Cela fait maintenant trois semaines, et concernant Véro j’ai des nouvelles mais seulement de la part de Sylvia, je n’ai pas eu a retourné au cabinet, donc je n’ai plus vu ou croisé Véro. Mais Sylvia et moi on en a parlé un soir :
— Tu sais Maxime, Véro regrette un peu, le fait qu’elle connaissait ta mère et que tu étais ami avec sa fille et son fils, la gêne un peu, tromper son mari aussi lui a fait bizarre.
— Je comprends c’est dommage on aurait pu former un beau trio mais elle en a décidé autrement on dirait.
— Oui voilà, même si pour le coup on a toujours une relation tous les deux au cabinet, que ce soit à la pause ou dans le bureau.
— Ah bon mais tu ne vas pas de me dire qu’elle ne voulait plus tromper son mari ?
— Certes mais pas avec un homme en tout cas.
— Bien dommage.
C’était donc seulement les nouvelles de Véro, elle devait quand même regretter, je pense.
A présent cela faisait un mois et demi que cette histoire s’était donc passée ! Je voyais toujours Sylvia quasiment quatre fois par semaine.
— Max je dois te dire Véro m’a reparlé de ce qu’il s’était passé.
— Et alors ?
— Ça lui manque un peu.
— C’est-à-dire ?
— Elle me raconte que depuis sa vie sexuelle avec son mari a baissé, il est dépassé par son travail et donc elle est en manque.
— Mais elle t’a toi.
— Ta bite lui manque.
— Bah écoute, c’est a-t-elle de revenir vers moi, si elle le souhaite.
Je n’osais pas vraiment retourner vers elle, même si l’envie était forcément présente.
Et un jour je voulus faire une surprise à Sylvia on allant la chercher pour manger le midi ensemble.
J’ouvris les portes du cabinet, et j’aperçus Véro, toujours autant sexy à son bureau.
— Salut Maxime, que fais-tu ici ? Tu n’avais pas de rendez-vous ?
— Salut, non je viens juste chercher Sylvia pour aller au resto.
— Ah je vois, mais elle a pas mal de rendez-vous et il est que 11H elle finira que vers 13H
— Dommage je repasserais plus tard alors, passe une bonne journée.
Je me retournai pour partir et sentis une main sur mon épaule.
— Attends… Maxime… Tu sais je m’en veux de ne pas t’avoir revu, j’ai ma pause jusqu’à 13H derrière dans la petite pièce pour manger, reste avec moi !
— Tu es sûre ?
Elle approcha sa tête de mon oreille et murmura :
— Oui j’ai envie de toi.
Je la suivis dans la salle et on discuta quelques minutes le temps de son repas.
— J’ai encore faim je n’ai pas eu de dessert, enfin il est en face de moi.
Je me levai et me plaçai derrière Véro, mes mains sur ses épaules, de légères caresses descendirent le long de ses bras et de son visage.
Elle se leva et m’embrassa langoureusement.
— Tu m’as manqué, tu as pris du muscle depuis deux mois, tu m’excites encore plus.
Elle se mit à genoux et fit glisser mon pantalon aux chevilles, j’enlevai mes chaussures et ôtai le pantalon, elle ôta son haut, toujours à genoux et ôta mon caleçon, déjà en érection, ma bite sortit comme un ressort devant sa bouche et son souffle chaud se fit ressentir sur mon pénis.
— Elle est plus grosse que dans mes souvenirs.
Elle prit ma bite en main, et commença à me masturber, puis l’embrassa et commença à la lécher avant de la gober entièrement et de faire une pipe ultra baveuse. Une de mes mains parcourut ses cheveux et l’autre sa poitrine.
— AHhhh j’arrive, je vais éjaculer, t’as une trop bonne bouche elle m’avait manqué.
Puis de longs jets se déversèrent dans sa bouche et ses lèvres où elle passa sa langue pour n’en perdre aucune goutte et de même autour de mon pénis qui était toujours en érection.
