Je précise dès le début de cette histoire que celui que j’ai toujours considéré comme mon père est en réalité celui qui a épousé ma mère alors qu’elle était enceinte de huit mois d’un salaud qui l’avait laissée tomber dès qu’il avait appris son état.

Quelques années plus tard, ma mère a accouché de bessons qui sont venus compléter la fratrie.

Hervé n’a jamais fait de différence et il a toujours dit à Sandra ma mère que pour lui, j’étais sa fille.

Jean et Jeanine ont 6 ans de moins que moi et tous les cinq, nous formons une famille unie.

Beaucoup de temps a passé puisque désormais je suis indépendante… âgée de bientôt 20 ans, j’ai un petit studio proche de mon boulot dans la ville voisine.

Physiquement, je ressemble beaucoup à ma mère. Avec presque 1. m75, de longs cheveux châtain, mon visage ovale est éclairé par de grands yeux pers. Ma silhouette longiligne avec une poitrine menue et des hanches étroites font que j’ai beaucoup de succès auprès des garçons, mais je reste relativement sage…

J’ai, comme on le dit familièrement, des baises hygiéniques quand ma libido se fait trop forte.

Mais cela a changé…

L’an passé, pour les vacances de février, nous étions partis tous les cinq au ski dans les Hautes Alpes… Nous étions bien installés dans un grand studio très confortable. Je partageais une chambre avec des lits jumeaux avec Jeanine et Jean occupait une de couchettes de la cabine. Mes parents se partageaient le divan convertible du séjour…

Bref… tout devait bien se passer.

Le premier samedi, je suis sortie en boîte dans la station et lorsque je suis rentrée au studio, j’étais épuisée… La fatigue de la route… en plus j’avais dansé toute la nuit, bu un peu plus que de raison, mais je n’avais pas cédé à la cour pressante que deux garçons m’avait faite… Je n’étais pas partante pour un coup à trois ! Cela ne m’était jamais arrivé !

Quand je me suis réveillée, il n’était pas loin de 11 heures du matin… Je n’entendais aucun bruit dans le studio… J’étais seule ?

NON… car quand je me suis levée, à moitié nue selon mon habitude, j’ai trouvé Hervé dans le séjour en train de lire son journal… allongé sous la couette.

Oh… Carole, j’espère que je n’ai pas fait de bruit ?

NON… Où sont les autres ?

Ta mère est partie avec les jeunes… Ils voulaient faire de la luge…

Ah bon…

Tu m’as l’air tristounet ! Tu as des soucis… Viens près de moi… Nous allons en parler.

Je n’aurais jamais dû me glisser près de lui dans le divan-lit pour lui raconter comment deux garçons avaient voulu m’entraîner dans une partie à trois…

Il m’a rassurée en disant que j’avais eu raison, mais que chez les jeunes, ce genre de situations était assez fréquent : deux garçons et une fille ou deux filles avec un garçon, cela arrivait plus souvent qu’on le pensait.

Oh… je suis surprise… mais il n’y a pas d’amour ?

NON, ce sont juste des fantaisies sexuelles… Certains vont même dans des clubs pour trouver des partenaires…

Je m’étais blottie contre Hervé pour trouver un peu de chaleur sous la couette… Je me sentais bien et je retrouvais avec bonheur les sensations que j’avais, petite fille, lorsque je venais retrouver mes parents dans leur lit.

J’ai enlacé Hervé et c’est là que j’ai senti son sexe bandé contre mon ventre…

J’étais émoustillée par notre conversation et j’avais la chatte en folie… et c’est la folie qui m’a prise !

J’ai enjambé le bassin d’Hervé, fait glisser le cordon de mon string et je me suis empalée sur son sexe en lui disant !

Prends-moi… Fais-moi l’amour… Je suis en manque !

Depuis des années déjà, je savais qu’Hervé n’était pas mon père et avoir des relations sexuelles avec lui, ce ne serait pas de l’inceste…

Maman… Pardonne-moi, mais c’est plus fort que moi ! Ce colosse brun m’a toujours fait fondre… Plus d’une fois, j’ai rêvé qu’il me faisait l’amour… et c’est ce que nous faisons en ce moment !

