Nos échanges semblent lui plaire, et je reçois un nouveau message.
Lui:
Monsieur,
Vous êtes trop bon, tant de délicatesse avec votre salope.
Je rentre du taf et je me détends à la maison. Je suis nue avec le plug toujours dans mes fesses; au départ c’est gênant, mais à la fin je ne le sens plus.
Je reçois votre communication, me demandant si j’ai un grand manteau. Je vous réponds que oui:
— Alors, salope, tu prends ta douche et tu te ramènes à la maison, toute nue sous ton manteau ouvert. Bien entendu tu prends les transports en commun, pas de taxi.
Je suis déstabilisée, comment vais je faire, on va voir que je n’ai qu’un manteau. Prise au jeu, je décide d’exécuter les ordres. Quand je sors dans la rue ,je sens le froid saisissant ,et je cours pour aller jusqu’à la station de métro.
C’est l’heure de pointe, waouh tout ce monde!. Je monte dans une rame, on est pressé comme des sardines.
Le long du trajet, je sens une main qui me caresse, et je laisse faire l’inconnu, sans doute un homme. A un moment, il s’enhardit et cette main vient me caresser le sexe. Cette caresse maladroite est excitante. Je vois un homme, juste à côté de moi, qui me fait un clin d’oeil.
Il est gros et laid, mais je m’en moque, il me fait du bien. Il accélère ses mouvements, je sens le plaisir monter A un moment donné, il doit s’arrêter, le métro faisant une halte. Une fois la rame repartie, cet homme continue de me branler avec vigueur.
Je suis sur le point de jouir, c’est à cet instant qu’il s’agenouille discrètement et je sens sa bouche sur ma bite. Il me pompe avec douceur, mon plaisir est quasiment immédiat, tellement je suis étonnée de cette fellation improvisée. Je gicle à grosses saccades. Il se relève, et me fait un baiser de loin.
Je suis vraiment une salope, et m’excuse de ce qui c’est passé.
A vous monsieur…
Moi:
Pute,
J’aime savoir que tu peux bander et jouir. Ca m’ouvre des horizons nouveaux.
Je t’ai donc fixé un nouveau rendez-vous, et tu te pointes en bas de chez moi. On prend ma voiture, et on roule.
— On va où, monsieur?
— Ferme là, économise tes forces, je vais te faire bosser.
Il y a une petite forêt à une demi-heure de route, et je m’y dirige.
Elle est réputée comme lieu de tapinage pour des putes, des femelles, des vraies filles, pas comme toi.
On arrive, il y a quelques voitures garées à quelques mètres les unes des autres, et des filles, habillées en pute, qui attendent à côté. Je m’arrête juste après la dernière:
— Tu as ton téléphone?
— Oui Monsieur,
— Bon, alors tu descends, ton manteau bien ouvert, et tu attends les clients. Je te laisse, tu m’appelles quand tu en auras satisfait au moins trois, gratuitement bien sûr.
— Non Monsieur, vous…
Je ne te laisse pas finir. Je te saisis par les couilles, les presse, et tu comprends que tu dois obéir. Tu descends et je m’en vais.
Raconte moi tes divers clients.
Raconte moi aussi comment les filles qui sont des professionnelles réagissent en te voyant chasser sur leur terre.
Bisous salope
Lui:
Monsieur,
Je n’ose pas accoster les gens qui me dévisagent et qui me matent, mais en même temps cela m’excite beaucoup. Une voiture s’arrête près de moi, le conducteur baisse la vitre de sa grosse berline Ce mec est gros et moche. C’est combien? Je lui réponds que je suis une salope, et non une pute, et qu’il peut tout me faire pour pas un sou.
Il a du mal à me croire, mais je finis par le persuader. Il me trouve bandante, me fait monter dans sa voiture, et nous conduit dans un petit chemin à l’écart. Il baisse les sièges avant et se dessape. Il est bien monté le bougre.
Je me jette sur sa longue et grosse queue que je suce avec envie et avidité. Allongé sur le dos il goute au plaisir de ma bouche, et au vu de ses grognements je pense qu’il apprécie le traitement:
— Arrête, salope, tu vas me faire gicler, je veux jouir dans ton cul.
