Merci au Mariage pour tous, Carine et moi avons pu nous marier, ainsi que Stephi et Tania.
Nous avions fini nos études, Carine et moi. Depuis quelque temps, nous étions installées et exercions notre profession en associées avec deux autres filles de notre promotion. Nous vivions dans une grande ville où personne ne nous connaissait. Ce qui facilitait notre relation amoureuse.
Nos associées étaient elles aussi en couple ensemble. Lors d’une chaude journée en Bretagne, elles découvrirent mon secret. Nous avions décidé de nous associer toutes les quatre, pour ouvrir une société de consulting en sécurité informatique, et avions scellé notre association par une grande baise. Au final, Carine était ma chérie, mais Tania et Stephi étaient nos amantes.
En 2013, le gouvernement français a adopté une loi permettant aux couples différents de se marier. Plus besoin d’être un couple hétéro pour se marier.
En ce dimanche de septembre, en Bretagne, près de Lorient, Carine et moi allions nous marier. Pourquoi ici, vous vous souvenez de l’épisode 3 de mes aventures ? La famille de Tania avait une maison dans ce coin. Et comme elle et Stephi allaient aussi se marier, nous décidâmes toutes les quatre, de le faire le même jour.
C’est donc quatre mariées qui débarquèrent ce jour-là à la mairie. L’adjointe au maire ne savait plus où elle en était avec ces quatre belles femmes en robes de mariées blanches pour deux mariages, la blonde et la rousse et les deux châtains. Je vous explique : Stephi et Tania étaient nos témoins, et Carine et moi étions les leurs, quoi de plus normal entre meilleures amies !
Nous avions peu d’invités, notre oncle et notre tante, les parents de Tania et de Stephi, leurs frères et surs, quelques cousins assez proches de nous ou de nos amies, au final, nous étions une vingtaine de convives.
Il avait fait un temps exécrable, mais nous avions réservé dans un restaurant assez intimiste et avions quand même passé une super journée et soirée à danser et nous amuser.
Mais ce fut notre nuit de noce qui s’avéra grandiose. Étant la seule à pouvoir ensemencer les filles, elles avaient décidées toutes trois que je serais le géniteur de nos enfants. Car oui, elles en voulaient plusieurs chacune. Je vous dis pas le boulot pour une seule queue. Et nous allions commencer dès ce soir, la nuit magique.
La fête finie, nous rentrâmes à la maison familiale de Tania et gagnâmes nos chambres. Nous avions choisi deux chambres contiguës avec une porte de communication entre elles. Le reste des familles était éparpillé dans les autres chambres, pour ceux qui étaient restés.
Arrivées dans notre chambre, Carine se précipita sur moi et commença à m’embrasser et me dénuder. Je n’étais pas en reste et tirai sur les lacets de sa robe pour la dénuder elle aussi. Nous avions fait exprès de nous habiller séparément, pour ne pas voir les robes de nos futures épouses et, du coup, ne pas savoir ce que porteraient les autres dessous. Nous adorions toutes les quatre la lingerie fine et sexy, et exciter les autres avec.
Pour la petite histoire, pour Tania et Stephi, ce fut simple, elles purent aller choisir leurs robes séparément avec leur mère respective. Mais pour Carine et moi, notre tante dut se démener pour nous accompagner toutes les deux. Ces essayages furent le théâtre de nombreux fous rires et de jeux de portes. Marion, la vendeuse qui s’occupait de moi découvrit très vite mon secret. Difficile en effet de cacher une bite, en érection, et deux couilles avec quelqu’un qui passait sous ma robe pour régler les jupons. Loin d’être choquée, elle enviait ma chérie d’avoir une shemale comme amoureuse. Elle profitait même parfois de la situation pour m’effleurer la bite ou souffler dessus. Ce qui entretenait sûrement mon érection. J’avais sauté sur Carine dès que j’avais pu en rentrant à la maison.
Je vous raconterai peut-être un jour comment nous avions fini par jouer avec Marion, lors d’une chaude soirée.
Reprenons l’histoire à notre nuit de noce. Pour ma part, j’avais choisi une combinaison sans manche, en dentelle blanche. Elle me moulait bien et avait permis de masquer les érections que j’avais eu pendant la journée quand Carine ou une autre des mariées se frottaient à moi.
Carine avait choisi un body string en dentelle et portes-jarretelles avec des bas blancs.
