Un jeudi en Août, j’aperçus sur la plage, Mathilde, une fille de 19 ans, comme moi, que je connaissais seulement de vue.

Elle ne me connaissait sûrement pas mais j’avais souvent fantasmé sur elle, notamment sur son décolleté qui était aujourd’hui bien mis en valeur grâce au bikini plutôt léger qu’elle portait, à vue dil c’était sûrement un bonnet D. Sa poitrine était ferme et provoquait presque chez moi une érection. Toutefois rapidement mon regard se tourna vers ses pieds nus ornés d’un fabuleux vernis argenté qui semblait presque refléter la lumière du soleil sur mes yeux remplis d’admiration, cette vision créa immédiatement une bosse au niveau de mon entre-jambe. Etant donné que j’étais en maillot de bain, c’était assez visible mais je ne m’en rendis pas compte. Elle se leva, avança vers moi et glissa discrètement toute son autorité à mon oreille : "Suis-moi". Je fus un peu gêné, me demandant si elle avait remarqué mes regards indiscrets, ce qui était malheureusement très probable.

Sa splendide chevelure brune tombait presque jusqu’à ses fesses qui semblaient aussi fermes que sa poitrine. Je la suivis donc jusqu’à ce qui ressemblait à une sorte de cabane prés de la plage, ces maisonnettes qui servent normalement à stocker les affaires de la personne qui la loue. Elle me demanda de fermer la porte derrière moi, ou plutôt elle me l’ordonna. Une fois cela fait, elle s’assit sur une sorte de banc, juste en face de moi, et leva sa fine jambe droite afin de placer la plante de son pied juste en face de mes lèvres : "Tu sais aussi bien que moi que tu en as envie, embrasse-le !". Après quelques secondes d’hésitations son regard d’Impératrice me fit me soumettre et je plaçai donc un timide baiser sur l’objet de mon admiration antérieure :

"-Mets-y tout ton cur s’te plaît !

-Oui maîtresse … lâchai-je dans un moment de confusion"

Toutefois cela semblait lui plaire puisqu’elle arbora pendant quelques secondes un petit sourire presque narquois. Je m’attelai donc à la tâche en léchant chaque centimètre de ce joli pied, sans oublier l’espace entre chaque orteil, cela lui faisait sortir quelques petits gémissements qu’elle tentait de cacher pour ne pas perdre la face devant moi, celui qu’elle considérait déjà comme son esclave, son jouet. Au moment où je pris en bouche son gros orteil afin de le sucer, elle me récompensa avec son pied gauche qui attrapa mon short de bain, le fit descendre et commença à caresser ma bite, comme une déesse qui remercie son disciple de ses prières quotidiennes. Elle retira ensuite son pied droit de mon visage afin qu’il participe lui aussi à la tâche de me masturber avec ses pieds, à l’aide de ses deux arches elle créait un mouvement de va-et-vient qui semblait lui donner cette impression de domination qu’elle cherchait justement. De temps en temps, un de ses orteils venait s’aventurer entre mon prépuce et mon gland, comme pour me taquiner. Et quelques fois un de ses pieds descendait jusqu’à mes testicules afin de les caresser et de varier ce qui pourrait lui semblait ennuyeux à la longue pendant que moi je prenais tout mon plaisir. Il ne me fallut que quelques minutes pour éjaculer et recouvrir ses pieds de mon liquide opaque et blanchâtre. Elle examina pendant quelques secondes les dégâts puis la pièce :

"-Il n’y aucune douche et je ne peux pas sortir comme ça … Nettoie moi comme tout à l’heure, me demanda-t-elle calmement.

-Mais … Non c’est

-Tu l’as fait, tu nettoies ! me dit-elle tout en reprenant son ton autoritaire, comme pour me rappeler la hiérarchie que j’avais accepté."

Plein d’appréhension je m’approchai de ce gros orteil, qui, il y a encore quelques minutes, me faisait ressentir une excitation incomparable aux multiples précédentes. Cette fois, recouvert de ce liquide gluant il me paraissait beaucoup moins appétissant : "Si tu veux que ce genre de rendez-vous se reproduise il vaudrait mieux que je reste sur une note positive". Comme hypnotisé par l’idée de devenir véritablement son esclave je fonçai sur chaque trace de mon sperme pour le prendre en bouche et nettoyer ces pieds divins que j’avais, comme elle l’avait dit plus tôt, souillé. Une fois que j’en avais récolté chaque centilitre mon envie de l’avaler disparut soudainement, alors que celle de le recracher quant à elle ne faisait que croître. En voyant mon hésitation elle leva les yeux vers le ciel comme désespérée puis rapprocha son visage du mien, ses lèvres des miennes et introduisit sa langue qui rejoignit la mienne afin de tourner autour de celle-ci. Après la fin de ce roulage de pelle, sa langue vint me libérée du fardeau que représentait ce nectar pour moi. Elle s’éloigna de moi, ouvrit sa bouche afin de me montrer ce qu’elle avait réussi à récupérer puis avala tout cela :

"-Je t’apprendrai à faire ça une prochaine fois, je ne serai pas toujours d’humeur à te faire la fleur de l’avaler, lança-t-elle avec un petit sourire en coin.

