Ils sont partis de Merens, bien reposés, partis pour une longe randonnée dans les lieux peu fréquentés, sauf le premier jour, une longue montée, interminable, 1300 mètres de dénivelé, ça n’en finissait plus, ils ne sont pas allés jusqu’au bout de leur étape, le pierrier qui surplombe l’Etang Bleu est un signal, les pieds ne sont plus aussi fermes, les sacs qui commencent à peser rendent l’équilibre précaire elle le regarde lorsqu’il s’arrête pour l’attendre on pourrait peut-être bivouaquer quelque part. Oui lui aussi, qui porte un sac bien rempli il se poserait bien. Petit coup d’il sur la carte. « Il y a un petit étang plus loin, avec un peu de chance il y aura du terrain plat, pas beaucoup on verra c’est sur le sentier, il y aura du passage enfin, pas tant que ça, il ne doit pas y avoir grand monde derrière nous. il ne faut pas trop tirer sur nos forces le premier jour. ».

Le lendemain ils partirent assez tôt, pressés de commencer leur vraie balade, hors du sentier balisé. Ils profitent du refuge pour manger, boire, se reposer un peu et ils se lancent, descendre, pour remonter, à gauche le pic de la Coume d’Enfer  c’est plein de noms bien sentis plus loin, sur la carte le Pic de l’Homme mort. Ils vont bivouaquer du côté de  l’Etang de Mirabail . Il y a quelques centaines de mètres à prendre,  de courts arrêts, pour boire, manger un peu, s’asseoir et se reposer un peu, et ça se fait, on surplombe la vallée et puis enfin ils décident de s’arrêter pour de bon : la fin de la journée. Une pelouse pas très large mais suffisante. Poser son sac, regarder, la nature vide, tout à l’heure une marmotte a alerté ses copines comme ils approchaient de létang,  un grand coup de sifflet . L’endroit est désert, Flo s’approche de lui, ils sont couverts de transpiration, il la respire la cueille par les hanches, la tire vers lui, elle s’écrase contre lui, elle écrase ses seins et son ventre, pousse son pubis sur lui, sa bouche. Elle est prise d’un désir qui lui incendie le ventre, elle lui murmure : « Montons la tente, vite ! »

Il n’y a personne ils se ruent dans la tente à peine montée, les sacs restent dehors, sans soin particulier Il s’allonge sur elle, écrase son membre sur sa vulve, se frotte, se recule, et cherche la fente, la manque, sa queue glisse sur les lèvres, il regarde ces yeux mystérieux qu’il comprend rarement. Mais il sait ce qu’il y lit quand enfin il la pénètre l’abandon, elle l’émeut toujours dans ce regard, comme un lent mouvement d’abandon, elle veut qu’il la baise, se laisse baiser, se retire en elle-même pour en profiter, immergée dans son corps, roulant ses reins, ouvrant ses cuisses, pour le prendre, au fond, le sentir, dressé sur ses bras, il la laboure, lentement pousse sa queue et commence un mouvement de percussion : han ! han ! han ! Brutal, il se laisse aller, renonce à tout contrôle, il la pilonne, violemment parfois et elle crie, elle aime, l’encourage « Oh ! encore ! plus fort ! encore ! cogne ! encore ! » elle finit par crier sans rien dire, de touts ses poumons, hurlant son plaisir pour les isards et les mouflons elle jette sa tête d’un côté, de l’autre les bras en arrière les doigts crispés sur le tapis de sol, les jambes nouées derrière les reins de son mâle son mâle qui vide ses couilles, en grognant, et en continuant ses percussions animales. Avant de tomber sur sa poitrine, ils transpirent, et commencent aussitôt à sentir le froid, il l’embrasse et se précipite pour vider les sacs pour en retirer polaires et vestes. Ils se rhabillent, elle remet sa culotte, met un jean qu’il lui tend, enfile les vêtements chauds. 2250 mètres, un degré perdu par 100 mètres ou presque le soleil se couche, la nuit tombe vite, l’ombre d’abord gagne. et le froid vient très vite il faut faire à manger, lyophilisé il y a de l’eau partout. Manger chaud et énergétique. Le repas fini, rapidement car tout refroidit très vite, il fait un petit feu qui part bien avec quelques branches de sapin, cassées, sèches ramassées ça et là tout autour, ils se serrent l’un contre l’autre sans rien dire, assis le dos contre un rocher. Ils regardent les flammes et pensent, chacun de son côté, se réchauffant du feu et du corps de l’autre.

