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immoral tentation – Chapitre 11




Chapitre 12

Christine, 43 ans, la mère de Marc.

Marc, 18 ans, le fils de Christine.

Jeanne, 51 ans, amie de Christine et mère de François, 21 ans et l’épouse de Jean.

Grégory, 18 ans, un copain de Marc.

Rose Martin, 71 ans, ancienne voisine de Christine.

Léon Martin, 72 ans, mari de rose.

M. Murier, 36 ans, le prof de sport de Marc.

L’oncle Émile, 72 ans, l’oncle de Christine.

La route pour la Corse commence le lundi matin à 7h00.

Christine veut arriver sur les coups de midi sur la côte pour pouvoir prendre le bateau qui les mènera jusqu’à la Corse.

Dans la voiture, Marc s’est fait un petit CD à l’aide de son PC. Il s’est mis de la "dancefloor", pour pouvoir mettre un peu d’ambiance pour le long trajet à faire.

Il épie, de temps en temps, la tenue de sa mère. Christine s’est habillée d’une légère robe d’été, lui arrivant à mi-cuisse. La couleur bleu ciel de cette robe lui va à merveille.

Elle est chaussée de ses jolis talons noirs à brides.

Cette robe lui fait un décolleté assez ample, ce qui permet, à n’importe quelle personne qui la croise, de mesurer l’important volume de ses seins.

Pendant que Christine est concentrée sur la route et les consignes de son GPS, son fils la mate discrètement.

Devenu un habile voyeur et connaissant pratiquement toute la lingerie de sa mère, il peut maintenant savoir quelle lingerie celle-ci a mis, en observant seulement les formes faites par le tissu à travers la jupe.

Marc sourit en se disant : "ma petite maman a mis une mini culotte avec des nuds sur les côtés, ça se voit à travers la robe".

Marc ne se demande qu’une seule chose…, de quelle couleur est cette culotte ?

Certes, la position de la voiture permet aux jambes de Christine de se dénuder, mais pas assez, pour voir le bout de tissu.

« Marc… ? On va s’arrêter, j’ai chaud, on en profitera pour boire un coup, d’accord ?

‒ OK maman, comme tu veux ! »

Il nest que 10 heures du matin et la chaleur se fait déjà ressentir et plus ils descendent dans le sud, plus il fait chaud.

Après avoir pris la pause bien méritée, ils repartent sur la route.

Christine commence à être plus énervée, il y a de plus en plus du monde sur lautoroute.

À force de manier les pédales avec ses jambes, sa robe qui colle à cause la sueur de ses jambes, due à la chaleur, remonte petit à petit.

Marc force les choses en faisant semblant de prendre une bouteille à ses pieds.

Sa mère ne remarque rien et il peut discrètement, mais tranquillement, regarder cette petite culotte et constater quelle est de couleur blanche.

Connaissant son CD par cur, il sait que c’est la dernière musique de sa compilation qui est en train de passer.

« Maman ?

‒ Oui mon poussin ?

‒ C’est la dernière musique du CD ! Tu sais si t’en as dans la voiture…, des trucs qui passent quand même ?

‒ Euuuh, oui…, attends, j’ai…, oui, jai du Goldman, tu aimes ?

‒ Ouais, ça passe bien, c’est où ?

‒ Dans la boite à gants, mon chéri ! »

Marc ouvre la boite à gants, il y a de tout, des CD, un paquet de kleenex et un paquet de bonbons.

Marc a tout à coup une idée.

Il tourne la tête vers sa mère avec un sourire endiablé, pensant que son coup va certainement réussir.

« Dis-moi, maman, les petits nounours Haribo, t’aimes toujours ça, à ce que je vois ?

‒ Euh, oui…, tu vois !

‒ Je peux me servir, maman chérie ?

‒ Oui, bien-sûr, mon cur !

‒ Tu en veux ?

‒ Oui, je veux bien, mon chéri, merci ! »

Marc la regarde, toujours avec son sourire mesquin : "tu vas voir, tu vas être servie maman", se dit-il. Après s’être servi dans le paquet, il porte le sachet de bonbons Haribo à portée de Christine et au moment où elle met la main dedans, Marc fait semblant de perdre le paquet de nounours.

La moitié du sac tombe sur les cuisses de Christine.

