J’ai pris congé vendredi soir et suis parti de chez moi à 14h. Ainsi j’avais tout l’après midi et la nuit… 🙂
Je devais venir avec les seins attachés (il adore, hélas) et le plug. Une fois arrivé j’ai donné la clef du plug. Il m’as ensuite attaché les couilles très serré par une multitude de tours de cordelette. Je n’avais encore jamais eu mes couilles si étirées. Ensuite il me dit que nous allons à un rendez vous. J’étais inquiet.
Il m’a emmené dans un institut de beauté, nous étions dans la salle avec une femme d’une quarantaine d’année. Elle demande ce que nous voulons. Il lui dit qu’il désire qu’elle m’épile l’anus car il déteste voir des poils autour lorsqu’il m’encule. Je suis devenu ultraviolet, la femme, également.
Elle me demande de me déshabiller, il me dit à poil…
J’ai ainsi dû montrer mes seins, la femme était abasourdie… Elle a demandé si c’était des vrais, il lui dit de toucher,ce qu’elle a fait…..
J’ai été épilé à la cire, sans enlever le gode, la miss avait l’air de prendre du plaisir, elle se moquait carrément de moi, J’en avais les larmes aux yeux. Puis il s’est fait épiler le sexe, j’ai dû le sucer devant la femme.
On est parti, mais juste avant ils ont échangé quelques mots sans que je n’en connaisse les propos.
De retour à sa ferme, il me suspend au palan, m’enlève le gode, me le met en bouche et le ferme. Ensuite ce fut à nouveau avec la batte de base-ball, Il me banda les yeux et me laissa ainsi suspendu planté sur la batte. Il ajouta des pinces avec poids aux seins et aux couilles.
Le temps me paraissait interminable, je pleurais car j’avais très mal à cause des pinces et de la batte.
Puis il est venu, je l’entendais parler… Il disait je vous avez bien dit qu’il prenait une batte, j’ai trouvé une grosse truie. Puis il m’a arraché les pinces, j’ai hurlé tout ce que j’ai pu, malgré le plug qui était dans ma bouche.
Il m’a enlevé la batte,positionné sur le dos, jambes relevées et écartées. C’était une femme qui était avec lui, celle qui m’avait épilé, je reconnais sa voix. J’avais envie de hurler de douleur, car cette humiliation fut terrible pour moi, déjà l’épilation mais là…..
Ils m’ont rentré une canule bien à fond entre les fesses, accompagné d’un gode gonflable, pompé jusqu’à ce que mon anus soit bien fermé. Je gémissais, ensuite ils ont fait passer de l’eau tiède par la canule, mon estomac gonflait, gonflait, gonflait. Ensuite on a appuyé sur mon estomac en disant encore, l’eau à encore coulé pour me remplir. Je n’en pouvais plus et je pleurais, Il ont continué jusqu’à ce que je pleure vraiment trés fort, la canule fut retirée, et le plug gonflé.
Allongé sur le sol, j’ai du lécher les semelles des bottes de madame pendant que le Maître m’appuyait sur le ventre, puis sucer le Maître. Ensuite j’ai pu me vider accroupis devant eux, j’entendais la femme qui riait.
Ensuite j’ai été attaché et fouetté sur les seins et les fesses, Il m’ont enfilé un "truc" dans le cul pour le maintenir ouvert et y déverser de la cire de bougie à l’intérieur. Quelle douleur… Elle a dit : il faudra lui refaire un lavement, voir deux ou trois pour enlever la cire .
On m’a attaché dans le coffre d’une voiture, mains dans le dos, de nouveau un bâillon et pieds attachés, nous sommes partis. La voiture s’est arrêtée et ils se sont absentés un bon moment. Au retour je les entendais parler, que le repas n’était pas mal dans ce resto. Ils m’ont sorti dans un parking souterrain, tenu en laisse, nous étions à l’institut…
J’ai du poutzer de fond en comble sous les coups de fouet, lécher les wc hommes et dames. Ensuite ils m’ont laissé là, ils ont dit qu’il allaient dormir et que je devais bien bosser.
Surtout que ça brille sinon tu reste là toute la journée même s’il y a des clients et clientes.
Ainsi j’ai passé ma nuit à nettoyer l’institut ils sont venus me libérer au petit matin,je n’’en pouvais plus.
Le maître m’as dit que la prochaine fois l’âne serait à nouveau là ainsi que plusieurs personnes.
Cette séance fut très difficile mentalement pour moi. Surtout le passage du début à l’institut. Mort de honte et mal aux seins ainsi qu’aux couilles.
