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Reconnaissance du ventre – Chapitre 1




Je suis ébloui par tant de grâce et de beauté alliés à sa toilette: cest rare quune gérante dune station service soit ainsi. Il y a pas mal de clientèle, des hommes en majorité. Le prix nest pas plus attractif qu’ailleurs cest pour elle que les client viennent. Elle doit se marier dans quelques jours, elle en est rayonnante. Je la connais bien, je suis son ex. Cest sa spécialité daimer ou faire semblant et de laisser tomber juste avant daller dire oui devant le maire.

Quand je lai vu la première fois jai vu une fille rieuse au bras dun garçon plutôt pas mal à mon avis dhomme, ce qui ne mène pas loin. Ils étaient dans un restaurant en bord de route. Elle portait une robe bleue à volant. Je ne me souvient même pas de la tête de son fiancé, puisque je les entendais parler mariage.

Quand elle a quitté la table cétait pour faire un petit pipi. Je lai vu près de moi, je nai pu mempêcher de sortir un compliment: je lui disais la vérité en lui parlant. Elle sest arrêtée pour me répondre. Réponse immédiate, agréable aussi: un baiser sur la bouche. Pas un comme ça pour rire, non un avec la langue. Je me suis levé du tabouret pour faire durer la chose. Elle sest serrée contre moi, à tel point quelle ma fait bander, pas une petite bandaison, un belle érection. Elle avait sans doute envie de changer de bite avant de se marier.

Je lai inviter à passer un moment avec moi dans ma chambre. Elle accepte de suite.

Etonné de sa rapidité je lui rappelle quelle nest pas seul, que son futur lattend. Elle soulève les épaules:

— Il ne baise pas bien.

— Alors pourquoi lavoir choisi?

— Quand nous avons fait lamour la première fois, il me la bien mise, moins bien la seconde, depuis cest une catastrophe: il pense que puisque nous sommes fiancés, il peu me négliger. Et puis assez bavarder.

Chez moi, je nai même pas la peine de la déshabiller, il na que sa robe à retirer. Elle se jette sur moi, membrasse longuement sur la bouche, pire quau cinéma hollywoodien. Je bande à nouveau. Elle veut voir ma bite, la sort, ladmire, le mot nest pas exagéré. Je menlève les vêtements. Je ne la prends pas dans les bras; nous sommes là pour baiser, pas pour nous cajoler. Les bouches ne peuvent servir quailleurs sur le corps ou alors pour lécher les lèvres de lautre.

Je la pelote longuement: les seins, le ventres, les fesses, lintérieur des cuisses. Elle me caresse la poitrine, je ventre les couilles, les fesses. Elle ne prend à pleine ma queue que quand jai posé deux doigts sur son bouton. Là, je me permets de la lécher. Je remarque dabord le goût prononcé de sa chatte: elle sent la cyprine et lurine: elle na pas du se laver depuis des jours.

Je crois que cest cette odeur de petite fille négligée qui mattire. Ma langue fouille toute sa chatte et même plus bas. Pour cela je lai faite coucher, les jambes bien écartées, presque trop. Son sexe est beau, ce qui est rare. Il est baveux de cyprine. Ca coule de partout, presque trop. Cest tout mon visage qui ramasse ses fluides. Jentre deux doigts dans sa cage ou je fais des ravages en tombant de suite sur son endroit le plus sensible. Quand je la sens jouir jabandonne cet endroit. Ma langue va sur son anus, Je le lèche un bon moment: jaime faire les feuilles de roses. Jaime surtout entrer la langue dans un cul bien mouillé.

Cest la première fois quelle a une langue dans son cul. Il me demande de continuer longtemps. Ma langue nest jamais constituée de muscles qui fatiguent. Jarrête.

Il me faut lenculer. J’aime assez ça, même si je préfère baiser les nanas: que de mieux quun con mouillé pour jouir.

Elle sinstalle confortablement en levrette, se mouille lanus avec la cyprine, me tend le cul: à moi de jouer. Je pense que si elle me demande de la lui mettre à cet endroit cest quelle y est habituée. Jy vas franco, sans précautions particulières sinon en entrant comme toujours.

Non elle ne me veut pas comme ça: il faut que jentre millimètre par millimètres pour quelle profite comme il faut de la pénétration. Pour elle cest sans doute agréable pour moi beaucoup moins. Jarrive finalement au point doù je ne peux plus faire demi tour, jai tout entré. Je reconnais que son cul est agréable à sodomiser. Dautant plus quelle me fait jouir rapidement.

Quand je sors delle je gicle encore un peu. Je ne suis quun homme, je débande un peu. Elle sactive pour me faire renaître. En femme dexpérience, elle réussi son coup: je bande encore. Elle me laisse sur le dos, menjambe, se met la bite dans le vagin, se couche sur moi. Je me laisse aller puisqu’elle fait tout pour que nous jouissions.

Lheure tourne, son fiancé doit se demander où elle est. Pas question de retourner le revoir:

— Baises moi encore.

— Comment ?

— Attends je te montre.

Elle se lève, se met la tête en bas, écarte les jambes:

— Voilà, mets moi la comme ça.

Je suis obligé denjamber son cul écarté que je vois plus que comme il faut. Jai juste la place en tordant la bite darriver sur sa boite à sel. Jentre comme je peux: elle se débrouille parfaitement de son coté en se doigtant le cul. Je vois son doigt entrer et sortir de son anus. Je suis encore plus surpris quand je sens que son doigt est sur mon cul. Heureusement elle le rate. Je naurais pas aimé avoir son doigt à cet endroit.

Elle est partie le lendemain matin sans me dire adieu. Je crains maintenant pour son nouveau fiancé, surtout quelle a fait celle qui ne me connaissait pas. La reconnaissance du ventre sans doute.

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