Histoires de sexe travesti Premières histoires de sexe

Sans le cul – Chapitre 1




Voici une petite histoire bien réelle.

Alors en voyage en Argentine, j’optai pour du couchsurfing en Patagonie. J’arrivai un peu tard le soir, ou même le début de nuit, après trois heures d’auto-stop. Mes hôtes, un Juliet et Juan, me firent une surprise : déjà deux couples d’autres couchsurfeurs étaient présents dans le petit appartement. Gabby et Max, un couple d’Australiens d’une vingtaine d’années, et Cécilia, argentine, et Vlad, russe, eux voyageaient ensemble, mais n’étaient pas en couple, il y eut une grosse incompréhension la première soirée. Il y avait également Marlon, un chien assez imposant et très affectif.

La première nuit se passa bien, un autre couchsurfeur vint avec un couple de Franco-Libanais. Et nous discutâmes tard. Passé les trois heures trente, nous nous mirent au lit.

Mes plans étaient de repartir tôt le lendemain, mais je me levai un peu tard et seul un bus allait à ma destination. Il partait vers huit heures du matin, beaucoup trop tôt ! Je décidai donc de rester une journée de plus avec la troupe !

Nous prîmes un petit-déjeuner tardif, comme d’habitude en Argentine. Aux alentours de seize heures, nous nous installâmes en bord de fleuve, maté, guitare et jouet pour Marlon. Nous prîmes le temps de nous connaître, et Cécilia et moi commencions à nous rapprocher. Profitant d’une absence de Vlad, nous lui demandâmes son type de relation avec lui et nous pûmes lever les doutes. Ils avaient eu une relation sexuelle, il y a six mois, mais voyagent seulement en amis. Cécilia étant célibataire, feu vert donc pour moi.

Cécilia était assez grande, un mètre octante facilement. Son côté punk et marginal m’attirait beaucoup. Piercings, petits tatouages, cheveux longs, mais rasés sur la moitié de la moitié du côté droit. Et des yeux verts tellement profonds et envoûtants. J’aimais son style. Et je ne lui cachais pas.

Nous rentrâmes le soir afin de préparer le repas. Juliet et Juan avaient prévu une abondance de nourriture. Nous les aidâmes à couper, cuire, ficeler, piller… l’ensemble des ingrédients. Cécilia et moi ne cessions de nous dévorer des yeux. Seul le chien Marlon ne devait pas comprendre la situation. Vlad réagissait bizarrement, car il était clair, pour lui Cécilia était « sa propriété ». Mais je me fichais pas mal de sa réaction.

Si la soirée d’hier fut mouvementée, celle-là moins. Je pris le numéro de Cécilia, et nous nous promîmes de nous revoir. Vers une heure, elle alla fumer sa cigarette seule à l’extérieur. Je lui envoyai un message rapidement :

On dort ensemble ?

On ne peut pas, il y a trop de monde dans la pièce.

Car j’ai oublié de préciser : nous dormions tous dans la même chambre.

Je lui répondis :

J’ai dit « dormir » pas « baiser » !

OK.

Un sourire de satisfaction s’afficha sur mon visage.

Trente minutes plus tard, chacun gagna son lit, moi timide, je n’osai rejoindre la belle Cécilia. Au moment d’éteindre la lumière, j’entendis sa voix si douce :

Tu viens ?

Le sourire au coin des lèvres, je m’installai donc à ses côtés. En position de la cuillère, nos mains entrelacées sur son ventre et au-devant de sa tête. Je pensais pouvoir m’endormir ainsi, cependant, nos sens étaient encore en plein éveil. Doucement, Cécilia commença des mouvements de bassin, se frottant ainsi au mien. Je lui répondis par des baisers sur son cou. Elle guida ma main à l’entrée de sa figue. Délicatement, je passai l’extrémité de mes doigts sur sa fente déjà humide. Mon sexe était également fortement en érection, ses va-et-vient auraient pu me faire jouir, mais elle ralentit le rythme. Nous voulions profiter de ce moment.

Cécilia fit face à moi, nous pûmes enfin goûter mutuellement nos lèvres. Les siennes étaient délicieuses. De nouveau, ma main se glissa à l’entrée de sa grotte, mais cette fois, je posai ma main dessus et lui massa. Elle fit également glisser sa main dans mon sous-vêtement et me caressa la verge. Dans la pénombre, nos regards se croisèrent et nous nous fixâmes, les sourires au coin de nos lèvres. Nous continuâmes à nous masturber mutuellement, réprimant nos soupirs. Par moments, nous entendions nos camarades de pièce. Alors nous nous stoppions une poignée de secondes, et nous recommencions discrètement à nous masturber.

J’introduis deux de mes doigts dans son antre, sans difficulté. Cécilia, après un petit halètement, se saisit de mon sexe et commença de délicats va-et-vient. Ses doigts jouaient et dansaient sur ma verge pour mon plus grand bonheur. Nos lèvres se collaient encore et encore, nous nous les mordillons à tour de rôle, en tentant de faire le moindre bruit possible.

Nous entendîmes une personne ronflante, ce fut pour nous le feu vert pour accélérer nos mouvements. Nous étions toujours allongés et face à face, elle posa sa cuisse sur la mienne afin d’être plus ouverte. Mes doigts se mouvaient passionnément, la position n’était pas la plus simple, mais je tentais mon mieux pour la faire jouir. Cécilia en faisait de même. Sans le vouloir, nos mouvements se synchronisèrent, et nous nous approchâmes de l’orgasme en même temps. Nous ne pouvions plus retenir nos souffles, tant pis si certains comprenaient notre manège.

Nous jouîmes ensemble. Je sentis son corps se contracter et mes doigts furent immobilisés par le serrement de sa grotte, de plus, elle recroisa ses jambes. J’avais également joui sur sa main et sur nos bas-ventres, comme nous étions collés l’un à l’autre. Nous restâmes plusieurs secondes sans bouger, peut-être plusieurs minutes, le temps s’était arrêté pour nous deux. Nous nous embrassâmes encore une fois avant de retourner en position de la cuillère. Nos mains, souillées par nos jus, s’entrelacèrent encore une fois, ses fesses se collèrent à mon bassin, sans mouvement cette fois-ci. Le sourire aux lèvres, nous nous plongeâmes doucement dans le royaume de Morphée.

Related posts

Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 32

historiesexe

Double mixte – Chapitre 1

historiesexe

Femme désirée – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .