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La progression d'Amélie – Chapitre 2




Les consignes

Malgré la douleur suite à la cravache, je sentis Son sexe contre mon ventre et Il s?enfonça d?un seul coup, dans mon ventre humide de désir. Sans un mot, Il se servit de moi pour son plaisir, provoquant le mien à plusieurs reprises. Mes poignets et mes chevilles me faisaient mal, mais cet abandon à mon Maître me ravissait de plus en plus. J?étais ligotée, entravée, bâillonnée, je ne pouvais pas m?exprimer autrement que par les spasmes de mon plaisir.

Il me pilonna sans retenue, comme à son habitude et explosa au fond de mon ventre dans un râle de plaisir, que je connaissais bien. Il ne se passait plus un jour sans qu?Il ne m?utilise d?une manière ou d?une autre et je prenne à chaque fois du plaisir, même lorsqu?Il ne servait que de ma bouche. Il m?ordonnait souvent de me caresser lorsque je l?avais dans ma bouche. Au début, c?était très difficile pour moi, car je ne pratiquais pas ni la fellation, ni la masturbation, alors le faire devant quelqu?un me faisait horreur. Maintenant, avec lui et devant lui, j?avais perdu toute pudeur.

Une fois qu?Il eut terminé de se répandre en moi, il détacha la corde qui retenait mes poignets et dit en sorte que je me retrouve délicatement sur les genoux. Puis il passa derrière moi et me libéra du bâillon. Ma bouche et mon torse étaient couverts de salive mêlée aux larmes due à la punition que je venais de recevoir. Je savais quoi faire, c?était comme un rituel : il aimait que je ? nettoie ? après nos rapports, et uniquement en se servant de ma bouche.

Je m?appliquais alors à m?exécuter, jouant de ma langue autour de son sexe qui, sous ces caresses, reprenait vigueur. J?aimais ces instants car, même les poignets liés derrière le dos et aveugle, j?avais l?impression de Le posséder complètement. Ce qui me paraissait répugnant avant était devenu un vrai plaisir, d?avoir son goût et le mien mêlés dans ma bouche.

Il se retira, visiblement, Il ne souhaitait pas jouir pour le moment dans ma bouche.

— Tu vas aller te laver puis je t?habillerais. Je t?expliquerai après ce que nous allons faire de toi pendant les jours à venir.

Il me détacha les poignets et la laisse puis ôta le bandeau de mes yeux. Perturbée, je me dirigeai nue et souillée vers la salle de bain. Comme je devais toujours être exposée, je ne devais pas fermer la porte de la salle de bain et me laver debout, exhibée, sans pudeur. Une esclave n?a pas de pudeur, une esclave obéit, m?avait-il dit au bout de quelques semaines d?éducation.

Ma toilette terminée, je vérifiais mon ventre car je devais toujours être lisse, comme sous les bras. Toute négligence de ma part était fermement punie et cette nouvelle apparence me plaisait beaucoup. A vrai dire, je suis assez menue, avec de petits seins fermes et ronds, et devant la glace, sans maquillage et mes cheveux blonds maintenant à hauteur des épaules, je me plaisais en adolescente… En plus, je Le satisfaisais.

Je m?enduisis de lait pour le corps (Il aimait à ce que ma peau soit douce, même si Il malmenait souvent ce corps) puis je me coiffais, me maquillait très légèrement et retournais Le retrouver pour continuer à être préparée.

Debout devant lui, les yeux dirigés vers le sol, j?attendais mes nouvelles instructions, seulement vêtue de mon collier et de mes bracelets que je ne quittais que sur Ses instructions. Il attacha le collier à la laisse puis me mena dans le dressing. Il fixa la laisse à une poignée de porte, me rappelant à quel point ma condition était basse. J?avais le sentiment de n?exister en tant que personne de moins en moins, et d?être de plus en plus un objet, une chose animée. Et tout cela me ravissait, parce qu?en tant que chose, je pouvais pleinement Lui appartenir.

Il sortit une guêpière blanche que je ne connaissais pas :

— Voilà pour les dessous de ce soir.

Je savais qu?Il appréciait beaucoup les guêpières et les bas blancs, et je l?avais appris rapidement…J?en portais maintenant très souvent, alors qu?avant, je trouvais les jarretelles vulgaires, inconfortables et pas pratiques et les collants et les bas blancs moches et réservés aux petites filles…En plus, je n?étais quasiment qu?en pantalon…Tout cela avait vite changée…

Mais celle là, je ne la connaissais pas, alors que je commençais à être plutôt bien dotée dans ce genre de dessous. En l?enfilant, je me rendit compte qu?elle ne s?attachait pas à l?aide d?agrafes mais se laçait. En plus, elle était très rigide, assurant certainement un maintien du buste très droit à l?aide de nombreuses baleines. Je ne pensais pas que cela allait être très confortable. Et en l?enfilant, je me suis vite rendue compte que j?avais raison. Elle était très rigide sur tout le corps et le maintien des seins était plus que ferme. Les balconnets ne recouvraient ma poitrine que jusqu?en bas des aréoles. Elle descendait sur les fesses et les cuisses et était munis de 8 jarretelles très larges.

