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L'amour d'un père – Chapitre 6




Chapitre 6 : Sébastien

  Les gens sont toujours un peu surpris lorsque je leur explique que je vis sous le même toit que mes cousins. Ma mère n’a jamais eu de mari, sa sur non plus, et elles se sont installées ensemble. Il en a toujours été ainsi et j’ai donc toujours trouvé ça normal, il m’a fallu bien des années avant de me rendre compte que c’était en réalité quelque chose de très particulier.

  Cela ne m’a jamais choqué du coup, mais je dois admettre que cela m’a joué des tours durant mon enfance. À cause de cette proximité, je n’ai pas su pendant longtemps faire la différence entre ma sur et nos deux cousins. Pour moi, nous étions tous frères et surs et je sais que je n’étais pas le seul à penser ainsi ; cela fait que nous sommes aujourd’hui tous extrêmement proche.

  Il m’a fallu aussi des années pour réaliser qu’il n’était pas normal de ne pas avoir de père. C’est seulement en voyant les parents des autres enfants que j’ai commencé à me poser des questions. Je crois que ma mère a dû être beaucoup gênée le jour où je lui ai demandé ce qu’était un "papa". La description qu’elle m’en a faite m’a beaucoup fait pensé à notre grand-père : un homme proche de la maman qui prend soin de ses enfants. Il a toujours été très présent dans notre vie. Malgré son grand âge, il vient nous voir plusieurs fois par semaine et il nous gâte tout le temps. Nous l’aimons tous beaucoup.

  Une fois adolescent, ma sur et moi avons souvent interrogé notre mère au sujet de notre père. Qui était-il ? Comment se sont-ils rencontrés ? Où est-il aujourd’hui ? Elle n’a jamais voulu nous donner de réponses, comme s’il s’agissait d’un sujet tabou. Ne se rend-t-elle pas compte à quel point c’est important pour nous ?!

    Nous avons déjà essayé de poser la question à notre tante, mais nous avons rencontré le même mutisme. Nos cousins n’en savent pas plus sur nous au sujet de leur propre conception. Tout le monde nous laisse dans le noir et ils s’en foutent ! Cela me met en colère à chaque fois que j’y repense ! Pourquoi faut-il que ce soit un tel secret ?! Je pensais qu’une fois atteint la majorité, ma mère me dirait la vérité, mais j’ai vingt ans aujourd’hui, ma sur dix-huit, et elle refuse toujours autant de nous en parler. Tout ce que nous savons c’est qu’elle n’a jamais été mariée et que nous ne l’avons jamais vue au bras d’un homme. Cette pensée m’effraie : si ma mère n’est jamais restée assez longtemps avec quelqu’un pour que son entourage ne le remarque, est-ce que cela voudrait dire que ma sur et moi n’aurions peut-être même pas le même père ?! Pour ma tante, c’est la même histoire et nos cousins se posent les mêmes questions. Parfois, je me demande si nous n’avons pas été conçus au cours d’une immense orgie et que nos mères sont simplement incapable de savoir qui est notre père. Pardon, je retire, c’est méchant de dire ça et je ne le pense pas. J’aime ma mère, je suis souvent inquiet de la voir si seule. Elle n’a pourtant pas l’air malheureuse, je me demande si elle voit des gens en secrets.

    En repensant à tout cela, je me dis que ma famille est bizarre parfois ; et mes amis eux-mêmes aiment m’en faire la remarque pour plaisanter. Lorsqu’ils viennent jouer à la maison, ils remarquent tout de suite que les choses sont différentes que dans les autres foyers. Certains m’ont déjà confié qu’ils ont l’impression que j’ai deux mamans tant ma tante se comporte comme une mère avec moi. D’autres ne cessent de me répéter à quel point ils trouvent ma mère "cool" parce qu’elle n’a pas le profil typique d’une ménagère coincée. Aussi bien dans ses manières que dans son physique, elle fait très "jeune", et il en résulte qu’ils sont beaucoup plus détendus en sa présence qu’avec les autres adultes. De leurs propres aveux, ils ont moins peur de se lâcher et pourraient presque la voir comme une pote. L’un deux m’a même choqué lorsqu’il m’a dit qu’il serait capable de "se la taper tellement elle est bonne". Je l’ai frappé ce jour-là. Merde ! C’est de ma mère que l’ont parle ! Ça ne se dit pas ce genre de truc ! Je dois pourtant leur reconnaitre une chose : elle a de temps en temps des manières de se conduire qui ne fait pas du tout penser à une maman, et ce même avec moi. C’est encore plus déconcertant lorsque je la vois parler avec ma sur. Lorsqu’elles rient ensemble, on dirait presqu’elles sont frangines. Je ne sais pas trop quoi en penser. Est-ce que j’aime ça ? Ou au contraire, est-ce que je lui reproche de manquer de discipline envers nous ?

