Alors que Jean-Marc s’installe au volant de la Monospace, blanche, une BMW, aux vitres fumées, derrière viennent prendre place Jean-Marie et Laurence.
Sans perdre une minute, Jean-Marie demande à Laurence de lui présenter ses orifices en s’accoudant à la lunette arrière, agenouillée, creusant son fessier, de façon à ce que Jean-Marc, tout en conduisant, puisse profiter de l’action de son frérot, qui à la gauche de Laurence, lui trousse le minuscule pan de jupette, libérant le fessier encore culotté de la petite culotte de lycra blanc, que déjà, sa raie fessière, en dilatation, en avait avalé une partie.
Sans lui retirer, Jean-Marie glisse sa main droite dans l’entrejambe, pour glisser sur le tissu, mais, surtout, pour faire une vérification de son état.
— Tu commences tout juste à humidifier. Ça va te plaire, sans nul doute. Mais il te manque de la dilatation. Et quelques accessoires. Jean-Marc, tu passes au magasin. Il est juste avant le Club.
— OK.
Jean-Marie continue à lui tripoter son fond de culotte, faisant glisser en appuyant le majeur, afin que le tissu aille dans son vagin qui se dilate progressivement, la faisant haleter, tout en se laissant caresser par son cochon de voisin.
— Je te sens tendu, quelque chose gène ???
— Un peu.
— De quoi as-tu peur ???
— De. De Me retrouver offerte à des inconnus.
Jean-Marc lui répond
— N’es pas peur, ma chérie, je reste avec toi, et puis, Jean-Marie nous guidera.
— Tout à fait, nous restons ensemble tous les trois. Tu ne seras pas lâchée dans la nature, c’est nous qui dirigeons la soirée.
Jean-Marc vient de se garer sur l’immense parking du sexe-center, où se trouvent de nombreuses voitures.
Jean-Marie embrasse Laurence du bout des lèvres, avant de descendre, alors que Jean-Marc ouvre la porte à Laurence, qui est de son côté.
Le trio se dirige jusqu’à l’entrée de l’hypermarché du sexe.
L’on y trouve de tout, pour tous les goûts. Ils sont accueillis par une hôtesse, une jeune blonde, cheveux mi-longs, yeux verts, habillée en soubrette, en mini-robe noire, tablier blanc, bas DIM, blanc, escarpins noirs.
— Bonsoir, messieurs dame. Bienvenue.
— Bonsoir, lui répondent les trois.
— Vous connaissez notre magasin ???
— Non.
— Vous cherchez quelque chose en particulier ???
— Gel. Et accessoires. Dit Jean-Marie.
— Les gels pour hommes, ou pour madame ???
— A votre avis ??? Dit Jean-Marc, en la matant.
— Pour madame, sur votre gauche. Et les accessoires, vous cherchez ???
— Un collier, chaîne, et les plugs.
— Tout droit. Vous trouverez des gloryholes, au fond.
— Merci, charmante demoiselle.
— Sophie, pour vous servir. Vous trouverez des hôtesses à votre service, entre les rayons. Profitez
— C’est quoi des gloryholes ??? Demande Laurence.
— Nous allons voir. Après avoir fait un détour par le rayon des gels. Ainsi que ton collier. Lui dit Jean-Marie.
Jean-Marie et Jean-Marc encadraient Laurence. Ils déambulaient dans les rayons, se dirigeant vers la gauche, comme leur avait indiqué Sophie. Beaucoup de gémissements se font entendre dans le magasin, en musique de fond, cela donne la tonalité. Les gémissements se font de plus en plus actifs.
Il y avait toute sorte d’articles, avant d’arriver à ce qu’ils voulaient, Jean-Marie proposa à Jean-Marc de prendre un pot de gel pour forte dilatation.
Au fond de l’allée, un groupe de trois ou quatre hommes, de dos, devaient faire face à une femme à genoux, qu’ils devinent, à pratiquer des fellations.
Jean-Marc, qui avait pris le pot, demande à Laurence de se tourner et se pencher en avant. Obéissante, Laurence, se penche en avant, prenant appuie avec ses mains sur ses genoux, regardant devant elle, les hommes toujours de dos, se faisant sucer.
Jean-Marie se place à sa gauche, alors que Jean-Marc, lui, face au fessier, ouvre le pot, sans dire un mot, en toute complicité, Jean-Marie trousse le pan de la microjupette, lui baisse le lycra blanc à mi-cuisses, libérant en totalité son petit fessier, et de ses deux mains, il lui écarte les deux joues fessières, Jean-Marc, la main droite enduite de gel, vient lui enduire son orifice anal, allant même y glisser deux doigts au plus profond de sa rosette, lui tapissant son fondant, puis, il en fit de même dans sa vulve, qui commence à dilater sérieusement, certainement, à la vue de ce qu’il se passe au bout de l’allée et de ce qu’elle entend, ne pouvant pas en être indifférente.