Il me demande de m’asseoir sur sa queue tendue L’introduction du gland me fait souffrir mais et je ne veux pas vous décevoir. Je ferme les yeux et je m’assois dessus jusqu’aux couilles. Je mets mes mains au plafond et je m’active sur sa bite béton, en même temps qu’ il me donne des petites claques sur le cul:
— Vas-y, salope, fais moi jouir.
Mon anus a bien accepté ce chibre et je me démène en bonne cochonne sur cette bite. Il ne tarde pas à éjaculer au fond de mes entrailles:
— Oui, c’est bon salope, je jute.
Pour lui montrer que j’ai bien apprécié, je prends sa bite molle en bouche pour la nettoyer:
— Tu es une bonne pute, bien serrée, comme je les aime. Tiens, je te donne mon numéro de téléphone, si tu veux prendre encore du plaisir, je serais là.
Je remets mon manteau qu’il a enlevé, et je sors de la voiture. J’ai apprécié d’être prise ainsi, sans sentiment, juste pour le sexe.Alors que j’arpente l’orée du bois, deux mecs m’accostent:
— On enterre une vie de garçon, et on a offert à mon ami de quoi se faire une dernière pute avant le mariage. Pendant qu’il t’enculera, tu me suceras, ça te convient ?
— Oui, mais vous pouvez garder votre fric, je baise juste pour le plaisir. Vous voulez faire ça où ?
— Juste à côté, dans le sous bois.
— Ok, suivez moi.
Nous nous enfonçons, à l’abri des regards. Ils sortent leurs bites, de taille moyenne, et j’enlève mon manteau pour tendre mon cul. Je sens la pine du futur marié contre ma rosette, et sans douceur il me pénètre violemment (hum, j’aimerais bien être sa femme, elle va charger cette chienne). Pendant qu’il me sodomise sans ménagement, je suce son copain. Ils me traitent comme une pute, en m’insultant, et ca m’excite..Le premier à éjaculer est celui qui me sodomise, et je dois me démener pour que l’autre jouisse dans ma bouche:
— C’est bien salope, mais un bon conseil, tu ne nous connais pas, tu ne nous a jamais vu.
Ils partent, et je vous appelle pour vous indiquer que j’ai réalisé votre demande.
A vous maintenant…
Moi:
Salope,
On reprend la voiture, et on se rapproche de l’aire d’autoroute de la dernière fois. J’aimerais bien y faire une halte, mais te laisse le choix:
— Tu veux aller directement chez moi, ou tu veux t’arrêter et voir tes copains routiers?
A toi pour la suite, ma belle enculée.
Monsieur
La soirée a été en riche rebondissements, et votre question me laisse songeuse. Je baisse la tête, et doucement je vous murmure que je souhaite rentrer à la maison, pour me reposer et être près de vous
D’avoir été baisée par des mecs différents est terriblement excitant, mais il manque la partie sentiments; pour ces gens je n’ai servi que de vide couilles.
Avant que nous ne disiez quelque chose, je vous précise qu’un jour j’aimerais bien goûter au gloryhole, où bon vous semble, monsieur. Ma réponse vous laisse songeur et je vois dans vos yeux une lueur. Je sais que vous avez trouvé une idée pour combler vos plaisirs et jouir de votre pute.
Une fois à la maison, je prends ma douche et, exténuée, je me couche, lovée contre vous.
Vers sept heures du matin , j’entrevois le soleil qui perce à travers les volets. Pour vous réveiller, je me glisse au pied du lit et, discrètement, je prends votre bite molle que je dépose doucement dans ma bouche. Sous l’effet de ma langue et de la chaleur de ma bouche votre bite reprend vie et se tend rapidement.
Je vous entends grogner et je pense que le réveil vous plait. Je lèche vos couilles avec application et je me jette sur votre queue pour la branler avec ma bouche. Je sens d’un coup vos ongles entrer ma chair. Vous vous raidissez et je reçois plusieurs giclées de votre jus au fond de ma gorge:
— Bonjour, petite pute, tu m’as donné un bon réveil.
Maintenant à vous de décider des suites de la journée.