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Le bain de minuit – Chapitre 1




Le bain de minuit

Une nouvelle érotique de vacances

Par gavrochepoulbot

Odette était en vacances sans son mari, retenu par ses affaires à lautre bout de la France. Les enfants étaient partis chacun de leur côté. Myriam était avec une amie et elles faisaient ensemble du camping en Corse tandis que Bastien, sportif dans lâme, sessayait au canyoning dans les gorges du Verdon. Odette, la quarantaine était seule et écumait les boites de la côte dAzur pour occuper ses soirées. Elle passait ses journées à bronzer sur la plage de lhôtel et lorsque la chaleur tombait quelque peu elle sadonnait au shopping dans les petits magasins de la vieille ville. Il faisait une chaleur torride ce soir et Odette étouffait dans cette boite surchauffée. La jupe blanche de son tailleur collait légèrement à ses cuisses et lorsquelle se levait pour aller se trémousser sur la piste les spots indiscrets dessinaient la silhouette de ses cuisses de rêve sous la fine étoffe devenant quasiment transparente sous les sunlights. Un bel italien lui avait emboité le pas dans une danse où on se trémoussait sur la piste envahie sur la musique des derniers tubes à la mode cette année. Les sourires firent rapidement place aux rires entre eux et lorsquOdette regagna sa place le bellâtre lui proposa de lui offrir un verre. Le courant passait bien entre eux. Odette semblait sous le charme du beau parleur si bien quelle nhésita pas une seconde lorsquil lui proposa alors quils terminaient leurs cocktails daller faire trempette dans la mer toute proche pour se rafraîchir.

