Une fois cet exercice de la trayeuse passé, toujours avec un peu de difficultés, je lui proposai que nous prenions un bain ensemble.
Un bon bain chaud où je m’allongeai en premier. Elle vint prendre place entre mes jambes. Je pouvais ainsi la caresser, la masser. Je m’attardai évidemment sur ses seins. J’essayai de les dorloter. Je triturai ses tétons endoloris en les faisant rouler entre mes doigts, en les étirant un peu. Puis je revins sur le galbe de ses seins que je massai et pétris délicatement.
Elle adorait ça.
Je tendis ma main à l’extérieur de la baignoire, pour récupérer le verre de sperme, que ses collègues avaient eu la gentillesse de remplir. La quantité était assez importante, la moitié d’un verre d’eau.
Je lui tendis en lui disant :
— Ta récompense pour tout à l’heure.
Comme elle était au final assez excitée, et par la trayeuse et par mes massages, elle s’empara du verre, le leva au-dessus de sa bouche ouverte, et fit glisser tout le contenu dans sa bouche.
— Garde-le en bouche un petit moment. Savoure ce mets délicat.
Pour la motiver, je lui caressai le clito et vins lui mettre un, puis deux, puis trois doigts dans la chatte.
— C’est bon, hein, ce que je te fais ?
Elle me fit signe "oui" de la tête.
— Et ce que tu as dans la bouche, c’est bon aussi ? Demandais-je en accélérant le mouvement de mes doigts.
Là encore, elle me fit un signe positif.
— Alors, maintenant, tu peux avaler.
Une fois que ce fut fait, j’agrippai son menton et le bascula en arrière en lui demandant, une nouvelle fois d’ouvrir sa bouche. J’y déposai alors un bon crachat. Je refermai sa bouche. Elle avala encore.
— Tu deviens de plus en plus parfaite ma belle.
— Merci Fabien.
Puis elle se laissa glisser dans l’eau pour s’immerger la tête, qu’elle toucha de ses mains.
En ressortant, elle me dit.
— Fab, stp. Je commence à avoir un duvet de chevaux qui pousse. C’est tout rêche. Tu peux faire quelque chose ? Me raser, stp ?
— Volontiers.
J’enduisis donc sa tête de gel à raser et entrepris un rasage complet de sa tête. Je terminais en lui faisant un massage du cuir chevelu avec de l’huile. Elle brillait…
— Par contre, je souhaite que maintenant, tu les laisses repousser. D’une part parce que c’est plus excitant pour moi de te tondre quand tu en as bien plus… et d’autre part, parce que je souhaite te revoir avec des cheveux.
— D’accord. J’en prends note.
Et c’est ainsi que les jours passèrent.
Marc, son ex, reporta finalement sa venue à une date ultérieure.
Au boulot de Steph, tout se passait dorénavant mieux. Elle s’était même faite à la fameuse bande, des potes !! Ils veillaient sur elle et la défendaient.
Il serait clair, qu’en retour, il faudrait qu’ils lui passent à nouveau dessus, mais comme cela s’était bien passé, une fois de temps en temps, pourquoi pas ??
Le fait qu’elle mange à nouveau lui avait permis de reprendre des formes. Ses seins étaient plus volumineux, pour mon plus grand bonheur. Son cul aussi et la sodomiser était un réel plaisir.
En plus d’être belle, elle devenait bonne, méga bonne même !
L’utilisation de la trayeuse commençait à porter ses fruits car je vis apparaitre des suintements sur le bout de ses tétons. Le surlendemain, les suintements firent place à du lait. Ce dernier étant récupéré par le berger.
Ses seins étaient maintenant redevenus aussi gros qu’avant… voire un peu plus.
C’est maintenant elle qui demandait à être traite afin de la soulager de la douleur.
C’est le moment que choisit Marc pour refaire son apparition et me demander si le repas tenait toujours.
J’acceptai, sans en parler à Steph.
Le jour J, un vendredi soir, alors qu’elle était en position de traite, je lui mis un bandeau sur les yeux. Elle était bien évidemment équipée de son plug et de son uf. La trayeuse officiait, récoltant des centilitres de lait mammaire.
Je mis de la musique, histoire de la détendre et d’étouffer les bruits alentour.
Je fis entrer Marc en lui demandant de se taire.
