Chapitre IV

Odile décida donc de raconter sa version qui fut complétée et corrigée ponctuellement par Karine et Vanessa.

Et tu n’as pas été dégoûtée ? Demanda Jacques à Vanessa.

Non, mais j’ai bien dit que je ne ferais pas ça tous les jours et il faudrait vraiment que la situation s’y prête, comme cet après-midi, pour que je recommence. Je ne ferais pas ça avec n’importe qui non plus.

Moi, j’essaierai bien un de ces jours, quand même parce qu’Odile a vraiment pris son pied. Pas vrai, Chérie ?

Oh si, quelle honte ! Avoua Odile avant d’évoquer les sensations que cet acte immonde lui avait procuré.

Et bien voilà une très belle mise en bouche, haha ! Plaisanta Daniel en faisant circuler les petits toasts.

Ils changèrent rapidement de sujet mais le sexe restait au cur de leurs conversations et Jacques fut amené à réexpliqué à sa fille le plaisir qu’il avait à être cocu et humilié de temps en temps.

Ça j’ai compris, Papou, et si tu veux qu’on s’y mette aussi de temps en temps avec Vanessa, pourquoi pas, tant que ça reste un jeu. Mais un jeu, ça ne dure pas trois semaines ! Où ça a été le pompon, c’est quand Maman m’a dit qu’elle s’était forcée à te refuser tout plaisir et à refuser de te faire l’amour parce que Bruno le lui avait demandé ! Alors, tu vois, Odile, tu as honte pour tout à l’heure mais là, c’est pire. Il n’y avait même plus de plaisir nul part ! Et toi, Papou, t’étais vraiment malheureux, quand tu as débarqué ici ; ça crevait les yeux.

Mais ça va mieux et t’a décidé de me garder ici. Haha ! Ma fille veut me garder prisonnier chez vous jusqu’à ce que Josy vienne me libérer. Tu n’crois pas que c’est un peu excessif de lui interdire de venir demain ou dimanche ? En plus, je n’ai rien pour me changer

Ce n’est pas chez nous que tu vas salir tes vêtements, lui dit Daniel en souriant. Mais c’est vrai que ça va peut-être paraître un peu long à tes parents.

Ils me remercieront lundi soir et il faut que Bruno prenne le temps de réfléchir. Les garçons de son âge ne comprennent rien à l’amour et aux femmes. Mais avec ce que je leur ai mis, je pense que les galipettes c’est fini pour le week-end. Il va avoir tout le temps qu’il faut pour cogiter.

Pourquoi tu dis ça, qu’est-ce que t’en sais ? Tu ne seras pas dans leur lit pour vérifier. Fit remarquer Daniel dubitatif.

Papa ! C’est évident. Karine a raison, les garçons ça ne comprend rien à rien mais c’est à tout âge visiblement. Comment pourrait-elle se donner à Bruno si elle est rongée de remords pour Daniel et interdite de le revoir avant lundi soir. Moi, à sa place, je ne pourrais pas !

Et oui, Chéri, tu as bien une fille, si tu en doutais encore. Dit Odile amusée. Karine, j’étais plutôt de l’avis de Jacques et de Daniel mais finalement je comprends ta position et tu auras tout mon soutien. Josy ne franchira pas la porte avant lundi soir et tu sais, Jacques, je serais toi je ne lutterais pas. Josy s’est refusée à toi durant trois semaines pour faire plaisir à Bruno. Vous êtes en manque l’un de l’autre, j’en suis certaine, et de lui laisser passer le week-end avec lui, l’esprit occupé par ses regrets et sa culpabilité, va rendre vos retrouvailles plus intenses.

À mon avis, Papou, tu va vivre un feu d’artifice quand tu rentreras lundi soir avec Maman. En attendant, tu es mon prisonnier, comme tu dis, et partout où, Vanessa et moi, on ira, tu seras avec nous.

Tu veux dire que ton père va venir faire les magasins avec nous ?

Évidemment ! On a besoin d’un chauffeur, d’un homme costaud et séduisant pour porter nos paquets et nous escorter. En plus, il n’a strictement aucun avis sur les fringues de filles et il déteste ça faire du shoping. Ça le rend bougon et c’est très drôle. Ça va être génial !

