Été 2012, 2h30 du matin. Il fait super doux et j’attends, au volant de mon taxi, une merco break noire, la venue d’un client. On tape à la fenêtre passager. Je baisse la vitre et une petite nana me demande si je peux l’amener à Levallois-Perret.
— Pas de problème, montez.
— Merci.
Elle grimpe à l’arrière du taxi. Je matte rapidement dans le rétro et là putain, ouah, la minette doit pas avoir 25 ans, peut-être 20 ou 22 ans max. Une silhouette de rêve, assez grande, élancée, super fine, des jambes parfaites, le décolleté a du mal à contenir une paire de nichons gros, ronds et fermes bien moulés dans une robe ultra serré blanche. Putain j’en reviens pas, cette meut est une véritable bombe atomique. Elle a les cheveux châtain clair, long, un peu relevés en arrière, très classe, des anneaux aux oreilles couleurs or et un maquillage discret, mais qui lui donne un vrai petit air de garce. Elle croise et décroise les jambes. Je peux pas m’empêcher de mater tellement elle est bonne. On dirait une actrice de film porno.
-La soirée était bonne?
— Bof, pas trop, je me suis un peu fais chier. J’étais en boîte et c’était pas terrible. Les mecs étaient lourds.
Elle me jette un regard dans le rétro, en disant ça, qui croise le mien. Elle se tourne à nouveau vers la vitre et recroise sa jambe par dessus l’autre. Elle fait ça lentement et ça a pour effet de relevé un peu plus sa robe sur ses cuisses. Ça a aussi pour effet de faire un peu plus gonfler ma queue qui devient à l’étroit dans mon pantalon. Elle continue :
— Les mecs sont comme de vrais clébards devant un os quand ils voient une fille en boite. C’est relou…
— Faut dire qu’avec une robe comme la vôtre….
— Vous aimez pas? C’est vrai qu’elle est un peu sexy, je viens de l’acheter, une petite fortune.
— Ouais. Sexy. Peut-être même un peu plus non?
— Comment ça?
— Allez, arrêtez de faire votre sainte-ni-touche. Aller en boîte sapée comme une vraie petite salope faut pas s’étonner de se faire draguer.
— … Hein?… Mais ça va pas, comment vous me parler…? Vous êtes malade ou quoi?
— Ça va arrête ton cinéma poupée, je vois bien ton petit manège, t’arrêtes pas de m’allumer depuis tout à l’heure. T’inquiète pas, ça marche très bien, j’ai la bite en feu dans mon "falesard".
— Hein… mais, vous êtes fou… qu’est-ce qui vous prend…? Laissez-moi descendre ici…
— Ta gueule pétasse ! Ferme ta gueule ! T’entends ? Je veux plus t’entendre ! T’aimes faire ta petite chaudasse hein ? T’aimes ça exhiber ton beau petit cul dans des sapes sexy hors de prix petite bourge. T’as envie de te faire baiser comme une pute toi. On voit tout de suite que t’es une salope et je vais te défoncer le cul pouffiasses.
Je m’engouffre dans un parking et descend au niveau le plus bas. je gare ma bagnole dans un coin, la petite pute me regarde, éberluée. Je me tourne vers elle, elle n’essaye même pas de sortir. Je la matte des pieds à la tête comme si c’était un bout de viande, mais putain… quel bout de viande. Cette salope est vraiment trop bandante dans cette tenue et les talons aiguilles qu’elle porte lui donne l’air encore plus salope. je masse mon entrejambe en regardant ce corps superbe. Je tiens plus, je sorts de la caisse, me dirige vers la portière arrière, l’ouvre et choppe la jolie petite pétasse par les cheveux.
