Pour rappel j’avais 60 ans, et je me retrouve à partager ma chambre d’hôtel avec une jeune inconnue de 25 ans.
1h10 du matin, je bande. Je me lève dans le noir et vais à tâtons aux toilettes. J’heurte une table basse, sans me faire de mal heureusement, mais en faisant du bruit. La lumière s’allume, ma belle colocataire ne dort plus:
— Qu’est-ce que tu fais?
— J’allais aux toilettes pour me soulager.
— Tu rebandes déjà! Montre me la.
— Tiens, regarde; elle te plait.
— Ouah, cette bite mon salaud, elle est encore plus belle que tout à l’heure. Tu ne penses pas avoir autre chose à faire que de te branler?
— Oui, tu as raison, mais je ne voulais pas te réveiller.
— Merci, c’est très gentil. Mais maintenant je suis bien éveillée, et de regarder ta trique ça me fait mouiller à bloc. Alors dépêche toi de venir et de me tringler, vieux cochon. Et tu as intérêt à être endurant cette fois ci.
— Ok salope, fous toi à poil, je vais m’en occuper de ta putain d’huître.
On se déshabille tous les deux et je viens m’allonger sur le lit. Elle a les cuisses écartées et je plaque ma main sur sa vulve tandis que la sienne s’empare de ma queue. Je doigte sa fente, récupère sa liqueur, l’étale sur ses tétons avant de les sucer. Elle gémit et s’active sur mon manche:
— Oui, c’est bon, tu es un vieux cochon toi, un vieux cochon avec une queue de cochon. Je la veux ta bite, j’ai envie de baiser. Je n’ai pas de préservatif, tu en as?
— Non, je n’en mets jamais, j’aime trop sentir le soyeux de vos écrins à bites. Mais si tu as peur de tomber en cloque, tu ne risques rien; il va me falloir du temps avant de jouir à nouveau, et je te jure de me retirer bien à l’avance.
— Ok, je te fais confiance. Viens sur moi, baise moi, défonce moi avec ta grosse queue, je veux être ta pute.
— Mais tu l’es déjà salope, tu es ma pute, ma pute gratuite et que je paye en liquide, le bon liquide de mes couilles que je vais t’offrir à boire; tu aimes ça petite garce!
— Oui, j’aime tout, tu me rends folle. Dépêche toi de me monter, je n’en peux plus, j’ai la chatte en feu.
Je cesse de bouffer ses seins couverts de cyprine, et je viens sur elle pour planter mon pieu entre ses cuisses grandes ouvertes. Mon gland trouve aussitôt le passage, je m’engage à fond rapidement et lui arrache un petit cri. Je stoppe tout:
— Excuse moi, ça va ma chérie?
— Oui.
— Tu es sûre? Je peux me retirer si tu veux.
-Oh non, reste et lime moi. C’est juste que c’est rare quand j’ai une bite aussi épaisse.
— Merci, mais tu y es pour beaucoup si elle s’épanouit. Tu veux vraiment que je te défonce?
-Oui! Baise moi, baise moi, prends moi comme une chienne.
— Oui salope, comme une chienne en chaleur.
Je me remet en route, je la besogne en missionnaire, lui en met autant que je peux. Elle gémit, elle jouit, elle disjoncte:
— Oh salaud, putain ce que c’est bon ce que tu me mets. Elle est trop bonne ta queue, je n’aurais pas cru qu’un vieux me donne autant de plaisir. Tu as quel âge mon cochon?
— 60 ans ma jeune pute, et toi tu as quel âge, salope?
— 24.
— Et tu n’as jamais baisé avec un vieux?
— Non, le plus c’est avec des mecs dans la quarantaine.
— Et c’est qui que tu préfères?
— C’est toi mon salaud, elle est trop bonne ta queue, trop belle, et tu t’en sers comme un dieu.
— Attends, je n’ai pas fini, papy va t’embrocher ma petite fille, comme aucun de tes jeunes amants ne l’a jamais fait.
Je me déchaine dans son ventre, la bourre, la remplis de tout mon sexe. Ses orgasmes s’amplifient, se multiplient, et elle gueule sa jouissance. Je soude mes lèvres aux siennes pour la faire taire, et crains aussitôt sa réaction. Les putes n’embrassent pas, mais elle oui; c’est vrai que ce n’en est pas une, juste une salope. Elle passe ses bras autour de mon cou, sa langue pénètre ma bouche, et on s’embrasse fiévreusement tandis que je la baise de plus en plus fort. Elle relève ses jambes et croise ses pieds sur mes reins, comme pour une deuxième accolade:
— Ca te plairait que je sois ta petite fille?
— Oui, j’aurais plein d’occasion de te faire l’amour. Et toi ça te plairait?
— Oui mon papy, je viendrais te voir le plus souvent possible, quand mamy ne sera pas là.
— Salope de petite fille, je t’aime.
— Je t’aime moi aussi mon salaud de papy, mais c’est surtout ta grosse queue que j’aime. Baise moi, baise moi papy chéri, je suis ta petite salope, la petite pute à son grand père.