Il hallucinait. Voir son ex, crâne rasé, sur une table, à quatre pattes, en train de se faire traire avec un plug dans le cul…
— Je ne la reconnais plus, me dit-il à voix basse.
— Ça te dirait de l’enculer, là, comme ça !
— Quand je vois ça, sûr que ça donne envie. Elle a repris des formes, dis donc !! Elle est vraiment bonne… Elle a un côté très chienne.
— Attends, bouge pas. Déshabille-toi en attendant.
Je m’approchais de Steph pour lui parler à l’oreille.
— Ma belle. Ne sois pas inquiète. J’ai un invité avec moi qui rêve de t’enculer. Mais tu ne dois pas savoir qui c’est. Juste, laisse-toi faire et apprécie le moment.
Elle me fit signe de la tête.
J’invitai donc Marc à y aller, lui signifiant juste qu’il devait lui jouir dans la bouche. Il lui ôta le plug et la pilonna… Deux minutes, avant de sentir la jouissance arriver.
Il décula et lui mit sa bite devant la bouche, qu’elle ouvrit. Il éjacula une bonne rasade qu’elle avala.
Il se rhabilla. Je le raccompagnais à la sortie.
— Tu vois, c’est ça qu’elle est devenue. Et elle est épanouie ainsi. Avec toi, elle se faisait chier. Elle a un énorme potentiel que j’exploite. Donc, tu feras ce que tu veux, mais si de mon côté je t’entends parler mal d’elle, pour le coup, on règlera ces problèmes différemment. J’espère que je me fais comprendre.
— Ca va. Pas de soucis. De toute façon, c’est clair qu’à la voir ainsi, on nétait pas fait pour être ensemble. Je te la laisse. Tu n’entendras plus parler de moi. Allez, bye !
A mon retour, j’enlevais le bandeau de ses yeux.
— Encore une bonne dizaine de minutes, et ça sera bon.
— Ok
— Perso, je suis arrivé à ce que je souhaitais, côté paire de miches. Je n’en veux pas plus. Tu dois faire un bon 95 C, voire D. Après, ça tombe. Donc, la traite, on va la ralentir, l’espacer dans le temps et l’arrêter. On va partir sur un délai d’un mois. D’abord, un jour sur deux, puis sur trois, puis sur quatre. Tes mamelles devraient arrêter de produire du lait si elles ne sont plus stimulées.
— Si ça te convient, moi, ça me va.
— Parfait. Et quand ça sera terminé, on passera à l’annelage. Tu te rappelles de ce que c’est ?
— Oui, tu vas me faire percer les seins afin d’y accrocher des anneaux.
— C’est ça. Je me demande si je vais faire pareil avec ton sexe ?? On verra bien à ce moment !!!
— Euh, Fabien… C’était qui ? C’était qui la personne qui m’a enculé et m’a fait bouffer son sperme ?
— Ah, petite curieuse, tu aimerais bien savoir ?
— J’avoue que oui. Même si je me suis fait une raison sur le fait que me prêtes à qui bon te semble, j’aime bien savoir.
— Tu aimerais que ce soit quelqu’un de particulier ?
— En fait, non, pas vraiment. Je m’en fous un peu, c’est juste de la curiosité. Par contre, c’était rapide… Pas bien endurant le mec… et petite bite en plus. Bref, j’ai pas senti grand-chose… Tu sais quoi, ça me rappelle mon ex.
— Ton ex ? Marc ?
— Oui, celui-là même.
— Bingo !
— ????
— Bingo, je te dis !
— Bingo quoi ? C’était Marc ?
— Eh oui.
— Oh la vache ! Qu’est-ce qu’il a dû penser ? Oh, puis merde, je m’en fous. Par contre, vu sa performance, je me dis que j’ai bien fait de le quitter pour toi.
— Il est d’accord avec ton point de vue. Il pense que vu la perversion dont tu fais preuve aujourd’hui est totalement incompatible avec le type de vie qu’il souhaite. Il est juste content de t’avoir enculé. Et tu n’entendras plus parler de lui.
— Quel gros naze ce mec quand même !! Bon débarras !
— Pour fêter ça, ce soir, on sort.
— Yes ! On va où ?
— Un petit bar à Tapas. Tu thabilleras de ta petite jupe moulante en cuir et d’un blazer ouvert. Rien dessous.