Il vint essuyer le trop-plein sur l’entrejambe du petit vêtement, avant que Jean-Marie lui rajuste minutieusement prenant bien soin de lui ajuster sur ses joues fessières.
— Allez, relève-toi, ma chérie. Je suis sûre que tu voudrais aller voir ce qu’il se passe là-bas ???
— Juste pour voir, lui répond Laurence, avec un sourire.
— Bien sûr, ma chérie. Lui dit Jean-Marc, qui fit un clin d’il à son frérot.
Laurence a le feu dans son ventre qui l’empêche presque de marcher. Soutenue par ses deux cochons, le trio se dirige jusqu’à l’attroupement.
Restant derrière les hommes, le trio regarde, ce qui s’y passe devant.
En fait, deux jeunes soubrettes, dans la même tenue que Sophie, avec un article en plus, un collier en cuir, sont à genoux et sucent, méthodiquement, les quatre hommes, bien membrés.
— Tu vois, Laurence, c’est ce collier que tu devras porter. Lui dit Jean-Marie.
Laurence regarde Jean-Marc.
— Je dois vraiment, mon cur ???
— Tu dois te soumettre, tu me l’as promis que tu ferais tous mes caprices. Jean-Marie va s’occuper de ta préparation, pour devenir, ce que tu mérites. Je lui fais entièrement confiance.
Laurence, soumise et obéissante, suit ses deux gros cochons, qui l’emmènent dans les rayons suivant, à la recherche de ce collier en cuir. Laurence a de plus en plus de mal à mettre un pied devant l’autre, car l’action du gel est devenue insoutenable.
Ses deux orifices sont en totale dilatation, sa vulve n’est plus qu’un volcan en pleine éruption, qui crache des jets de glaire onctueuse et parfumée, qui ruisselle tout au long de ses longues cuisses, descendant jusqu’aux genoux.
En allant à droite du magasin, ils se rapprochent de ses gémissements et plus, car pour certaines, ce sont des cris de plaisirs. Croisant de jeunes hôtesses qui déambulent dans les rayons.
Ils retrouvent, un peu par hasard, Sophie, qui vient à leur rencontre.
— Vous en êtes où dans votre recherche ??? Demande Sophie.
— Nous allons chercher un collier cuir. Dit Jean-Marie.
— C’est là. Je vous aide. Que recherchez-vous ???
— Nous ne savons pas encore, selon le choix et la couleur. Dit Jean-Marie.
Arrivés devant le rayon aux multiples choix, Sophie leur montre plusieurs modèles, fins, épais, noirs, rouges, blancs, avec plusieurs anneaux, ou un. Collier avec deux chaînettes et des pinces pour mamelons.
Les deux frérots se regardent, faisant essayer chaque possibilité, même celui comportant les pinces à mamelons, le choix fut difficile, mais judicieux, car, pour une première expérience, Jean-Marc lui prit un collier rouge à trois anneaux, fin, discret, afin de le porter tout le temps. Jean-Marie, lui, proposa le collier noir, à deux anneaux, mais surtout, ayant les deux chaînettes avec les pinces à mamelons, pour plus tard, le temps d’adaptation.
— Il vous faut autre chose ?? Demande Sophie, qui durant tout le temps de sa présence, restée aux côtés de Laurence, une main sur le fessier, après lui avoir troussé le pan de sa micro jupe, et finalement, baissé l’élastique de la culotte, pour lui caresser ses joues fessières. C’est même elle qui lui fixe le collier rouge. Je viens avec vous pour poursuivre vos achats.
— Je voudrai un plug anal. Lui dit Jean-Marie.
— Je pense qu’il lui faut de la qualité, dit-elle. Venez. J’ai ce qu’il lui faut.
Le trio suivit Sophie, qui elle, a toujours sa main droite dans la raie du cul de Laurence, allant plus loin, jusqu’à l’anus, qui n’est plus qu’un trou béant, lui enfilant deux de ses doigts.
— Je pense qu’en dimension, elle peut accueillir du gros.
Venant d’arriver aux rayons recherchés.
— Il y en a pour tous les goûts. Mais pour toi, comment tu t’appelles ???
— Laurence.
— Eh bien, pour toi, Laurence, nous allons te trouver le must du must. Un modèle acier, avec un petit bijou. En diamètre, celui-ci me paraît l’idéale.
