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Marie – Ange & Démon – Chapitre 2




MARIE Ange&Démon CHAPITRE II : La calanque.

La semaine suivante, je suis submergé de travail, des conflits à gérer, des décisions à prendre. Je suis préoccupé comme jamais et pourtant impossible de m’enlever Marie de la tête. Le lundi matin, je commence par me réveiller avec une puissante érection en repensant à elle.

Je me souviens de nos derniers mots, au plaisir que j’ai eu à éjaculer tout au fond de son ventre. Je réalise à quel point cela a pu être bon. Mon statut d’homme marié, libertin mais lui disant que nous étions toujours très prudents, a suffi à la mettre en confiance. Du moins, je le crois. Je n’ai qu’une envie maintenant c’est de recommencer et de la remplir et remplir encore. Elle a l’air si clean, je l’ai chopé à la sortie de l’église et en plus elle ne prend même pas la pilule. Aucun risque. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas eu de rapports non protégés avec une jeune femme et encore moins lors d’une première rencontre. Je n’aurais jamais cru apprécier à ce point. Et visiblement, elle aussi avait aimé recevoir ma semence.

Toute la journée du lundi, j’essayais de la contacter. Au bout de deux appels en absence, je m’aperçus qu’elle avait un compte sur Skype et je lui envoyais plusieurs messages. Ce n’est qu’en fin de journée que j’obtenais enfin une réponse. Elle s’excusait, elle était très occupée. Cela tombait mal, mais elle devait participer dès le lendemain à un salon informatique sur Lyon. Elle était désolée mais le TGV partait très tôt, pourtant, elle aussi avait très envie de me revoir. Pourquoi ne pas se retrouver le week-end suivant ?

Ma réponse ne se fit pas attendre : j’étais d’accord pour une nouvelle randonnée dans les calanques. Martine comprendrait que je reste encore à Marseille plutôt que de remonter pour le weekend ! Je lui avais conté dès le dimanche soir mon aventure avec celle qu’elle appelait la gamine.

Le soir, en rentrant je fis un détour par la gare Saint-Charles qui se trouvait tout près de mon hôtel et je notais l’heure des TGV en direction de Lyon. J’optais pour le premier train direct, celui de 6h09. Je mourais d’envie de la voir une nouvelle fois avant son départ. Je ne saurais expliquer, il me suffirait de juste l’apercevoir. Je ne voulais surtout pas qu’elle imagine être harcelée, je me sentais comme une âme de collégien.

Malgré l’heure, il y avait déjà du monde sur les quais. Je restais un peu en retrait de la voie d’embarquement. J’étais en avance, je savais que Marie qui ne logeait pas très loin viendrait à pied. Anticipant sur son trajet, je me plaçais dans le bon angle pour observer sans être vu.

Sa tenue d’executive woman lui va à merveille : jupe noire un peu au-dessus du genou, chemisier blanc, veste noire cintrée, collants noirs, escarpins noirs. Ses longs cheveux laissés libres ondulent derrière elle. Elle est magnifique.

Je reste là, immobile et hors de sa vue à la contempler. Déjà elle s’éloigne vers son wagon en traînant derrière elle une petite valise surmontée d’une sacoche. Je ne peux détacher mon regard de ses belles fesses en mouvement. En même temps je me surprends à essayer de deviner ses dessous. Je dois dire que ses sous-vêtements, je les connais bien.

Marc m’envoyait souvent des photos d’elle en train de s’habiller le matin pour se rendre à son travail. Des dessous sages et colorés mais qui me faisaient de l’effet. Et là encore, au moment même où elle disparaît dans son wagon de première, je m’aperçois qu’elle m’a mis une grosse trique. Sans même le savoir, une fois de plus, Marie m’a fait bander.

Le soir même, j’essayais sans succès de la contacter en lançant un appel vidéo sur Skype. Même chose les jours suivants. Ce n’est que le jeudi soir, peu après 23 heures qu’elle accepta enfin mon appel. Quelle satisfaction de voir enfin apparaître Marie sur mon écran.

Elle me raconta par le détail ses longues journées sur le salon, les démonstrations qui n’en finissaient pas, les questions, les clients collants qui n’arrêtaient pas d’essayer de la draguer

Je lui répondais que je ne cessais pas de penser à elle, qu’elle me manquait, que j’avais envie de la touchertout le baratin quoi. Elle était de bonne humeur et appréciait visiblement ma façon de lui faire la cour. Voyant cela je m’efforçais d’orienter insensiblement la conversation vers le sexe.