Ah, c’est malin ! Fit Jacques en haussant les épaules. J’imagine que vous aurez aussi besoin de ma carte bancaire

Ça, Papou, on n’osait pas te le demander mais c’est si gentiment proposé. Je suis sûre que ma Vany t’en sera très reconnaissante. Pas vrai Chérie ?

Oh si, j’ai même hâte d’être très reconnaissante envers toi, Jacques.

Et si tu es gentil avec notre fille, tu peux être certain que Daniel et moi on sera aussi très gentil avec toi.

C’est un homme comblé que Josy va retrouver mais on ne pourrait pas lui permettre de venir dimanche soir ? Après que Bruno soit parti, bien sûr Demanda Jacques à tout hasard. Je travaille lundi.

Certainement pas ! S’exclama Vanessa en exprimant la pensée de Karine. Que Josy passe une nuit toute seule, ça lui fera les pieds.

Vanessa ! S’exclama Odile outrée.

Elle m’a ôté les mots de la bouche et je sais très bien que lundi, Maman ne pourra pas être là avant dix-huit heures. Par contre, Papou, toi et moi, on sera là vers dix-sept heures et j’aimerai bien que tu sois en train de m’enculer quand elle nous présentera ses excuses.

Ça, c’est un peu méchant, remarqua Vanessa en posant une main sur la cuisse de son amie.

C’est odieux tu veux dire, dit Odile presque choquée.

Mais je suis méchante ! Déclara Karine fièrement. Quiconque fait du mal à une personne que j’aime doit se méfier de moi. Maman mérite une gifle et je vais la lui mettre !

Je ne veux pas te décevoir, ma fille mais je doute fortement d’être capable de t’enculer devant elle

Ah bon ? Parce que Bruno ne l’a pas fait devant toi ?

Si

Alors tu le feras. Et même ! Si tu as besoin de motivation, je peux te dire que tu ne pourras pas m’enculer avant. Même si tu en as autant envie que moi

Ça c’est très méchant, dit Vanessa en embrassant son amie sur la bouche. Je t’adore.

Ce ne sont pas des filles que nous avons, dit Daniel ébahi.

Tu as raison, ce sont des salopes, répondit Jacques incrédule. De fieffées salopes, même !

Ce ne sont pas des salopes ! Se fâcha Odile. Elles savent ce qu’elles veulent et ne reculent devant rien. Elles sont très fortes, au contraire et ça perturbe un peu, j’avoue.

Mais non, Maman, on est des salopes ! C’est évident. Regarde-les, ils ne voient que ça en nous et ça les excite ; regarde comme ils bandent. Mais c’est normal parce qu’on est des salopes, des putes, des trous à bites insatiables,

Des suceuses de queues et des bouffeuses de cul, Poursuivit Karine

Et des suceuses de crotte, ajouta Vanessa en souriant.

Mais on n’a jamais goûté le pipi, remarqua Karine prête à exploser de rire.

Vous êtes complètement folles, conclut Odile avant d’exploser de rire avec elles.

Tu crois qu’elles se foutent de nous ? Demanda Jacques à Daniel.

Je ne le crois pas ; j’en suis sûr Mais qu’est-ce qu’elles sont bandantes toutes les deux.

On fait un échange de filles ?

J’allais te le proposer.

Odile et les filles n’en pouvaient plus de rire et se moquaient ouvertement de Jacques et Daniel même si l’envie de baiser était sans doute la plus forte. Les deux hommes firent le tour de la table la bite en avant pour venir chacun en face de la fille de l’autre.

Quelle arrogance ! Haha ! S’esclaffa Odile. Ils ne doutent de rien

Je suis bien de ton avis, Maman, dit Vanessa en prenant dans une main la bite de Jacques et en passant l’autre sous ses couilles.

Ces Messieurs voudraient se faire vider les couilles par deux petites salopes, peut-être ? Ajouta Karine en faisant de même avec Daniel.

Moi, je ne suis pas contre pomper une jolie bite comme celle de ton père mais j’exige juste un ou deux tous petits trucs

Ah oui ? T’as des exigences toi ? Fit Karine en embouchant la bite de Daniel.

Oui, je veux être insultée et traitée comme une grosse salope. Expliqua Vanessa, et je n’ai pas envie que Maman soit laissée de côté ; on est trois femmes ici mais fort heureusement, même s’il n’y a que deux hommes, il y a trois bites. J’aimerai te faire l’amour, Maman, pendant que Jacques m’enculera.

