Mon histoire a commencé il y a quelques années, jétais jeune, fêtard, insouciant et comme beaucoup de mec à presque 27 ans, sans aucune envie de me fixer avec une fille. De rencontre en rencontre, j’avais rencontré une fille; une belle petite brune aux longs cheveux, avec des seins fermes, blancs avec des belles aréoles brunes, que lon a envie dembrasser. Pour le bas, c’était aussi bien, des fesses rebondies et une petite toison finement taillée. En résumé, une fille de rêve pour de longues soirées de sexe. Cerise sur le gâteau, le sexe elle adore!! Imaginative, ouverte, elle est prête à tout essayer du moment qu’elle va hurler de plaisir. Pourtant, je ne voyais pas Delphine comme la femme de ma vie à cette époque, du coup notre relation si bizarre a donné naissance à des histoires inoubliables.
Entre nous, c’ était entre le «fuck friend» et le "je taime mon non plus», ou chacun à tour de rôle, on se cherchait puis on séloignait. Je vais vous raconter les aventures qui nous sont arrivées à Delphine et à moi : Daniel.
Cela faisait un mois que je navais pas reçu de nouvelle. L’été battait son plein comme le soleil, qui entraînait des températures caniculaires dans la région. Le mois daoût traînait en longueur. Seul, je surveillais la villa de mes parents; une petite maison sympa avec piscine.
Un week-end, le petit déjeuner sur la piscine, fit germer dans mon esprit, des envies coquines. Jai envoyé un SMS à Delphine lui proposant un barbecue piscine coquin…
En attendant sa réponse, je mimaginais déjà la pénétrant fougueusement dans la piscine, elle nue comme un verre sappuyant sur le rebord de la piscine, mes mains pelotant ses seins bronzées.
10 minutes plus tard, le bip dun sms me sortit de mes pensées:
— «OK, pour barbecue piscine coquin, envie grave de sexe, jespère que toi aussi… Rdv à quelle heure?»
Ca y est, jallais avoir mon petit plaisir, je ne débandait plus. Après avoir répondu, je préparait le barbecue. Jétais rassuré, je craignais que lassée de notre relation en dent de scie, elle mait rayé de sa vie.
Une bonne douche, merguez et saucisse préparés, une salade, une bouteille de vin pour accompagner le repas et j’entendis sa voiture rentrer dans lallée.
Je fus stoppé net dans mon élan à sa rencontre, un type laccompagnait, dune vingtaine dannée, 1 m 80, brun. Il sortit du coté passager et enlaça Delphine qui se laissait faire, le couple se dirigea vers moi.
«Salut Daniel» dit elle, en me faisant la bise… Elle me faisait la bise maintenant alors quil y a 1 mois, on passait la nuit enlacés lun dans lautre, langue contre langue.
«Je te présente Julien, cest mon copain depuis 15 jours, ça ne dérange pas que je lai invité? Je me suis dit quun petit bain nétait pas superflu avec cet chaleur, en plus cétait loccasion de nous faire sortir enfin de la chambre…» dit elle.
Je mis quelques secondes à encaisser, quelques secondes pendant lesquels je limaginais en train de faire lamour avec quelqu’un dautre. Je fus parcouru dun frisson et mon excitation sévapora.
Je tendis machinalement ma main vers Julien:
«Bien sur, tu as bien fait, tu sais bien que tes amis sont mes amis» quelle phrase nulle, mais bon il fallait bien dire quelque chose, «Rentrez, on va prendre un apéro"
«Merci, je suis content de rencontrer un ami de Delphine, elle ma dit que vous étiez de très bon ami» dit il.
«oui oui, de très bon amis» répondis je comme un robot.
Je les installais sur la terrasse, servis un apéritif, puis deux, puis nous parlâmes de choses et dautres, en attendant que la viande soit prête. Le repas se déroula ainsi, ils se comportaient en amoureux transit, elle collée à lui, rigolant à chacune de ses blagues. Cest vrai quil était charmant, nous avions même une passion commune pour linformatique pendant que la demoiselle lui caressait son entrejambe.
«tu sais comment nous nous somme rencontré? tu ne devineras jamais…» elle lança dans la conversation. Je fis non de la tête.
«Lors dune soirée en boite avec des copines, on a dansé ensemble, on sest plus, on sest retrouvé chez lui le soir même, depuis cest la grande idylle, on est lun chez lautre en alternance, il est infatigable… Tu te doute que lon dort peu.»
Une sensation bizarre menvahissait, une pointe de jalousie. Javais pour la première fois peur de la perdre, mais au lieux de provoqué de la colère ou de la tristesse, cela mexcitait… Une partie de moi avait envie den savoir plus, je les imaginais, tous les deux en train de faire lamour; comment? Combien de fois? Dans quelle position? Dans quelle pièce? La faisait il jouir plus que moi?