« Oh merde… !!!

‒ Oh Marc, fais attention à ce que tu fais !!! »

Certains bonbons restent sur sa robe, alors que d’autres tombent entre ses cuisses et roulent vers son entrejambe.

« Je suis vraiment désolé, maman… !!

‒ Ce nest pas grave, ce ne sont que des bonbons, après tout !

‒ Oh maman, tu en as partout !!

‒ Ce nest pas grave, mon poussin, je les enlèverai tout à l’heure !

‒ Ah non, c’est à cause de moi, je vais les enlever et puis, ça va te gêner pour conduire !

‒ Mais non, Marc, tu es gentil, mais ne t’inquiète pas, c’est bon je te dis !

‒ Maman, c’est de ma faute, donc, laisse-moi réparer mon erreur, s’il te plaît ! »

Christine est complètement embarrassée, elle sait très bien que certains bonbons se sont faufilés dans des endroits plus que discrets…

Elle est terriblement gênée, car elle a peur que son fils les récupère tous…, vraiment tous.

Son entrejambe lui joue des tours et elle sent une excitation, à la fois de honte et de curiosité, de voir si son fils est capable d’aller jusque là.

« D’accord, mon chéri, récupère-les, mais fais vite, car je conduis !

‒ Compris, maman ! »

Marc commence à récupérer les bonbons, attaquant d’abord ceux qui sont sur la robe.

Marc y va doucement, profitant au maximum de son génie. Il passe ensuite aux bonbons entre ses cuisses, il touche, il caresse la peau de ses cuisses douces et tièdes à la fois.

La scène le fait bander comme un fou.

Christine fixe la route, son corps tremble, ses mains deviennent moites ; elle a honte mais ne peut intervenir, tant sa curiosité grandit de seconde en seconde.

Elle veut voir si son fils est capable d’aller jusqu’au bout ou non…, mais pourquoi ?

Il ne reste plus que les derniers bonbons.

« Maman, il y en a entre tes jambes…, je peux ?

‒ …… !

‒ Maman… ? Je te parle… !

‒ Euh, oui, je… ! »

Christine ne sait pas quoi répondre, d’un côté, elle en meurt d’envie, de l’autre, elle sait que c’est mal !

Mais Marc sent bien son hésitation. Alors aux grands maux, les grands moyens, il prend le dessus de la robe et la tire vers le haut.

Ce geste audacieux dévoile totalement la petite culotte de Christine au grand jour.

« Oohh, Marc, voyons, tu es fou ? Arrête ça, tu veux, lâche ma robe !

‒ Mais maman, c’est pour récupérer les bonbons ! »

D’un bras, Christine tente de faire lâcher la main de Marc de sa robe.

Un coup de klaxon retentit, une voiture derrière eux, leur signale que Christine est sortie de sa voie, par mégarde, au moment où elle allait dépasser.

Christine remet rapidement sa main sur le volant, laissant la main de Marc continuer à soulever sa robe.

« Marc, arrête, on a failli avoir un accident !

‒ Ben justement, maman, ne t’occupe pas de moi, concentre-toi sur la route !

‒ Mais Marc, voyons… ! »

Christine serre les jambes alors que Marc est penché en avant, pour pouvoir bien regarder ce délice.

« Mais maman, ne serre pas les jambes, voyons, comment je fais pour les prendre, moi, après ?

‒ Mais Marc, arrête, laisse-les là où ils sont… !

‒ Mais, ils sont juste là, maman…, allez, écarte les jambes… ! »

Christine se résigne et finit par écarter les cuisses.

« Dépêche-toi, Marc, fais vite ! »

Totalement embarrassée, Christine est là, en train de conduire, laissant son fils regarder sous sa robe, sans rien dire.

Marc est au paradis…, il n’a jamais pu avoir une telle vision sur l’entrejambe de sa mère, jambes écartées. La petite culotte, avec son petit nud rose au milieu, a bien du mal à contenir ses poils pubiens qui dépassent sur les côtés et au-dessus. À cause de sa petite taille, cette culotte reste au pied de son bassin, cachant un minimum son entrejambe.

Marc y glisse une main et récupère, un par un, les bonbons.

« C’est bon, Marc ?

‒ Attends, il y en a un dernier, bien au fond !