Mmm, tout un programme et tu me permets de sucer cette jolie bite avec toi ?

Bien sûr, si tu m’insultes aussi.

Ah oui, petite putain, tu veux être insultée ? Lui fit Odile en l’embrassant langoureusement.

Oh, bon sang, mais qu’est-ce que vous attendez pour me sucer ? Demanda Jacques qui voyait Daniel déjà bien pompé par sa fille.

Mais que t’insulte cette petite cochonne, bien sûr. Tu ne vois pas que c’est tout ce qu’elle attend la salope.

Oh, putain de merde Tiens, bouffe ma queue, poufiasse, commença Jacques peu habitué à cet exercice.  Oooh, oh oui, Salope Mmm, mais c’est que tu t’y prends bien, petite pute. Aaaah

Elle est bonne sa queue, p’tite Connasse ? Tu me laisses la goûter ?

Oh oui, Maman, elle est super bonne Tiens.

Ooh, putain J’avais oublié à quel point tu suces bien, Odile. Aussi bien que ta pétasse de fille.  Mmm, oh oui Oh, putain, deux bouches pour ma queue

J’espère que les « putain » ne s’adressent pas à moi, rectifia Odile en abandonnant la bite un instant. Je n’ai aucune envie d’être insultée et la pute, c’est elle.

Oh, bon sang, vos langues sur mon gland, c’est trop bon. Mmmm Oh, oui, petite chienne, bouffe ma saucisse à fond, hooo Oh oui, comme ça, Salope. Mmm à toi, Odile, montre lui, à cette putain, que Hoooo, tu t’y prends aussi bien.

Elles le sucèrent à deux pendant un bon moment avant d’envisager de passer aux choses sérieuses. Karine et Daniel en étaient au même point et la jeune fille proposa un arrangement.

Odile ! Avec Daniel, on va dans votre chambre et vous devriez vous installer dans la notre, comme ça Vany n’aura pas à changer d’endroit pour la nuit ; c’est nous qui échangerons de chambre. Ça te va ?

Ça me va parfaitement, ma Chérie, c’est une excellente idée. Mais on n’est pas prête à changer de chambre tout de suite, si tu veux mon avis. Ces deux beaux mâles on l’air d’être en forme.

Vanessa et Odile s’allongèrent de face sur le lit pour s’embrasser et se caresser tandis que Jacques s’occupait de leur téter la poitrine et de leur donner à son tour du plaisir avec sa bouche. Ils avaient trouvé une position qui lui donnait un bon accès au cul de Vanessa et à la chatte d’Odile et il passait de l’une à l’autre avec gourmandise. Trop occupé pour continuer à insulter Vanessa, c’est Odile qui s’en chargeait avec beaucoup de plaisir. Elle même appréciait aussi les rapports injurieux et demandait parfois à Daniel ou à ses amants de l’insulter pendant l’acte mais elle n’acceptait pas qu’un homme en prenne l’initiative. Du coup, elle comprenait parfaitement le souhait de sa fille et se lâchait pour lui faire plaisir. Peu à peu, Jacques se sentait de plus en plus attiré par le cul de Vanessa et sa langue et ses doigts concentraient leurs efforts sur son orifice.

Vas y bouffe lui le cul à cette trainée, l’encouragea Odile en voyant sa fille jouir dans ses bras.

Aaah, ah oui, Jacques

T’aimes ça, roulure, qu’on te bouffe le cul T’es une vraie chienne, un vrai garage à bites

Oh oui Aaah, Maman, il me fait jouir du cul. Oooh

Dis le que t’es une chienne.

Aaah Je suis une chienne

T’es une pouffiasse, une grosse salope ; on te cracherai dans la bouche que t’en redemanderai, connasse.

Aaah Ah oui

Tu veux que je le fasse, c’est ça ? Roulure, bouche d’égout Tu veux que je te crache un gros mollard dans la bouche. Dis le.

Aaah Ah oui, Maman, crache moi dans ma bouche de connasse

Odile se déplaça pour que Vanessa puisse se mettre sur le dos et elle lui cracha dans la bouche. Ensuite, elle enfourcha son visage et lui attrapa les jambes pour permettre à Jacques de poursuivre son anulingus.