— Toi tu as une bonne bite, viens en moi.
— Pas si vite, assieds-toi sur la table.
Je la soulevai pour la poser sur la table, ôtai son bas et commençai à l’embrasser et à parcourir son corps de caresses et bisous, pendant que ses mains parcouraient mon torse.
Je m’abaissai et commençai à m’attaquer à son clitoris, assez vite elle mouilla énormément.
— Ah c’est bon Max lèche moiiiiii.
— Tu es délicieuse.
— Viens en moi je veux te sentir en moi.
Je me relevai et présentai mon pénis à l’entrée de sa chatte et d’un coup sec m’enfonçai en elle, et au même moment mis ma main dans sa bouche pour éviter un cri et je commençais à avoir des mouvements animaux, pendant qu’elle suçait et mordillait mes doigts pour pas crier.
Les mouvements étaient assez bestiaux et ses mains avaient entouré mon corps et ses ongles griffaient et s’enfonçaient dans ma peau, je la serrai fort contre moi et la soulevai pour la plaquer contre le plan de travail, puis le meuble de l’évier tout en étant toujours aussi bestial, puis la plaquai contre le mur en continuant de la pénétrer.
— Oui vas-y, tu es tellement bon, va au fond de moi je veux te sentir dans tout mon corps.
Ces mots avaient du mal à sortir, entre les petits cris qu’elle poussait doucement.
— Continue, je vais jouiiiiiir.
Une quantité énorme de mouille gicla et au même moment mon orgasme survint sous un râle.
Je la reposai sur la table et l’embrassai, puis nettoyai sa mouille à coups de langue. Elle fit de même autour de ma queue, puis on s’embrassa langoureusement.
— Il est déjà 12H45 nettoyons tout et ensuite il faut que je retourne à mon bureau.
— OK mais j’ai une idée.
Au même moment Sylvia rentra dans la pièce.
— Mais qu’est-ce que vous faites ici ?
— On a remis le couvert ma chérie, je t’attendais.
— Bande de coquins, alors Véro contente de ressentir sa bite en toi ?
— Heureuse même.
— Je ne vais pas pouvoir manger maintenant, il me reste trois patients et ma journée se finit pour aujourd’hui.
— OK à toute.
Sylvia ressortit de la pièce.
— Max, tu comptes attendre là ?
— J’avais une idée, je vais sous ton bureau te déstabiliser.
— Tu es fou ?
— Tu en as envie, c’est excitant.
— Oui… Mais.
— T’inquiète pas.
Après un quart d’heure à nettoyer et se rhabiller, je me positionnai sous le bureau et dès que j’entendis des paroles, donnai des coups de langue sur sa vulve, ce qui la fit sursauter. Une fois le patient parti.
— Tu es fou mais je suis folle aussi, c’est excitant en effet.
— Ah Ah Ah.
La journée se finit comme ça et Sylvia me surprit en dessous.
— Mais vous êtes fou ?
— Personne n’a rien vu, il s’occupait gentiment de ma chatte.
— Bande de cochons.
Dit-elle en riant.
— Bon Max et Sylvia, je vous invite a mangé ce soir, mon Mari n’est pas là pour une semaine je suis donc seul.
— Excuse-moi Véro mais tu habites plus loin que la ville, on aurait trop de route ce soir.
— Alors dormez avec moi on sera bien tous les trois.
— Oui, mais là ça va être le week-end pas sûr que demain et dimanche on veuille faire le trajet.
— Restez le week-end, mon mari n’est pas là, par contre demain soir, mon fils vient avec sa copine manger et ma fille aussi.
— Laisse tomber on ne va pas vous déranger.
— Mais non venez s’il vous plaît puis Max, Camille et Mathieu se feront un plaisir de te revoir.
— Bon d’accord, attends-nous là on va chercher des affaires à la maison et on revient te chercher…
A suivre… Dans les prochains chapitres, la folle soirée à trois et les retrouvailles avec Camille, Mathieu et sa copine. Puis une folle soirée et nuit à cinq.