Le centre de loisir proche de chez nous était équipé d’une grande piscine couverte, très fréquentée par ces fortes chaleurs d’été. Nous nous étions décidés à y passer un après-midi. Deux heures plus tard, ma mère en a marre de cette piscine elle nous dit qu’elle préfèrerait prendre de l’avance sur la soirée. Elle me parle d’aller se doucher, je lui réponds alors que nous allons faire de même. Valentin et moi discutons avec le groupe de jeunes dans lequel une fille a l’air de bien s’entendre avec Valentin. Me sentant de trop dans cette discussion, je préfère m’éclipser et laisse les deux entre eux. Prenant le chemin de la sortie, j’arrive dans les douches de carrelage blanc où je retrouve ma mère. Un homme et un garçon sont également présents. Afin de ne pas repasser par chez nous, nous avions ramené de quoi se laver : shampoing et savon. Ma mère qui avait déjà commencé sa toilette, frottait le savon sur sa jolie peau satinée pour en retirer le chlore, quand soudain, elle releva son haut de bikini et se savonna la poitrine d’une façon un peu osée. Me douchant face à elle, je ne perdais pas une miette de ce spectacle, la regardant remuer ses seins et les faire tourner dans ses mains pleines de savon. Je voyais qu’elle en rajoutait, mais je remarquais également l’attitude des deux autres mâles devant lesquels elle se donnait véritablement en spectacle. Ils étaient hypnotisés même si l’adulte arrivait plus à le cacher. Elle tenait ses seins en avant comme pour les exhiber et faisait rouler ses tétons durcis entre ses doigts. Elle fermait maintenant les yeux et soufflait en se mordant la lèvre. Sentant monté peu à peu le risque d’un dérapage, particulièrement chez l’adulte qui la fixait, j’interpellais ma mère dans le but de récupérer le savon en faisant bien comprendre que j’étais son fils. Elle s’exécutait alors et, à peine quelques instants plus tard, elle en remit de plus belle en étalant la mousse le long de son corps par des gestes longs et très sensuels. Pour ma part, je commençais à me sentir mal à l’aise, dissimulant avec peine mon érection. La mère du garçon, inquiète de ne pas le voir arriver dans les vestiaires, vint le chercher. On entendit alors une toux de réprimandassions destinée à ma génitrice qui ne considéra même pas cette autre femelle jalouse, et la laissa emporter son gamin, un peu marqué de ce spectacle indécent. Ma mère me redemanda ensuite le savon que je lui redonnais en la fixant des yeux d’un regard à la fois admiratif et jaloux, mais elle ne fit mine de rien, continuant de plus belle dans son rôle de salope. Elle baissa alors légèrement son bikini, dévoilant ses jolies fesses pour y passer le savon. Mais il tomba à ses pieds ce qui nous offrit un spectacle magnifique, lorsqu’elle se pencha innocemment pour le ramasser, l’eau ruisselant sur ses formes agréables. Elle jouait avec nous, et nous montrait ses atours comme pour nous provoquer quand elle frotta vigoureusement sa raie pleine de mousse. Mais bientôt, l’adulte partit ; trop gêné pour rester là. Nous restions tous les deux seuls ; malheureusement, elle décida de mettre fin à ces jeux de bains et se dirigea vers les vestiaires.
Reprenant mes esprits, 1 minute plus tard, je lui emboîtais le pas et débouchais dans le couloir des cabines destinées à se changer. L’homme des douches était là, lui aussi. Il ne s’était pas encore changé et parlait à ma mère qui semblait blasée. Il faut dire qu’il avait l’air d’un sacré baratineur. J’arrivais derrière eux et sortais mes affaires du casier. Je l’entendais demander d’où nous venions, ce qu’on faisait ici, pour combien de temps etc. Bref, les formalités d’usage auxquelles ma mère répondait brièvement. Puis, brutalement, au milieu d’une phrase, elle retira son haut de bikini, libérant sa poitrine à la vue de son interlocuteur, ne lui adressa plus la parole et se dirigea dans la cabine ouverte la plus proche. Le gars restait scotché sur place, prenant cette provocation de pleine face et ne sachant quoi faire, il restait bouche bée. Il s’imaginait sans doute des tas de choses, surtout lorsque ma mère, la porte de la cabine encore ouverte, retira son bas de maillot et s’y trouva nue. Disposant son maillot sur le crochet, elle dit : « chéri, amène les affaires et viens te changer ». Cela m’était destiné et fit, en même temps, tomber l’autre gars de haut. Je la rejoignis alors, en souriant au visage du bellâtre défait puis fermais la porte de la cabine derrière moi, heureux. Ne me laissant pas le temps de me retourner, elle était déjà accroupie et avait commencé à me retirer mon slip de bain. Pour mettre un point final à la provocation elle lança assez distinctement : « viens, mon chéri, je vais te sucer ! » Elle commençait déjà à me branler doucement. Excité par le spectacle qu’elle nous avait offert, je fus vite en situation. Elle me décalotta puis lécha le gland du bout de la langue par petits à-coups du plus grand effet. « Caresse toi m’man, je veux te voir te branler aussi pendant que tu me suces ! » lui ordonnais-je. Elle se mit immédiatement à mes ordres et s’introduisit un doigt puis deux dans la chatte. Elle me tendit ensuite sa main trempée par la mouille que je léchais avec la plus grande délectation. Je sentais son souffle chaud sur ma queue ainsi que ses dents râper délicatement le long de mon gland. Le pur bonheur. Je lui pelotais ses seins de bonne taille, avec une envie montant de venir dessus.
