Le champ n’est pas très loin, heureusement, car avec les entraves, il n’est pas facile de marcher. Ils y arrivent en quinze minutes.
Angèle a porté les outils, les deux autres ont marché tant bien que mal avec les chevilles liées. Julie explique à Henri comment désherber le champ.
La terre est très fine et ne blesse pas les pieds. Le maïs fait environ un mètre trente de haut. En se tenant debout, Henri voit les seins de sa tante libres de toute entrave et ceux d’Angèle, sortant de leur carcant de cuir. Cela l’excite.
Il faut arracher les herbes et les mettre dans le panier. Henri commence avec difficulté. Pour mettre les herbes dans le panier,
il doit se baisser et les saisir avec les mains. Ses pieds sont couverts de terre qui s’est collée avec la rosée du matin. Chaque fois qu’il se baisse, ses fesses ou son dos frolent des pieds de maïs. Il remarque que leurs feuilles sont irritantes. Il doit faire attention.
-Henri, viens ici! l’appelle Angèle. Julie veut uriner, elle va le faire sur toi. Allonge-toi par terre.
-Vas-y Julie, pisse-lui dessus.
La tante se place à cheval sur le neveu pour l’arroser de son urine.
Puis elle se relève, et Angèle le pousse du pied pour qu’il roule sur lui-même. Le voila couvert d’une terre fine et marron qui lui colle à la peau.
-Lève-toi et retourne travailler, esclave.
Il s’exécute de crainte de recevoir une fessée. Il voit Angèle s’agenouiller devant Julie pour lui laver le sexe. Des gémissement lui parviennent. Son sexe se tend. Il a du mal à se concentrer sur le travail. Quand le seau est plein, il doit aller le vider à l’entrée du champ.
La matinée avance. La terre qui a séché sur son corps lui tiraille la peau. Il a soif. Mais il n’ose pas demander à boire. D’ailleur, il n’a pas vu Angèle apporter de l’eau. Son calvaire dure peu. Environ trente minutes plus tard, Angèle appelle ses deux esclaves.
-Venez mes chéris. Allons au bout de ce champ, nous y trouverons un ruisseau où Henri pourra se laver et où nous pourrons boire.
Parvenus au bord de l’eau, il s’avère que le ruisseau est restreint à un filet d’eau filant au-dessus d’une couche de boue. Angèle bouscule Henri qui tombe à plat ventre dans la boue.
-Rampe jusqu’au filet d’eau et tu pourras boire. Pour te laver, ce sera pour plus tard.
Du panier qu’elle porte, elle sort un verre qu’elle demande au garçon de remplir pour les deux femmes. Tous trois désaltérés, ils retournent au travail. Pour Henri, c’est un supplice car la boue en séchant lui tire la peau et les poils. Peu de temps après,
même si le travail n’est pas fini, Angèle donne le signal du retour à la ferme.
Arrivés devant la salle de traite, Henri est lavé au jet comme la veille. Les deux femmes aussi car elles sont crasseuses. Puis ils se dirigent vers la maison. C’est l’heure de déjeuner. Henri est à nouveau mis au pied de la table avec une gamelle par terre. Cette fois-ci, le plat contient de la sauce et Henri en est barbouillé. Il en a aussi mis par terre.
-Julie, lave le museau de ton cochon de neveu.
La tante lèche alors consciensieusement le visage du garçon. Elle en profite pour l’embrasser sur la bouche, mais elle le regrette aussitôt. Un coup de pied dans l’épaule l’envoie au sol.
-tu prends trop d’initiative Julie. Tu devras donc lécher le sol sali par Henri. Henri, aide-la.
-En dessert, je vous propose du miel.
Elle dépose devant les deux esclaves, une assiette contenant un liquide dorée.
-N’en mettez pas par terre et finissez l’assiette.
Julie et Henri ont fini l’assiette sans salir le sol. Angèle leur ordonne de se laver mutuellement le visage.
-Vous avez été bien sage. Je vais vous récompenser. Chacun de vous pourra me téter un sein.
Elle s’installe alors au centre du canapé et indique à chacun un coté. Ses seins sont disponibles. Henri et Julie approchent leur bouche des tétons. Henri est rapidement surpris de constater que le téton qu’il a en bouche peut encore grossir. Il doit bien atteindre quatre centiètres de long et un centimètre de diamètre. Et soudain, il sent du lait couler dans sa bouche.
-Alors mes chéris, il est bon ce lait tout chaud?
Ils acquiessent.
Henri remarque alors qu’entre les jambes d’Angèle, une excroissance est apparue. Ça alors! On dirait un petit pénis. Angèle remarque l’intérêt du garçon.
-Henri, si tu veux, tu peux me sucer le clitoris que tu regardes entre mes jambes.
Henri approche son visage du sexe de la femme et est stupéfait. Jamais il n’a vu ni entendu parler d’un tel phénomène. Les grandes lèvres d’Angèle sont distendues et une tige de chair rose dépasse d’entre elles. Il aspire la petite tige et la suce. Rapidement le clitoris prend du volume.Il a atteint près de six centiètres de long pour deux de diamètre. Il est émerveillé et lèche, mordille et aspire cette petite bite. Il s’applique tellement qu’Angèle ne tarde pas à jouir. Henri est innondé d’un liquide doux qu’il avale avec gourmandise.
-Henri, tu as été sage, mais pas toi Julie.
-Henri allonge toi par terre ;Julie empale-toi sur son sexe.
-Mais je ne peux pas, il est mon neveu! s’écrit la tante outragée.
-Oh que si tu le peux. Je te donne dix secondes. Sinon, je te pends dans la cave.