— Amène-toi salope, viens là !Sors de la bagnole petite pute, je veux te voir debout. Tourne-toi, mets les mains sur le capot ! Hmmmm, putain ce que t’es bonne…
— S’il…. s’il vous plait…. me faîtes pas de mal… Je…
— Ta gueule je t’ai dit ! Tu vas être très gentille petite putain. Hein que tu vas être très gentille ? Tu vas faire ta bonne fille n’est-ce pas ? Hein petite pute…? Réponds maintenant ! T’es une petite pute hein ? Dis la que t’es une salope !
Je l’attrape fermement par les cheveux et caresse ses cuisses et ses fesses avec l’autre main. Je lui fait écarter les jambes et la pelote sauvagement. Je lui fous une grosse claque sur son superbe cul, puis une autre dans la foulée. Le bruit raisonne dans le parking et elle ne peut retenir de poussé un cri aiguë.
— AAAAAH ! ….Oui… je… je suis une salope… je suis une salope… s’il vous plaît … je serai très gentille… je ferais ce que vous voulez… pitié… me faîtes pas de mal…
J’en peux plus de la voir comme ça, couiner comme une petite chienne. Je défais mon ceinturon. De l’autre main je relève la micro robe de cette salope et je tombe sur un string mauve qui finit de me faire bander comme un âne. Je baisse mon froc et mon caleçon et sorts ma queue. Je lui remet une grande claque sur les fesses. Elles commencent à rougir. Elle repousse un cri strident. Je la tiens toujours fermement par les cheveux et la force à se pencher plus en avant. Je branle frénétiquement ma queue en mâtant le cul découvert de cette jeune chienne.
-Putain salope, j’ai la queue en feu, je vais te défoncer comme une pute pétasse, je vais te la mettre à fond sale chienne. Tu vas gueuler comme une truie, fais-moi confiance salope. Tu vas déguster petite putain !
— Pitié…. je… je ferai ce que vous voulez…. s’il vous plaît…
Pour lui faire fermer sa gueule je lui remet une grande claque sur le cul. Elle cri de nouveau. Rien à foutre, j’écarte son string puis j’écarte son cul. Je crache entre ses fesses puis crache dans ma main et me branle pour humidifier ma queue. Je présente ma bite à l’entrée de son cul. Je vais la prendre directement par le cul cette belle salope, comme une brute.
— Hey… mais… mais qu’est-ce que… qu’est-ce que vous faites…? vous… vous allez pas…? … non…. pas ç…
Sans l’écouter, je force l’entrée de son anus. Putain son cul est tout étroit et ma queue a vraiment du mal à rentrer. Je m’en cogne et force à fond, je perfore le superbe petit trou d’une superbe jeune salope et c’est trop bon. Elle gueule et ça m’excite encore plus. Je lui remet une grosse claque sur son boule, l’agrippe par les cheveux et lui met un grand coup de rein. Ma queue pénètre le cul serré de la petite conne. Je lui ramone le fion comme un malade, de grands va et viens. J’alterne rapidité et lenteur des mouvements. Je lui fais écarté les jambes au maximum et la plaque sur le capot de la bagnole. J’arrête, regarde ce magnifique corps, ce cul magnifique transpercé par mon sexe. Je bave de la voir comme ça, soumise à mon fantasme. Et soudain j’en peux plus. Je me remets à la défoncer par le cul. J’accélère, de plus en plus, mon bassin cogne contre ses fesses, mes couilles viennent s’écraser sur sa chatte, violemment.
— Tiens salope prends toi ça dans le cul ! Tiens, tiens, voila comment je l’ai baise les petites pétasses dans ton genre, comme des chiennes, comme des putes. T’aimes ça te faire défoncer à sec hein? T’aimes être prise comme la dernière des chiennes salope, hein?
— Ah… Ah… AAAAAAAAAh Ah… mon cul… vous me faites mal… AAAAAAH…. vous me défoncez le cul salaud….. AAAAAAh, vous me faites mal…. mais j’aime ça oui… j’aime qu’on me prenne comme ça, comme une pute …. AAAAAAh….. oui, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiii….