J’entendis alors Valentin derrière la porte: « Mme ., vous êtes là ? » Ma mère lui répondit affirmativement et lui dit de venir prendre ses affaires qui se trouvaient avec nous. Lorsqu’elle lui ouvrit, Valentin ne vit plus que son corps nu et ne remarqua même pas ma présence. Il entra, nous étions alors trois dans cette cabine exigüe. Elle nous fit asseoir côte à côte sur le petit banc et nous suça de plus belle à genoux sur le carrelage blanc. Valentin était sur un nuage, il ne réalisait pas vraiment et concentrait son attention sur ma mère : une main sur chaque queue tirant toujours plus fort le jus de nos entrailles. Deux mâles bandés à mort prêt à la couvrir de foutre, cela faisait sourire ma mère, mais son regard traduisait un certain défi. Je lisais dans ces yeux : « essayez de me faire jouir mes petits salopards, ça n’est pas car vous êtes deux jeunes pubères que vous pourrez combler mes envies de chienne ! ». D’un coup je l’arrêtais net dans sa fellation, la laissant continuer avec Valentin, trop heureux. Je me levais, me plaçais derrière elle et commençais à la pénétrer en levrette sans demander mon reste. Elle ne disait rien et continuait à sucer Valentin qui la caressait délicatement tandis que, de mon côté, je m’agrippais de toutes mes forces à ses hanches et la labourait violemment, lui fourrant toujours plus loin mon sexe. C’était facile et je glissais rapidement dans sa chatte transpirante de mouille. Elle remuait entre mes mains, lâchant quelques petits couinements de plaisir. Mes couilles frappaient ses lèvres de plus en plus fort dans des claquements sonores. C’est pourquoi Valentin, profitant de ces secousses agrippa les seins pendants de ma mère pour démarrer une branlette espagnole entre ces collines de chair si douces. Il se branlait avec les seins de ma propre mère alors que je la prenais par derrière. Trop excité, je m’arrêtais et laissa Valentin continuer son office qui complimentait ma mère sur sa poitrine : « j’aime vos gros nichons madame, je crois que je vais jouir dessus – Maman ! Je voudrais jouir dans votre cul, lui dis-je de mon côté ». Si tôt dit, si tôt fait, elle s’assit sur Valentin qui la pénétrait en l’embrassant et moi, toujours par derrière, j’entamais une double pénétration dans le cul de ma mère, qui écartait ses fesses pour me faciliter l’accès. Sans faire trop de manière, je m’introduisais dans son petit trou si serré. Je sentais une pression sur ma verge gonflée à bloc ; je sentais également la queue de Valentin ramonant sa chatte. Nos deux sexes prenaient peu à peu le rythme et telle une machine nous accélérions le tempo : moi, m’agrippant seins de ma mère; Valentin, jouant avec sa langue, et elle, faisant toujours plus de bruit sous nos coups de butoirs. Alors que nous prenions toujours plus de plaisir, nous commencions à lui tenir un langage ordurier : la traitant de pute, de salope, la rabaissant comme la dernière des trainées. Je mélangeais les « maman » aux insultes susurrées dans son oreille. Elle se cambrait sous mes coups de hanches pour mieux accueillir mon sexe. C’est alors que, sans prévenir, je jouis en elle tandis que mes mouvements de reins s’accéléraient. Encore bandé, je décidais de lui introduire par mouvements secs pour la souiller au plus profond de son cul. Mon sexe transpirait de sperme qui dégoulinait le long de mes jambes et à terre. Je me retirais alors, montait sur le banc et lui présentait mon sexe sale et humide à sucer. Elle s’exécuta sans rien dire, faisant mine d’apprécier la moindre goutte de sperme et, voulant me pomper jusqu’au bout, elle me masturba de nouveau rapidement et très fortement pour me tirer une légère éjaculation finale qui finit de m’achever. Pendant ce temps, Valentin continuait, la bouche remplit de seins, à la faire aller sur ses jambes. Ça se voyait qu’il aimait ses seins, et le voir les sucer ainsi, au-delà du spectacle indécent que m’offrait ma mère, m’excitait et me rendait fier d’avoir la mère que j’avais. Un sein dans chaque main, il les suçait alternativement, faisant claquer des bruit secs de sucions. Il mordilla le téton ce qui fit vaciller ma mère. Enfin, il décida de finir comme il en avait envie. Il fit s’asseoir ma mère sur le banc et debout, face à elle se masturba contre ses seins. De mon côté, je voyais que ma mère se caressait encore l’entrecuisse et j’en profitais alors pour venir lui faire plaisir. A genoux, je lui écartais les cuisses et m’immisçais au milieu de leur jeu. Je la léchais à grand coups de langue. Elle ferma les yeux, pencha la tête en arrière en se tenant les seins pour Valentin qui se masturbait de plus belle. Ma langue roulait autour de son clito gonflé plus que jamais. Je le mordillais maintenant ce qui fit rapidement son effet : elle tremblait de plaisir. Valentin vint sur ses seins par grande projections. Le sperme coulait le long de ses globes énormes alors qu’elle jouit également sous mon travail. Elle attrapa alors le sexe de Valentin pour finir de le secouer une derrière fois tandis qu’elle frémissait de plaisir et le fit claquer contre ses seins trempés. Doucement la tension retombait. Heureux, nous nous relevâmes et prîmes de nouveau le chemin des douches pour finalement s’en aller de ce lieu.
A suivre (ou pas)