Aujourdhui, depuis ce matin de très bonne heure, je marche sur un sentier et aborde un bois où, soit disant, se trouve un arbre de forme et de volume peu coutumier pour la région. Mon but est de pouvoir le photographier sous plusieurs angles et à plusieurs moments de la journée.
Enfin jarrive dans une grande clairière où trône au beau milieu larbre en question. Il nest pas très grand mais dune circonférence époustouflante. Les racines courts sur le sol et sentrecroisent formant des figures fantasmagoriques. Aussi je passe des heures à les shooter en jouant avec des gros plans et en fonction de langle déclairage du soleil.
Vient lheure du déjeuner. Le soleil est trop haut pour prendre de bons clichés alors je méloigne de la clairière et trouve un coin où je serai à lombre, mais pas de trop non plus.
Après la marche de ce matin la faim se fait ressentir et le casse-croute, pourtant très copieux, se trouve vite englouti. À la fin de mon repas le soleil est toujours trop haut, alors je décide de piquer un petit pionce sur la grande pierre plate un peu plus bas. De plus elle est encadrée par plusieurs arbustes qui se penchent au-dessus. Cela va être agréable pour ma sieste. Là je plonge dans ma somnolence.
Je suis brusquement réveillé par quelque chose de froid et humide qui me court sur le visage. De peur, je passe brutalement mon bras au-dessus de ma tête pensant que cela pouvait être une bête quelconque tout en me relevant et làLa peur de ma vie. Il se trouve là ! à peine à deux mètres de moi. Un chien de bonne taille aboi. La peur passée je me rends compte que je nai rien à craindre. Il a les deux pattes avant bien allongées, loin au-devant de sa tête. Le train arrière placé très haut et les oreilles plaquées en arrière. Il tient sa tête penchée sur le côté et sa queue bat lair.
-Et bien mon vieux tu mas fichu une de ces frousses ! Que fais-tu là ?
Il aboi et part ventre à terre, fait le tour de la pierre et sarrête à cinq mètres sur le côté pour reprend sa position. Alors je masseyais et lui fais signe de venir. Progressivement, il sapproche et je lui tends la main paume en lair pour ne pas leffrayer.
Je suis à le toucher. Il passe sa truffe sur ma main puis sapproche encore. Je le caresse au cou et là, surprise il saute sur mes genoux et me léchouille le visage.
— Dit donc, pour un chien qui ne me connait pas tu es sacrément familier.
Il me fait vraiment la fête. Alors je lui caresse les cotes, puis le poitrail. Et le voilà reparti une nouvelle fois ventre à terre.
— Bon, le chien tu es bien gentil mais maintenant tu me laisse faire ma sieste.
Et je mallonge en laissant pendre les jambes sur le bord de la pierre.
Seulement le chien ne lentend pas ainsi et revient me lécher les jambes. Je pense quil me lèche à cause du sel qui a du se déposer par la transpiration de ce matin. En plus ce nest pas déplaisant. Il passe au-dessus des genoux alors instinctivement jentrouvre les jambes.
Mais quand il passe sa langue sur la face interne je ressens une décharge dans tout le ventre.
— Eh le chien ! Tu ne crois pas que tu vas un peu haut ?
Mais au lieu de le repousser, jécarte un peu plus les jambes. Il monte encore et maintenant je sens sa langue râpeuse passer sur mes bourses. Il faut dire que je porte un short très court et très ouvert. Bien entendu la réaction ne se fait pas attendre et jai mon sexe qui commence à gonfler.
Putain, cest trop bon ! Alors jécarte louverture et je sors ma pine qui commence vraiment à me gêner. Je ne sais pas comment il sy prend mais, avec sa langue il me lenroule, puis la lèche et lenroule
— Huumm, oh ouuii continu Oh tu me suce bien. AÏE ! Mais tu me las mordu ?
En effet il a mis un peu trop de vigueur et il vient de me la pincer. Pour que cela ne se reproduise pas, je la prends à pleine main et ne laisse que le gland apparaitre. Que cela ne tienne, sa langue en fait le tour. Cest si bon que je suis vite en érection et, malgré moi, je commence à faire aller et venir ma main. Je me penche et de mon autre main je lui caresse à nouveau le poitrail. Il sapproche et met ses pattes avant sur le bord de la pierre. Ayant gardé la main tendu je me retrouve avec sa pine froide et humide entre mes doigts. Je regarde sur le côté et je vois une bonne flèche rouge et bien pointue qui est sortie de son fourreau.
— Hé, le chien. Jai limpression que toi aussi tu bande. Tu veux peut-être que je te la caresse ?
Bien sûr, il ne me répond pas. Mais jallonge un peu plus la main et lui attrape son sexe par le fourreau et je lui masse la pine.
Comme de nature je suis curieux je regarde si cela lui fait un effet quelconque.
— Mazette ! Mais cest que tu aimes ça!
Et le voici quil sarrête de me lécher et monte sur la pierre à mes côtés. Il se tient droit sur ses quatre pattes, la langue pendante sur le côté et regardant droit devant lui.
— Ok le chien. Cest à mon tour de te faire des gâteries.
Je reprends sa masturbation et je regarde sa pine qui sort de son fourreau et qui grossie. Au fur et à mesure quelle grossie le dard est comme absorbé et quand elle commence à faire couler son jus il ne reste plus quune petite pointe qui apparait. Jai la main trempée et je vois sa pine dans toute sa splendeur.
