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Sandra et les plaisirs des voyages – Chapitre 6




Sandra, jolie jeune mère de famille de 33 ans, se remet difficilement de ses derniers ébats sexuels. Ses acrobaties avec deux jeunes Tunisiens d’abord puis son mari ensuite l’avaient laissée exténuée. Quelques douleurs et rougeurs l’ont accompagnée les quelques jours qui ont suivi.

Cela n’a guère échappé à Gérard, leur voisin de chambre, retraité dynamique, qui ne manque pas de couvrir son corps de regards envieux. Mais son appétit sexuel satisfait, la belle brune aux yeux bleus, le tient à distance.

Par pure charité, et peut-être aussi par plaisir exhibitionniste, elle a tout de même consenti à lui laisser entrevoir ses seins. Une première fois, lors d’un dîner, lorsque, placé face à elle, il a maté à loisir dans l’échancrure d’un t-shirt un peu trop lâche. Sur le corps bronzé de la jeune femme, le blanc des seins, qu’elle prenait soin de couvrir lors des séances de bronzage, ne les rendait que plus attirants.

Une deuxième fois, il a pu découvrir sa poitrine totalement dénudée lorsqu’elle s’est changée sans pudeur devant lui, et d’autres, au bord de la piscine de l’hôtel.

Mais cela s’arrête là et la fin du séjour approche.

De son côté, Stéphane prend un plaisir croissant à repérer les regards admiratifs que la plupart des hommes portent sur son épouse.

L’occasion se présente pour cette dernière soirée avant le retour. D’un commun accord, le couple et le retraité décident de passer la soirée dans le club d’un établissement voisin. Plus grand et plus fréquenté que celui de leur hôtel, la musique est aussi plus à leur goût.

Ils enchaînent les danses, seuls ou en duo, se rejoignant ensuite sur de vastes banquettes pour se désaltérer. Quelques coupes de champagne apportent légèreté et insouciance.

Pour l’occasion, Sandra porte une robe blanche en coton léger mettant en valeur sa peau dorée au soleil de Tunisie. Tenue par de fines bretelles, présentant un charmant décolleté, elle descend juste au-dessus des genoux. Des escarpins blancs complètent la sage tenue.

Cependant, Sandra ne semble pas se rendre compte d’une légère transparence, accentuée par certains éclairages du club. Des yeux attentifs, et ceux de Gérard le sont, peuvent aisément admirer d’adorables dessous, un tanga et un soutien-gorge, blancs tous les deux.

La jaune femme enchaîne les danses, passant des bras de son mari à ceux de son admirateur. Mais rapidement, Stéphane la délaisse pour rejoindre un groupe d’animateurs, apparemment plus intéressé par des discussions entre mecs.

Gérard, le charmant retraité, en profite pour préciser ses avances. Il ne tarit pas d’éloges sur la beauté de Sandra, son intelligence, sa personnalité, tout en assurant un remplissage régulier de son verre. Sandra est affalée sur une banquette, sirotant son troisième ou quatrième cocktail, elle ne sait plus trop bien. Gérard, l’abreuvant de belles paroles, caresse délicatement son bras dénudé. La jeune femme a chaud, une goutte de sueur perle entre ses seins. Elle écarte les jambes pour s’aérer, saisissant et agitant le bas de sa robe.

Le spectacle offert ne fait qu’accroître l’excitation, et Gérard, dont la main gauche vient effleurer son genou. Sandra se laisse faire. Elle sent une certaine exaltation monter… et son mari ne semble pas disponible ce soir. Elle l’aperçoit discutant bruyamment à une table éloignée.

Ne sentant aucune résistance, la main du retraité progresse autour de sa cuisse. Il s’enhardit et dépose un doux baiser sur son épaule. La jeune femme brûle d’envie de baisser sa culotte pour l’encourager et accélérer le mouvement.

Soudainement, un homme surgit dans son champ de vision et la sort de sa torpeur.

M’accordez-vous cette danse ? lui lance-t-il, lui prenant d’autorité la main pour l’aider à se lever.

Surprise, Sandra a juste le temps de finir son verre avant d’être entraînée sur la piste. Gérard reste scotché, yeux ronds, bouche ouverte, voyant la belle brune lui échapper une fois encore.

