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Une copieuse secrétaire – Chapitre 1




Bonjour, je m’appelle Matt, j’ai 26ans et je travaille dans les travaux publics. De par mon métier, je peux vous garantir que je ne croise pas beaucoup de femmes dans mon boulot. Et le peu que je vois ne fait pas partie de l’élite nationale, si vous voyez ce que je veux dire.

Chez un de mes plus gros clients justement, où je me rends une fois semaine, il y a cette secrétaire commerciale. Une blonde platine avec une bonne bouille rondelette, des gros seins qui n’ont pas l’air formidable et un postérieur qui n’est pas des plus attirant, bien énorme que ce soit de profil ou de derrière, un gros cul… bref pas mon truc, du moins je croyais jusque là.

Mois d’avril, commande annuelle des travaux en ce début de saison, je me rends au siège de l’entreprise pour y voir mes interlocuteurs et faire le point de la situation et planifier tout ça. Midi arrive, je les invite au resto histoire de bien finir cette première entrevue annuelle.

En chemin, la secrétaire étant encore dans son bureau, un des responsables l’invite à se joindre à nous, je ne peux pas refuser. Nous l’emmenons. Au resto, elle se retrouve assise a coté de moi, nous discutons un peu à diverses reprises et j’ai tout loisir de regarder à quelques occasions ses seins à fleur de table qui sont pour le moins imposants.

Repas terminé, nous repartons, elle passe devant moi dans sa chemise blanche et son caleçon moulant noir. Ce dernier justement attire mon attention au niveau de son postérieur, mon dieu quelle paire de fesses ! Dans ma tête, je m’imagine ces dernières toutes rondes et volumineuses, je les vois, nues et toutes blanches… Ouh lala… à partir de ce moment, je n’arrive quasiment plus à quitter cette chair qui se dandine devant moi.

Séparations, tout le monde à quelque chose à faire, moi j’ai un peu de marge et donc on me demande de la raccompagner ce que j’accepte. En chemin nous discutons un peu et donc je la regarde à diverses reprises et trouve qu’elle a tout de même une charmante bouille. Elle m’attire un peu plus surtout à partir du moment où je remarque dans son chemisier entrouvert entre 2 pressions, le haut d’un sein serré par un soutien gorge. Me voici avec un début d’érection.

Nous arrivons aux bureaux et je monte avec elle, prétextant vouloir récupérer des copies des documents de chantier. Voyeur cochon jusqu’au bout des doigts je la laisse passer devant moi dans les escaliers et regarde ses 2 bonnes fesses moulées dans son caleçon, bien rebondies, bien larges qui bougent à chacun de ses pas. Je devine sa culotte par le renfoncement au niveau des élastiques, une culotte qui ne couvre que la moitié de ses fesses, un tanga ? Humm exquis.

Nous arrivons dans le bureau et elle se propose gentiment de me faire mes copies, j’accepte ! Je redescends avec elle aux archives, salle peu lumineuse, déserte, avec des placards de paperasse et notre photocopieuse.

Elle fait les copies, pendant ce temps nous discutons, moi appuyé sur la desserte de la copieuse et elle devant celle ci. Sa main effleure la mienne involontairement, elle me sourit. Dans un silence, sa main revient et me caresse avec légèreté l’avant bras.

Là, je ne sais pas quel est le déclenchement de tout cela mais je me retrouve ma main sur sa taille, glissant vers son dos et la naissance de ses hanches. Nous nous rapprochons, elle se colle à moi, son buste appuyé sur mon torse, un élan de plaisir parcourt ma queue qui se raidit, nos mains glissent sur nos corps sans passer par une quelconque zone intime. Elle se colle encore plus à moi et m’embrasse, de petits baisers, puis plus humides et maintenant sa langue attaque et la mienne lui répond, j’ai une trique monstrueuse. Mes mains descendent sur ses fesses que je caresse avec gourmandise, les siennes courent sur ma chemise et point de non-retour, ses doigts courent sous la ceinture de mon pantalon, sa paume passe sur la bosse, elle ouvre ma braguette et sa main se faufile dans l’ouverture.. ouahhhh… Elle me caresse au travers du caleçon, rentre de dedans et saisit du bout des doigts ma verge et la longe, ohh quelle divine sensation…