Ils quittèrent la boite et se dirigèrent, à pas lents vers le rivage tout proche. Lorsquils furent à trois mètres de leau Odette retira ses chaussures et se précipita dans la mer. Le beau gosse fit de même puis la suivit. Il la rattrapa et lenlaça. Ils avaient les pieds dans leau jusquaux mollets. Le pantalon beige clair du conquérant était trempé. Ils se mirent à en rire et leurs bouches se rapprochèrent puis se collèrent dans une belle étreinte. Au bout de trois minutes, à bout de souffle, leurs bouches se séparèrent. Le beau gosse retira son pantalon et le jeta sur la plage. Il était en caleçon. Odette, sans doute légèrement grisée et allumée par les quelques verres quelle avait absorbés défit le bouton de sa jupe et la retira puis la jeta elle aussi sur le sable tout comme la veste de son tailleur. Elle apparaissait maintenant presque nue au regard du bellâtre qui salluma bientôt dune lueur denvie. Il lenlaça et lembrassa fougueusement tandis que ses doigts défaisaient lagrafe du soutien gorge. Il le retira puis le jeta sur le sable. Odette était presque nue, nayant plus sur elle que son string devenu humide par les projections deau. Elle le baissa sur ses cuisses en riant puis dans un geste de strip teaseuse le fit tomber à ses pieds découvrant une vulve lisse car fraîchement épilée. Elle retira de ses jambes le string maintenant trempé, le jeta, puis courut dans leau en riant. LApollon retira son caleçon, le jeta sur le sable puis courut en direction dOdette. Il la rattrapa, la saisit par la main au moment où ses seins arrivaient à la surface de londe et lenlaça. Leurs bouches se trouvèrent instantanément et les doigts de lHidalgo partirent en exploration sur le corps dOdette qui frissonna, autant à cause de la fraîcheur de leau que par les caresses prodiguées par celui qui allait devenir, dans peu de temps, lamant de sa nuit. Leurs corps étaient collés lun à lautre, leurs bouches sétaient soudées dans un baiser fougueux. Leurs sexes se touchaient et les bourgeons dOdette sécrasaient sur le torse velu de celui qui commençait à lui communiquer livresse au fond de son ventre. Malgré la fraîcheur de leau le sexe de lamant de rencontre arborait une belle érection qui ne laissa pas Odette indifférente. Elle commençait à sentir le feu monter du fond de ses entrailles et, de plus en plus grisée, voulait maintenant sentir pénétrer en elle jusquau fond de son ventre ce sexe chaud, dur et tendu. Elle voulait quil la possède pleinement, totalement, divinement. Elle décolla sa bouche de celle de celui qui allait la faire chavirer vers cet ailleurs, peuplé de sensations qui lui donneraient le vertige. Elle le regarda dans les yeux et lui souffla « Viens ! » puis courut sur le sable et se laissa tomber sur le dos, cuisses écartées, ouverte, offerte impudique au regard et aux caresses de celui qui allait bientôt la faire crier sous ses coups de boutoirs. Il sétala sur elle et viola sa bouche dans une étreinte enfiévrée par la pulsion de lenvie quelle avait allumée en lui. Sa main droite flatta les seins gonflés dOdette puis pinça doucement ses bourgeons entre deux doigts. Les pointes innervées de ses seins soudainement gonflés dexcitation se dressèrent encore sous ces pincements et sa vulve devint bientôt liquide. La main gauche de lamant de rencontre descendit lentement se poser sur le ventre plat qui vibrait déjà. Les doigts, bientôt assassins, descendirent lentement vers le triangle dOdette fraîchement épilé et son index simmisça sur le bord de ses lèvres intimes. Odette avait fermé les yeux et frissonnait. Lindex caressa lentement les lèvres de bas en haut. Celles-ci souvrirent et offrirent au doigt inquisiteur libre accès aux profondeurs intimes de ce puits à bonheur qui allait bientôt déborder comme une fontaine noyée par un orage un soir dété. Lindex senfonça lentement dans le gouffre chaud et totalement liquéfié et fut bientôt suivi par le majeur puis lannulaire et enfin lauriculaire de cette main experte qui ouvrait cette moule comme un fruit maintenant mur. Le pouce rejoignit bientôt les autres doigts de sa main maintenant totalement enfouie dans cette moule distendue par lhabile fisting du bel étalon. La main senfonça lentement ouvrant doucement cette mangue si appétissante. Le poignet pénétra à son tour dans le puits à bonheur dOdette qui se mit à gémir tout en oscillant davant en arrière. Les doigts de Mario fouillaient le moindre centimètre carré des muqueuses intimes de sa belle amazone. Ils caressèrent le col entrouvert. Odette se pâma et lorsque les doigts baveux triturèrent son col, Odette râla. La bouche avide de ce mâle maintenant totalement excité descendit calmement vers les lèvres intimes et se posa dessus. Elle exerça une aspiration lente au sommet des lèvres, ouvrant des nymphes gorgées de suc au parfum de femme et aspira lentement le détonateur intime de la belle Odette qui avait rejeté la tête en arrière. La langue en pointe entreprit ensuite une danse lancinante autour du bouton damour qui ne demandait plus maintenant quà exploser dans cette bouche lui offrant ainsi sa chaude récompense. La danse de la langue durcie samplifia encore autour du bouton devenu turgescent. Le corps bronzé de la belle Odette se cambra soudainement et ses cuisses fuselées emprisonnèrent la tête de Mario qui reçu jusquau fond de la bouche une longue giclée délixir damour quil dégusta jusquà la dernière goutte comme si cette ambroisie eut été un cocktail des îles. Le corps dOdette retomba lentement sur le sable qui collait à ses fesses fermes et musclées. Mario retira son avant bras totalement baveux de la moule dOdette qui avait explosé sa dose damour sur les doigts du bellâtre. Mario la caressait maintenant lentement pour la ramener au calme. Après quelques minutes de bonheur intime au cours desquelles sa jolie moule se referma comme un coquillage Odette ouvrit les yeux et sourit à Mario. Elle se leva dun bond et courut vers la mer en riant. Mario la rattrapa et la prit par la main puis il s coururent ensemble dans leau qui éclaboussait leurs corps encore empli denvies. Ils se jetèrent dans leau et nagèrent quelques brasses puis regagnèrent le sable fin. Mario sallongea sur le dos, cuisses écartées et, prenant les mains dOdette lattira à elle. Elle se coucha sur lui. Leur sexe se touchait. Le feu qui couvait encore en eux se ralluma rapidement et le sexe de Mario neut aucun mal à durcir au contact des lèvres intimes dOdette. Celle-ci frotta ses lèvres intimes de haut en bas à plusieurs reprises contre le sexe de Mario dont la hampe était maintenant humide de la mouille dOdette. La belle Odette soupira et prenant appui sur ses cuisses se releva légèrement, puis, écartant ses lèvres intimes sempala avec délice sur le pieu de Mario qui senfonça doucement dans les profondeurs de lintimité dOdette ainsi offerte. Elle sentait cette masse de chair dure et brûlante senfoncer dans les profondeurs de son ventre maintenant enfiévré. Lorsque le gland buta sur son col Odette se mit à faire lascenseur montant et descendant régulièrement sur cette tige qui dilatait avec aisance ses chairs intimes. Mario caressait les épaules dOdette qui se mit à frissonner puis les doigts de lHidalgo descendirent vers les joyaux galbés dOdette et les caressa ce qui fit dresser leurs pointes que les doigts de Mario pincèrent en un geste sec et rapide. Il reçut, presque aussitôt, une violente décharge de cyprine brûlante sur la queue ce qui déclencha la montée de son orgasme. Ses sphincters se contractèrent tout comme ceux dOdette et la moule en fête dOdette fut inondée par trois puissants jets de liqueur brûlante. Le corps dOdette retomba sur celui de Mario qui la prit dans ses bras et lenlaça. Ils restèrent ainsi soudés de longues minutes dans une étreinte dune grande douceur, le sexe de Mario encore enfoncé dans lintimité poisseuse dune Odette sonnée mais chavirée de bonheur. Ils sassoupirent quelques minutes fermant les yeux sur lintense bonheur quils venaient de soffrir et quils noublieraient pas de sitôt.

Fin

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