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Les dépanneurs – Chapitre 1




En définitive, je suis devenue une vraie salope, dès que je vois un homme qui me plaît, je reste impassible mais il suffit qu’il m’adresse trois mots pour que je mouille à mort!

Mais je reste sage, les quelques expériences avec mon mari m’ont fais peur et je n’ose plus aller plus loin dans toutes ces choses qui me font un peu honte.

C’est lundi, je suis fermée et j’attends les dépanneurs ou plutôt les installateurs car je viens d’acheter une télé pour mettre dans la chambre de ma plus grande fille; elle travaille bien à l’école, c’était le deal …………de bonnes notes …. une télé dans sa chambre, ce qu’elle réclamait depuis des années; je n’avais jamais cédée, jusqu"à maintenant!

j’entends sonner et je vais ouvrir; ils sont là, un petit gros et un grand brun pas mal du tout, tous les deux la trentaine bien sonnée.

— " Entrez " leur dis-je.

-" Bonjour " répondent-ils tous les deux en coeur.

Je les précède en traversant le magasin, la maison est dans le prolongement.

Je les invite à monter au deuxième et je les précède, je suis obligée de monter la première; le petit gros monte en reculant mais je sens le regard du grand brun sur ma croupe et je commence à mouiller…… je me dis que je suis vraiment folle!

Arrivés dans la chambre je leur fais poser la télé sur le meuble en face du lit, tous les branchements sont prêts, ils n’ont plus qu’à tout mettre en place, ça prend 5 minutes.

Et nous voilà penchés tous les trois devant la télé pendant qu’ils me donnent toutes les explications.

Ils sont en blouse bleu et je sens leurs deux bras contre mes bras de chaque coté; on est en juillet, il fait chaud et comme à mon habitude j’ai le chemisier ouvert sur mes seins, le grand brun, en parlant à presque les yeux dedans; il fait chaud, je me rend compte qu’ils sont en sueur, je le sens et ça m’excite de plus en plus, je me rend compte aussi que d’un seul coup l’ambiance est devenue électrique; le petit gros se serre de plus en plus contre moi pendant que l’autre parle; nous nous sommes redressés et je le sens tout contre mon flanc, je ne sais plus quoi faire avec l’autre en plus qui me parle de plus en plus prêt, il a le nez quasiment sur ma poitrine et je sens son soufle quand il parle; il est tout rouge.

Je m’apprête à me dégager car la situation est quand même bizarre quand d’un seul coup je sens le petit gros me mettre la main sur mon cul; j’ai une longue robe paysanne mais elle est très légère et je sens parfaitement le doigt de ce salaud s’insinuer sur mon sillon et d’un seul coup il rigole en disant à son copain: – " c’est fou…. elle est toute mouillée ".

je suis tétanisée et il en profite pour se mettre derrière moi; je ne bouge toujours pas quand il me soulève la robe m’abaisse mon boxer en soie et me met carrément un doigt dans la chatte.

Je gémis, d’autant plus que le beau brun s’est collé contre moi par devant et m’embrasse. j’ai à peine le temps de savourer ce baiser que le petit gros m’attrape par les épaules et me pousse doucement sur le lit de ma fille; il a déjà sorti son sexe, retrousse ma jup , se couche sur moi et m’enfile d’un seul coup en poussant un cri. Trois minutes, il me bourre de toute ses forces et je le sens éjaculer dans mon ventre;

j’ai les yeux fermés quand je sens le brun me monter dessus; j’écarte les cuisse il met son gland au bord de ma chatte et n’a qu’à pousser; il me pilonne pendant Cinq minutes et je n’ai pas le temps de jouir!

Ils rigolent tous les deux et se mettent à m’embrasser en me déshabillant mais je ne suis pas contente, de ce que j’ai fait d’abords et parce qu’ils ne se sont pas embêtes avec moi; ils ont déchargé dans ma chatte, c’est tout;

Je suis presque nue et je me défends un peu quand le petit gros me retourne me fais mettre à quatre pattes et m’enfile en levrette; il jouit en criant comme un goret au bout de 5 à 6 minutes, presque ça; j’attends que l’autre vienne mais ils sont déjà rhabillés tous les deux;

Je suis honteuse, ils font comme si de rien n’était et me font signer le bon de livraison: en bas je dois encore subir les deux baisers qu’ils me forcent presqu’à accepter!

Ils sont partis, je me précipite à la salle de bains pour me laver, je suis dans un état second en préparant le souper, Alain et les enfants rentrent dans une heure, quand j’entends sonner!

-" Bonsoir ", c’est le patron du magasin de télé; je ne l’ai jamais aimé, il est vieux, laid et gros avec ses bajoues qui lui pendent de chaque coté de la figure….

Il a un air égrillard et je suis effondrée.

— " Je viens vérifier le travail de mes gars, je crois qu’ils ont drôlement bien travaillés non? "

Je suis toute rouge quand il me présente l’escalier; je monte doucement et j’entre dans la chambre.

-" Et bien, c’est pas mal tout ça,"

Et me regardant brutalement – " En plus je crois qu’ils se sont bien amusés non? ho , faut pas leur en vouloir, jean-louis, le plus petit, travaille avec moi depuis qu’il est gosse, ne vous inquiétez pas, ce n’est pas la première fois que l’on se partage une cliente …."

Je veux sortir de la chambre quand il m’attrape par le bras: " ma p’tite dame, ça serait dommage que cela se sache dans le quartier, vous avez vraiment une bonne réputation, n’est-ce pas? "

Je suis coincée et je n’ose pas bouger quand il me pousse sur le lit.

Je n’ai pas de culott , il lève comme le petit gros l’a fait tout à l’heure, ma jupe et je le vois descendre son pantalon; il est vraiment laid avec sa bedaine; il s’écroule sur moi et je sens déjà son sexe me forcer l’entrée de ma chatte; il commence à rentrer et j’ai des larmes qui coulent.

Il me pénètre de plus en plus, il va doucement et je comprend d’un seul coup pourquoi car je sens mes chairs se distendrent, il est énorme.

Il est entré complètement, je ne bouge pas, je n’ose pas, alors il commence à aller et venir en moi, je le sens buter au fond de mon sexe, je n’ai jamais eu une bite aussi grosse; il me pilonne de plus en plus fort appuyé sur ses avants bras.

Il sent que je mouille et il continue, trois mn, cinq minutes, il tient la cadence et ça fait déja un moment que je me retient.

Il va de plus en plus vite et de plus en plus fort et il commence ce gros porc à me faire crier.

je jouis comme une folle et d’un seul coup il se colle de toutes ses forces sur mon ventre et je sens des giclées brulantes qui n’en finissent pas;

je suis écartelée sur le lit, la jupe en haut des fesses, les cuisses toutes mouillées; il me regarde en se rajustan , se retourne avant de quitter la chambre et me dit en rigolant:

— " Vous dérangez pas, je connaît le chemin ….et je vous envoie la facture ……dés que possible ma p’tite dame! "

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