«Allez un petit bain et une petite sieste nous feras du bien» elle se leva et retira son petit débardeur et dégrafa sa jupe, laissant apparaître son petit bikini, qui mettait en valeur ses fesses, elle se jeta à leau.
Il faisait tellement chaud, quon la suivit immédiatement.
Cette après midi passa aussi vite que le repas, je pouvais admirer le corps dathlète de Julien. Delphine, elle passait son temps à le coller, jouer avec lui, ils échangeaient quelques mains baladeuses de temps à autre.
Je mallongeais quelque instant sur un transat, laissant les amoureux dans leau, je vis alors Delphine et Julien senlacer dans leau. Elle colla ses seins sur le torse de Julien, je devinais que par ses mouvement quelle frottait son pubis contre son sexe, ils simulaient un actes sexuel pour ma plus grande excitation, il ny avait que leurs maillots de bains pour les séparer.
Les yeux entrouverts, je le voyais poser ses mains sur ses seins, la caresser. Je bandais (heureusement que jétais allongé sur le ventre, ils ne voyaient rien). Ils continuaient à sexciter mutuellement.
Ils s’arrêtèrent net tous les deux et firent quelques brasses avant de sallonger sur leurs serviettes.
Laprès midi touchant à sa fin, je leur proposais de rester pour le repas du soir. Delphine accepta immédiatement, à la condition de rester dormir ici, elle mexpliqua quil y avait de la route, et avec lalcool, elle ne voulait pas rouler de nuit. Je leur proposais de choisir une des chambres damis.
— «Parfait je te remercie», dit elle, «on va prendre celle à coté de la tienne, comme ça, tu nous entendras sil y a un problème! ce sera plus sympa».
Je ne pouvais mempêcher de me demander ce quelle pouvait bien mijoter. Javais la sensation quelle avait un plan en tête et jétais de plus en plus curieux den connaître les tenants et aboutissants.
Julien me demanda daller prendre une douche, avant de se changer pour le dîner, je laccompagnais dans une des salles de bain, suivi par Delphine. Elle lui chuchota un mot dans loreille, avant de se diriger, vers leurs chambre dami. Moi, je retournais vers ma chambre pour me changer.
La porte douvrit quelque seconde après, Delphine rentra et se précipita sur moi, en membrassant sur la bouche avant d’enchaîner:
«Alors mon petit chéri dit elle, tu as vu mon mec, il est mignon en plus cest un super coup au lit… Je sais que cela texiste de nous voir, jai vu ta réaction dans la piscine» elle descendit sa main sur mon sexe, dure.
«Hmm, tu vois, tu as envie de moi? Tu as envie de me prendre la tout de suite?» me dit elle à loreille.
«Oui» lui dis je comme dans un état seconde. Elle sagenouilla et descendit mon maillot de bain, elle commença tout doucement à me sucer.. Jétais dure, elle me poussa avec sa main pour que je tombe sur le lit, elle reprit sa fellation, je fermais les yeux pour essayer, jallais éjaculer dans sa bouche quand elle s’arrêta. Je sentis quelque chose senroulant sur ma queue. Elle venait de mettre un préservatif sur ma queue. Elle me regarda avec un sourire jusquaux oreilles, elle ne semblait pas vouloir aller plus loin cette fois ci.
«Mon petit chéri tu as envie de moi? Alors on va faire un petit jeu… Aujourd’hui je suis toute à Julien… .» jétais comme hypnotisé, elle avait le contrôle sur moi, elle aurait pus tout me faire.
«Je viens de te mettre une capote, si ce soir avant minuit tu arrive à ne pas jouir dedans, tu auras le droit de me faire lamour, comme tu veux et où tu veux pendant 24h, sinon, tu devras faire ce que je veux pendant 24h… Ca te va?»
Quel jeux débile, bien sur que je suis capable de me retenir, javais trop envie de la prendre là tout de suite.. Et évidement sûr de moi, je répondis «oui» .
Elle se leva, «Bon, faut que je te laisse, Julien mattend dans douche, tu devrais regarder par le trou de la serrure, ça va te plaire»
Elle quitta la chambre. Je ne sais pas ce quil ma pris, mais en moins de deux minutes jétais séché, habillé en train de mater à travers le trou de la serrure de la salle de bain, toujours avec mon préservatif au bout de mon sexe en érection.
Julien était sorti de la douche, ils sembrassaient à pleine bouche, Delphine caressait son sexe bandé. Elle sagenouilla devant lui et commença à le sucer. Il en profita pour lui détacher le haut de son bikini et la peloter. Il lui donnais le rythme.. Je mimaginais à sa place, ma queue dans sa bouche. Je me caressais derrière la porte, ne ratant rien du spectacle que lon moffrait.
