Il se fit un silence de mort. Tout le monde s’immobilisa. Corentin sortit de mon cul et Kévin, avisant le fenêtre ouverte expliqua :
– Je crois que nous avons fait un peu trop de bruit, dit quelqu’un.
Les mecs se regardaient silencieusement en souriant comme des enfants qu’on vient de prendre en flagrant délit d’une bêtise pas trop grave ou même en se retenant de pouffer de rire, main devant la bouche.
On sonna de nouveau. Au même moment, une voix forte se fit entendre de l’extérieur.
– S’il vous plait, vous pouvez venir ?
Jonathan était allé à la porte et regardait par le judas.
– Putain les mecs ! C’est la voisine… elle est à poil !
Tous convergèrent vers la porte sauf Alex qui ayant remis son boxer, s’était précipité sur le balcon pour voir qui appelait de l’extérieur.
Située au milieu de la pièce, j’entendis la conversation que tenait Alex tout en regardant les mecs se succédant devant la porte pour mater par l’illeton;
– Ma femme et moi on vous entends. On peut participer ?
– Eh les gars, ouvrez, c’est les voisins, ils veulent jouer avec nous.
Aussitôt Jonathan ouvrit et la voisine apparut effectivement complètement nue sur le seuil, suivie bientôt par son mari en slip très moulant, portant ses clefs autour du cou.
Je m’étais relevée pour venir à leur rencontre.
– Loïc et voici ma femme Aemi.
– Amélie et voici mon mari Jonathan.
– Oui… nous nous sommes déjà croisés….
– Et des amis… Alex, Corentin…
– J’ai déjà vu monsieur sur le balcon tout à l’heure, dit Aemi en gloussant… juste un peu… mais cela demande désormais un examen plus approfondi.
Cette remarque déclencha une cascade de rires.
Puis nous fîmes le reste des présentations.
Ce rapide tour d’horizon m’avait laissé le temps de mieux regarder nos hôtes.
Loïc n’est pas très grand 1,70 m selon ses dires- mais il est taillé en force. Trapus, musculeux à souhait et très blond, ce que son pubis nous apprit car il se rase menton et crâne intégralement. Sa peau est très blanche et fait ressortir ses gros tétons rosés que des pectoraux puissants laissent saillants.
Il a une bite de taureau, la plus épaisse qu’il m’ait été donné de contempler. En extension, elle dégage un gros gland coloré qui se redresse très légèrement par rapport à la hampe qui pointe très dur en avant. Elle est plus courte que celle d’Alex, pas de beaucoup, mais celà lui donne un air massif très affriolant. Une magnifique paires de roustons gros et lourds complète ce beau panorama qui donne immédiatement envie se s’y intéresser.
Aemi est encore plus petite que son mari. Elle dépasse à peine 1,55 m, c’est dire que parmi les solides gaillards qui m’entourent, dont aucun ne fait moins d’ 1,81, elle parait minuscule.
D’origine vietnamienne, elle est extraordinairement bien proportionnée. Elle a de petits seins mais tout ronds et qui pointent en avant comme le nez d’un concorde. Ses petites fesses sont de la même rondeur, d’un galbe parfait et bien ferme, si parfaites qu’on dirait qu’elles sont été sculptées par un disciple de Michel-Ange. Elle se taille le pubis en ticket de métro. Son teint tranche avec la pâleur de son mari. Et c’est une vicieuse…
Spontanément, nous nous étions mis en arc de cerle autour de nouveaux venus. Aemi en fit le tour, lentement en laissant trainer sa main sur les sexes animés d’une nouvelle ardeur.
Quand elle fut devant moi, elle inclina légèrement la tête sur le côté en me disant, tout en mettant sa main entre mes cuisses :
– Tu permets ?
Je ne m’étais jamais fais tâter la moule par une autre nana, mais j’étais chaude comme un barbecue et la sensualité de cette fille était contagieuse.
Elle me caressa le frifri d’une main experte tout en se rapprochant de moi, puis, elle se colla contre mon corps et, en se hissant sur la pointe des pieds, elle vint m’embrasser. Comme aimantée, je me laissai faire et répondis lascivement à cette délicieuse étreinte. Les gars en rut, surexcités se ruèrent sur nous et jouèrent de leur main.