Celle-ci se laisse emporter à l’homme dans un rock endiablé. Il est sacrément bon danseur ! Elle s’applique avant tout à suivre le rythme. Ses talons ne sont pas vraiment adaptés. Aussi, elle stoppe son cavalier, retire ses chausses, retourne les confier à Gérard avant de rejoindre le bellâtre. Par pure fierté, elle compte bien montrer ses talents !

Effectivement, pieds nus, elle se trouve beaucoup plus à l’aise. Le couple tient un bon rythme et les gens s’écartent bien vite autour d’eux. Ils poursuivent avec un deuxième morceau tout aussi rapide.

Sandra observe tout de même son cavalier. Il s’agit d’un quadra, type dragueur de pacotille, cheveux longs bouclés, chemisette à fleurs ouverte sur torse velu et chaîne en or, pantalon blanc et chaussures blanches. Pas vraiment son genre d’homme !

Elle commence à fatiguer et l’alcool lui monte clairement au cerveau.

Heureusement, la séquence endiablée s’achève pour aborder une série de slows. La jeune femme, soulagée, laisse l’homme plaquer son corps contre le sien.

On ne peut pas dire qu’il soit très subtil, se dit-elle. Néanmoins, elle ne résiste pas au plaisir de blottir dans les bras velus. Son corps épouse celui de son partenaire dont elle laisse la jambe se glisser entre les siennes. Elle sent les mains parcourir son dos, puis ses reins avant d’effleurer son postérieur.

Il ne perd pas de temps, pense-t-elle, tout en plaquant son pubis contre son partenaire. Percevant la dureté du sexe masculin, elle accentue les mouvements de son bassin. Après avoir accompagné la drague gentille de Gérard, elle se veut désormais salope avec le vieux beau.

Celui-ci n’en croit pas sa bonne fortune, son vit est complètement déployé. Sandra jette un il aux alentours. Stéphane, son mari, est toujours attablé avec un groupe d’hommes et à l’éclat des yeux, elle devine qu’il a atteint un haut degré d’alcoolisation. Gérard est toujours assis et l’observe, stupéfait et sans certainement excité par le spectacle qu’elle lui offre. Les autres danseurs ne leur prêtent absolument pas attention.

Sûr de lui, son cavalier gagne du terrain. Sa main droite lui malaxe la fesse gauche tandis que sa main gauche est glissée à hauteur poitrine. Accommodante, Sandra s’écarte légèrement, tirant sur la bretelle de sa robe et de son soutien-gorge pour libérer le passage. Aussitôt, la main se porte sur son sein droit. L’homme est habile et va droit au but.

Pour parachever le tableau, Sandra pose sa tête sur l’épaule masculine, tournant vers lui son visage, bouche entrouverte. Il comprend le message et pose ses lèvres sur les siennes dans un profond baiser. L’haleine du Monsieur est imprégnée de tabac, un parfum bon marché couvre à peine les relents de sueur.

Mais au lieu de la dégoûter, tout cela ne fait qu’accentuer la motivation de Sandra. Elle salive exagérément, l’échange buccal s’accompagnant d’indécents bruits de succion. Les danseurs qui les entourent les observent, certains amusés, d’autres plutôt gênés.

Son partenaire ne pouvant la trousser sur la piste, rompt l’union, retire ses mains baladeuses et entraîne la chaude brunette à l’écart. Il semble bien connaître les lieux, puisqu’après avoir passé 2 portes, ils se retrouvent dans une sorte de salon privé, petite pièce d’une quinzaine de m² meublée de sofas et d’une petite table ronde en son centre. Les lumières tamisées s’accompagnent d’une brusque diminution du niveau sonore, la musique du club traversant à peine les cloisons.

Ma jolie, tu vas y passer, se dit la belle Française, nullement intimidée et plutôt amusée par les méthodes de son vieux beau. Et en effet, celui-ci la prend à nouveau dans ses bras, sa bouche couvrant son cou et ses épaules de baisers moulés. Sandra se laisse faire et facilite là encore les manuvres, écartant les jambes, les pieds toujours nus. Les mains de son partenaire pressent ses fesses, d’abord par-dessus la robe puis en dessous, la remontant ses hanches. Son tanga blanc doit être du plus bel effet, pense-t telle. La main droite de son partenaire passe devant et vient masser son pubis. Sandra écarte un peu plus les jambes. Les lèvres masculines couvrent désormais le haut de sa poitrine. Une bretelle de sa robe est abaissée. L’homme pourrait admirer le tableau, mais il est trop absorbé par sa tâche.

