Je vais vous conter une matinée exceptionnelle.

En ce début de mois de juillet, le temps se met enfin au beau. Nous sommes dimanche matin, le ciel est bleu et le soleil radieux, mais pas trop fort encore.

Après sa douche, ma femme décide de profiter de ce doux soleil du matin et s’installe dans un bain de soleil pour lire, nue, comme d’habitude.

Bien que nous habitons dans un lotissement, nous avons la chance d’avoir un jardin relativement bien protégé des regards indiscrets.

Seuls nos voisins immédiats ont un vue chez nous, et encore, il faut qu’ils soient à leur fenêtre. Nous pouvons donc nous promener nus dans notre jardin a notre guise.

Fait exceptionnel, il est presque 10h, leur voiture est garée devant chez eux, mais tous leurs volets sont encore clos, bien qu’ils soient généralement matinaux. J’en déduis qu’ils ne sont certainement pas là.

Je décide moi aussi de profiter du soleil et rejoins ma femme dans le jardin. Je m’approche d’elle, nu bien sur, avec le secret espoir qu’elle me fasse un "bisous-bite" comme elle dit.

Et là , surprise, au lieu de me repousser comme je m’y attendais, la voilà qui se saisi de mon sexe et l’avale goulument, bien que je ne bande pas. Or ma femme déteste me prendre en bouche quand je ne bande pas, en général, elle pousse un petit cri "hiiii, c’est quoi ce truc tout mou ?".)

Surpris de l’aubaine, je lui prends la tête, de crainte qu’elle décide de me laisser là en plan comme un idiot, la bite au garde à vous.

Mais non, elle me suce, me lêche, me passe des petits coup de langue sur le gland, me malaxe les couilles, prend une boule dans sa bouche (ma femme est une formidable suceuse, qui adore , et ça, et moi aussi), me caresse les fesses des deux mains, me passe un doigt sur le périnée, me pompe à fond.

On ne peut pas dire que je sois super membré, toutefois, ma bite est suffisamment longue pour lui faire des hauts le cur si je pousse un peu trop loin. Mais ma femme m’avale à fond. De toutes évidences, la situation l’excite au plus haut point.

Moi aussi. Je sens que je ne vais pas durer bien longtemps devant tant d’ardeur (c’est le but évident de ma femme, elle sait parfaitement comment me faire craquer rapidement).

Et là, alors que sens ma sève monter, catastrophe, j’entends les volets de la chambre de nos voisins grincer.

Bordel, ils sont finalement là !

Imaginez le tableau. Je suis debout, en train de me faire pomper par ma femme, assise sur le transat.

C’est sur, nos voisins vous nous voir, ils ne peuvent pas ne pas nous voir.

La chambre de nos voisins donne sur la façade Est de notre maison, la partie principale de notre jardin étant au Sud. Ils n’ont qu’une vue partielle de notre jardin depuis leur chambre, et ils ne devraient pas nous voir là où nous sommes. Du moins, je l’espère.

Le grincement étant très clairement perceptible en ce matin calme, je m’attends à ce que ma femme me repousse brusquement.

Mais non, elle continue a me pomper de plus en plus fort, avec des mouvements de tête très explicites pour tout le monde.

Elle continue donc de me sucer avec ardeur. Soudain, un autre grincement, et je vois les volets du salon des voisins s’ouvrir. Là, ils peuvent nous voir, et ils vont nous voir, c’est certain.

Nooooon, pas maintenant, je vais gicler…..!!!

Je vois les volets s’ouvrir, et je sens les mains de ma femme se crisper sur mes fesses, comme si elle craignait que je me retire.

Je ne la reconnais pas, elle sait très bien que les voisins vont nous surprendre, mais elle continue à me pomper, comme une assoiffée.

Je vois les volets continuer à s’ouvrir et j’aperçois le sommet du crane de mon voisin. Je sens aussi que je le point de non retour est atteint. Je vais juter !

Ça y est, je me lâche en de longues giclées dans la bouche de ma femme qui gobe ma bite à fond, alors que les volets continuent a s’ouvrir…..

Et puis, miracle, au lieu d’ouvrir leurs volets en grand, comme ils le font habituellement, ils ne les ouvrent qu’en partie. Cela veut dire que le volet de droite leur cache la vue sur notre jardin.

Ma femme garde ma bite dans sa bouche pendant que je décharge longuement, tellement longuement que les voisins ont le temps d’ouvrir les volets de la chambre sud. De là aussi, les voisins ont une vue sur notre jardin, et surtout, une vue directe là où nous sommes.

Mais là aussi, ils ne les ouvrent pas en grand, nous avons vraiment de la chance..

Je ne saurais certainement jamais s’ils nous ont aperçu. Mais en tout cas, je vais garder longtemps le souvenir de cette pipe matinale.

Dommage, je n’avais pas mon portable à portée de main, je n’ai pas pu immortaliser la scène par un petit film (depuis quelques temps, ma femme me laisse filmer nos ébats, ça aussi c’est nouveau, ça m’étonne, mais je ne m’en plains pas).

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