Je lui parlais strip-tease en direct, de relation à distance, de dirty talking. Je lui avouais que j’avais une petite expérience de ces choses-là.

Qu’en pensait-elle ? Pourquoi ne pas essayer pour se rendre compte ? Et si je lui demandais de me montrer ses nichons maintenant ?

Sans surprise, je ne récoltais qu’une langue tirée et quelques minauderies. Pour toute réponse, je n’avais qu’à m’armer de patience. Notre rencart tenait toujours. On devait bientôt se retrouver. Il ne fallait rien précipiter.

— On voit tout ça dans deux jours, puis on en reparle. Me répondit-elle.

Samedi matin.

Une belle journée s’annonce. J’enfile ma tenue de touriste organisé. Cette fois-ci je ne serais pas pris au dépourvu. Casquette, chaussures de marche, serviette de bain, sac à dos : équipement complet.

Marie m’attend déjà devant sa porte. Je suis un peu contrarié dans mes plans car je comptais bien monter chez elle et prendre un petit acompte avant de prendre la route. Ma déception est de courte durée. Dès qu’elle s’approche, je ne vois plus qu’elle.

Vêtue d’une petite robe légère noire à pois blancs elle est magnifique.

Elle sourit en se penchant vers la portière et grimpe aussitôt dans ma voiture. Ses cheveux sont tenus en queue de cheval par un large ruban rouge avec un petit nud. J’adore ses grosses chaussures de marche qui contrastent avec sa robe courte si légère qui dévoile plus qu’à moitié ses belles cuisses blanches. Cette fois-ci, elle ne fait rien pour me les cacher pendant le trajet. Elle se laisse même embrasser et caresser à deux reprises. Tout juste si elle attrape mes mains lorsque j’essaye de remonter sous sa robe à un feu rouge.

Il y a déjà beaucoup de voitures garées à Callelongue notre point de stationnement. Malgré l’heure matinale, de nombreux randonneurs sont en train de se préparer, il y a également des plongeurs et des grimpeurs.

Cette fois-ci, Marie me propose un itinéraire un peu différent, au lieu de longer la côte par le sentier des douaniers, nous montons directement vers les sommets jusqu’au sémaphore. Cette vigie créée sous Napoléon I, en cours de restauration aujourd’hui, offre une vue splendide sur la baie. Mais la vue se mérite, il faut monter à plus de 100 mètres pour redescendre ensuite. Nous sommes seuls, nous voyons une cohorte de touristes serpenter au loin le long de la côte.

J’en profite pour l’attraper et passer mes mains sous sa jupe, elle se laisse peloter le derrière pendant que je l’embrasse longuement, je baisse sa culotte et empoigne ses belles fesses. Elle me repousse brusquement alors même que je suis en train de la déculotter. Je n’avais même pas remarqué qu’un groupe s’approche. Je me baisse vivement pour ramasser le minuscule morceau de tissu qui est resté coincé entre ses chevilles.

Ils nous entourent alors que j’ai encore sa petite culotte dans la main, une petite culotte assortie à sa robe. Une culotte noire à gros pois blancs que je fais rapidement disparaitre dans ma poche.

Ils ont tous dégainé leurs smartphones pour immortaliser le paysage absolument magnifique qui s’offre à nos yeux. Je suis à peu près certain que plusieurs d’entre eux nous ont mitraillés pendant que je lui baissais la culotte. Au lieu de me refroidir c’est l’inverse qui se produit et mon excitation monte encore d’un cran. Je n’arrête pas de bander. Nous avons repris notre marche et cela me gêne, le frottement du tissu n’arrange rien. Marie est passée devant moi, elle se retourne régulièrement, riant de voir la grosse bosse qui déforme de plus en plus mon short. Elle ne fait aucune remarque, mais je suis certain que cet épisode l’a elle aussi bien émoustillée.

La descente est de courte durée, nous rejoignons le sentier côtier et la foule des touristes. Cela m’excite de savoir qu’elle est cul nul et même maintenant complètement nue sous sa robe.