Voilà exactement un an qu’il l’a rencontrée, dans le train qui allait vers Toulouse, il revenait d’une randonnée solitaire, sur ce sentier de haute randonnée pyrénéenne. Il l’avait remarquée tout de suite, jeune femme seule, jolie, pas tout à fait le canon de la belle plante, un peu trop sportive. Il n’y avait pas de place près d’elle, il avait mis son sac dans le coin réservé aux bagages, puis assis dans sa direction il écoutait de la musique.

De temps en temps leurs regards se croisent. Toulouse, elle semble avoir du mal à descendre ses bagages, il propose son aide, elle l’accepte. Ils échanger quelques mots sur leurs intentions, il continue sur Paris, puis sa ville de province, elle aussi remonte sur Paris, elle y vit.  Il change son billet pour prendre le même train, un peu plus tard. Ils rentrent ensemble sur Paris. Ils se racontent leurs vacances, lui surtout, elle reste manifestement sur un souvenir désagréable. Le train arrive tard, il a réservé une chambre à l’hôtel, n’en dit rien, « J’ai faim, je mangerais bien un buf entier. Je vous invite ? » Quand il a pris son coude pour la guider vers une table elle s’est sentie fondre, d’un coup, il s’en est rendu compte, à peine assis ils se sont regardés, de nouveau, comme pour établir un lien, ils ont presque entendu le déclic qui a établi le contact. Ils ont fait l’amour toute la nuit. Elle lui a tout donné, lentement ; il a tout conquis serait plus juste, à coup de mots murmurés, de caresses allusives, de dents acides, de doigts légers, d’ongles électriques, de petites douleurs contrôlées, de morsures légères, de tétons pincés, de tendresse émue, témoignant par le souci de son plaisir à elle sa reconnaissance à lui  pour chaque abandon, pas une seule fois elle n’a pris l’initiative, mais elle s’abandonnait toujours, comme une confiance qu’elle distillait en se donnant et en autorisant toutes les possessions.

Ça a commencé comme ça. Et ils se sont vus toutes les semaines et tous les jours de chaque congé. Noël, Saint-Sylvestre et leur activité principale a été de baiser, faire l’amour, inlassables, insatiables ! C’était il y a tout juste un an, et c’est pourquoi elle l’a suivi jusqu’ici. Refaire la randonnée dont il revenait. C’est une super rando, sportive,  mais quel paysage !!!

Après avoir regardé le ciel, la voie lactée dans toute sa splendeur dans la nuit sans lune, telle qu’on ne la voit presque jamais, ils sont rentrés dans tente, ils ont fêté l’anniversaire de leur rencontre en répétant une nuit du même genre. Elle redevient timide dans l’obscurité, émue de sentir les mains de son compagnon défaire ses vêtements, les lui ôter, la caresser, explorer son corps, ses orifices, elle déteste ce mot, et il l’excite, il le murmure : « j’aime tes orifices, j’aime les explorer, te fouiller avec mes doigts, fouiller ton con. » elle déteste ce mot, mais il lui fait l’amour, il la prend amoureusement, par tous ses orifices. En elle-même elle lui donne sa bouche, son con, son cul elle emploie les mots en son for intérieur, sans presque jamais les lui dire. Elle les pense, les fantasme : « mets- la moi dans ma bouche dans mon con encule moi please, encule moi » elle s’essaie à les penser très fort pour qu’il les entende pendant qu’il mordille les lèvres de son con, qu’il les suce à pleine bouche, elles sont épaisses il mordille parfois son clitoris, il le suce et ses dents glissent sa langue la fouille, il sait la mettre doucement sur le ventre pour finir, pour la prendre en la faisant se cambrer « donne-moi ton con » il lui murmure de sa voix de sexe, et elle lui donne ce qu’il veut quand il veut, et elle le veut aussi, sans le dire sans même qu’il le sache. Cette nuit là cependant elle le lui dit, après qu’elle a joui, comme il place sa queue sur le dernier orifice, le plus intime, elle le lui dit, ce qu’il aimerait entendre, pour une fois : « encule-moi, j’en ai envie, encule-moi ! » et quand il la prend par la porte de derrière, elle jette son cul vers lui, elle s’empale presque brutalement, sans précaution, il enfonce sa bite, entière, d’un coup, à la rencontre de ce cul qu’elle lance vers lui, il pousse ses reins et sa queue entre, jusqu’à la racine. Presque douloureux, trop excitant, ils jouissent, il décharge. Ils vont dormir jusqu’au matin.