Moi je rentre une main dans son caleçon et pétris tel un goujat ses fesses par-dessus sa culotte toute fine. Sa main saisit ma verge, elle glisse dessus, la resserre pour repartir dans l’autre sens, la voila qui me branle… ne tenant plus, je me place derrière elle appuyée sur la copieuse, lui saisit la ceinture du caleçon en m’agenouillant, et baisse celui ci à mi-cuisses. Une mini culotte blanche qui lui rentre dans les fesses si peu cachées par ce fin bout de tissu, je lui baise la peau sur les hanches et le bord des fesses puis sur sa culotte, humm je m’enivre de son odeur. Mes doigts s’insinuent sous les élastiques et je ramène les bords de sa culotte vers la raie de ses fesses, pour les découvrir encore plus. Je les lui lèche copieusement. Elle soupire discrètement, elle est mûre.

Je saisit sa culotte, tire dessus et l’envoie rejoindre son caleçon. Mes 2 mains plaquées sur ses opulentes fesses, voyageuses je la gobe de partout, la lèche, elle est douce, sa peau est chaude et parfumée. Mes caresses remontent sous sa chemise ma langue s’aventure le long de sa raie de bas en haut, je redémarre encore plus bas, elle sursaute. Mes mains se replacent sur cette bonne chair que j’écarte et ma langue s’active dans cette raie pour descendre jusqu’à sa vulve, dans ses poils.

Elle bouge de plus en plus ses hanches, de gauche à droite, d’avant en arrière, ma bouche ouverte, langue sortante, qui suit des mouvements opposés aux siens. Quel délicieux met, je me régale à outrance ? Ma verge va exploser et je ne me prive pas d’ouvrir complètement mon pantalon pour la libérer. Elle se redresse et se retourne avec un immense sourire, du plaisir plein les yeux et s’assied sur le bord de la desserte.

Me voici à genoux avec cette ’bonne’ femme devant moi, lui reluquant les cuisses et cette toison fine et blonde. Je pose mes mains à l’intérieur de ses cuisses, lui griffe gentiment avant de la caresser, elle sont douces et moelleuses, je les pousse un peu. Elle ne se fait pas prier et accompagne mon mouvement. Je m’avance, je lui fais des baisers baveux à l’intérieur de ses grosses cuisses, hum c’est divin. Je m’approche de son intimité en lui faisant des baisers, et à la naissance de sa cuisse, je frôle sa toison avec mon nez, quelle sublime odeur, pour m’attaquer à l’autre cuisse et m’éloigner de son intimité. Je reviens vers le centre d’intérêt, mais cette fois y fais un arrêt et pose ma bouche ouverte sur son abricot, un petit ’oh’ sensuel sort de sa bouche. Une fois en place, mes lèvres jouent avec les siennes qui s’humidifient de plus en plus. Ma bouche glisse toute seule, et ses lèvres s’ouvrent. Je tends la langue ’ouh!’, et voici que je m’active langoureusement sur ses lèvres puis son clitoris.

Au bout de quelque minutes, me voici goûtant son nectar abondant, elle gémit, se tord, me tient la tête et a bien du mal à rester dans la position qu’elle a prise. Moi je savoure, je déguste ce parfait jus magnifiquement odorant, et commence à m’astiquer le manche. Ma langue attaque de grands mouvements, je lui écarte les cuisses moelleuses qui sous le plaisir se referment. Elle gémit ouvertement, se cramponne d’une main à la desserte et de l’autre a ma tête, elle essaye de me repousser, j’insiste et la voici qui jouit une première fois m’invitant à stopper ce mouvement. Je l’écoute et me retire en lui lapant les cuisses.

Elle me tire par les bras pour que je me relève et dans la foulée me saisit la queue gonflée de plaisir. Elle commence à me branler cette cochonne tout en me tirant tant bien que mal avec ses cuisses autour de ma taille. Oh lala, ce qu’elle me fait du bien, elle branle vigoureusement, écartant les cuisses et se rapprochant du bord de la desserte. mon gland qu’elle décalotte et recalotte pour mon plus grand plaisir frôle ses lèvres trempées, elle me regarde avec un grand sourire, une main tenant ma verge, l’autre à ma taille, et elle me tire.