Elle ne porte pas de soutien-gorge, j’ai encore la sensation de ses tétons s’écrasant sur mon torse lorsque je l’ai embrassé en la serrant très fort au moment où nous avons été surpris.

Arrivés à la hauteur de la calanque de la M. Marie est prise d’une envie pressante. Nous nous écartons du sentier principal en suivant au hasard une des centaines de traces qu’utilisent les lapins et surtout les sangliers. On improvise sur un chemin incertain, indistinct, qui monte vers les falaises.

Dès les premiers buissons, Marie a de plus en plus envie de faire pipi. Nous sortons à grand-peine d’un fouillis de chênes kermès terriblement piquants. Elle s’accroupit aussitôt au pied du premier pin torsadé qui trône au milieu d’un petit espace dégagé.

Sans plus se soucier de ma présence, elle se lâche bruyamment en soupirant. Je ne la quitte pas des yeux, la regarde et commence à la caresser alors qu’elle est toujours accroupie en train de se soulager. Visiblement, elle ne sait quelle attitude adopter. Clairement la situation n’est pas désagréable pour elle, même si elle est un peu honteuse.

J’avoue que son geste me surprend lorsque pour se sortir de l’embarras elle plonge son visage vers mon entrejambe en prenant ma queue dans sa bouche. Enfin, façon de parler, car elle tient tout juste le bout de mon gland serré entre ses lèvres. J’attends qu’elle me la sorte entièrement avant que de lui demander d’enlever complètement sa robe. Elle se relève légèrement pour s’exécuter puis ne sachant trop que faire, elle me là tend. Je la mets immédiatement dans mon petit sac à dos que je viens de poser à terre et lui demande autoritairement de reprendre sa position accroupie, jambes écartées, complètement nue cette fois-ci.

Elle s’exécute. Je sens alors que c’est presque gagné. Marie est soumise. Provisoirement tout au moins. Je sais que je ne dois rien brusquer.

J’ai plein de projets pour elle. Pour l’instant, elle se contente de me tripoter les couilles, mais je sens qu’elle en a envie. D’un seul coup, je lui attrape les mains, la fait se dresser et se retourner. Je lui colle mon petit sac à dos contre la poitrine et la plaque contre le petit pin tout tordu.

Je l’attrape par la nuque, lui fais tourner la tête et l’embrasse sauvagement en cognant mes dents contre sa bouche. Je mets ma grosse matraque tout contre son derrière et je l’entoure avec l’arbre de mes bras.

Elle se met à trembler très fort. Je sens qu’elle est toute ouverte. Je pousse la tête de mon sexe et mon gros gland commence à rentrer sans le moindre effort. Elle gémit. Je lui parle à l’oreille en lui disant que tout va bien, que c’est bon. Elle confirme par un tout petit oui.

Ça rentre, ça rentre et ça n’en finit pas de rentrer. Elle a mis son poing dans la bouche et se retiens pour ne pas crier. Je m’arrête un instant en sentant que cette salope vient de passer une main par en-dessous pour me caresser les couilles.

Je l’attrape alors par les hanches et recommence à pousser. Tout doucement en m’aidant de petits coups de reins secs. J’enfonce ma queue au plus profond de son ventre. Je m’arrête régulièrement pour la laisser reprendre son souffle.

Abandonnant mes couilles, elle passe maintenant sa main entre mon ventre et ses fesses pour constater que je ne suis encore rentré que de la moitié. Je sais que Marc l’a beaucoup plus petite. Je comprends qu’elle aime ma grosse queue. Que ça l’excite. J’entends comme dans un souffle un simple et timide : "Oh que tu es gros Fred".

Sans encore aller plus loin, je commence un lent mouvement de va-et-vient, ressortant ma queue presque complètement et la rentrant de la moitié de la longueur avec puissance. Je vois combien elle apprécie ma grosseur et que maintenant elle attend la suite.

Je lui dis :

— Et tu aimes que je te la mette bien grosse ?

Comme elle ne répond pas, je recommence par un :

— Allez dis-le que tu aimes ma grosse queue, salope.

Et cette fois-ci, j’ai droit à un simple "Oui" mais plusieurs fois répétées et à haute voix. Elle le crie presque ce « OUI » et cela me donne beaucoup de satisfaction.

