Je pars en vacances d’été, mes dernières grandes vacances avant de commencer ma formation professionnelle. Je veux devenir menuisier ébéniste, j’adore sentir le bois sous mes mains. Dans le train, je me dirige chez mon grand frère, dans le sud-ouest de la France. Si j’y vais, ce n’est pas tant que j’en ai envie, mais depuis le décès de ma mère, mon père est devenu insupportable, désirant toujours savoir ce que je fais, ou je vais, qui je vois etc. En gros, six semaines, ce n’est pas de trop pour décompresser. Pendant que le train s’enfonce dans la nuit, je regarde la photo de famille de mon frère, mon ainé de six ans, il est marié et jeune père d’un petit garçon de huit mois dont je suis le parrain. En gros, je sens que je vais plus jouer les baby-sitters qu’autre chose. De toute manière, l’un dans l’autre, je me retrouve coincé. Oh, je venais tout juste de fêter mes 18 ans, c’était même tout frais. On dit de moi que je suis bien fait, bien bâti, mais tout dépend d’où on me regarde. Ma copine, enfin, mon ex, est partie voir son ex petit ami en Floride, ben oui, mais pas grave. Après tout, après les vacances, j’aurais assez à faire pour me tenir occuper.

Le jour se lève en ce dimanche, le train ralentit, on arrive. Mon bagage à la main, je me penche par la fenêtre pour voir si mon frangin est sur le quai. Si, là-bas, derrière un banc. Une fois sur le quai, je me glisse entre les passagers pour le rejoindre. On se prend dans les bras, on s’embrasse. Punaise le bien que ça fait de se revoir. Dans la voiture, on discute de notre père, de sa vie. En fait, je ne sais pas grand-chose, sauf ce que je vois ou entends de lui.

Devant la maison, on se presse d’entrer, un violent orage s’abat sur la région, ça promet ! À l’intérieur, une douce fraicheur, ça fait du bien avec cette lourde chaleur humide de l’extérieur. Ma belle-sur est là, tenant mon neveu dans ses bras. C’est vrai que sa maternité l’a rendue encore plus belle qu’avant. Ses courbes sont devenues bien plus agréables, plus pulpeuses. On s’embrasse, je prends mon neveu, ce garnement semble me reconnaitre, sa main s’en prend déjà à mes quelques poils dispersés sur mon menton. Il rit en plus, le bougre. Pire que tout, je lui fais des gouzigouzis comme un idiot, cela fait sourire sa mère qui ne cesse de me fixer. Punaise, c’est vrai qu’elle devenue très belle, plus désirable encore. Mon frère me le reprend, le temps que ma belle-sur me montre ma chambre. C’est vrai que c’est la première fois que je viens dans leur nouvelle maison.

Ma chambre est petite, simple mais elle me suffit. À la question pourquoi la moustiquaire, sa réponse est à la hauteur de ma question idiote. La fenêtre fermée, elle sent un peu le renfermer. Cependant, connaissant un peu le sud, vaut mieux laisser tout fermer et n’ouvrir que tard dans la nuit. Je pose ma valise, l’ouvre et range mes affaires en compagnie de ma belle, très belle belle-sur. Elle bandante, rien à redire. En fait, j’aimerais bien me trouver une copine comme elle, physiquement parlant. De préférence, chaude à souhait, mais bon, on peut toujours rêver, c’est même conseiller, y pas de taxe sur les rêves.

Penchée, elle se relève avec mon short de bain. Son sourire en coin, légèrement grivois me dit que je vais devoir me montrer prudent. Mais se redressant, j’ai tout le loisir de reluquer sa belle poitrine ferme, les auréoles larges, sublime, sans oublier ses tétons protubérants et épais. Je donnerais cher pour téter ses seins, très cher même.

En bas, il y en a un qui réclame sa tétée, punaise, mon petit neveu, tu ne veux pas échanger nos places ? Ok, je fantasme encore et ma tante se charge de me le faire remarquer en se moquant de mon érection plus que violente. Je crois bien que j’ai rougi comme une tomate bien mûre. Sa main caresse ma joue, elle douce, oui, très douce. Je la rejoins en bas, pour ne plus bander, il me suffit de penser à ma mère. Dans le salon, bien au frais, mon frère me sert une limonade maison, la meilleure de toute. Je n’ai d’yeux que pour mon neveu et sa mère. Mais surtout sur cette poitrine sublime. Et ce gourmand qui se gave, se goinfre de lait. Mince, encore une méchante érection.

Derrière la maison, un peu à l’ombre, ils ont creusé une piscine de près de dix mètre de long sur cinq. J’avoue que si j’étais en tenue, je serais déjà dans l’eau. Ma foi, le coin est très sympa avec son grill dans un coin. Mon frère m’explique que la prochaine étape est un jacuzzi pour six personnes et me montre l’endroit. Derrière, une mère et son fils nous rejoignent.