Le silence les surprend, un silence feutré, avant de regarder il sait le brouillard bloqués. Sans chemin, devant marcher de cairn en cairn, impossible de partir. Il faut rester près de la tente, le brouillard est même si épais qu’il ne faut pas trop s’éloigner pour satisfaire un besoin naturel.

Cela provoque une situation inhabituelle. Quand Flo veut aller uriner elle comprend qu’elle doit être prudente, sans réfléchir elle demande à Charles de la suivre des yeux. Et quand elle s’accroupit elle comprend .ne regarde pas ! mais il ne se tourne pas elle pourrait lui tourner le dos, mais préfère lui faire plaisir, elle aime tellement cette randonnée. Tournée vers lui, dans la brume qui estompe toutes les formes et les couleurs, elle urine se retient et se rapproche s’accroupit, certaine qu’il peut voir elle urine pour de bon en le regardant. « Ça te plait ? » diable que lui est-il arrivé. Parlant de diable il sont au pied du pic d’Enfer, ou presque

En attendant que le  froid brouillard se lève, ils rentrent dans la tente, se caressent, se lovent l’un contre l’autre, ils font l’amour, il lui fait l’amour, mais peu à peu contre leurs habitudes elle prend l’initiative, suce, prend  la queue entière dans sa bouche, aussi longtemps qu’elle le peut, se recule pour respirer, le regarder dans les yeux et le reprendre, et recommencer, prendre ses couilles dans la bouche, l’une après l’autre, elle se hasarde là où elle n’était jamais allée. Ils jouent sans jouir, jusqu’au moment où ils perçoivent que la tente se réchauffe, que la lumière croît, et qu’il est enfin possible de partir.

Il est tard, plus de midi, il fait assez lourd et le ciel est menaçant et la météo prévoit des orages. Ils n’iront pas bien loin, et profiteront de la première cabane refuge qu’ils vont trouver. Une journée presque perdue, , pour la marche, pour le reste, ils ont passé de bons moments Ils s’installent,  cherchent un peu de bois, c’est un peu poussiéreux mais ça ira, tout plutôt qu’une suit sous la tente sous l’orage, si on peut l’éviter. Il y a de la place, des châlits assez larges pour deux qui se serrent dans leurs duvets. Ils font le tour de la cabane, regardent  des isards qui descendent vers l’étang qu’ils ont quitté, un groupe nombreux. Ils allument un feu dans la cabane, la cheminée tire moyennement, peu à peu ils sentent  que de la fumée stagne

