Il était 20h quand j’ai regardé sur mon téléphone sur le trajet pour aller chez elle, et je pensais à toutes les saloperies que j’avais envie de lui faire. Mon imagination travaillait énormément, je m’imaginais déjà la pousser violemment sur le lit, lui grimper dessus comme une tigresse en manque et l’embrasser comme elle n’avait jamais été embrassée auparavant tout en effleurant son clitoris tout mouillé du bout des doigts.
Je me perds très souvent dans mes pensées comme ça, le retour à la réalité a été dur cette fois-là, après un trajet qui me paraissait interminable, on arrive enfin devant son immeuble, à l’intérieur, un ascenseur minable qui ne ferait même pas rentrer trois personnes, quel beau prétexte pour commencer à me rapprocher d’elle. Pendant la montée, j’ai pu mater ses jolies fesses bien rondes et bien fermes, j’avais envie qu’elles se collent à moi. L’ascenseur sonne, on sort, elle ouvre la porte de son grand appartement, on dépose nos sacs et manteaux sur le sol, et là je sens… quelque chose de spécial monter entre nous, une sorte de tension. Cette tension que j’ai toujours adoré ressentir, je rougis de timidité, son regard intense me transperce l’âme, elle voit tout, elle lit tout en moi. Elle sait que j’ai envie de la voir jouir et en extase.
J’ai envie d’oublier tous mes principes et toutes mes valeurs au profit de cette charmante fille qui va faire ma première fois dans quelques minutes, j’ai plus envie de me dire "c’est que le premier rendez-vous, tu devrais attendre un peu", non. J’ai envie de me laisser aller dans ce désir et de profiter de cette magnifique vue que j’avais en face de moi. Elle s’approche de moi, doucement, sensuellement et à quelques centimètres de mes lèvres me dit :
— "J’ai envie de toi. Maintenant, de suite."
Je dois résister. Je ne dois pas craquer, pas de suite. Elle me tente énormément, elle est si belle, c’est dur de lui résister. J’ai envie de faire durer cette tension, j’ai envie de la laisser faire, de savoir jusqu’où elle peut aller dans ses désirs. Je reste de marbre, contre le mur de son salon. J’arrive plus à bouger, ses mots ont glacé mes membres, mon cur bat à cent à l’heure.
Et encore une fois, je rougis.
Oh mon dieu, elle commence à se déshabiller devant moi, je n’ai plus de mots, je suis abasourdie par la situation, je commence à perdre totalement le contrôle, elle a enlevé son tee-shirt qui lui arrivait jusqu’au nombril, je ne peux y voir que ses seins à présent, cette magnifique paire si naturelle qui ne demande qu’à être touché. D’ailleurs, c’est ce dont j’ai envie, de les toucher, je peux ?
— "Je veux que tu te laisses faire Noémie. Je sais que c’est ta première fois, que tu ne sais pas trop comment ça se passe et je veux que tu passes un excellent moment avec moi. Alors laisse-moi faire, quand je te dis de toucher cet endroit, tu le fais sans hésiter, ok ?"
Je suis une soumise, je crois que je suis sa soumise, je la croyais si innocente, je l’ai cru quand elle m’a dit qu’elle n’avait jamais fait ça avec une fille, son mensonge m’excite, je suis agréablement surprise. Elle revient vers moi, s’approche de mon corps, sa chaleur se transmet vite le long du mien, elle détache la première bretelle de ma salopette, puis la deuxième, la faisant tomber par terre. Je me débarrasse de cette dernière en la poussant sur le côté. Ses gestes étaient si sensuels, on ne dirait tellement pas qu’elle est du genre dominatrice. Je n’avais plus sur moi que mon tee-shirt blanc qui moulait extrêmement bien mes seins et ma culotte de la même couleur que mon soutif, bleu très foncé. J’ai mouillé, et je mouille encore. Cette situation m’excite, j’ai voulu faire un pas vers elle, je me suis approchée d’elle et je l’ai embrassé sur la joue d’une manière qui en disait long sur mes envies, je l’ai vu rougir, elle est si belle quand elle rougit. Je crois que mes gestes sont trop romantiques comparées à mes pensées, il faut que j’aille plus de l’avant, je veux être parfaite pour elle.
Je l’ai embrassé. J’en avais trop envie, j’en pouvais plus, j’avais besoin de libérer toute cette tension qui commençait à s’accumuler. Je l’ai embrassé pendant plusieurs minutes, j’ai senti ses lèvres si bien formées s’écraser contre les miennes, la douceur de ses dernières, sa langue si chaude et douce contre la mienne, je sentais son souffle s’accélérer, je crois qu’elle aimait ça. Elle embrasse si bien, de longs baisers si lents et à la fois si intenses. Au fur et à mesure que l’on se chauffait, nos baisers s’intensifiaient, on allait plus vite et on respirait de plus en plus rapidement. J’ai mis ma main dans sa culotte en même temps, pour lui montrer que j’avais vraiment très envie d’elle, tout en titillant son clitoris que je sentais très chaud et humide, j’avais envie de lui montrer que la petite soumise innocente vierge que je suis ne l’est en réalité pas du tout. Même si c’étaient des hommes, je sais plutôt bien embrasser et exciter. Après cette séance de baisers si sensuels, je me sentais si bien, si impatiente de mettre mes lèvres dans son intimité trempée et à l’inverse sentir les siennes sur ma chatte.
— "Ouaw… Noémie… tu m’as fait mouiller comme jamais, ton baiser était tellement sensuel, maintenant j’ai vraiment envie de te baiser, salope !"
Je ne mattendais pas à me faire insulter comme ça, mais au fond je crois que j’ai adoré, je lui ai pris la main et on a été dans sa chambre. Maintenant c’est moi qui ai envie de la dominer. J’ai envie de voir cette pute jouir sous mes yeux.