— Ca va être sexe !!!!
— Exactement. On y retrouvera des potes. Je veux que tu leur en mettes plein la vue.
— Et qu’ils m’en mettent plein la bouche ????
— On verra. Allez, action. Va te préparer.
— Fab ?
— Oui
— Je t’… Non, rien.
— Allez, file.
— Attends. Est-ce que je peux dire à ma copine Léa de se joindre à nous. J’aimerais te la présenter.
— Vas-y. Appelle-la. On se donne RV là-bas.
Arrivés au bar/resto, nous nous installons en terrasse ?
Certains de mes potes sont déjà là. Je fais les présentations. On s’attable et on commande des boissons.
Indubitablement, je me fais chambrer. Ils lui demandent ce qu’elle fout avec moi. Ce qu’elle me trouve.
Elle répond que je suis ce qu’il y a de mieux, pour elle. Qu’elle est ma soumise, et fière de l’être.
Ils sont interloqués et demandent alors une preuve de sa soumission. Elle me regarde et défait le bouton de sa veste, laissant entrevoir dessous sa nudité et ses deux magnifiques seins.
Ils sont éberlués. Pour le coup, ils avalent cul sec leur boisson et recommandent une nouvelle tournée.
C’est à ce moment qu’arrive Léa.
— Bonsoir. Je suis Léa.
Steph est ravie de voir sa copine. Elle se lève et l’embrasse sur la bouche.
Elle fait elle aussi les présentations, insistant bien sur le fait que tous les mecs présents à cette table sont disponibles… si elle le souhaite.
Léa rougit. Elle semble étonnée de l’attitude de Steph. Elles se mettent un peu à part et discutent entre elles, pendant que nous, les mecs, on discute entre nous… et on parle de cul. De leurs culs !
Léa est une jolie blonde, aux cheveux longs et aux yeux bleus. Assez grande, 1m70, de jolies formes, mais sans plus. Je dirais un 90B de tour de poitrine et un joli p’tit cul.
La soirée passant et l’alcool aidant, je proposai à tout ce petit monde de venir finir la soirée à la maison. Certains potes ne pouvant s’y rendre, c’est donc à cinq, que nous rentrâmes chez moi.
Steph et Léa étaient avec moi en voiture. Seb et Franck nous suivaient.
Durant le trajet, j’allumai le toujours précieux uf de Steph et lui demandai de se caresser les seins, lorsque je reçus un appel de Fabienne, qui me demandait ce que je faisais et si elle pouvait venir aussi. Ce à quoi je répondis par l’affirmative.
Steph se caressait donc les seins sous les yeux de sa copine Léa, qui n’en perdait pas une miette.
— Tu peux faire pareil si tu veux, Léa ?? Lui dis en plaisantant… quoique…
Elle me sourit, gênée…émoustillée…
Arrivés à la maison, nous nous installions dans le salon et je sortis verres et alcools.
Je remplis les verres. Après avoir une énième fois trinqué, je dis :
— Et si nous nous amusions un peu ?
L’accord fut unanime. Je demandais à Steph de se lever et la débarrassai de sa veste. Dans le même temps, je lui ôtai sa jupe et lui demandai de se mettre en position. Ce qu’elle fit.
— Mesdames, messieurs, Steph comme vous ne l’avez encore jamais vue !! Vous pouvez en profiter.
Fabienne fut la première à réagir. Elle s’approcha d’elle, lui palpa les seins, prit sa tête à deux mains et lui roula une grosse pelle qui s’éternisa.
Franck me regarda avec un air interrogateur. Je lui fis signe qu’il pouvait y aller. Il s’approcha lui-même de Fabienne, par-derrière, lui malaxa les seins et dézippa la fermeture éclair de sa robe qui tomba sur le sol. Adepte, elle aussi du non-port de sous-vêtements, c’est donc deux femmes nues qui s’embrassaient devant nous.
La soirée prenait une tournure bien dépravée !!!!
Seb se déshabilla lui aussi et commença à se masturber devant les filles qui s’embrassaient. Steph quitta les lèvres de Fabienne et s’agenouilla pour prendre la belle bite de Seb en bouche.
Fabienne fit de même avec Franck. Quant à moi, je restais un peu plus loin et tenais la conversation avec Léa qui semblait médusée mais intriguée.