Oh Carole… que c’est bon… Hélas nous n’avons guère de temps !

Vas-y… Baise-moi vite fait… Je sais, tu en as autant envie que moi…

Oui… Profitons vite de ces instants !

En disant cela, il m’a renversée et m’a fait l’amour à la missionnaire… Je sentais son sceptre de chair aller et venir en moi et j’aimais ça !

En moins de cinq minutes, nous avons joui tous les deux, Hervé se répandant sur mon ventre en de longues giclées…

Vite à la douche… Nous reparlerons de cela plus tard !

Oui… j’en ai encore envie !

Moi aussi !

Mais les deux semaines à la neige ont passé vite… et rien ne s’est produit…

J’avais envie de faire l’amour avec Hervé et je savais que lui aussi en avait envie même si je l’ai entendu baiser ma mère plus d’une fois au cours du séjour. C’étaient des « chauds » ! Pour me calmer, je me caressais jusqu’à l’explosion finale…

Le retour à la vie quotidienne a été plutôt morose…

J’attendais un signe, un message d’Hervé et rien ne venait…

En désespoir de cause, je me masturbais tous les jours en pensant à lui… j’avais même fait l’acquisition d’un gode dont la taille ressemblait à celle du sexe de mon amant… et quand je l’enfonçais dans ma chatte, c’est à lui que je pensais aussitôt, revivant la seule étreinte rapide qui m’avait tant fait jouir !

Je n’avais même plus envie d’aller chercher un coup d’un soir en boîte !

Mais un jour… c’était un mercredi…

Je rentrais du lycée où je n’avais pas de cours à assurer en après-midi quand je remarquai la voiture de service d’Hervé arrêtée au pied de mon immeuble…

Mon cur ne fit qu’un bond…

Il était là…

Il m’attendait…

Je savais ce qui allait se passer et j’étais prête…

J’avais envie d’Hervé comme rarement j’avais eu envie d’un homme…

J’imaginais que c’était un amant infatigable… et je ne me trompais pas…

Je me souvenais d’une manière confuse des soupirs et cris de jouissance de ma mère lorsqu’ils baisaient ensemble, parfois plusieurs fois la même nuit…

Dans ma chambre, je mettais mon oreiller sur ma tête pour ne pas les entendre…

C’est aussi un peu pour cela que j’ai cherché à quitter le nid familial…

Lorsque j’ai frappé à la vitre de la voiture, Hervé m’a fait un grand sourire et disant :

Je savais que tu n’allais pas tarder…

Viens vite… montons chez moi…

Oui, on sera mieux pour bavarder.

BAVARDER ??? Mais es-tu devenu fou ? C’est de baiser que j’ai envie… Presque deux mois sans toi… C’est inhumain !

Alors c’est parti… nous avons tout l’après-midi !

La porte du studio à peine refermée, je me suis précipitée dans les bras d’Hervé et je me suis frottée à lui comme une chatte en chaleur.

J’ai rapidement senti son sexe se dresser entre nous deux et m’agenouillant, je suis allé chercher l’objet de ma convoitise en ouvrant et en faisant descendre pantalon et boxer…

Aussitôt, j’ai gobé le gland puis avalé au plus profond de ma gorge ce membre qui depuis que je l’avais eu en moi à la neige, m’avait fait fantasmer au point que je m’étais masturbée plusieurs fois en imaginant qu’il me ramonait la chatte et me faisait jouir dans de grands cris de plaisir !

Viens… passons dans ta chambre… nous serons plus à l’aise !

Oui, je te veux nu et complètement à moi !

T’inquiète ma belle… moi aussi j’ai envie de toi ! Notre intermède à la neige m’a laissé sur ma faim !

Nous avons dispersé nos vêtements sur les quelques pas qui nous séparaient du lit sur lequel nous nous sommes écroulés, la bite d’Hervé ayant immédiatement trouvé l’entrée de ma chatte !