-Tu m’excites ma petite cochonne, tu es aussi vicieuse que moi, tu mériterais bien d’être ma petite fille!
— Oui papy, j’ai de qui tenir. Je veux être ta pute, ton garage à bite, ta vide couilles.
— Tu me chauffes trop petite putain, embrasse moi encore salope et puis je vais me retirer.
On a continué à baiser tout en discutant, et maintenant je la pilonne dans un baroud d’honneur avant de me retirer, tout en lui roulant des pelles voraces.
Je me dégage et reste quelques instants sur le dos, sans bouger, pour me calmer et ne pas éjaculer, pas encore. C’est bon, l’adrénaline est passée, et elle s’est déjà placée, prête pour un 69, attendant mon top départ. Je me tourne vers elle et enfouis ma gueule au creux de ses cuisses, tandis que je sens mon sexe disparaître dans sa bouche.
Elle est trempée, couverte de mouille, extérieur et intérieur, je bouffe tout et elle me réalimente de ses orgasmes sans fin. Ma queue aussi était nappée de son jus de femelle, elle a tout nettoyé, puis me suce, me gobe, me pompe pour me faire jouir. Elle y parvient et je décharge sans retenue dans sa bouche assoiffée. Elle garde mon foutre et continue à me turlutter jusqu’à ce que je débande. Elle avale alors tout, et me nettoie avec autant d’application que je la nettoie.
On se redresse, on s’embrasse tendrement à pleine bouche, puis on se couche et éteint la lumière.
Elle me tourne encore le dos et je viens contre elle:
— Ca a été ma chérie?
— Oui, super, c’est pas souvent que l’on me baise aussi bien. Et toi, ça t’a plu?
— Oui, tu es géniale. Tu as les deux meilleurs orifices que l’on ne m’a jamais offerts.
— Merci, mais tu n’as pas tout essayé. Comme on dit, jamais deux sans trois.
— Deux sans trois! C’est une proposition?
— C’est comme tu veux. Je sais que beaucoup d’hommes n’aiment pas ça.
— Parce qu’ils ne savent pas ce qui est bon. Je suis un gros vicelard qui ne demande qu’à se farcir les beaux petits cul de jeunes femmes. Et toi, ça te plairait de te faire enculer par vieux papy cochon?
-Je veux, oui! J’ai mon petit trou qui mouille déjà, mais toi je suppose que tu es tout mou. Alors on va dormir, et quand tu bandes tu n’hésites surtout pas à me réveiller.
— Pas de soucis ma chérie, je vais lui faire la fête à ton joli cul. En attendant, tu as raison, on dort.
Je lui fais un bisou et on éteint la lumière.
4h20, je suis à nouveau éveillé. Je réalise la situation, pense à ma jeune et belle compagne, et je rebande. Elle m’a dit de ne pas hésiter si j’ai envie d’elle, même si elle dort, et je ne vais pas me priver. Elle me tourne toujours le dos, je glisse ma main entre ses cuisses pour lubrifier mes doigts dans sa chatte avant de préparer son petit trou. Elle gémit doucement:
— Oh non, déjà, je suis crevée.
— C’est toi qui voulais, mais si tu ne veux plus je me tape une queue, j’ai l’habitude.
— Tu bandes?
— Prends moi la queue, et tu verras.
(elle passe sa main dans son dos et se saisit de mon manche)
— Oh salaud, cette trique, tu es une bête!
— Oui, une bête qui va casser ton cul de chienne, sauf si tu ne veux plus!
— Salaud, tu sais que j’en ai envie!
Elle vient de me donner le feu vert, pour que le vert que je suis éteigne son feu. J’allume la lumière (j’aime baiser au grand jour, et ça semble lui plaire elle aussi), et je la positionne sur le dos. Je relève ses jambes, les lui fais maintenir en l’air, et place un des oreillers sous ses reins. Son cul est offert et je m’attable devant un succulent repas qui m’attend. J’écarte ses fesses et balaie son sillon de ma la langue musclée et habile. Je m’attarde sur son illet, parviens à le transpercer, le fouiller. Elle semble apprécier ce préliminaire:
— Salaud, tu es un vicieux toi, un gros porc dégueulasse!
— A ton service ma chérie, ose dire que ça ne te plait pas!
— Non, c’est trop bon. Je te l’ai déjà dit, et je confirme, tu lèches aussi bien qu’une femme.
— Merci du compliment. Mais dis moi, qu’est ce que vous faites entre femmes, à part te faire lécher?
— Tout. Je lèche moi aussi, et puis on se baise et on s’encule avec des godes, et même on se fiste.
— Mais ça ne vaut pas une vraie queue, bien en chair, en muscle, et bien juteuse!
— Ca dépend des queues, mais la tienne est trop bien, elle est trop grosse, elle me rend folle. Encule moi, encule moi, s’il te plait, encule moi.