Ce fut au moment où je découvrais les dessous de ma jeune épouse que Tania et Stephi entrèrent dans notre chambre. Tania avait un string en dentelle et un soutien-gorge pigeonnant assorti avec des fentes laissant passer ses tétons à travers, elle portait des bas autofixant blancs. Quant à Stephi, elle avait une guêpière bustier et un string ouvert, ses bas à elle étaient légèrement gris.
Nous nous embrassâmes un long moment avant d’aller vers notre lit. Outre la porte de communication, nous avions choisi ces chambres pour une autre raison, le lit hors norme de notre côté. En effet, il mesurait 2,4m de long et autant de large. Pour une baise à quatre, ça allait être fabuleux.
Nous commençâmes par une séance de caresses et d’embrassades, petit à petit, les sous vêtements des unes et des autres volaient à travers la pièce. Quand nous fûmes nues, je reçus une consigne simple : interdiction de jouir ailleurs que dans une chatte. Elles voulaient toutes les trois tomber enceintes rapidement.
Ce fut donc en baisant Carine que je commençais la nuit. Nous nous mîmes en position classique du missionnaire, position que j’aimais car nos seins se frottaient et je pouvais embrasser ma belle, pendant que Tania et Stephi en profitaient pour nous caresser et nous embrasser. Elles nous abandonnèrent rapidement pour se mettre en 69 et se gamahucher au rythme où je pénétrais ma femme. Carine et moi changeâmes de position, nous nous mîmes en levrette de façon à voir nos amies prendre leur pied. Elles se bouffaient la moule et plus nous baisions, plus les gémissements se transformaient en cris de plaisir. Nous guettions les autres pour jouir toutes les quatre ensemble. Ce fut un feu d’artifice et un concert de cris de plaisir.
Quelques caresses pour me remettre en forme, le jus de moule de mes trois amantes comme aphrodisiaque, et nous remîmes le couvert. Ce coup-ci, ce fut Tania que je pris en levrette, pendant que Carine s’occupait de mes fesses avec le gode ceinture et que Stephi se faisait manger la chatte par sa jeune épouse. Ce fut encore un concert de cris, gémissements et autres bruits qu’il est possible de faire quand on fait l’amour… Je finis par jouir dans la chatte de Tania alors que Carine me bourrait le cul et que Stephi criait comment une folle sous les caresses de sa femme.
Allez, hop, jamais deux sans trois… au tour de Tania de mettre le gode et de m’enculer. Carine se faisait bouffer le con bien baveux par Stephi, pendant que je baisais cette dernière. Après avoir encore une fois pris notre pieds toutes les quatre, nous nous endormîmes pêle-mêle sur le lit, repues de jouissances et fatiguées par la journée.
Le soleil était déjà haut dans le ciel quand nous sortîmes des bras de Morphée.
Bonjour à toutes, dis-je en m’étirant. Avez-vous bien dormi ?
Bonjour mes chéries, répondit Carine en m’embrassant. J’ai dormi comme un loir.
Bonjour à vous, mes belles, ajouta Stephi avant d’embrasser Tania.
Bmmhhhhh, ne put que dire Tania, la bouche pleine de la langue de Stephi.
Allez-hop, toutes à la douche, lançai-je en me levant et en entraînant ma femme avec moi. Je sens les grillades qui cuisent et vous m’avez épuisée cette nuit. Il va me falloir de la viande si je veux être performante toute la semaine.
Nous rîmes en chur avant d’aller nous doucher après nous être embrassées et caressées les unes les autres.
Carine eut droit à une séance d’ensemensement supplémentaire sous la douche. Mais à ce que nous entendions, nous n’étions pas les seules à nous faire plaisir. Tania et Stephi nous rendaient gémissements et cris à qui mieux mieux !
Nous rejoignîmes nos familles et, après les congratulations matinales, nous passâmes une superbe journée à profiter de la terrasse et du barbecue. Nos pères et oncle étaient déjà en train de faire les grillades quand nous étions arrivées. Nos mères et tante avaient, quant-à elles, préparé un assortiment de salades et de crudités. Tous rirent de me voir dévorer comme si je n’avais rien mangé depuis des jours, alors que les autres se contentaient d’apprécier le repas léger. S’ils savaient, seules mes chéries, mon oncle et ma tante connaissaient la réalité et comprenaient ma situation.
Le repas fini, nos invités repartirent chez eux, nous étions en septembre et la plupart d’entre eux bossaient le lendemain. L’avantage de notre travail, une grande partie se faisant par internet, nous pouvions le faire d’où nous voulions.