— On peut essayer ??? Demande Jean-Marie.
— Oui. Bien sûr. Laurence montre-moi ce beau petit cul. Viens là. Tu sais que tu me plais bien. J’adore les matures, comme toi. Tu dois être une bonne, n’est-ce pas les garçons ???
Se plaçant devant un banc rehaussé, Laurence obéissante, attirée par Sophie, une main dans sa culotte, pour la pousser jusqu’au banc.
— Penche-toi en avant, pour me montrer ce beau petit cul. Que je te place ton jouet.
Laurence, reste debout, s’accoude, après s’être penchée en avant, lui offrant son fessier, tout ceci, sous le regard intéressé des deux gros cochons, qui bandent par la situation. Puis Sophie se place entre les jambes ouvertes et droites de Laurence, prenant le temps de lui trousser sa micro, pour libérer son fessier, tellement dilaté, qu’il a avalé en totalité, l’entrejambe de la culotte, détrempée.
Sophie prend du temps à lui caresser chaque joue fessière, en profite pour la fesser, avant de lui écarter le tissu, pour lui entraver les cuisses, puis, aidé par Laurence, il le glissa pour rester aux chevilles, avant que Sophie lui retire et le pose sur le rebord du banc.
Entre-temps, Sophie joue de son index et majeur pour venir constater son état anale, les faisant coulisser le long des parois sphincters.
— Vous l’avez bien gavé de gel. Elle est ultra dilatée. Je me demande si la taille du plug est assez large.
Sur ce fait, elle lui présente le bijou, qu’elle enfile sans aucune difficulté, maintenant allait-il tenir, la dilatation étant si large ?
— Je pense qu’elle peut supporter plus gros, je vais lui proposer le XXL.
Sophie s’écarte du petit fessier de Laurence, après avoir retiré le plug, pour en prendre la taille au-dessus, reprenant sa place, et lui enfile son nouvel objet.
— Voilà, là c’est ce qu’il lui faut, il ne bouge pas, c’est parfait, après, c’est une histoire de couleur du bijou, celui-ci est rouge, je pense qu’avec son collier il est parfaitement coordonné.
— Qu’est-ce que vous en pensez, mes deux gros cochons ??? Demande Laurence, qui apprécie le jouet dans son cul.
— Celui-ci est bien, je suis de l’avis de Sophie, et toi, Jean-Marc ? Dit Jean-Marie.
— Preneur, pour ma part. Dit Jean-Marc.
Pendant ce temps, Sophie, la petite salope, n’avait pas les mains dans ses poches, encore, faut-il qu’elle en ait. Des poches, bien sûr. Tout ceci pour dire qu’elle fit osciller le plug, en même temps qu’elle lui donner un sens de rotation, afin que chaque partie de son fondant prenne pleinement plaisir de ce nouvel objet du désir anal.
Et déjà, Laurence haletait à pleine gorge.
Sophie, elle, avait qu’une envie, se la faire, là, devant ses deux gros cochons, qui n’attendent qu’une seule chose, se faire sucer par l’une ou l’autre de ses deux salopes, voire même plus.
Laurence, elle, yeux mi-clos, toujours accoudée, cambrée au maximum, laissant ainsi toute liberté aux doigts experts de sa jeune salope visiter ses deux orifices.
— Tu sais, tu peux la fister, elle adore ça. Dit Jean-Marc, qui, comme son frérot, s’étaient dégrafé le jean, et toutes queues dehors, ils bandaient, se masturbant, ne manquant rien du spectacle des deux femmes.
— J’ai mieux que la main à t’enfiler dans ton volcan. Bouge pas, je reviens.
Sophie abandonne sa créature, le temps de faire quelques pas dans ce même rayon, pour en revenir avec un objet tout en latex noir, un plug, mais qui a un tuyau avec une poire à son extrémité, et ceci à la base de l’objet.
— Qu’est-ce que c’est ??? Lui demande Jean-Marie
— C’est un plug. Mais un peu spécial.
Sophie se place sur le côté droit de Laurence, au niveau de son cul, afin de ne rien laisser perdre à la vue de ses deux cochons, auquel, viennent de se rajouter trois voyeurs de plus, tous aussi cochons que Jean-Marie et Jean-Marc, qui eux aussi, se masturbent à pleine main.
Jean-Marc les voyant prit le petit vêtement blanc, déposé par Sophie sur le banc, pour le présenter aux voyeurs.