‒ Au fond… ? »

Marc glisse un doigt entre la culotte et le siège.

Il frotte son doigt contre le tissu le faisant aller et venir.

« Marc, mais qu’est-ce que tu fais ?

‒ Mais, il y a un bonbon, attends, il faut que jaille plus loin !

‒ Mais… ?!!! »

Marc glisse sa main entière, ce qui tire la culotte vers le bas, dénudant à moitié les lèvres fournies par ses poils pubiens.

Il va et vient, sentant les formes du vagin à travers la culotte de sa mère.

« Marc, ça suffit…, c’est…, c’est juste un bonbon !!

‒ Attends…, ça y est, je l’ai… ! »

Marc lâche la robe. "Il était temps", se dit Christine. "Un peu plus et je crois que j’allais défaillir…, qu’elle honte !", se dit-elle, en regardant son fils remettre le paquet dans la boîte à gants.

Deux heures plus tard, ils arrivent enfin au port.

De là, ils prennent le bateau qui les mène jusqu’en Corse.

« Regarde, mon chéri…, la Corse, c’est beau, tu ne trouves pas, regarde !! »

Même si elle est déjà venue en Corse, Christine reste émerveillée quand elle voit cette île qui se présente devant leurs yeux, c’est dune pure beauté.

Marc regarde sa mère sans rien dire et tourne sa tête vers cette île : "la Corse…, c’est ici que je te prendrai, maman, c’est ici que je te prouverai que je suis un homme, un vrai !".

« Regarde Marc, c’est l’oncle Émile…, hou, hou !! »

L’oncle Émile, avec sa moustache et ses cheveux blancs, crâne dégarni, la peau toujours bien bronzée, les attend pour les mener à leur appartement.

« Ah, enfin vous voilà, vous avez fait bonne route ?

‒ Oui, tout c’est bien passé, merci ! »

Christine fait la bise à son oncle et Marc de même.

« Alors gamin, comment vas-tu ? Jespère que tu es sage avec ta mère ?

‒ Oui, ne t’inquiète pas, oncle Émile…, sage comme une image ! »

"Ou comme un pervers, plutôt !", se dit Marc, en le regardant.

Puis ils montent dans la Citroën Méhari de l’oncle Émile.

« Houa, mon oncle, mais c’est la même voiture que dans les gendarmes de Saint-Tropez ?

‒ Hé oui, jeune homme et c’est, maintenant, une voiture classée "voiture de collection" !

‒ Trop bon ! »

Christine est contente, après tous les évènements qui se sont passés, elle pense que ces vacances ne vont, peut-être, pas si mal se passer que ça.

Finalement, depuis quils sont arrivés sur cette ile magique, Marc est aux anges.

« Je vous emmène faire une visite ou je vais directement à votre appartement ?

‒ Euh, je préfère que tu nous emmènes à l’appartement, d’abord, s’il te plaît, comme ça, on y rangera nos affaires ! »

Arrivés au lieu demandé, Émile dit à Christine qu’il repassera dans une heure pour faire une petite visite.

Christine et son fils rentrent enfin dans l’appartement.

L’oncle Émile est un homme riche, qui a fait fortune dans la bijouterie. Il a plusieurs appartements.

Celui de Marc et sa mère a une vue sur la mer. Cet appartement est spacieux, avec deux chambres, une salle de bain, une cuisine italienne qui est raccordée au salon.

« Houaa, la vue ! Regarde ça !!

‒ Je suis déjà venue ici, Marc !

‒ Ah bon… ?

‒ Oui, pour notre lune de miel, à ton père et moi ! »

Marc ne dit rien, regardant sa mère qui commence à ouvrir les valises.

Il prend sa valise et choisit sa chambre.

Il se couche sur le lit comme pour l’essayer et réfléchit en regardant le plafond, "papa et maman…, mon père a dû la baiser comme une chienne et peut-être même dans ce lit, qui plus est !

Ils rangent leurs affaires dans leurs chambres respectives.

Dun seul coup, la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre.

« Ah, ça, c’est l’oncle Émile ! »

Marc va lui ouvrir.

« Alors, ça va comme vous voulez, les enfants ?

‒ Très bien, mon oncle !

‒ Bon…, on se le fait, ce tour ?

‒ Allez-y ensemble, je vais rester ici !