Il sarrêta et la releva violemment, la fis pivoter, descendis sa culotte, avant de lui enfoncer son pieu. Il rentra dun coup sec dans sa chatte humide, lui arrachant un petit cri, il commença son va et vient. Elle l’encourageait, les mains sur l’évier.. Je la connaissais elle prenait du plaisir, "vas y, vas y, aller vient en moi". Elle jetait de temps en temps, des regards vers la porte, elle se doutait que jétais derrière la mains sur mon sexe. Quand il explosa en elle, elle cria. Je me suis retenu de jouir avec eux pour réussir mon pari et pouvoir moi aussi profiter delle…
Je remis mon caleçons et disparus rapidement. Toujours avec une grosse envie au bas ventre.
Le dîner se déroula aussi bien que celui de laprès midi, Delphine me lançais sans arrêt des regards provocateurs et interrogatifs… elle était sûr de sa réussite.. Jessayais de ne rien laisser transparaître, même si jétais prêt à tout pour lui faire lamour.
Le seul moment intéressant du dîner fût quand elle fit tomber sa serviette, je me baissais pour la ramasser, je pus voir que la demoiselle navait pas mis de sous vêtement, elle écartait suffisamment les jambes pour bien me montrer sa chatte rasée.
La soirée se terminant, elle prit julien par la main:
"si on allait se coucher mon chéri, je suis fatiguée, jai envie que tu me borde" il la suivit, moi aussi à quelques minutes dintervalle. Chacun dans sa chambre, avec un mur de séparation.
Au bout de 10 minutes jentendis ses gémissements, ceux qu’elle avait eu avec moi il y a moins d’un mois. Je vous épargne les détails, javais envie de rentrer et de participer, mais je ne voulais pas lui donner le plaisir de me voir craquer. Je restais sur mon lit en me caressant, sans jouir…
Le premier assaut dura bien 20 minutes.. Il eu un silence avant quun deuxième round ne commence.
Je lentendais crier, "vas y prend moi en levrette, jadore…. Tu es trop bon … Viens en moi . Oh oui, oh oui… Haha"
Elle jouit encore une fois.
Je résistais toujours nu dans mon lit hormis le préservatif sur mon sexe au garde à vous, il était 23h50. Jétais dans mes rêves, je me voyais déjà lui faire subir mes assauts pendant 24h dans toutes les positions pour me venger de cette journée.
La porte sentrouvrit et une silhouette se glissa dans ma chambre, un baiser sur mes lèvres me tira de mon sommeil. Elle sallongea contre moi, elle était nue, ses seins contre mon thorax, je sentais l’odeur du sexe; un mélange de sperme et de sueur. Sa main se promena sur mon corps, jusqu’à rencontrer ma queue au garde à vous quelle caressa.
"Je vois que tu résiste encore… alors tu nous a vu dans la salle de bain? tu as vu comment il me fait jouir mon étalon, son sexe est plus gros que le tiens tu sais, il me met dans un état quand il est en moi. Elle me branlait tout en parlant… Tu nous as entendu?
Oui… Lui répondis je dans un état second…
«Ca ta plus hein ? moi aussi… si tu voyais comment il ma prise, dans tous les sens, regarde comment il a éjaculé sur moi, sur mes seins» dit elle en guidant ma main sur sa poitrine collante.
— «Je ne sais pas si tu pourras me faire jouir maintenant avec ton sexe, jai limpression quil ma complètement dilatée … Elle fit descendre ma mains à lentrée de son sexe, qui était collant, mes doigts pénétraient à l’intérieur de son intimité visqueuse. Cétait chaud. Elle tressautait en même temps quil la pénétrait.
Je limaginais en trains de se faire prendre par le sexe de Julien, qui a déversé son sperme sur son corps … J’ouvris alors les yeux, elle alluma la lumière, je pus voir son sourire de victoire. La capote était pleine de ma semence que je venais de déverser et mon pénis commençait à redescendre. Javais craqué, il était 23h58 … Elle avait gagner..
Elle me retira la capote
— " jai gagner, aller je te laisse il y a mon étalon qui mattend à coté… Et je suis tout excité à imaginer ce que tu vas devoir subir pendant 24h… Allez fantasme, bien, en nous écoutant.
Elle ferma doucement la porte, me laissant là, javais perdu et j’étais bon pour devoir, en plus de me soumettre à elle pendant 24h, entendre ses cris de jouissance toute la nuit. Ces deux idées curieusement mont fait bander toute la nuit.. Je crois que jétais devenu fou delle.
Daniell APHEREPH