À chaque coup de reins, je commence à rentrer plus loin. Je la défonce plus et plus. Et au moment où je lui dis :

— Ca y est je suis au fond. Tu la sens bien ma grosse queue maintenant ? Vas-y, dis-le que tu aimes ça. Dis-le.

Pour toute réponse moi je sens ses contractions, elle crie encore. Je recommence mes mouvements de va et viens puissants en entrant et sortant de plus en plus violemment dans sa chatte. Maintenant, elle n’arrête plus de crier.

À un moment, je ressors ma queue presque totalement et la renfonce d’un seul coup jusqu’au fond en pliant d’abord les jambes et en remontant pour la coller à moi. Elle me dit combien elle aime à chaque fois sentir mes couilles frapper ses fesses.

Elle vient entourer l’arbre avec ses bras et balance son cul en arrière pour que je la pistonne encore plus profondément. Et puis d’un seul mouvement je m’enfonce tant que je peux, jusqu’à buter contre le col de son utérus. Je me colle contre elle en tremblant et je lui lâche tout au plus profond de son ventre. Elle jouit en poussant de tous petits couinements après chaque jet.

Je m’arrête un instant puis je refais de lents mouvements sans débander et elle jouit une seconde fois.

Le restaurant est tout proche.

Il est encore un peu tôt pour déjeuner. Nous prenons une boisson, réservons une table et allons nous étendre sur la plage.

Je vais pour m’endormir lorsque Marie qui est toujours en robe me demande de lui passer son maillot. Un maillot blanc d’une pièce qu’elle enfile directement. Je réalise que j’ai toujours sa culotte dans la poche de mon short. Elle rentre dans l’eau jusqu’à la taille pour se rafraichir.

L’eau est froide.

Le repas se passe tranquillement, rosé et spaghettis au menu, rien d’extravagant mais l’ambiance est agréable et le service rapide.

Il n’y a finalement pas tellement de monde pour un mois de juin. Je ne peux m’empêcher de penser à la suite. Je dois me décider.

Depuis le début je rêve d’enculer Marie. Je sais par Marc qu’elle refuse cette relation. D’imaginer qu’elle est pucelle du derrière m’excite encore plus. Cela n’en sera que meilleur de lui faire dire qu’elle regrette de ne pas avoir connu cela plus tôt, qu’elle adore avoir ma grosse bite bien profond dans le cul.

Enfin, cela sera pour une autre fois, car pour l’instant j’ai un autre plan. J’ai prévu de me la baiser dans l’eau.

J’ai eu largement le temps pendant toute la semaine d’étudier en détail la géographie des calanques, et je pense que la calanque P. sera parfaite pour cela. A un moment la conversation vient sur le sexe Je lui demande innocemment si elle a déjà fait l’amour dans l’eau. Elle répond simplement qu’elle n’en a jamais eu l’occasion, sans plus de commentaire. Nous en restons là.

Après le café, je m’extasie une nouvelle fois sur les beautés de la nature qui nous entoure. Je lui propose de continuer un peu de chemin sur ce magnifique sentier.

Nous passons une sorte de couloir de pins torsadés par le vent et la calanque des Q. remplis d’énormes blocs tombés des falaises. Le chemin semble alors repartir à l’assaut des hauteurs. À flanc de paroi, il s’envole jusqu’à encercler la belle Podestat dont on domine la plage.

C’est là que j’ai imaginé de tenter ma chance. La plage est assez loin du sentier mais on ne peut pas ne pas remarquer les baigneurs et l’eau est encore plus transparente que ce que je pouvais l’imaginer. Un poste d’observation idéal pour les voyeurs. Quittant le sentier nous descendons vers la plage ou nous découvrons un peu de sable. Il n’y a personne à cette heure-ci pourtant Marie insiste pour remettre son maillot encore mouillé.

Son petit maillot blanc est presque transparent et je voie la raie de ses fesses qui ondulent au gré de ses mouvements de jambes pour entrer dans l’eau en évitant au mieux les cailloux. Bien moulé dans le tissu fin on peut apercevoir par transparence les détails de son sexe et surtout sa touffe bien poilue.