Je me sentais bien dans les bras de ce colosse brun au torse musclé et viril, au bassin étroit d’ancien nageur et ce sexe qui me labourait et me remplissait la chatte me faisait un bien immense…

J’avais attendu ce jour avec impatience, car je SAVAIS que ce jour viendrait !

J’avais la chatte en folie… elle coulait comme une fontaine et j’entendais le clapotis de la bite d’Hervé qui allait de plus en plus vite…

Il n’y avait pas de fioritures… comme la première fois, il me baisait à la missionnaire et j’aimais cette sensation de domination…

Oouuii ! Baise-moi bien ! Ta bite me fait fondre !

Je délirais complètement si bien que je n’ai pas à jouir… mais Hervé ne s’était pas libéré !

Il a relevé mes jambes à la verticale et il a recommencé à me baiser en profondeur… Je sentais sa queue aller au fond de ma chatte, frapper ma matrice qu’il n’a pas tardé à inonder de son foutre.

Et j’ai joui une nouvelle fois avant de basculer tous les deux enlacés sur le côté !

En moins d’un quart d’heure, il m’avait envoyée en l’air à deux reprises et je sentais, je savais que ce n’était pas fini… Il nous restait encore de longues heures…

Quand nous avons basculé, Hervé s’est placé derrière moi… je sentais sa bite entre mes fesses que je faisais bouger pour l’exciter et la bouche collée dans me cheveux, je l’entendais murmurer :

T’es vraiment comme ta mère… T’es une chaudasse… Faut pas t’en promettre… Je vais t’en mettre une nouvelle dose dans ta chatte de salope…

Certes, ce n’était pas des mots d’amour, mais juste ce que je voulais entendre :

Oui… je suis une chaudasse… Je t’ai attendu pendant deux mois… Je suis ta « salope » ! Baise-moi encore !

Et là, j’ai senti Hervé écarter mes fesses et son sexe glisser en moi par-derrière…

C’était bon… J’étais tellement mouillée qu’il n’a eu aucune peine à entrer en moi…

J’imaginais plein de folies… que je lui confiais à voix basse pendant qu’il faisait rouler mes tétons entre ses doigts …

Quand je sentais son pubis se coller contre mes fesses, je me pressais contre lui pour mieux le sentir…

Décidément, un homme d’expérience c’est bien meilleur que les jeunots qui me sautaient habituellement…

Sa bite allait au fond de moi, ma chatte bavait comme jamais… mais je le sentais bien !

Et nous avons joui presque en même temps, sa bite déversant à nouveau d’abondantes giclées contre ma matrice. En moi-même, je pensais : « heureusement que je prends la pilule ! », car avec ce qu’Hervé m’avait mis cet après-midi… »

Après un temps de repos, nous avons recommencé… je suçais la bite de mon amant pour achever de la faire bander quand il m’a fait mettre en levrette en me disant que mon petit cul lui faisait envie…

Cela dit, je n’imaginais pas ce dont il avait envie !

Lorsque j’ai pris la position, j’ai senti qu’Hervé chercher l’entrée de mon sphincter. Je me suis écrié :

NON… Pas là… je suis vierge du cul !

Bien… alors, je vais prendre ta chatte… mais tu ne perds rien pour attendre… Tu verras, c’est presque meilleur !

Bref, Hervé m’a baisée en levrette est s’est répandu sur mes reins lorsqu’il a joui…

Quand il m’a quittée en fin d’après-midi, j’étais lessivée… Je n’aurais jamais cru qu’un mec de 45 balais pouvait être aussi performant…

Quelques jours plus tard, je recevais un colis d’une maison de VPC bien connue dans le monde des coquins avec un rosebud et un flacon de gel.

Je savais ce que je devais faire… Ce n’était pas une surprise, car Hervé m’en avait parlé avant de me quitter : jallais préparer mon cul à la sodomie…

J’avais hâte d’être à la prochaine rencontre avec Hervé…

Mais ça, c’est une autre histoire !

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