son « podium ». Avant de se jeter à l’eau, elle finit son geste et fait glisser le string à ses pieds, puis disparaît sous l’eau, seul le bout de tissu reste sur le bord. Elle ressort juste sous mon nez, s’agrippe à mes boules avant de me tirer pour m’emmener jusqu’aux marches.

Je la suis sans un mot, médusé par son attitude et la tension sexuelle qu’elle dégage.

Elle me lâche à l’entrée des marches avec une petite poussée m’indiquant de m’arrêter, elle vient sasseoir sur le rebord à côté de moi, écarte les cuisses et me fait signe de venir. Sans plus attendre, je plonge ma tête sur son fruit tout lisse, je l’explore du bout de la langue, d’abord son bouton puis ses lèvres, elle commence à gémir. Je m’applique à explorer chaque coin de son intimité sans oublier quelques coups sur sa petite rondelle. Mes doigts se joignent à ma langue quelques aller-retour entre ses lèvres avant de glisser dans sa raie pour caresser ce petit trou pour le faire s’ouvrir avant d’y glisser le majeur. Mes coups de langue et mon doigtage s’intensifient, les gémissements de L aussi, avant de crisper sous l’effet de son orgasme. L me pousse du pied pour reprendre ses esprits tranquillement avant d’aller se placer à 4 pattes dans les marches, le cul tendu vers moi.

Clairement une invitation à la prendre en levrette, je place mon gland contre ses lèvres avant de donner un coup de bassin pour la pénétrer d’un coup.

Là, une tempête éclate l’eau paisible de la piscine se transforme en vague sous l’effet de nos va-et-vient, fini la sensualité de sa mise en scène, c’est devenu bestial, mon bassin claque contre son cul, je m’y agrippe avant de la tirer pour la première fois par les cheveux, sentant l’explosion arriver pour les deux, je glisse mon pouce dans son anus qui déclenche notre jouissance. Nous tombons de fatigue dans l’eau. Avant de rentrer, L m’embrasse passionnément, je reste quelques minutes assis dans l’eau en me demandant si des voisins ont entendu nos ébats.

La fin des vacances est là, tout est presque rangé pour notre départ le lendemain matin, reste une machine à étendre dans 1h lorsqu’elle aura fini de tourner, les enfants sont couchés, je compte bien profiter de cette heure pour jouer avec L, plutôt réticent au début, elle change d’avis rapidement, fait sauter son pyjama en lançant un « en vacances, on ne cache rien ». Nous nous enlaçons tendrement, quelques caresses tout en douceur. Puis L s’écarte, se lève en disant « viens me prendre sur la table dehors ». Je la suis interloqué et passant « la table dehors, celle en plastique a un mètre de la rue », c’est bien cela, elle s’allonge sur le dos, elle est à dévorer. Je commence par m’occuper de ses melons avant de vite manger son abricot toujours parfait, l’odeur, le jus, vraiment mon fruit préféré, je pourrais en manger tous les jours. Elle semble avoir faim, je vais lui donner mon asperge qu’elle dévore de gourmandise pendant que mes mains se promènent sur ses seins et sa chatte.

Sa langue titille mon gland avant d’être avalé, sa main me malaxe les noisettes.

Après deux trois minutes de ce traitement, je retourne entre ses cuisses la manger et laisse ma langue aller goûter sa rosette. Un doigt vient forcer l’entrée. Pendant que je commence mes premiers allers-retours, je me relève pour la contempler avant d’ajouter :

Tu aimes quand je te doigte le cul ma petite cochonne.

Oh oui, mais surtout, j’ai envie que t’y mettes ta queue et après, tu me reboufferas la chatte.

Je dois être en plein rêve, elle me réclame de la sodomiser pour la première fois.

T’es bien salope ce soir, je vais d’abord bien te lécher et te doigter pour bien te l’élargir.

Sur ces paroles, L descend de la table pour se mettre devant moi, le pied gauche au sol, la cuisse droite sur la table ainsi que son buste. J’écarte ses fesses avant de passer un gros coup de langue sur son anus avec beaucoup de salive pour bien le lubrifier. J’insère rapidement deux doigts, mes va-et-vient la font couiner de plus en plus. Je remets des coups de langue pour remettre de la salive avant d’ajouter un troisième doigt. Elle est prête et moi aussi, je place mon gland à l’entrée avant de pousser doucement, il rentre sans grande difficulté. Je pousse jusqu’au bout, reste sans bouger un moment avant de commencer des va-et-vient lents. Que c’est bon, nous gémissons de plus en plus à mesure que j’augmente le rythme. Je m’accroche à ses hanches pour donner les derniers coups puissants qui font bouger la table avant que nous explosions de plaisir tous les deux. Quelles secondes de répit avant que L se rallonge sur la table.

Je me replace entre ses cuisses pour reprendre mon cunni bien plus humide que d’habitude, nos liquides de jouissance se sont mélangés.

Je me régale de son fruit juteux et elle du plaisir de mes coups de langue. Il ne fut pas long avant qu’elle hurle de plaisir une nouvelle fois. Je la contemple, elle est sublime, nue, épuisée, mais radieuse du plaisir qu’elle vient de ressentir. Malheureusement pour nous, je n’ai pas suffisamment récupéré pour pouvoir la pénétrer de nouveau, mais le plaisir de chacun a été intense. Nous nous câlinons gentiment, assis sur une chaîne lorsque plusieurs personnes passent juste à côté de nous, nous ont-ils entendus ? Nous sommes restés ainsi quelques minutes avant de finir nos préparatifs pour le départ du lendemain matin. Les vacances sont finies, en espérant que la folie sexuelle de L ne se termine pas non plus. A suivre peut-être lors des prochaines vacances ?

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