On retourne au frais, sous un grand saule. Mon frère s’en va nous prendre de la limonade. Ma belle-sur en profite pour me questionner sur mon avenir. Je ne lui cache rien de mes projets. La question de mes amours, je préfère faire un pas de côté pour l’éviter. Dans ses bras, Grégory s’endort, reput de lait maternel. Devant nos limonades, on continue à discuter de moi. Décidément, ils sont bien curieux, tous les deux.

Dimanche se termine, le soleil commence à décliner et mon frère fait sa valise. C’est vrai qu’il part chaque dimanche soir pour ne revenir que le vendredi dans la nuit ou le samedi très tôt. Il travaille comme ingénieur en informatique pour l’état. C’est l’intellectuel de la famille. On me laisse seul pendant que ma belle-sur conduit son mari à la gare. Près de mon neveu, je le regarde dormir du sommeil du juste, de l’innocence.

À son retour, on passe à table, ma belle-sur, avant de souper, va se prendre une douche expresse. Quand elle revient, j’ai mon menton posé sur le sol. Elle ne porte qu’un long teeshirt, rien de plus, enfin si, une culotte. L’humidité de son corps me fait découvrir sa poitrine collée au tissu. Elle ne semble pas dérangée de se montrer ainsi à un ado encore boutonneux. À table, elle ne cesse de se tortiller, comme si elle était assise sur des petites pointes. Allant prendre du beurre, elle se penche sans plier ses jolies jambes, son cul, sous et autour de sa petite culotte est rouge vif, marque d’une bonne grosse fessée. Je vais exploser mon Jean’s si elle ne fait rien pour cacher son corps.

On passe la soirée devant un bon vieux film ; Un taxi pour Tobrouk. Je l’ai déjà vu et revu, mais il est toujours agréable à regarder. Gisèle, ma belle-sur se tortille encore avant de me prendre ma main.

« Dis, tu ne veux pas me mettre de la pommade sur mes fesses, ton frère fesse dur. »

« Euh, sisisi tu veux. Hum. »

Je sais, je rougis encore et pire qu’avant. Le tube en main, elle se couche sur mes cuisses, abaissant sa culotte. Elle me sourit en me disant d’y aller franco. J’avoue que cette croupe me fait encore bander plus fort. Mais j’ai honte, honte qu’elle sente mon érection. Je répands de la pommade, elle frissonne sous le frais de cette crème. En douceur, j’étale la dite pommade. Gisèle soupire, l’effet semble rapide. Plus j’étale, plus elle gémit. Plus je caresse, plus je m’insinue entre ses fesses dodues à souhait. Je mets de la crème jusque dans les moindres recoins de son intimité, sur ses cuisses aussi. Et je me permets cette question : « pourquoi il t’a fessé ? » « Il la fait chaque fois qu’il part, après que nous ayons baisé comme des porcs dans un coin de campagne. » Me dit-elle. À la question si elle aime, ben oui, normal, vu qu’elle prend son pied. Je suis con par moment. Je termine, je retire ma main, vais pour remettre sa culotte. Sa main reprend la mienne, l’enfonce entre ses fesses qu’elle m’ouvre de ses mains.

« Te prive pas, fais-moi jouir petit vicieux »

C’est le genre d’invitation qui je voudrais pouvoir avoir la force de refuser. Je suis lâche ou cochon, je caresse et j’introduits aussi. Je pénètre ce cul, ce sexe déjà béant et humide. Je voudrais pouvoir me glisser entre ses jambes et lui fourrer ma langue dans son sexe. Je sais que ma copine adore ça, surtout quand je me délectais de son petit cul bien rond. Plus je frotte mes mains dans toutes son intimité, plus elle gémit fort. Et puis soudain, elle se cabre, expulsant de sa bouche un long râle de plaisir. Se redressant, elle me colle sa bouche sur le mienne. Quel accueille mes aïeux ! On s’embrasse comme des collégiens et puis, crétin des iles, j’arrête tout, je pense à mon frère.

« T’as quoi ? »

« Rien, je pense à Marc, c’est tout. »

« Mais il est dans le train, baise-moi, j’en meurs d’envie autant que toi ! »

Je ne savais que faire, je me rendais même pas compte que ma belle-sur me mettait à poil. Nu, ma queue droite comme un i courbé, elle me la prend pour me faire une pipe d’enfer qui laisse s’échapper le peu de réticence que j’avais encore. On a terminé dans le lit de leur chambre à coucher à baiser comme des malades. J’étais épuisé, vidé et elle en voulait encore. Je me suis endormi dans ses bras, comme un bébé, la tête sur ses seins. À mon réveil, j’étais seul dans ce grand lit. En descendant, Gisèle était au téléphone, c’était avec mon frère, Marc. Tout de suite, je compris qu’elle parlait de moi, de notre nuit à mon frère. Malheureusement, en descendant en catimini, je fis grincer l’escalier de bois et elle changea de sujet. Peu après, elle raccrochait et venait me retrouver dans la cuisine. Elle fit celle qui n’avait rien dit et moi, celui qui n’avait rien entendu. Sa bouche sur le mienne, on s’embrassait comme des collégiens. Un petit homme vint à réclamer sa tétée. Assise près de moi, elle retira son teeshirt, me regardant en guidant la tête de Grégory sur son téton de droite.