Je la ramone de plus belle. Je la tiens par les hanches et la baise à fond encore un moment. Puis, jarrête. Je le tire par les cheveux et la fait se retourner. Face à moi elle est encore plus belle. Elle a vraiment un air de garce. J’arrache le haut de sa robe. Ses deux seins magnifiques s’offrent à ma vue. Je m’approche et l’embrasse fougueusement en malaxant ses nibards. Cette nana est vraiment une salope. Elle masse ma bite et me branle de plus en plus vite.
— HMMMM, à genoux sale chienne ! A genoux et suce moi la bite salope !
Je la tire vers le sol par les cheveux et enfourne directe ma queue dans la jolie petite bouche de suceuse. Cette chienne sait y faire, une vraie pro. Elle ne laisse rien au hasard et tète magnifiquement mon gland avant de gober mes couilles pleines. Mais ça suffit, j’ai envie de lui baiser la bouche. Je veux me finir dans la bouche de cette pute. J’empoigne sa tète à deux mains et lui colle mon engin au fond de la gorge. Je maintiens ma queue comme ça plusieurs secondes jusqu’à ce qu’elle ai des renvois. Elle cherche à se reculer mais je l’en empêche. Enfin je défais mon étreinte. Elle se recule, tousse et bave une quantité impressionnante de salive sur ses seins. Son rimmel coule. Elle suffoque un peu. Mais tout de suite je remets ma queue turgescente dans sa bouche et recommence à baiser cette magnifique bouche sans ménagement. Je lui crache dessus et lui colle même une baffe, puis une autre.
— Fais ça bien sale pute ! continue de me pomper salope, comme ça, ouais…. c’est bien bébé, va z y, donne toi à fond sur ma grosse bite pétasse. Hmmmmm, putain salope, c’est trop bon de se faire pomper par une belle petite garce. Hmmm t’es un vrai petit trou à bites toi, hein ? Une vraie cochonne putain…. Hmmm continue, je vais te recouvrir de foutre salope, tu vas t’en prendre plein la gueule… Tu vas bouffer du sperme pétasse…
Enfin, j’en peux plus. La vision de cette magnifique petite chienne à genoux, robe relevée sur les hanches en train de pomper ma queue a raison de moi. Une nouvelle fois je l’attrape violemment par les cheveux, lui maintient la tète en arrière et me branle sur son visage. J’éjacule une quantité impressionnante de foutre sur sa gueule, j’essaie d’en mettre partout, de la recouvrir de jus.
— AAAAAAAAAH, ouaiiiiiiiiis, prends ça dans ta gueule grosse salope….. Avale mon foutre sale pute, tire la langue comme une chienne salope…
J’étale un maximum de foutre sur le visage de la pétasse et lui fait nettoyer ma bite. Je lui remets dans la bouche, bien à fond, en appuyant sur sa tête pour qu’elle bave encore. Elle a vraiment l’air d’une pute, dégoulinante de bave et de foutre, à genoux dans un parking.
Pas loin de nous j’avais vu qu’un type matait. Je lui fais signe d’approcher.
— Hey mec, amène-toi. Viens voir. Je sais que t’es là, approche.
La fille me regarde, terrorisée, je lui fais signe de rien dire. Elle se tait. Le type approche et change de gueule quand il voit notre jolie petite nana souillée entre deux bagnoles, complètement débraillée. Un sourire pervers apparaît sur son visage.
— Comment trouves tu cette petite garce ? Elle te plaît ?
— Putain ouais, elle déchire cette meuf, elle est trop canon putain…
— T’aimerais bien la baiser hein ? Qu’elle te pompe comme une pute… hm?
— Ah ouais putain, grave, tu me la prêtes mec ?
— File moi 500 et tu pourras en faire ce que tu veux.
Une suite ? Qu’en dites-vous ? Moi je ne sais pas, dites-moi si vous en voulez encore…