Ca y est, je rentre dans son abricot trempé et brûlant, ouah le pied, cette sensation qui m’envahit la queue. Lancé, je la saisis par les cuisses pour les lui maintenir bien écartées et en hauteur pour que sa vulve se présente bien à moi. Je la pénètre plus rapidement et régulièrement, mon bas ventre claquant sur le sien, elle est vraiment trempée, ses yeux brillent, elle reste bouche ouverte, quelques sons sortant difficilement sous l’émotion.

Je la bourrine un moment ainsi, elle gémit, pleure, essaye de tenir cette position pas très confortable.

Je me retire de ce vagin trempé qui me fait tellement de bien pour trouver une position plus confortable ; Un flash dans ma tête, je lui demande de se lever et de se retourner pour s’appuyer sur la copieuse. Elle hésite me prétextant que ce n’est pas une vache mais après un bref laps de temps se retourne, elle en a tout autant envie que moi cette bonne cochonne. retournée devant moi, elle se cambre, me regarde, je m’approche d’elle qui me saisit la queue pour la guider et je me lance.

Ohh putain qu’elle est bonne… sa tête s’écroule entre ses bras, elle gémit. ma queue rentre et ressort doucement de son con, un conduit tout chaud dans lequel je glisse sans peine, ma queue est à la fête et moi aussi. Je la pénètre ainsi régulièrement un moment, mes mains posées sur ses hanches. Je prends un énorme panard et elle aussi à l’entendre gémir. Je regarde ma queue disparaître et réapparaître, savoure ce délicieux moment accompagné de ces si explicites petits bruits… Je matte son postérieur, mon dieu quel formidable cul, large, lisse, rond, formidable, je le caresse abondamment d’une main alors que l’autre se cramponne à la hanche. Je l’astique de plus en plus fort, lui soulève sa chemise sentant quelques pressions lâcher et vient lui dégrafer son sg rapidement éjecté sous le poids de ses seins.

Elle est de plus en plus expressive et moi aussi d’ailleurs. J’accélère encore le mouvement, mon ventre claque sur ses énormes fesses qui ballottent, elle gémit de plus en plus fort, je regarde ma queue aller et venir en tapant ce bon cul si large qui m’excite, oh lala… mon dieu qu’elle est bonne…. je prends mon pied et elle aussi, je la bourre comme un fou, elle s’en cogne la tête sur la copieuse.

Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme alors qu’elle commence à sortir quelques mots essoufflés me suppliant avec des ’ encore, plus vite’, elle s’effondre pleurant de plaisir alors que je la défonce comme un fou (il n’y a pas d’autres mots). Elle jouit alors que je continue, elle essaie de se relever et me fait sortir de cet antre de plaisir..

— Nooooon encore….

Elle se retourne, elle s’agenouille face à moi et vient me sucer la queue gentiment au début puis sous mon impulsion plus férocement, oh cette bouche de chienne, c’est une déesse ce bout de nana…. elle arrête et m’invite à m’appuyer sur la desserte. Elle finit d’ouvrir sa chemise et retire son sg pendant… Oh mon dieu cette paire de mamelles, des gros seins ronds lourds, laiteux avec de beaux mamelons, je viens en soupeser mais cette cochonne repasse à l’attaque et me prend en bouche. Mon dieu quel coup ! Elle me suce puis me branle entre ses seins, formidables, elle alterne coups de langue, branlette énergique et appuyée et mouvements entre ses seins énormes… Ohhh je gémis expressivement et voici l’orgasme tant attendu… J’éjacule sur ses seins et par terre…

Temps mort, je reviens à moi, la regarde, nous avons chacun un grand sourire bêta mais nous sommes heureux nous nous réajustons, je remonte mon pantalon et mon caleçon resté sur mes chevilles et elle part sans un mot probablement se refaire une beauté présentable aux toilettes, moi je repars heureux de ce très bon démarrage pour la saison à venir.

Depuis, je l’ai croisée de nombreuses fois, n’osant croiser nos regard, nous n’en avons jamais reparlé et il ne s’est rien passé après. Elle est toujours dans cette société avec laquelle je travaille toujours.

Pour ma part en tout cas, j’ai changé d’avis sur ces femmes enrobées, elles sont terriblement bonnes et ouvertes, de véritables cochonnes, j’essaie tant bien que mal d’en abuser… ma vie sexuelle n’est pas des plus admiratives mais je viendrai vous raconter quelques histoires bien cochonnes quand j’aurai du temps.

Bye

MATT

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