« T’inquiètes par, il y en a assez pour dix dans mes mamelles. »

Je crois que j’ai encore rougit en bandant comme un âne. Un bonjour joyeux vint interrompre ce beau moment. Une jeune femme de mon âge pénétrait dans la cuisine en bikini. Aucun doute possible, c’était la jeune sur de Gisèle. Belle comme sa frangine, avec tout ce qu’il fallait là où il la fallait. On s’embrassa, elle sentait déjà bon le sable de la plage. Elle embrassa sa sur, le bébé sur le front. Elle fila se doucher, Gisèle fit la moue. J’ai compris, pas de tétée. La petite sur revint peu après, sans le haut de son bikini, sublime, bandante. Quand Gisèle lui fit remarquer que j’étais là, elle devint rouge, cachant ses seins, je lui souris tendrement.

Dehors, le soleil commence à chauffer durement. Il est temps de mettre la maison dans la nuit. On boucle tout, dans ma chambre, inutile, je ne suis pas retourné. Dans la chambre d’ami, je boucle le volet, la fenêtre et tire le rideau. En me retournant, je me cogne à une femme, la grande ou la petite, je n’en sais rien. Sa bouche se pose sur la mienne. C’est la grande, Gisèle, je respire. En sortant, à la lumière du corridor, je rougis, c’est la petite sur, Manon.

« Tu as aimé mes seins, mon petit voyeur ? »

« Comme ceux de ta sur, superbe. »

On en resta là, Gisèle sortait de sa chambre. On descendit pour rejoindre la piscine. Devant moi, les deux surs se mirent entièrement nues. Je n’eus pas le temps de me retourner que quatre mains m’agrippaient. Je fus à poil en moins de deux secondes et jeter dans la piscine. Toutes les deux plongèrent derrière moi. Dans l’eau, leur corps se ressemblait comme deux gouttes d’eau. Je compris vite dans quel piège d’était. Je regrettais vite mes méchantes pensées. Elles me poussèrent dans un coin du bassin. Manon avait sa main sur ma queue tendue.

« Va falloir le dégrossir, tu ne crois pas, la frangine ? »

« Il n’est pas si mal, tu sais. Mais cette nuit, avec sa fatigue du voyage, il n’était pas au mieux » crut bon d’ajouter Gisèle.

« Oh, je ne suis plus un puceau » m’exclamais-je.

« Et moi je ne suis plus une pucelle depuis mes quatorze ans. » me rétorqua Manon.

« Ok, je suis battu d’un ans » avouai-je

Elles me poussèrent hors de la piscine. Manon, pressée de baiser s’empale sur ma queue et Gisèle, je l’invite sur ma bouche. Un mec pour deux donzelles, c’est le paradis sur terre, me dis-je. Je fus obligé de calmer les ardeurs de Manon, sous peine de jouir trop vite. Surtout qu’elle est nettement plus étroite que sa grande sur. Sur ma bouche, Gisèle gémit déjà. Cette fois, je compte bien ne pas m’endormir trop vite. Après un long moment, Manon prend son envol, explose comme le bouquet final d’un feu d’artifice. Les deux femmes n’en arrêtent pas pour autant de se gouiner entre elles et j’adore. Toutes les deux échangent leur place. Sur ma bouche, Manon, sa mouille exquise, son cul délectable.

« Ce con, il me lèche le cul ! »

« Quoi, t’aimes pas ? »

« Si, au contraire, mais c’est la première fois qu’un mec me broute mon cul avec sa bouche. Il est top le beauf ! »

Non mais, il ne manquerait plus qu’elle me traite de pédé, la petite. Attends ma belle, tu vas voir. Je la soulève, la tourne dos à sa sur et enfonce mon pouce d’un coup dans son cul et ma mes lèvres suce son clito. L’effet est sans appel, Manon exulte de plaisir une fois de plus. Elle tombe derrière ma tête, cherchant son souffle. Sur mon visage couvert de cyprine, Gisèle se penche, me lèche mes joues, ma bouche, mon nez.

« Bien jouer mon grand, t’es bon, toi et j’adore »

Voilà des compliments comme je les aime. Avec Gisèle, on jouit de concert en se serrant dans nos bras. Couchée sur moi, elle reste empalée sur mon sexe, ne remuant que très peu. Je nous retourne et me remets à l’ouvrage tout tranquillement, histoire que ma queue se tende à nouveau. Plus elle se tend, plus je m’agite sur Gisèle. La petite sur s’aventure entre mes fesses. Aie, je n’ai pas pris ma douche ce matin, enfin, pas encore. Cela ne doit pas sentir la rose sur mon anus. Mais la belle semble prendre gout.

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