‒ Quoi ! Mais, pourquoi, maman ?

‒ Je suis fatiguée, hier soir, je n’ai pas bien dormi, je me suis un peu inquiétée pour le voyage !

‒ Tu es sûre, maman ?

‒ Oui, oui, je vais finir de ranger, puis je prendrai des somnifères et je ferai une bonne sieste !

‒ Bon, ben écoute, si on ne se revoit pas, à demain jeune fille !

‒ À demain, mon oncle, à tout à l’heure, mon chéri !

‒ À tout à l’heure, maman ! »

Marc part avec l’oncle Émile.

Pendant ce temps-là, Christine finit de ranger leurs affaires.

« Et dire qu’il y a 19 ans, jétais ici avec Gérard, que le temps passe vite… J’avais 24 ans à l’époque et lui en avait 25 ! »

Christine se remémore cette période de bonheur où tout allait bien.

Elle regarde cet appartement et peut encore se souvenir des endroits où ils ont fait l’amour.

« Hé oui, tout ça pour finir par un mariage raté ! 19 ans après, je suis ici, avec notre fils… ! »

Christine ne dit rien, regarde la mer et pense à son mari quand il était jeune, son corps, elle le revoit nu ; mais d’un coup, c’est l’image de son fils qui lui vient en tête et surtout de son membre, cette incroyable queue !

« Non, mais que t’arrive-t-il, ma Christine, tu dégénères, une bonne sieste te fera du bien ! »

Elle prend un somnifère et se couche sur le canapé, sans enlever ses talons noirs à brides, pensant seulement faire une petite sieste d’une demi-heure.

Elle prend, par contre, le soin d’enlever son soutien-gorge blanc qui la serre trop, à cause de son opulente poitrine, tout en remettant sa robe par dessus.

Mais, manquant vraiment de sommeil, le somnifère fait rapidement son effet.

Une heure plus tard, Marc revient avec son oncle.

« Merci, mon oncle, c’était génial !

‒ Oh, c’est rien, tu sais, on a fait juste un petit tour, tu verras d’autres choses ! »

Marc le remercie et rentre dans l’appartement.

« Maman…, c’est moi !! »

Marc n’a pas de réponse. "Peut-être est-elle allée faire un tour sur le plage ?", se dit- il.

Mais lorsqu’il arrive dans le salon, il reste bloqué par ce qu’il voit.

Christine est là, affalée sur le canapé, endormie… Il s’approche, émerveillé par la beauté de sa mère.

Pendant son sommeil la robe de Christine est remontée jusqu’au milieu du dos.

Sa culotte, qui n’est plus un secret pour Marc, se voit mieux que jamais, car l’une de ses jambes est remontée et pliée, l’autre étant droite contre le canapé.

Le décolleté de la jupe est tellement tiré vers le bas que la moitié de ses énormes seins est à l’air.

Marc se fait silencieux, profitant au maximum du cadeau fait par sa mère.

Il se penche doucement, approchant son visage à quelques centimètres de sa culotte.

Il peut voir que cette petite culotte tient par des ficelles qui sont reliées pour faire un nud de chaque côté.

Les poils pubiens sortent de chaque côté.

Marc n’en perd pas une miette, tout en se touchant la queue à travers le short, il commence à bander, il sent ce parfum de femme, le parfum de sa mère. "Quel délice !", se dit-il.

Puis, autour de sa poitrine, le décolleté est tellement tiré fort que Marc peut voir le commencement des aréoles. Il est surpris de voir, à travers la robe, les tétons pointer.

Puis il regarde sur la table, à côté, pour y trouver son soutien gorge blanc.

"Elle la enlevé pour dormir !", se dit-il.

Puis d’un coup, Marc se remémore ce qu’elle avait dit avant qu’il parte…, elle a pris des somnifères.

Il s’arrête un instant, hésitant, la regardant.

L’occasion est trop bonne, jamais une pareille offrande ne se reproduira, se dit-il.

Il regarde ces lèvres si pulpeuses…, et puis, "soyons fous ", se dit-il.

Marc pose sa main sur le bras de sa mère.

« Maman…, maman ? »

Aucune réponse, Marc essaye de la bouger un peu, on ne sait jamais…, toujours rien.