— Tenez les gars, pour ceux qui veulent un avant-goût de sa liqueur encore toute fraîche. Elle est à votre disposition, elle aime tout. N’est-ce pas ma petite chatte ??? Attends Sophie, Laurence va changer de position, pour que celui qui veut se faire sucer soit plus facile. Mets-toi sur le dos.
Sophie l’aide à pivoter, au passage, lui retire sa micro jupette et son blouson, ne gardant plus que ses chaussures. S’offrant à ses nouveaux venus. Puis, Laurence s’allonge sur le dos, jambes repliées et ouvertes, afin de laisser libre accès à la jeune femme, déjà, la manger des yeux, la tête de Laurence au bord du banc, attend une queue à sucer, haletante de plaisirs à venir.
L’un d’eux tend une main, pour prendre le petit vêtement de Laurence, qu’il hume à pleines narines, tout en se masturbant. Alors qu’un autre, typé Africain, avec une queue hors norme, s’approche du visage de Laurence, cette dernière, la tête hors du banc, ouvre sa bouche et accueille cette belle et longue queue, qu’elle avale gloutonnement, pour le sucer jusqu’en fond de gorge.
Jean-Marie et Jean-Marc, se placent de chaque côté de Laurence, au niveau de ses jambes repliées, et pour lui soulager la position, lui prirent chacun, une jambe, pour, à la fois, lui écarteler et lui replier sur le ventre, afin de libérer en totalité ses deux orifices et laisser un libre accès aux mains de Sophie, pour la besogner de ses envies les plus pervers, face à cette béanteur, plus facile pour elle, pour introduire le plug en latex dans la vulve, qui n’est plus une vulve, mais un vrai gouffre, d’où s’écoule une fontaine de glaire, onctueuse, puis totalement avalée par les parois du col utérin, appuyant sur la poire, elle gonfle le plug.
Laurence râle, dans un mélange de plaisir et de douleur, car l’utérus s’élargit, par la même. Sophie, après avoir arrêté son gonflage, joue avec les deux plug, anal en premier, puis, lui active le vaginal en le faisant tournoyer tout en commençant à lui donner un mouvement d’oscillation.
Laurence, dans un cri, étouffé, par la fellation, qu’elle arrête, le temps de commenter.
— AH !!! Arrête, tu vas me déchirer. Aïe !!! Non. C’est trop gros.
Mais Sophie continue à lui mettre son périnée, à la limite de la déchirure. Avant de lâcher de la pression sur le plug vaginal, et renouveler le va-et-vient. Là, Laurence se fait totalement conciliante, car le plaisir a fait place à des gémissements. La main experte de Sophie s’entreprend à continuer cette pénétration, laissant échapper de véritables lambeaux de glaire qui en tapissent le plug, permettant une plus grande lustration du latex.
Jean-Marie et Jean-Marc sont comblés, pour ce qui est de nos autres voyeurs, chacun attend la possibilité de se faire sucer.
Et Sophie, me direz-vous ??
Eh bien, Sophie trempe de la culotte, c’est ainsi que l’on peut traduire sa situation. L’un des voyeurs s’allonge à même le sol, entre les jambes ouvertes de Sophie, qu’elle écarte, lui laissant libre passage à son entrecuisse enveloppé d’un string ouvert, blanc, lui libérant sa vulve rasée, aux petites lèvres ruisselantes de sa glaire, en lui retirant, totalement.
Et sans en attendre plus, il commence par venir lui astiquer de la pointe de la langue, son clitoris, avant de la doigter du majeur et index. Le troisième, lui, restant debout, se place devant son petit cul, et lui troussant le pan de jupette, il vient la sodomiser d’un coup de rein, la faisant sursauter de surprise, mais pas de refus. Sophie eut du mal à continuer son jeu avec Laurence.
Puis elle se dégage, après avoir longuement apprécié la sodomie et le léchage des deux inconnus, leur laissant la place pour besogner Laurence, qui lâche la queue de celui qu’elle suçait jusqu’à présent, pour qu’il vienne prendre la place de Sophie.
Jean-Marc retire le plug vaginal, et celui qui léchait Sophie se releva pour venir se faire sucer par Laurence, pendant que le troisième, qui était sur une sodomie avec Sophie, se fit nettoyer la queue par Sophie, qui avait des lingettes pour ça.
Sophie joua de sa bouche experte pour une fellation, sur ce dernier.
Laurence halète à tue-tête, besogné par cette grosse queue, mais tellement bonne, qu’elle ne veut pas en finir. Il est trop bon, celui-ci.
— Hum !!! Encore. Oui. Ah. Je vais jouir. Crie-t-elle.
— Allez, les garçons, on change. Dit Jean-Marc. Pour vous mettre dans chacun de ses trous.