Un frottement pousse Sandra à ouvrir les yeux. Dans la pénombre, elle aperçoit alors deux messieurs relativement âgés, la soixantaine, qui se sont discrètement glissés dans la pièce. Ils se placent sagement de l’autre côté de la table. L’un d’eux porte son doigt devant sa bouche, invitant la jeune femme à garder le silence.

Sandra marque d’abord un mouvement de recul. Elle pourrait aisément s’enfuir, mais son hésitation est de courte durée. Les papys semblent inoffensifs. Et pendant ce court laps de temps, son cavalier a habilement repoussé son tanga sur le côté pour glisser un doigt, l’index ou le majeur ? Le doigt agile caresse les petites lèvres déjà humides, remonte titiller le clitoris puis redescend, plongeant dans l’orifice vaginal.

Sandra pousse un soupir de contentement, validant la méthode et assumant son exhibitionnisme. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier. Index et majeur, c’est certain maintenant, entament alors un va-et-vient rapide. L’indécence de sa position, arc-boutée, jambes écartées est renforcée par des « flocs » de son vagin trempé. Sandra s’agrippe aux épaules de son partenaire, écarte encore un peu plus les cuisses pour laisser monter son plaisir.

Les mouvements s’accélèrent. Sandra halète, son bassin vient à la rencontre de la main virile. Le poignet vient heurter son clitoris.

Un orgasme la gagne. Elle l’accompagne d’un long râle, autant pour exprimer son plaisir que pour exciter les voyeurs. Ceux-ci sont ravis du spectacle. Un premier sort un sexe court et large, immédiatement imité par le deuxième, extirpant lui un sexe plus long et plus fin.

Un troisième homme, beaucoup plus jeune, d’une vingtaine d’années sans doute, pénètre à son tour dans la pièce. D’abord surpris et prêt à repartir, un regard sur la belle brune impudiquement offerte le convainc de se joindre aux autres. Il sort lui aussi un sexe qui ne tarde pas à pointer vers le ciel.

La belle Française reprend ses esprits. Son cavalier délaisse son vagin. L’homme est lui-même au bord de l’explosion. Il dézippe sa braguette, baisse son pantalon, exhibant fièrement un sexe de taille toute moyenne.

Sandra est tentée par l’idée de l’abandonner sur place, mais elle ne veut pas décevoir le groupe de voyeurs. Alors elle saisit fermement le vit qu’on lui présente et entame une bonne branlette. Un liquide coule sur sa main. Elle s’agenouille alors devant l’heureux homme, abandonnant momentanément le membre palpitant pour abaisser les bretelles de sa robe, faisant apparaître aux yeux de tous sa petite poitrine emprisonnée dans son adorable soutien-gorge blanc. Elle reprend le vit en main qu’elle approche ensuite de ses lèvres ouvertes. Sa langue vient lécher le méat recueillant les gouttes qui perlent.

La masturbation gagne en énergie. La belle brune lève ses admirables yeux bleus vers le visage du vieux beau. C’en est trop pour lui. Ses reins portés vers l’avant accompagnent une abondante éjaculation. Sandra s’écarte juste à temps pour ne pas en prendre sur le visage. Quelques gouttes de sperme atteignent néanmoins sa poitrine. Son partenaire s’écroule ensuite sur le sofa.

Dans la foulée, le jeune homme qui avait rejoint les papys voyeurs s’approche de la jeune femme, sexe en main. Il veut aussi répandre sa semence sur elle. Toujours à genoux, Sandra l’encourage à s’approcher. Elle passe ses mains derrière son dos, dégrafant son soutien-gorge. Elle dévoile alors ses adorables petits seins en pomme.