« Putain, elle dort comme une masse… ! »

Puis sans réfléchir, il retire son short et son slip ; se retrouvant la bite à l’air juste devant sa mère. Marc bande déjà au maximum. Il commence à se branler tout en la regardant.

« Ohh, maman, comme tu es trop belle ! »

Marc se reproche du visage de sa mère, sexe en main.

Il hésite encore un peu, de peur qu’elle se réveille.

Christine dort toujours à poings fermés, le visage orienté vers le plafond, la bouche à moitié ouverte.

Alors d’un geste bref, Marc pose son énorme gland violacé de plaisir sur les lèvres de sa mère.

Rien que de voir le bout de sa grosse verge posé à cet endroit aurait pu le faire jouir.

Marc se concentre pour justement prolonger ce plaisir. Il regarde, obstiné, cette culotte sur son entrejambe.

Il commence à faire des va et vient sur la bouche de Christine.

Faisant glisser le prépuce relié au frein sur ses lèvres douces et chaudes.

De là où il est, Marc ne voit pas la bouche de sa mère, tellement son gland est gros.

« Ohh, maman, j’ai envie que tu me suces !!! »

Marc retire son gland et prend la tête de sa mère de façon à l’incliner vers lui.

Ceci ne la réveillant pas, ça donne du courage à Marc.

Il prend son membre entre les doigts et le pointe droit vers la bouche de sa mère.

Il avance et son gland rentre en contact avec la bouche à Christine.

Marc frotte son gland contre, comme pour se frayer un passage.

Petit à petit, les lèvres de Christine s’entrouvrent, le gland commence à entrer.

Déjà Marc peut sentir la chaleur à l’intérieur de sa bouche.

La scène est folle, Christine, sans le savoir, commence à ouvrir grand la bouche pour accueillir l’énorme membre de son fils.

Le gland entier rentre, jamais une bouche n’a été aussi ouverte.

Marc fixe la scène, sa mère le suce enfin. Christine dort toujours.

« Ohhhh, maman, comme c’est bon…, comme ta langue est douce ! »

Il pose une main derrière la nuque de sa mère et tout doucement, il commence un lent va et vient.

De tous petits bruits sortent de la bouche de Christine, peut-être dûs à l’humidité de sa bouche, alliée avec la pénétration de cette énorme queue.

Ayant peur de l’étouffer et de la réveiller, Marc ne rentre pas plus que le gland dans la bouche ; mais déjà, rien que cette partie, remplit pratiquement la bouche de sa mère.

Des "mmmm" sortent de la bouche de Christine.

Ce bruit lui donne encore plus confiance et il avance encore plus.

Cette fois-ci, c’est la moitié de sa grosse queue qui est enfournée dans sa bouche.

« Ouuuuh, maman, oh oui, je vais jouir !!! »

Mais d’un seul coup Christine bouge. Marc prend peur et se retire. Il la fixe, puis se dit qu’il en a déjà pas mal fait pour un premier jour. Il se rhabille et part sur la plage.

Une heure plus tard, Christine se réveille, elle trouve sa bouche un peu pâteuse, mais ne se pose pas la question "pourquoi ?".

Elle s’assied et trouve un mot sur la table basse devant le canapé, "je suis revenu, je suis allé faire un tour à la plage",

Christine est surprise de voir qu’elle a dormis tout ce temps.

Marc revient et raconte à sa mère sa visite avec loncle Émile.

Il est satisfait de voir que sa mère ne sest rendu compte de rien.

Ils mangent et le soir, ils se couchent à cause du long voyage.

Avant d’aller se coucher, Marc part en cuisine pour boire un verre d’eau.

Lorsqu’il passe devant la chambre de sa mère, il s’arrête, la porte n’est pas complètement fermée.

Christine est debout sur son lit, en train de d’accrocher une moustiquaire.

Elle est habillée d’une nuisette transparente blanche ; on peut distinguer ses énormes seins à travers et donc ses larges aréoles.

Christine porte un string blanc en dentelle, il se voit parfaitement à travers la chemise de nuit.

Le lendemain matin, Marc profite de la mer pendant que Christine part dire bonjour à toute la famille.

À midi, elle explique à son fils qu’elle lui montrera une plage magnifique, loin d’ici.

Pendant que Christine fait la vaisselle, Marc finit un livre pour l’école sur le canapé.