Lèche ma chatte, Putain, pendant que Jacques te bouffe le cul. Mmm, oui, comme ça, salope. Aaah Ah oui.

Bon sang, quel cul ! Je n’m’en lasse pas J’ai vraiment envie de lui en mettre un coup.

Vas y, c’est une pute, elle est là pour se faire mettre. Aaah Mais fais attention, elle a des broches et des plaques dans la jambe et la hanche.

C’est juste un petit coup tout doux avant de retourner lui bouffer l’cul. Oooh Oh la salope, ça rentre tout seul.

Mmm Un vrai garage à bite. Aaah Aah oui, la salope, elle me fait jouir avec sa langue Aaah oui, Putain de Salope

Oh, ce cul, c’est un délice Mmm La pute, elle me serre la bite avec son anus Ooh putain, il est bon, ton cul, Salope.

Jacques voulait s’économiser ; il se retira pour voir le trou bien ouvert et comme il l’avait annoncé, il y reporta sa bouche avant qu’il ne se referme. Vanessa se cambra de plaisir et la chatte de sa mère étouffa son cri de plaisir. Elle avait la bite bien raide mais elle évitait de s’en occuper car elle voulait toujours prendre sa mère. Elle se fit de plus en plus gourmande et Odile, à force de jouir de  sa bouche eut besoin d’être prise enfin.

Ils s’organisèrent pour que Vanessa soit confortablement installée. Odile avait les fesses au bord du lit et Vanessa la pénétra en se couchant sur elle. Dans cette position, son cul était à la bonne hauteur mais pas très écarté. Jacques releva les jambes d’Odile qui, de ses mains, écarta pour lui les fesses de sa fille. Comme précédemment, sa verge épaisse n’eut aucune peine à s’introduire dans le petit orifice et Vanessa se retrouva coincée entre le marteau et l’enclume. Elle n’avait presque pas à bouger pour prendre sa mère car les mouvements de Jacques étaient suffisamment puissants pour se transmettre à son bassin.

Aaaah Aah oui, petite Salope ! Tu jouis vraiment du cul. Constata Jacques en l’entendant gémir.

Aaah ! Aah Oui ! Ma petite Chérie, mon Bébé Dit Odile en oubliant les insultes.

Oooh Aaah ! Ah oui ! Oooh C’est trop bon, Maman Aaah ! Vas y Jacques tu peux m’en mettre plein l’cul Aaaah !

Oh… Oh oui, T’es bonne Vanessa, aaah Ah Salope ! En plus tu joues avec ton cul, Putain.

Ils étaient tous les trois très excités mais Jacques était endurant et sa sodomie appliquée menait inexorablement ses deux partenaires vers l’orgasme. Odile fut la première à jouir et elle s’agrippa à sa fille quand elle la sentit jouir en elle. Tétanisé de plaisir, l’anus de Vanessa se contracta fortement au rythme saccadé de son éjaculation. Sentant les sphincters lui enserrer la bite, Jacques explosa à son tour et remplit le cul de sa belle-fille de son foutre abondant.

La vache, je n’sais pas ce que j’ai aujourd’hui mais j’éjacule des litres ! Ça m’a fait comme avec Karine

C’est parce que ça fait trois semaines que tu ne t’étais pas vidé les couilles Fais voir ta bite, demanda Vanessa en se retirant de sa mère, je vais te la sucer.

Si tu veux, régale toi mais ça m’étonnerait que tu arrives à l’empêcher de mollir. Ouh, mon Dieu Quelle baise.

J’avoue que c’était très agréable Déclara Odile en regardant sa fille s’allonger confortablement pour prendre la bite de Jacques en bouche. C’était à la hauteur de tes espérances, ma Chérie ?

Oh oui, Maman, c’était super mais je ne te savais pas si vulgaire Hihihi. Tu t’es vraiment lâchée. Mmm, quelle bite Un délice.

Ooh, la vache, c’est ta bouche qui est délicieuse. Mmm Comment tu fais ça. Oooh Oh oui, c’est bon Tu vas peut-être arriver à me refaire bander en fait.

Et bien moi, je vais m’occuper de celle là et puis j’irais voir où ils en sont à côté ; vous poursuivrez avec Karine.