Il la laça très lentement, me caressant le ventre pour s?assurer que cela me plaisait toujours autant d?être enfermée dans ce genre de carcan tout en serrant assez fort. J?en frissonnais. Une fois le laçage noué, Il me signifia qu?elle serrait resserrée chaque jour, mais il ne précisa pas si elle serait enlevée. Je n?osais d?ailleurs poser la question…

Puis je dus enfiler les bas, blancs comme il se doit, devant lui comme j?avais la aussi pris l?habitude de le faire quasiment tout les matins. Ils étaient assez épais et très opaques, et très doux. Je les tendis très haut et les lissa lentement, comme là aussi je devais le faire tout les jours.

Les souliers suivirent, blancs également, vernis, avec des talons de taille moyenne et une bride sur la cheville. J?avais enlevé les bracelets de cheville avant de mettre les bas et ils restaient une marque assez douloureuse. Je reçus consigne de bien serrer la bride. Enfin, il me sortit ma robe, bleue ciel, très belle, très ajustée et décolletée sur sa partie supérieure, lacée également dans le dos, et qui s?évasait jusqu?au milieu des mollets, sous une multitude de jupons. La aussi, Il procéda au laçage mais de manière plus relâchée que ma guêpière. Une vraie robe d?ingénue, sauf que l?ingénue ne portait pas de culotte… Pour compléter la tenue, il me fit une queue de cheval avec un flot assorti à la robe. Je me regardais dans la glace en tournant sur moi-même et ne faisant des effets de jupon : je me trouvais à croquer et je pense que je n?allais pas tarder à l?être !

— Ce soir, tu seras présentée habillée de la sorte, pour te montrer la plus belle. Tu obéiras à Virginie comme à moi et tu t?exhiberas devant elle à sa demande comme si c?était moi. Tu ne dîneras pas à table mais nous servira, ainsi qu?avant et après le dîner. En aucun cas tu n?auras le droit de t?asseoir. Quand tu seras inoccupée, tu attendras en relevant ta robe pour nous montrer ton ventre ou tes fesses. Tu accepteras toutes les caresses d?elle comme de moi et tu nous donneras tout le plaisir que nous te réclamerons. A partir de ce soir, tu ne sers plus une mais 2 personnes. As-tu compris ?

— Oui, je vous ai compris Maître.

— Tu devras également accepter le fait que je coucherais avec Virginie pendant que tu nous regarderas. Peut-être t?associerons nous à nos relations. Tu n?as pas le droit de parler sauf si on te le demande. Virginie a les mêmes droits sur toi que moi, c’est-à-dire tous. Tu devras accepter d?être utilisée par elle comme par moi, ainsi que les punitions qu?elle t?infligera. Tu dormiras dans la chambre de bonne, nue, attachée, sans draps et Virginie partagera mon lit. Ce sera elle qui te détachera le matin et te ligotera le soir. A partir de demain, en plus d?être mon objet sexuel, tu seras sa femme de chambre. Sais-tu ce que cela signifie ?

— Non, Maître ?. J?étais tout aussi troublée qu?excitée. J?allais devenir la bonne, mon amant allait coucher avec une autre femme sous mes yeux et comble de la honte et de la rage qui m?envahissait, cela me plaisait. Je m?avilissais de plus en plus, me complaisant par avance dans ce statut de bonniche et d?objet qu?on utiliserait et tourmenterait à loisir, sans que j?aie quoi que ce soit à dire.

— Tu feras sa toilette, l?habilleras et la déshabilleras matin et soir. Plus la coiffure, le maquillage, les ongles…Et tout ce qu?elle te demandera : caresses, humiliation, exhibition…Tu seras d?ailleurs vêtue comme une soubrette dés demain, et ceci tant que Virginie restera avec nous. Il te sera défendu de porter d?autres vêtements que ceux de ta nouvelle fonction, en intérieur comme à l?extérieur. Tu vas assumer ta fonction de soumise et de soubrette devant les gens. Tes vêtements te seront montrés demain matin. Tu vouvoieras Virginie comme tu me vouvoies. Maintenant, va t?occuper de préparer la soirée. Puis Il ajouta en me prenant tendrement par la taille:

— Tu es merveilleuse, en plus d?être très belle ce soir. Je t?aime plus que tout au monde et j?ai une chance infinie de t?avoir. ? Puis il m?embrassa tendrement et je lui rendis son baiser avec vigueur ? moi aussi je Vous aime ?.

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