Comment résister à une telle demande! J’interrompt mon repas, remonte sur elle, et saisis mon manche à pleine main à la recherche de son orifice. Mon gland détecte rapidement sa rondelle impatiente, et la transperce sauvagement, sans s’inquiéter de ce qu’elle va ressentir. Elle pousse un cri, m’insulte, puis prend son pied, m’insulte encore:
— Oh, c’est bon, c’est bon salaud! Ce que tu me mets gros porc! Tu es un fils de pute qui aime se faire des petites jeunes.
— Oui, des putains bien fraiches, comme toi, qui ne demandent qu’à se faire monter. Je vais te casser le cul, salope, et tu vas m’en remercier. Dis moi que tu l’aimes ma queue, dis le moi, et jure moi que c’est vrai.
— Oui, c’est vrai, je suis ta salope, ta putain, et j’aime trop ta grosse bite qui me ramone. Tu me fais jouir salaud, tu me fais jouir, oh oui, ouiii, ouiiiiiiii……
Elle se met à gueuler et je soude mes lèvres aux siennes pour la faire taire. On se roule une pelle d’enfer tandis que mon mandrin la pilonne sans concession. Je m’enfonce au plus loin, écrasant mes couilles sur ses fesses à chaque pénétration. Nos bouches se dévorent de plus en plus fort, au rythme du plaisir que partagent nos sexes , ou plutôt mon sexe et son cul, aussi huilé qu’une choune en feu. Je donne tout ce que j’ai, puis me retire, le manche bien raide:
— Viens salope, je vais t’enculer devant la glace.
Il y a en effet une grande glace fixée au mur, et dans laquelle on peut se voir entier. Elle me suit, se met à quatre pattes de dos au mur, de façon à pouvoir se faire mettre en regardant le miroir entre ses jambes. Elle a les reins bien cambrés, les fesses bien relevées, et je viens au dessus d’elle pour enfouir mon pieu dans son fion. Je la lime lentement, fais sans cesse des entrées et sorties:
— Hum, salope, regarde comme c’est beau mon gland qui transperce ta rondelle! Regarde comme je l’ai bien ouvert ton putain de trou! Dis moi que tu l’aimes ma queue, dis moi que tu n’es qu’une chienne bonne à se faire farcir, une jeune enculée toujours prête à se faire monter! Dis le salope, dis le.
— Oui, je suis une salope qui ne vit que pour le sexe. C’est bon de te voir m’enculer, de te voir ta grosse queue qui m’éclate le cul, de voir tes grosses qui pendent. Dis moi, elles sont trop belles, elles sont pleines encore?
— Oui, elles sont exceptionnelles et ont le pouvoir de se recharger à peine vidées. Tu veux que je me vidange entre tes reins?
— Non, j’aimerais bien, mais j’ai trop soif de ton sperme. Alors tu vas bien m’enculer et puis je te sucerais à fonds.
— Ok, salope, ça me convient.
Je la matraque sans ménagement, jusqu’à épuisement, et me dégage sans avoir ni jouis, ni débandé. Elle doit me sucer, mais avant ça je ne peux résister à l’envie de lui bouffer le cul. Sa rondelle est trop dilatée, hyper béante, et je me plais à y enfouir ma lange au plus profond. Elle continue à prendre du plaisir, et n’hésite pas à m’insulter:
-Salaud, c’est bon ta langue, fumier. Il te plait mon trou à merde, gros porc! Tu es un chien dégueulasse…
Je continue à la lécher, à la bouffer, à la brouter, puis je me relève, le manche au garde-à-vous. Elle s’agenouille pour me gober, mais je la retiens. Je veux d’abord lui caresser le visage avec ma queue, glisser mon gland entre ses lèvres, qu’elle se laisse faire et se regarde dans la glace. J’ai fini mon petit jeu et je la laisse s’occuper de moi. Elle me turlutte à merveille, affamée, assoiffée:
— Hum, c’est bon ça madame, c’est de la jeune vicieuse gourmande qui aime la trique des vieux. Pompe salope, pompe, oh putain que tu es bonne, cochonne, chienne, trainée… Oh, tu me fais venir salope, je vais te remplir de foutre mais je ne veux pas que tu avales, pas encore. Tu vas tout garder dans ta bouche et continuer à me sucer le dard…
Elle s’exécute docilement, avec application, et je lui donne mes dernières consignes. Elle me gobe toujours, et continue à saliver pour diluer ma semence que je lui ai offerte à grandes éjaculations. Je me retire et m’agenouille pour lui rouler une pelle; je salive moi aussi, et elle n’avale toujours rien. Je me relève et elle reste baissée, la bouche grande ouverte et remplie aux trois-quarts. Je me rince la bouche à grands bruits et recrache un long filet pour finir de remplir sa petite gueule de chienne. Elle attend mon signal, et avale enfin, engloutit tout ; il ne reste plus rien et je lui donne ma queue à nettoyer.
La séance est finie, et on se couche. On s’excuse pour nos mots, on se pardonne, on se félicite, on dort.
Jeudi matin, 7h30 heures, le réveil sonne.
A suivre