-Oui maîtresse, je suis impatient.

-Je te contacterai dans la semaine qui suit, retiens-toi pour être pleinement d’attaque ce jour là !"

Elle me lança la clé du cabanon, sûrement pour que j’aille le rendre à son propriétaire à sa place, et comme une sorte de récompense à l’avance, ou peut-être d’avant goût pour la prochaine fois, elle se retourna et baissa le bas de son bikini pendant plusieurs dizaines de secondes afin que je puisse admirer ce magnifique fessier.

Précisément une semaine plus tard, soit 7 jours sans me masturber, ce qui fut plutôt compliqué avec ce flot de souvenirs provenant de cette journée mémorable, je reçus une photo sur mon portable et en l’ouvrant je pus admirer deux magnifiques pieds constellés d’un vernis rouge plus qu’excitant. Un papier était posé sur ces deux pieds, une adresse était écrite dessus ainsi qu’une heure. Si je voulais être à l’heure je devais partir immédiatement, pas de doute c’était Mathilde, je reconnaissais ses pieds mais aussi sa façon de me considérer à sa disposition. J’enfilai donc mes chaussures puis un manteau et je partis vers cette adresse, curieux de ce que j’allais devoir y faire.

Après une dizaine de minutes de marche, je me trouvais devant un immeuble, je sonnai au numéro qu’elle m’avait indiqué et la porte s’ouvrit sans aucune vérification. Une fois entré dans cet appartement, je la vis, allongé sur un fauteuil, les pieds posés sur un pouf :

-J’ai marché toute la journée, j’avais envie d’un massage.

Pas de bonjour, ni rien. Je m’y attendais un peu et pour dire vrai, cela ne me dérangeait pas outre mesure, je m’approchai donc de ses pieds, m’agenouillai afin de les lui masser. Etant fétichiste je m’étais souvent entraîné à ce genre de massages et elle semblait le ressentir puisque j’arrivais parfois à déceler quelques signes de plaisirs sur son visage inexpressif, mes doigts ont donc fait le tour de ses pieds pendant quelques minutes jusqu’au moment où elle baissa sa jupe noir, je dus la lâcher afin de laisser ce vêtement tomber au sol. Ce fut ensuite au tour de son string rouge qu’elle retira puis lança sur mon visage :

"-Ta récompense, tu as sûrement eu du mal à te retenir tout ce temps alors tu peux te lâcher maintenant.

-Merci maîtresse !

-J’aurai besoin d’un massage ici aussi, me dit-elle en pointant du doigt sa vulve épilée.

-Je m’y attelle, répondis-je en approchant mes doigts de son vagin.

-Avec la langue."

Je fus certes un peu surpris de sa requête, mais j’en fus surtout réjoui ! Ma main droite effectuait donc des mouvements de va-et-vient autour de ma verge, tout en enroulant ce magnifique string autour de celle-ci, pendant que ma main gauche attrapait ses fesses pour rapprocher mon visage de sa fente. Ma langue titillait son clitoris et récoltait sa cyprine que je savourais, parfois j’approchais aussi mon nez afin de m’imprégner de cette odeur qui ne faisait que rendre mon érection encore plus puissante. Ses gémissements étaient de plus en plus fréquents et de plus en plus audibles, après un petit cri elle me dit :

-Ah … C’est bon … Tu peux arrêter. Voici ton autre récompense, fais en ce que tu veux.

Elle leva donc ses deux jambes pour placer ses pieds dans mes mains. Je collai donc ses deux pieds pour placer mon sexe dans l’orifice qui subsistait entre ses deux arches, je coïter cet orifice à l’aide de nombreux coups de reins. Mais à cause de ma masturbation précédente je ne pus en profiter pleinement et, au bout de deux minutes, trois jets de sperme atterrirent sur ses orteils. Elle n’eut pas besoin de me rappeler ce que je devais faire, je m’y étais préparé psychologiquement toute la semaine précédente, je pris son gros orteil en bouche, tout en fermant les yeux, pour récupérer tout le liquide amer que j’avalai immédiatement. Pour que je puisse la nettoyer entièrement, elle écartait ses orteils à mesure que ma langue avançait. En moins d’une minute j’avais donc totalement nettoyé ses pieds :

"-Tu t’es amélioré par rapport à la dernière fois, me félicita-t-elle.

-Je voulais vous faire plaisir maîtresse.

-Tu peux y aller, si j’ai besoin de toi je te le ferai savoir."

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