Mieux que sa fille, Odile savait parfaitement redonner de la vigueur à une verge et celle de Vanessa avait la capacité de durcir très vite. Quand elle la jugea suffisamment raide, elle  embrassa Vanessa et Jacques avant de se diriger vers sa chambre. Daniel était allongé sur le dos et Karine était accroupie sur sa verge qu’elle finissait de ranimer avec sa bouche.

Je ne vous dérange pas ?

Non, Chérie, quelle question  Karine voulait me refaire bander avant d’aller vous voir.

Merci Karine, c’est gentil ; j’ai fait pareil avec Vanessa et elle est encore en train de s’occuper de celle de ton père. Je peux prendre le relais ; va les rejoindre, ils t’attendent.

Merci Odile, répondit la jeune fille avant de les embrasser tous les deux en leur souhaitant une bonne nuit.

Lorsqu’elle entra dans la chambre, Karine trouva Vanessa et son père en soixante-neuf. Son père était au dessus, son amie en dessous, et elle s’allongea près d’eux pour les caresser et les embrasser avant de partager avec Vanessa la bite très large de Jacques.

Elle est belle la bite de mon Papou ; elle te plait.

Elle est super et on la sent bien passer, crois moi.

J’avoue que ça m’arrache un peu de devoir attendre jusqu’à lundi soir pour me la prendre dans le cul.

Tu sais, mon Ange, je veux bien te la mettre maintenant

Si tu me promets de me la mettre aussi lundi soir.

Je te promets que je t’enculerai devant ta mère lundi Je te le jure. Répondit Jacques en lui caressant déjà les fesses. Quand je vois ton cul, je sais que je serai incapable de résister si tu m’invites à t’enculer. En plus, comme tu me l’as fait si justement remarqué, elle s’est faite prendre par Bruno plus d’une fois devant moi.

Dans ces conditions, tu peux me prendre le cul autant que tu veux.

Bien entendu, Jacques commença par lui lécher son petit trou et découvrit que c’était aussi par là que Daniel avait pris son plaisir. Karine était installée à quatre pattes au dessus de Vanessa et elles s’embrassaient amoureusement. Il était évident qu’elle voulait se faire prendre des deux côtés à la fois. Quand Jacques se redressa pour la prendre, elle se planta la longue bite de son amie au fond de la chatte et Vanessa lui écarta les fesses et l’anus pour Jacques.

Ouh, putain, c’est vrai qu’on le sent bien passer

Je t’ai fais mal ? S’inquiéta Jacques.

Non, c’est bon mais là je suis vraiment remplie.

C’est sur qu’avec ma bite dans ta chatte c’est plus serré. Même la mienne est bien comprimée. Oooh ça c’est bon Ajouta Vanessa quand Jacques se mit en mouvements.

Aaah Aaah oui, Papou Aaah !

Mmm, ma petite Chérie, mon Ange, que c’est bon

Comme il avait déjà eu l’occasion de se vider les couilles deux fois, Jacques pu la baiser longuement. Les mouvements de sa bite branlaient celle de Vanessa qui éjacula assez vite. Cependant, sa longue verge restait coincée dans le vagin de Karine et la masturbation continue l’empêchait de débander. Karine jouissait sans retenue et ne comptait plus ses orgasmes. Jacques accéléra progressivement et Vanessa éjacula une seconde fois lorsqu’elle le sentit jouir dans le cul de son amie. Elles étaient épuisées mais elles trouvèrent la force de faire un câlin à Jacques avant de s’endormir toutes deux blotties contre lui. Il se laissa alors sombrer dans le sommeil, une fille dans chaque bras, en pensant qu’il était sans doute le plus heureux des hommes.

Le week-end continua sur sa lancée et le lendemain matin, Jacques profita des largesses d’Odile tandis que Daniel était parti travailler. Il vécut un véritable calvaire en accompagnant les filles faire du shoping mais il en fut grandement récompensé au retour car Karine, Vanessa, Odile et Daniel se consacrèrent entièrement à ses plaisirs, non sans en prendre au passage. Les deux filles le sollicitèrent tellement qu’elles lui séchèrent les couilles et il eut aussi le plaisir de se faire enculer par Vanessa.

Jacques passa sa deuxième nuit au lit avec Daniel qui tout comme lui avait envie de retrouver le goûts de leurs nuits d’amour passées tandis qu’Odile partageait la couche des filles.

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