« Putain ! Je ne vais pas laisser ça sans en connaitre le gout ? » La vue dun sexe comme le sien mattire comme un aimant et, finalement, je passe ma langue.
« Houai ! Le gout est bizarre mais cest plaisant » Je le prends à pleine bouche, je le ressort. Je le prends encore plus loin et lui fait plusieurs allé et retour avant de le ressortir. La bête semble y prendre plaisir et commence à pomper, ce qui fait que sa pine senfonce jusquau fond de ma gorge. En plus cela narrête pas de couler et jai vite la bouche pleine. Comme je ne veux pas la lâcher javale tout. Au début je ne men rends pas compte mais le plaisir devient de plus en plus intense. Jusquau moment où je ny tiens plus.
— Dit donc le chien, ta une sacrée pine. Tu ne voudrais pas te payer une salope de chienne ?
Je retire mon short et me mets à genoux, les bras croisés devant moi pour que ma tête y prenne appui.
— Allé le chien, ta chienne est prête. Monte-la.
Le chien sapproche. Il me lèche des couilles jusquen haut de ma raie fessière. Puis séloigne.
— hé le chien ! Elle ne te plait pas ?… Allé mon bon chien pète lui la rondelle.
Il revient me lèche à nouveau. Chaque fois quil me lèche mon envie monte dun craint supplémentaire. Finalement je ny tiens plus. Je suis dans tous mes états quand
Brusquement je sens tout son poids sur mes reins. Je sens sa pine qui tape à droite, à gauche ou en dessous. Mais jamais dans le bon endroit. Puis il descend et sarrête devant moi.
— Sale cabot ! Tes pas capable de trouver le trou ?… Ah tu veux peut-être une petite gâterie supplémentaire ?
Je lattire à moi et lui prends sa pine en bouche. Elle coule encore. Puis je lui représente mon cul.
— Allé le chien baise-là Vient, elle tattend.
Le chien reprend le même manège. Il me lèche et au bout de trois fois je subis la même charge de poids sur le dos. De mon côté, je pense que la première fois je devais avoir le cul trop haut alors je le tiens plus bas. Et bang un coup à droite. Un coup à gauche et
Pan dans le mille. Je la sens entrer en me perforant à toute vitesse. Mais cest un vrai sauvage les coups sont rapide et jai un peu crié quand il ma pénétré. Je la sens me forer de plus en plus profondément. Il me tape même au fond du puits damour. Cela me « résonne » dans tout le ventre. Puis il ralentit ses coups. Par contre les coups sont plus appuyés.
Mon cul est de plus en plus dilaté. Ah il a le nud qui grossi et qui senfonce doucement à chaquune de ses poussées.
Maintenant sa boule est passée derrière mon sphincter et continue de grossir jusquau moment où il sarrête de pomper. Je sais quà présent je ne pourrai plus me dégager. Je suis verrouillé à lui et je suis devenu sa chienne.
Je sens les pulsions de son sexe et à chaque fois il me remplit de son jus tout mon boyau.
— Oh ! Cest booon, contiiinuu mon chien. Baise ta salope de chienne. Vas-y défonce lui sa chatte.
Il me lime la prostate au point que jentre dans une formidable érection. Je nai plus quune envie me masturber qui se termine par une éjaculation fantastique. Puis mon cul devient mon seul centre dintérêt. Pendant tout le temps que je suis collé au chien je narrête pas davoir des périodes dérections qui aboutissent à une éjaculation. Mais après la troisième fois jai les burnes asséchées et plus rien en sort.
Le chien continu de pulser son nectar. Jai limpression que mon ventre a doublé de volume et que mon anus a pris feu. Puis vient le moment où la boule diminue jusquà sortir dans un ploff de bouchon de champagne.
Je suis complètement vanné et en sueur. Le chien séloigne et se nettoie la pine, alors que je reste dans ma position pour récupérer.
Puis je sens sa langue courir sur mes fesses « oh putain ! cela fait un bien incroyable » et je nai aucune envie de bouger.
— Monsieur Monsieur.
« Mais qui peut bien mappeler ? » Du coup je descends sur terre. Jouvre péniblement les yeux et vois un type qui me regarde.
— Ne restez pas là. Vous avez la tête en plein soleil. Vous allez attraper une insolation.
— Mais, quelle heure est-il ?
— Il est cinq heures.
— Merci Il faut que je retourne vers larbre de la clairière pour terminer mes photos.
— Si vous voulez faire une très jolie photo attendez sept heures. Il y a une grosse racine qui forme une boucle en lair. Vers cette heure-là, si vous cherchez le bon angle, vous verrez en ombre chinoise la tête de la bonne fée qui a fait transformer le diable.
— Vous avez beaucoup de légendes comme celle-ci dans le pays.
— Oui En effet. Mais même si cest une légende ne restez pas là à la nuit tombante Bon À présent je vous quitte Au revoir.
— Au revoir et merci de mavoir réveillé.
Je regarde le type séloigner puis je cherche autour de moi le bon chien qui ma procuré tant de plaisir. Et finalement je comprends que ce nétait quun rêve.
Mais je ne désespère pas. Un jour je trouverai un vrai chien.