A mon tour, je cherchai la vulve de ma partenaire mais il me fut impossible de l’atteindre. Des doigts vigoureux et des mains épaisses et poilues assiégeaient déjà la place.
Les garçons, très impatients, nous séparèrent bientôt mais pour mieux nous réunir.
Alex s’allongea sur le sol, et m’invita à me coucher sur lui, mon dos contre son ventre, sa queue dans mon trou de balle.
Aemi se mit en 69 au dessus, me présentant sa chatte à lécher, et s’occupant de la mienne avec délicatesse.
Mon mari l’enfila, au dessus de moi par le cul selon les propres recommandations de Loïc. Je voyais sa grosse pine la fendre et les couilles bine remontées serrées contre le manche.
– Encule-la. Elle aime ça !
De son côté, Loïc lui présenta son zob se faisant sucer ou l’introduisant dans ma chatte quand sa femme l’y guidait adroitement.
Mais ce n’était point encore assez.
– Y a de la place pour trois bites. Qui en veut ? demanda Loïc.
Question idiote, tout le monde en voulait.
A mon corps défendant, on nous sépara donc et on nous mit toutes deux dans la même position, chacune chevauchant un mec, offrant notre cul à un second et attendant qu’un troisième put se faufiler.
A ce jeu là, je manquai d’expérience mais ma voisine pas du tout. Et elle confirma par la suite ses étonnantes prédispositions au sexe à plusieurs, me reléguant au rang de première communiante, malgré mes appâts beaucoup plus développés que les siens.
Du reste, son mari n’était pas non plus à son coup d’essai et si, jusqu’ici, C’est Alexandre qui avait été à la manuvre, force fut de constater que Loïc, désormais, avait pris en douceur la direction des opérations et donnait les instructions pour bien baiser sa femme et mieux disposer de moi.
Après cette triple mémorable qui était une première pour moi avec une queue dans le cul et deux dans la chatte, Il y eut une classique tournante en missionnaire, chacune allongée sur l’épais tapis, offrant notre moule aux gars qui commençaient par moi, puis passaient dans la chatte d’ Aemi, puis dans sa bouche avant d’arriver dans la mienne. Mais cela n’occupait jamais que quatre garçons à la fois, or ils étaient sept.
Loïc dont la force était en proportion avec la musculature demanda à Kévin, fortement baraqué aussi, de l’aider à soulever sa femme en lui faisant une civière de leur bras. Elle était ainsi soutenue, face vers le sol à hauteur de pubis, ce qui permit à Jonathan de venir l’enfiler par derrière en lui tenant les jambes. Corentin se faisait sucer par devant.
– Faites la même chose avec Amélie !
Mais comme je suis plus lourde, il fallut recomposer les équipes. Je me trouvais donc soutenue par Corentin et Kévin. C’est Loïc qui m’enfila et je sentis bien passer le mandrin. La vache ! Quel morceau. Jamais je n’avais été secouée autant. Il me démontait et je ne pouvais pas contrôler mes cris ni même attraper la bite qui se présentait devant ma bouche. Aemi, elle pourtant, y réussissait fort bien.
Pourtant, si forts que fussent les hommes, il fallut bien nous reposer, non sans avoir pratiquer un changement de sens, nous mettant sur le dos ce qui était moins confortable, et permis à tout les types de nous troncher dans cette position acrobatique.
On nous déposa donc sur la table de la partie "salle à manger". Une à chaque bout, sur le dos, cuisses ouvertes, chatte béante. Les gars nous emmanchaient à tour de rôle et, grâce à la solidité du meuble, héritage familial dont je louai maintenant l’existence alors que je l’avais peu aimé jusqu’ici, deux types pouvaient s’y tenir en même temps pour se faire sucer la bite ou bouffer les roustons. Rien de tel qu’une table en chêne pour faire pousser les glands. Et ça poussait fort.
Ça défilait assez vite entre nos jambes. Parfois, un gars nous remontait les jambes, nous invitant à les attraper et les replier sur nous, pour que la croupe s’arrondisse et offre un bon angle pour une pénétration sodomie profonde. Chacun avait son style mais je dois dire que Loïc déployait un tel talent qu’il était aux mâles ce que sa femme était en comparaison de mes propres prouesses, nettement supérieur. Me détruisant avec force, éclatant ma chatte avec une rapidité de mitraillette, élargissant mon cul avec son chibre épais, il m’arracha un deuxième orgasme.