Nous avions bien prévu un voyage de noces, mais pour le mois de novembre, nous avions fait en sorte de ne plus avoir de travail pendant un mois. Nous irions visiter la Nouvelle Zélande. Mais revenons-en à la suite de nos noces.
Le dimanche après-midi, n’étant plus que nous quatre, la piscine devint notre lieu de jeu. Nous avions imaginé un jeu amusant et qui finissaient en séance de baise régulièrement. Et ma queue était évidemment mise à contribution à chaque fois. Je sentais que la semaine allait être longue et que je passerais sans doute plus de temps à dormir, pour récupérer des nuits, qu’à travailler dans la journée.
Le clou de la semaine fut quand je reçus un colis que j’attendais impatiemment. Ce colis contenait un cadeau pour mes chéries. Je leur offrais un nouveau gode ceinture pour m’enculer. Sachant que, sur la ceinture, elles ne voulaient pas de jouet rentrant dans leurs trous, j’avais cherché, avec l’aide d’une vendeuse de sex-shop, un gode ceinture avec un stimulateur clitoridien.
Ce ne fut pas facile à trouver, mais chaque fois qu’elles avaient l’occasion de m’enculer avec, Carine, Tania et Stephi prenaient en pied d’enfer. Quel plaisir c’était de les voir heureuses.
Peu de temps après notre retour chez nous Carine m’interpella alors que je préparais le repas :
Ma chérie, j’ai un cadeau pour toi, me dit-elle.
Ah oui ? répondis-je, et qu’est-ce que c’est ?
Elle me tendit un petit paquet et m’embrassa avec passion.
Regarde, c’est une surprise…
J’adore les surprises, c’est en quel honneur ?
Parce que je t’aime Al’ ma belle, pourquoi chercher une autre raison ?
Je ris, lui fit un baiser en retour du sien et ouvrit le paquet. Il contenait un test de grossesse avec le mode d’emploi de lecture…
Je regardai une fois, deux fois, des larmes commencèrent à couler de mes yeux ; je regardai encore une fois, même avec les yeux troubles, c’était positif. Carine était enceinte ! Ma femme allait être Maman !
NOUS allions être Mamans !!!
Je lâchai tout par terre et me jetai sur elle pour l’embrasser. Sa robe et ses dessous volèrent dans la cuisine pendant qu’elle n’avais que mon tablier à m’ôter. Nous fîmes passionnément l’amour sur la table de la cuisine. Nous commençâmes avec Carine assise sur la table, nous nous embrassions et je la pénétrai d’une traite avant d’entamer un va-et-vient lent. Nous échangeâmes beaucoup de mots d’amour et de passion pendant un long moment. Puis je retournai Carine, et, sa poitrine écrasée sur le bois de la table, je la pris par derrière et accélérais le rythme de mes pénétrations. Nous jouissions en chur quand la sonnette de l’entrée résonna dans l’appartement. Nous éclatâmes de rire, Carine s’empressa d’enfiler sa robe, déposa un rapide baiser sur mes lèvres et alla ouvrir à nos amies, Tania et Stephi, pendant que moi, je retournais cuisiner. Heureusement, je n’avais rien mis à cuire avant de baiser ma femme, sinon ça aurait cramé.
Nos amies entrèrent dans la cuisine, me trouvant nue, la queue pendante entre les jambes et encore luisante de nos fluides mélangés. Elles nous charrièrent en disant que nous étions là pour une réunion de travail, pas de baise. Je ramassai alors le test de grossesse de Carine et le leur montrai. J’avais à nouveau des larmes de bonheur aux yeux. S’en suivirent des embrassades et des caresses entre nous.
Mais Tania nous rappela à l’ordre, en effet, nous devions travailler sur un gros dossier et il devait être prêt rapidement. J’allai me nettoyer et enfiler une robe pour cacher le fruit du désir de ces dames. Nous préparâmes le repas rapidement et nous mîmes au travail.
Quelques jours plus tard, ce fut au tour de Tania de nous apporter son test de grossesse positif, suivie de peu par Stephi. Chaque fois, ce fut l’occasion d’en grande baise à nous quatre.
Les trois étaient enceintes de moi, le bonheur absolu. Nous Allions avoir trois enfants. Le seul point noir, c’était que moi, je ne pouvais pas porter d’enfant, ça aurait été encore mieux. Je devrais me contenter de rester le géniteur, une des mères et tantes de toute cette marmaille.
Autre point positif, j’allais avoir trois femmes enceintes pour moi. Voir leurs ventres s’arrondir, leurs seins se gonfler de lait et leur libido encore plus importante qu’avant, ça promettait des belles séances de baise.