Ils mangent, la nuit tombe ils retournent à leur occupation favorite. Flo prend l’initiative, elle provoque  assise sur une chaise bancale près du feu, elle ouvre sa polaire, glisse sa main sous ses seins les caresse, et l’autre main glisse sur son jean, entre ses cuisses Charles n’en croit pas ses yeux, il regarde, jusqu’où ira-t-elle elle ouvre son jean et au moment où elle abaisse la ceinture un premier éclair suivi très vite d’un considérable grondement elle se fige mais se reprend bien vite et sort de son jean et reste assise en culotte, légère, le long de la quelle ses doigts se déplacent, Charles renforce un peu le feu et Flo retire sa polaire, soutien gorge, culotte, jeux de mains de doigts. Les mains qui abaissent le soutien gorge, des seins relevés, pointes durcies, et une main qui revient entre les cuisses et glisse soulignant le relief des lèvres, avant de se glisser à l’intérieur Flo écarte les cuisses les yeux rivés dans ceux de Charles, c’est la première fois il ne bouge pas, plus tard Flo commence à gémir, pince la pointe de ses seins, roule ses reins, lèvres entrouvertes, et ses yeux qui entrent en elle son plaisir  monte comme le niveau sonore de ses gémissements « Tu aimes me regarder ? ». Elle continue ses caresses, suce ses doigts de temps en temps retire sa culotte pour qu’il voie glisse deux doigts dans sa fente joue avec son clitoris, gémit. nouvel éclair, et nouveau grondement, la pluie sabat brutalement sur la toiture Flo crie presque « Montre la-moi montre-moi ta bite,  je veux te voir bander», Charles obéit, ouvre son jean à son tour, l’abaisse, hésite, le retire, abaisse la ceinture de son caleçon, obligé de s’y reprendre à deux fois, la ceinture se prend sur sa queue il bande « Caresse-toi aussi, branle-toi.. doucement je veux pas que tu décharges », mais elle, elle va jouir elle a du mal à articuler ses consignes elle écarte ses cuisses autant qu’elle peut, enfonce trois doigts dans son con, et explose, elle crie comme jamais. Là devant le feu elle jouit comme une folle. Encore un éclair et presque immédiatement le tonnerre ils sont en plein dedans et Flo tressaille, elle crie : « Il y a quelqueun, un homme qui me regarde à la fenêtre » elle se reprend, saute de la chaise, court vers leur duvet s’y cache, Charles ne comprend que lorsqu’il entend des coups à la porte qu’ils ont soigneusement fermée. Il met son jean attrape le caleçon qu’il jette sur le duvet il ne peut pas laisser quelqu’un dehors  Il ouvre, totalement embarrassé et il bande encore dans son jean Deux randonneurs entrent, jeunes, homme et femme, lui est sportif, dans le genre de Charles, plus musclé sans doute, elle est blonde, assez mince, plus petite que Flo, moins sportive,  ils sont trempés C’est elle qui parle: « Désolés de vous interrompre, et merci de ne pas nous laisser dehors, mais on vous aurait tués c’est gentil d’avoir ouvert vite, merci. », ils s’approchent du feu « On va se changer si ça vous dérange pas regardez pas trop ». Ils vident leurs sacs, sortent des sacs poubelle dans lequel ils ont protégé des vêtements secs ils se sont rapidement changés. Charles a jeté un il vers la jeune femme, elle est très jolie, ses cheveux courts quelle essaie de sécher lui vont bien elle a de petits seins, mais bien faits Flo met sa main devant ses yeux il lui murmure, il t’a vue je peux bien la regarder non ? », « Si tu la touche je te quitte ».

Le couple se présente : « Laurence, Louis », et réciproquement : Charles se présente, puis Flo, qui continue  « Faites comme chez-vous », ils mangent, se font une petite cuisine, Charles se couche aux côtés de Flo, les éclairs et le tonnerre continuent leur vacarme un peu effrayant, puis s’éloigne, les deux randonneurs s’installent et se couchent Flo et Charles reprennent en silence leurs jeux favoris Charles la prend à la paresseuse, en silence, les dents pinçant de temps en temps la peau de l’épaule il la baise en silence  jusqu’à ce que Flo sente le plaisir l’envahir, la bite de Charles est bien calée, profondément, elle s’est mise de façon à ce qu’il puisse enfoncer sa bite aussi loin que possible et le plaisir monte, de temps en temps un petit cri, léger lui échappe, étouffé dans le duvet le feu n’est pas encore tout à fait éteint une ombre glisse sur le sol et Laurence s’approche

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