Les autres garçons se montrèrent moins résistants et un premier éjacula dans le con d’Aemi. Je compris, sans le voir, qu’un deuxième avait pris la place et, comme il s’apprêtait lui aussi à décharger, on me fit lever pour assister à l’explosion finale. L’intéressé n’était autre que mon mari qui expulsa son foutre en gueulant la pine rentrée jusqu’aux couilles et complètement affalé sur la meuf qui jouissait.
Prends la place Manu et toi, suce la queue de ton mari… tu vas voir c’est drôlement bon.
Jonathan se redressa, retira donc sa bite et Corentin mit aussitôt la sienne. Je décrassai illico le nud de mon homme avec beaucoup de soin, prenant le tant de bien nettoyer le gland et le prépuce. Le goût de la cyprine mélangé au sperme n’était pas nouveau pour moi car nous sommes habitués à ces petites gâteries post-coïtum dont mon mec raffole et qu’il aime me voir faire aux amants d’un soir que nous invitons de temps à autres.
Corentin mit un peu plus de temps à découiller. Quand il eut fini, Alex demanda à ce que je bouffe la chatte pleine de foutre. Aemi ne le retenait plus et il s’écoulait entre les chairs rouges de plaisir. Je lessivai le tout du mieux que je pus, rentrant ma langue au plus profond.
– Putain, qu’est-ce que j’aimerais bien lui juter dans la bouche ! Dit Alexandre, sans que je susse de laquelle des deux il parlait mais, comme c’est moi qui avait le museau plein de jus, je supposais qu’il me désignait.
– Oh ouais, trop ajouta Elian. Moi aussi.
Et les quatre gars qui n’avaient pas encore vidé leurs burnes, à savoir, Elian, Kévin, Loïc et Alex, optèrent pour une éjac faciale. On nous mit donc à genoux pour qu’ils fassent cercle autour de nous. La taille des seins d’Aemi ne permettait pas de faire des cravates de notaire aussi bien qu’avec ma plus opulente mamelle. Aussi les gars allaient et venaient dans sa bouche ou entre mes nichons.
Loïc aimait bien la branlette espagnole que je lui prodiguai. Son dard coulissait entre mes seins qu’il humectait fréquemment en crachant sur sa queue pour que la salive se répande.
La position me permettait de voir les autres gars se faire sucer par sa femme. Elle y mettait une ardeur et un savoir-faire digne des stras du x que je voyais parfois dans les films de cul que visionne Jonathan assez fréquemment en se paluchant et en attendant que je vienne le délivrer. Elle jouait de la bouche, de la langue et des mains sur tout le zob et les couilles et j’’étais admirative de sa façon de faire que je me proposais bien d’essayer de copier vu que, de surcroit, les garçons ne cachaient pas leur plaisir. Elle arriva ainsi à faire jouir Kévin directement dans sa bouche. Je n’en perdit pas une miette et elle non plus. Complètement bloqué en elle, lui maintenant la tête de ses larges mains, il souleva son bassin plusieurs fois au moment où il expulsait son foutre jusque dans le gosier, la tête tournée vers le plafond en criant :
– Putain de bonne suceuse, Merde, c’est bon… encore meilleure que le mienne… elle prend tout le jus…. aaaaah !
Elle le prit mais en garda une dose savamment étudiée, mélangée à sa salive, qu’elle vint recracher sur ma poitrine pour que son homme y trempe son zob pour mieux l’y faire glisser.
Il ne restait que trois types.
– J’veux qu’elle avale mon sperme répétait sans cesse Alexandre.
Me laissant aller à l’ivresse du moment, je fis une promesse déraisonnable.
– Si on gagne la coupe du monde je bois le jus de tout le monde !
– Ouais… on est les champions, on est le champions….
– En attendant prenez déjà cet acompte. Rapprochez-vous les gars !
Les trois derniers étalons approchèrent et nous ouvrîmes, à la demande de Loïc, nos bouches en grand sous leurs bites qu’ils agitaient avec énergie au dessus de nous. Nous nous caressions les seins en attendant les jets de foutre. Il y eut Alex et Elian presque simultanément. Leurs jets s’abattirent un peu au hasard sur nos visages collés l’un à l’autre. Il y avait du foutre sur les lèvres, les narines le front, les joues et Aemi ramassa celui qui coulait sur moi avec sa langue, j’en fis autant par mimétisme, et nous nous embrassâmes follement. Son mec se tendait, il me saisit la tête pour que je me tourne vers lui. J’ouvris la bouche en attendis encore un peu.
