J’étais assise dans ce bar depuis le début de la soirée, profitant de la tiédeur du mois de mai pour dévorer un bouquin. J’y avais dîné, bu quelques verres sans réellement prêter attention à la faune qui changeait d’heures en heures. Vers minuit tout changea, les couples et groupes d’amis firent place aux types du quartier, parfois un peu bourrés, souvent par groupes de 2 ou 3. Assise dans mon coin je détonnais. 25 ans, châtain, yeux verts, 1m65, environ 60kg mais surtout 95D, vêtue d’une longue jupe sombre et d’un chemisier blanc, je réalisais soudain que les regards étaient braqués sur moi et j’entendais des bribes de conversations. ’T’as vu ces seins… tu crois qu’elle a quelque chose sous sa jupe ?’ etc. Je me décidais à payer et sortir, j’appelais donc le serveur qui me proposa de m’offrir un verre, que je refusais. Là 4 des types qui étaient au bar s’approchèrent et s’assirent à coté de moi ’Ben alors ma chérie, on traîne dans les bars toute seule et on refuse un verre, ca ne se fait pas ça’… Et là, au moment même où le patron fermait le rideau du bar, je sentis deux mains s’insinuer sur chacune de mes cuisses et remonter ma jupe. J’essayais de me débattre mais les deux autres m’attrapèrent les poignets. ’Allons, je suis sûr que tu vas aimer, détends-toi un peu’ Ils avaient commencé à déboutonner mon chemisier laissant mes seins à peine cachés par mon soutien-gorge en dentelle. Mes tétons pointaient déjà. ’Quelle paire de nibards, tu dois en attirer des mecs dans la rue… t’aimes ça pétasse, te faire tripoter hein ’ Je dois dire que je commençais à trouver la situation excitante… 3 des types dont le patron étaient plutôt pas mal, la quarantaine, le serveur un black costaud la trentaine, et deux clients marocains peut être la cinquantaine. Je me voyais l’objet de ces types, un vieux fantasme. Le serveur a été chercher des capotes dans les toilettes en disant ’Avec ce genre de salope, faut se méfier’ J’étais sur la banquette la jupe remontée, ma culotte aux chevilles le patron était en train de caresser ma chatte épilée en sirotant une bière. Pendant ce temps là, un des 2 marocains tétait mes seins dont les bouts étaient tout durs. Assis à mes cotés, deux autres avaient sorti leur queue que je tenais à pleine main. Toutes ces mains qui couraient sur mon corps, m’écartant, me fouillant, le black approcha sa queue déjà dure près de ma bouche ’T’en a jamais sucé une comme ça, je suis sûr, espèce de petite chienne. Tiens, prends-la’. Il me l’enfonça dans la bouche en me tenant la tête, je ne voyais plus rien. Je sentis juste quelqu’un me soulever et m’enfoncer un doigt humide de mon jus dans le cul, pendant qu’une énorme bite, sûrement le marocain, s’enfonçait dans mon vagin. Le black se retira et jouit sur mes seins. ’T’aimes ça le foutre, espèce de pute, étale-le bien sur toi ’ Je les vis alors quasi en file indienne, la queue à la main. Le deuxième marocain vint s’asseoir sur la banquette, ils me soulevèrent et il m’enfila sa queue dans le cul sans ménagement. J’étais prise par ces deux types, les plus vieux de l’assemblée qui malaxaient mes énormes seins en me traitant de petite pute, de chienne, les autres venant frotter leurs queues sur moi aussi… Ils jouirent successivement et me prirent tous par les deux trous, sur des tables, par terre… Me laissant épuisée et honteuse… Au moment où l’équipe du ménage arrivait…

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