Le jeune homme est tout près maintenant. Il tend timidement une main pour toucher un sein. Toujours conciliante, Sandra se redresse et frotte sa poitrine, tétons dressés sur la paume chaude et moite. Elle empoigne la bite tendue et palpitante. Souriante, regard provocant, elle l’enfourne ensuite, le faisant entrer au plus profond de sa gorge. Tout excité, le jeune home ne tient pas longtemps. Sa semence vient tapisser le palais de la belle brune. Sandra n’avale pas et laisse couler le sperme long du sexe toujours tendu.

Pendant ce temps, les deux papys se sont également approchés. Ils accélèrent leurs masturbations et éjaculent quasiment de concert, leur sperme venant couvrir la poitrine dénudée de la Française.

Un moment de gêne succède à cette frénésie sexuelle. Remballant leur matériel, les papys quittent rapidement la pièce, non sans avoir jeté un « merci » reconnaissant à la jeune femme.

Le jeune homme la couvre du regard, voulant manifestement mémoriser la scène pour pouvoir se la repasser plus tard.

Le cavalier de Sandra, d’abord surpris de voir tout ce monde, revient vers la jeune femme, portant une main vers le postérieur. Mais Sandra l’écarte désormais sans ménagement et lui fait signe qu’il peut quitter la pièce. Le vieux beau n’insiste pas et sort à regret.

Un mouvement attirait le regard de Sandra sur sa droite. Gérard se tient sagement assis sur un des sofas. A-t-il assisté à toute la scène ?

Avec une galanterie qui semble un peu dépassée en ce lieu, il extirpe un mouchoir de sa poche. Il vient aux côtés de la jeune femme et commence à essuyer les restes de sperme qui maculent le visage et la poitrine de la jeune femme.

Il l’aide à se relever et l’assoit gentiment. La poitrine de Sandra est toujours découverte. Le mouchoir du retraité passe de son coup à ses seins, descend sur le ventre plat puis remonte sur un sein, puis l’autre.

La douceur de ses gestes tranche avec la brusquerie des instants précédents. Débarrassée des souillures, Sandra saisit les mains de Gérard, lui ôtant le mouchoir pour les poser sur ses petits seins. Le retraité apprécie leur élasticité. Il saisit les tétons pour les faire rouler entre ses pouces et index. Puis ses lèvres viennent les mordiller.

Sandra s’abandonne, ferme les yeux et soupire de bonheur. Elle tend ses lèvres pour que Gérard puisse l’embrasser, toujours avec douceur. La belle brune aux yeux bleus, impatiente, s’allonge sur le sofa. Elle glisse ses mains sous sa robe pour retirer son tanga. Gérard se lève pour rapidement retirer pantalon et caleçon puis se replace entre les jambes ouvertes.

Les mains de Sandra saisissent le sexe masculin pour l’approcher de la cavité ouverte. Gérard la pénètre progressivement puis s’immobilise dans l’antre doux et humide. Sandra referme les cuisses autour des hanches de son nouveau partenaire.

L’étreinte est longue et passionnée. Gérard interrompt les mouvements pour caresser et lécher les seins, se délectant d’une scène qu’il a tant désirée et qu’il voudrait éternelle.

Mais le plaisir est le plus fort. Leurs souffles s’accélèrent, les coups de reins de l’homme deviennent désordonnés. Sandra les accompagne de ses propres mouvements de bassin et de ses jambes l’aidant à pénétrer au plus profond.

Finalement, un long soupir marque l’orgasme atteint par Gérard. Le plaisir est plus cérébral pour Sandra. Elle atteint une sorte de plénitude. Les deux amants restent emboîtés quelques minutes puis Gérard se retire délicatement, retrouvant son mouchoir pour essuyer les contours du vagin de la jeune femme.

Il se rhabille prestement. Sandra se relève à son tour, rabat sa robe sur ses jambes, remonte les bretelles sur ses épaules. Elle prend soin de laisser ses sous-vêtements derrière elle., marquant son impudeur.

Elle sort de la petite pièce aux bras de Gérard et ils regagnent la piste de danse. Des regards curieux se portent sur eux, couple improbable d’un vieil homme respectable et d’une jeune femme décoiffée, la poitrine libre sous une robe chiffonnée.

Stéphane titube vers eux. Conciliant, il les couvre d’un regard bienveillant.

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