Lorsquil finit de lire, il se dirige vers sa chambre pour le ranger, mais dans le couloir son pied heurte un sac.

Cest le sac que sa mère a préparé pour partir à la plage. Il remarque son maillot de bain.

Cest un maillot de bain classique, même un peu trop…, un maillot de bain une pièce "horrible", se dit Marc.

Puis une nouvelle idée lui vient. Il prend le maillot de bain et part le cacher dans sa chambre.

Lorsque Christine finit de ranger, ils partent tous les deux avec la voiture quÉmile leur a prêtée, le matin même. Arrivés à destination, Marc est surpris.

« Waouh, maman, c’est magnifique !

‒ Tas vu, je ne t’ai pas menti, mon chéri ! »

Cette plage est entourée de grands rochers, il y a beaucoup de monde, le sable est blanc comme neige, une pure merveille.

Il y a aussi des cabines de douche et aussi des cabines pour se changer.

« Bon, je vais me changer, tu m’attends devant la cabine, c’est plus sûr !

‒ OK, maman ! »

Dans la cabine, Christine se met entièrement nue, puis ouvre son sac, mais à sa grande surprise…, pas de maillot de bain.

« Mais…, pourtant, jétais sûre que…, merde.. ! Marc…, Marc… ?

‒ Quoi, quy-a-t-il maman ?

‒ J’ai un gros problème…, j’ai oublié mon maillot de bain… !

‒ Tu rigoles ?

‒ Non, je te jure, c’est vrai…, oh non, il ne nous reste plus qu’à rentrer…, pourtant jétais sûre de l’avoir mis !

‒ Attends, maman, ne panique pas, tu as de l’argent sur toi ?

‒ Euh oui, pourquoi ?

‒ Parce qu’il y a un magasin, à même pas 30 mètres et ils ont l’air de vendre des maillots de bain !

‒ OK, attends, je m’habille !

‒ Non, pas la peine, je t’en prends un ! Si tu pars de ta cabine, on va devoir attendre pendant je ne sais pas combien de temps, vu le monde qu’il y a !

‒ OK, d’accord, tiens ! »

Christine envoie son porte feuille au dessus de la porte de la cabine.

"bingo", se dit Marc qui court vers le magasin, le sourire aux lèvres.

Il y a le choix dans le magasin. Marc tombe sur un maillot deux pièces assez sympa.

Le bas fait string de bain et le haut dévoile pratiquement la poitrine.

Un maillot de bain comme ça, c’est un appel au viol, se dit Marc.

Il en choisit un rouge et d’une taille, plus petite que celle de Christine.

Marc revient satisfait vers sa mère.

« Maman ?

‒ Marc ? Ça y est, mon chéri, tu en as trouvé un ?

‒ Ouais, c’est bon, mais il n’est pas génial, il ny a pas beaucoup de choix, tu sais !

‒ Oh, tu sais, c’est pour se baigner, mon poussin, ce n’est pas grave !

‒ OK, je te le donne et toi, donne-moi ton sac, s’il te plaît, comme ça, je nous trouve une place ! »

Christine récupère le paquet du maillot et Marc le sac.

Il part, abandonnant sa mère avec la nouvelle mauvaise surprise qu’il lui a préparée.

Pendant ce temps-là, toute contente, Christine sort le maillot de bain du paquet.

« Euh…, non…, je crois rêver là !

Christine regarde, tour à tour, le haut et le bas.

‒ Je ne peux pas mettre ça, c’est pas possible, Marc… ? Marc ?

Christine n’a jamais été aussi embarrassée. Puis d’un coup…, un inconnu linterrompt dans ses digressions :

« Excusez-moi madame, mais ça fait des heures que vous êtes dans cette cabine et on attend, nous !

‒ Ah, euh, pardon, excusez-moi, je me dépêche ! »

Elle na plus le choix, elle enfile d’abord le bas, le string de bain lui rentre parfaitement dans le cul.

Quelques poils pubiens ressortent sur le côté.

Quant au haut…, il cache à peine ses aréoles, si elle fait un mouvement trop brusque, un de ses seins sortira de son mini balconnet, à coup sûr…, mais elle n’a plus le choix, elle doit sortir et faire face à tous les gens qui sont sur la plage en portant le cadeau empoisonné de son propre fils.

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