Je pars derrière elle et en la rejoignant, je laisse mon corps se coller au sien. Je la sens tressaillir et m’attends à ce qu’elle se dégage doucement mais, au contraire, elle se plaque contre moi et le contact de sa croupe sur mon sexe décuple mon début d’érection. Je passe mes mains dans l’échancrure de son maillot et lui prends les nichons à pleines mains. Elle ne fait aucune objection lorsque je commence à faire glisser son maillot jusqu’à la taille. Pour donner le change je la pousse un peu vers le large en direction d’un gros rocher. Je lui enlève alors complètement son maillot et l’attache autour de ma cheville. Elle ne proteste même pas, nous sommes invisibles depuis la plage et cela lui suffit.

Je caresse ses formes rebondies de plus belle, empoignant ses seins, flattant ses fesses, elle semble ravie. Puis, je me laisse descendre le long de son corps en tenant ses cuisses, je plaque ma bouche contre son pubis, puis j’enfouis mon visage contre son sexe que je mordille délicatement.

Je remonte alors reprendre mon souffle pour mieux retourner à ma tâche. Cette fois-ci, subjugué par la vision de son sexe offert, je lui lèche le clitoris. Dès que ma langue touche son bouton, elle me plaque de sa main libre le visage pour intensifier ma caresse. Je me dégage à nouveau pour respirer un peu, ma main prenant le relais.

Elle halète maintenant, ce qui m’incite à y retourner sans tarder. Là, je lui empoigne les fesses et je plaque ma bouche sur son sexe, la pénétrant de ma langue tandis que mon nez frotte son clitoris et avant que je sois à court d’oxygène, elle est prise de soubresauts, de tremblements et elle se cramponne à mes cheveux pour que la caresse ne cesse pas.

Je me dégage vivement à la limite de l’étouffement et commence à lui croquer les tétons tout en lui enfonçant des doigts dans la chatte.

Marie est prête, elle baise mon short et enroule ses jambes autour de ma taille pour que ma queue soit à l’entrée de son vagin…

Hmmmm, avec les vagues nous sommes en mouvement constant et mon gland entre doucement dans sa petite chatte bien serrée…sa chatte se dilate moins vite avec l’eau mais je bande comme un âne et la pénétration se fait. Ses jambes toujours nouées derrière mes fesses elle m’embrasse profondément pendant que son bassin commença à onduler. Elle accélère le rythme tandis que nos halètements s’amplifient. Je la tiens bien sous les fesses et je l’ai à moitié enfilée lorsque je commence à pivoter de manière à ce qu’elle puisse voir la colline et le chemin de randonnée par lequel nous sommes arrivés. Maintenant qu’on est en train de baiser dans l’eau je veux qu’elle réalise que tout le monde peut nous voir. Marie suit mais au fur et à mesure du mouvement elle tourne la tête. Je suis son regard et c’est alors que je les vois, deux adolescents, en tout cas de très jeunes hommes à moins de dix mètres de nous.

Assis, adossés au rocher dans une sorte de faille horizontale légèrement inclinée sur la gauche de la plage. Tous les deux ont carrément baissé leurs maillots et ils se paluchent en nous regardant. Je change alors de position et me plaque de nouveau dans le dos de Marie de manière à ce qu’elle soit bien en face d’eux. Elle m’entoure de ses cuisses et commence quelques mouvements de brasse pour ne pas couler. Je suis derrière elle et je la maintiens sous les jambes en une sorte de position de brouette. Elle tortille son petit cul pour m’exciter encore davantage. Je la tire en arrière vers le rivage. J’ai de l’eau jusqu’au la taille lorsque je la soulève en la tirant vers moi. En la maintenant sous les genoux, son dos bien plaqué contre mon torse, je parviens à la maintenir quasiment hors de l’eau.

Sa chatte maintenant à l’air libre s’ouvre comme une moule et je la réenfile d’un seul coup jusqu’à la garde. Je crois que je ne l’ai jamais eue aussi grosse.

Elle n’a pas quitté les jeunes des yeux, l’un d’eux vient d’éjaculer tandis que l’autre agrippé à son mobile nous filme. Je ne peux m’empêcher de lui faire remarquer que partis du septième ciel nous allons maintenant nous retrouver dans le cloud.

Pour toute réponse, je sens son vagin se contracter à plusieurs reprises et je commence aussitôt à la remplir. J’éjacule longuement, elle pousse plusieurs cris bien rauques à chacun de mes spasmes.

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