-Non je refuse.
Angèle attrappe alors Julie par les cheveux et la traine derrière elle. Julie crie mais Angèle est trop forte.
-Henri soulève la trappe de la cave et descend! s’écrie Angèle furieuse. Le garçon obéit, suivi des deux femmes. Dans l’escalier, Julie est remise debout. Henri ne connait pas cette pièce de la maison. Il s’agit d’une cave voutée où il fait chaud. Le mur du fond est équipé de différents crochets et supports. Angèle soulève Julie et lui attache les poignets et les chevilles de façon à ce qu’elle soit les bras et jambes en croix, face au mur. Son entre-jambe laisse échapper un liquide transparent et luisant. Henri comprend que cette situation excite sa tante.
-Quelle salope! s’exclame-t-il!
Aussitôt, il reçoit une forte gifle qui l’envoie contre le mur.
— Tu n’as pas le droit de parler comma ça de ta tante. Aller, remonte.
Angèle reçoit un appel téléphonique.
— Henri, va chercher le courrier.
— Mais je ne peux pas y aller tout nu, la boite aux lettres est au bord de la route.
— Tu vas y aller immédiatement et tout nu, sans courir et sans te cacher. Je te surveille, gare à toi.
Henri obéit. Il passer le portail qui lui garantissait l’intimité et s’engage sur le chemin qui mène à la route. Lorsqu’il entend une voiture, il a honte mais résiste à l’envie de se cacher dans le fossé. Il continue en se tenant droit. La voiture est celle de la poste. Il voit le conducteur qui est une femme rousse d’environ cinquante ans. Elle le regarde et lui sourit et ne semble pas étonnée. Elle s’arrête et lui tend le courrier. ELle en profite pour lui caresser les fesses.
— Tiens mon mignon. Elle en a de la chance Julie. Embrasse-la pour moi.
Elle fait demi-tour et disparait. Henri rentre à la maison.
Angèle prend le courrier et demande à Henri d’entrer dans le cellier et d’attendre qu’elle l’appelle.
De très longues minutes plus tard, Angèle appelle Henri. Il sort du cellier et voit une jeune fille à coté d’Angèle.
Elle porte toujours son ensemble laissant voir ses seins et son sexe, et ne semble pas gênée de se montrer ainsi devant cette fille.
— Henri, je te présente ma fille Chloé. Elle a dix-sept ans aujourd’hui et tu es son cadeau d’anniversaire. Elle a le droit de te faire ce qu’elle veut. Attention, toi tu n’as pas le droit de la toucher, sexuellement s’entend. Elle apprendra à connaitre le corps des garçons grâce à toi.
Chloé est une fille chétive, qui parait douze ans. Elle est petite, n’a pas de poitrine et pas de hanches. Elle porte un corsage blanc et une jupette à carreaux. Elle le regarde sans gêne, des pieds à la tête en s’attardant sur son sexe qui est tout mou et petit.
Chloé remercie sa mère et l’embrasse sur la bouche. Puis elle saute au cou d’Henri en serrant ses jambes autour de la taille du garçon. Elle semble si petite. Elle l’embrasse aussi sur la bouche. Il est surpris, mais répond à la langue qui lui pénètre la bouche. Il sent son sexe se tendre et venir toucher les fesses de la fille. Au contact, il comprend qu’elle ne porte pas de culotte. Décidement, cette famille est très portée sur le sexe. Mais il ne va pas s’en plaindre.
— Chloé, descend! ordonne Angèle.
Chloé pose les pieds par terre et voit l’érection du garçon.
-Ah! c’est donc cela une bite!
Elle tend la main et touche le sexe tendu d’Henri. Elle le manipule dans tous les sens et le tire dans toutes les directions. Henri grimace mais ne dit rien.
— Arrête Chloé, tu vas lui faire mal. Il faut d’abord que je t’explique certaines choses.
— Dis maman, je pourrai le sodomiser? Et lui enfiler une tige dans la bite? Et le sucer? Il pourra me lécher le clitoris?
— Ho ho, doucement ma fille, nous allons avancer par étapes.
Henri est très surpris, pour son âge, elle semble déjà bien instruite. Il se souvient alors qu’elle a déjà dix-sept ans, malgré ce corps de fillette.
Elle se retourne et soulève sa jupe.
— Henri, viens me lécher l’anus! ordonne-t-elle.
Henri regarde Angèle qui lui fait oui de la tête. Il s’avance et se met à genou derrière la fille qui écarte ses fesses avec ses mains. Il tend la langue et commence à la passer sur l’anus qui lui est présenté. Il est surpris par l’odeur qui n’est pas aussi forte qu’il ne le craignait. Il s’acquitte de sa corvée consciensieusement.
Attendrie par cette scène, Angèle approche une chaise de Chloé et lui tend un sein que la fille tête avidement.
Henri bande très fort. Chloé se relève et lui fait face.
— Maman, montre-moi comment sucer un garçon.
Angèle demande à Henri de se coucher sur la table. Elle indique à sa fille un coté et se met de l’autre. Elle explique à Chloé la fonction des diverses parties de l’organe génital masculin, les testicules que Chloé écrase faisant crié Henri, les bourses et le prépuce que Chloé étire, le gland que Chloé léche.
Puis Angèle commence à sucer le gland vite imitée par sa fille. Cette fellation à deux langues amène Henri à la jouisance. Il éjacule sur le visage de Chloé qui est surprise.
— C’est déjà fini ? Il rammolit vite!
Angèle léche le visage de sa fille et l’embrasse pour lui faire gouter la semence du garçon.
— Aime-tu ce gout?
— Ce n’est pas désagréable.