– Tire la langue.
Je le fis. Il posa l’extrémité du gland dessus et, soudain les jets fusèrent jusqu’au fond de ma gorge.
Les spectateurs ne purent cacher leur étonnement devant une telle avalanche de foutre.
– Putain ! T’as vu ce qu’il lui met ! Regarde la dose !
Tout en s’essuyant le bout sur mes joues, Loïc me demanda de ne pas avaler pour aller tout partager avec sa femme.
Nous nous embrassâmes longuement et Aemi en profita pour me regouiner. Nous finîmes en 69 et elle m’arracha un ultime orgasme avec sa langue sous les applaudissements des mâles.
Quand tout le monde eut reprit ses esprits et que certains garçons se furent doucher pour ne pas rejoindre leur femme avec un corps couvert d’odeur de rut, nous convînmes donc de nous retrouver pour la demie-finale comme cela avait été évoqué plus tôt.
Kévin viendrait avec sa femme, mais les autres garçons qui étaient maqués, sauf Elian, nous dirent que leurs copines n’accepteraient jamais une telle orgie et qu’ils viendraient seuls.
Loïc conclut :
– J’vous rappelle qu’Amélie bouffe le jus de tout le monde après la finale si on gagne…
– On n’oublie pas…
– Alors j’ai quelque chose à vous proposer…
– Ouais, vas-y, vas-y …
– Ça nous laisse neuf jours… alors je vous propose de vous branler tous les jours et de garder votre jute au congélo… ça lui fera une belle dose….
– Oui cool, on fait ça…
– On pourra partager avec moi ? Supplia Aemi d’un air gourmand.
– Tout ce que tu veux.
– Eh, demanda Elian. Tu jutes toujours autant Loïc ?
– Quasiment oui.
– Comment tu fais.
– C’est simple, je bois beaucoup… de l’eau, je mange des fruits et des haricots verts…
– Tout le monde au régime, m’écriai-je !
Quelques garçons s’organisèrent pour servir de banque du sperme aux autres qui avaient peur que leur copine ne trouve leur jute au milieu des glaces et des légumes surgelés dans le congélateur. Il est difficile de répondre à la question, pour quoi tu congèles ton sperme chéri ?
Enfin, tout le monde quitta l’appartement sauf nos voisins qui nous proposèrent leur aide pour ranger le joyeux bordel qu’on avait fait pendant le match et la deuxième mi-temps.
Il était tard mais nous acceptâmes, ce qui nous permit de faire plus ample connaissance.
Comme je m’étonnais de leur prouesses sexuelles à tous les deux, ils nous confièrent qu’ils s’étaient rencontrés sur des tournage porno aux États-Unis où ils étudiaient tous les deux et où ces petits extras leur avaient permis de financer leurs études. Ils avaient faits quelques films pur quelques petits studios et avaient appris beaucoup.. d’ailleurs ils se proposaient de nous donner des tuyaux et même de réaliser un film avec eux…
Il était près de deux heures du matin quand tout fut rangé.
– On dort ensemble, proposa Loïc, le réveil sera agréable…
– Notre lit n’est pas assez grand hélas! Dis-je.
– Mais chez nous, on a de la place.
De fait, dans leur chambre, il n’y a que des futons au sol. Sortir des couettes et des oreillers fut l’affaire d’un instant. La pièce donne directement sur la salle de bain… Sur un meuble, une impressionnante collection de sextoys nous intrigua vivement.
– Prenez-en un, essayez-les, suggéra Aemi.
– Demain… là on va dormir un peu.
– OK… mais le premier qui se réveille baise le conjoint de l’autre…
– Ça marche !
Et je m’endormis en rêvant de la demie-finale et de la qualification. Mon mari était le capitaine de l’équipe victorieuse et il soulevait dans ses mains le trophée en or, dont l’extrémité était un énorme gland dont sortait, à la place de la pluie de confettis dorés du sacre, un geyser de sauce blanche.
A suivre.