  Ma sur est également un sacré numéro. Elle est plus jeune que moi, mais c’est déjà une femme libérée, pour ne pas dire carrément une salope. Elle s’habille comme une allumeuse et change de mec presque toutes les semaines. Elle n’est plus vierge depuis longtemps. Je le sais pour l’entendre à l’occasion en plein ébat dans sa chambre. J’ai honte, mais la première fois, je ne voulais tellement pas y croire que je l’ai espionnée. Voir sa propre sur en train de se faire prendre est une image traumatisante qui part difficilement de la tête. Le plus incroyable dans cette histoire, c’est que notre mère ne dit rien ! Elle sait pourtant très bien se qui se passe, elles en parlent même entre elles ! Quand je disais qu’elle était étrange parfois ! Apparemment, cela ne la dérange nullement que sa fille s’envoie en l’air à droite à gauche.

  Au fond, je pense que je suis un peu jaloux de la facilité avec laquelle elle trouve des partenaires. M’enfin, faut dire qu’avec le corps qu’elle a, c’est assez normal. Elle est juste… parfaite. Mince, les yeux bleus, de taille moyenne, avec une belle poitrine et des fesses rebondies ; elle a des courbes à tomber par terre. Elle a normalement de longs cheveux châtains clair, mais ces derniers temps, elle se les teint en roux. Cela lui va très bien. Bon, de mon côté, je ne suis pas mal non plus dans mon genre, mais pas au point d’être un tombeur.

    Ce n’est pas facile à admettre, mais si elle n’avait pas été ma sur, j’aurais bien tenté ma chance avec elle. Ça en est même frustrant de temps en temps : Nous sommes très complice et passons beaucoup de temps ensemble, il m’arrive d’avoir envie d’elle et de vouloir l’embrasser. Je me rappelle ensuite qu’elle est de ma propre famille et que je dois oublier ça. J’ai pourtant encore du mal à supporter l’idée qu’elle puisse coucher avec tout le monde, sauf avec moi parce qu’elle est de mon sang. Je trouve ça injuste.

  Un soir, comme nous le faisons souvent, nous nous sommes installés sur son lit et nous discutons de tout et de rien. Tout se passe bien, nous passons un bon moment, nous rions, jusqu’à ce que je suis soudain à nouveau pris de désir pour elle. Elle porte une robe de nuit qui met ses formes en valeur. La vue de la moindre parcelle de sa peu dénudée me donne envie de la caresser. En observant son sourire de séductrice et son regard enjôleur, je suis presque sûr qu’elle pense à la même chose que moi ; mais aucun de nous deux n’ose aborder le sujet tabou.

  Il est tard. Je sens que la fatigue me désinhibe un peu. Je me sens bien avec elle. Cela aurait été n’importe quelle fille, je lui aurais déjà sauté dessus pour lui voler un baiser. Des imagines interdites me traversent fugacement la tête avant de s’évaporer. Cela a le reflexe de faire naître une érection. Étant en caleçon pour m’apprêter à aller dormir, j’ai du mal à le cacher et elle ne tarde pas à le remarquer :

Dis donc, tu as une belle bosse là-dessous, fait-elle pour plaisanter.

Ce n’est rien, ça va passer, dis-je en gloussant pour masquer ma gêne. Tu sais, ça arrive, c’est normal.

Quoi ? Comment ça "ca va passer" ? Tu vas te contenter d’attendre que ça disparaisse ? Mais faut en profiter mon pauvre ! Ce n’est pas bon de retenir ses envies !

  Je souris. Elle a toujours été joueuse comme ça. Je ne sais pas si elle se rend compte de l’effet que cela peut provoquer chez moi. Même si je suis son frère, je reste un homme qui ne peut demeurer insensible à ses charmes. Quoique, ce soir, peut-être n’est ce que mon imagination qui prend ses fantasmes pour des réalités, mais j’ai la sensation qu’elle en a parfaitement conscience.

Ce n’est qu’un réflexe ! fais-je pour me défendre. Cela ne veut pas forcement dire que j’ai une envie.

  J’aurais pu jouer les charmeurs et rentrer dans son jeu, j’ai finalement réagis en garçon coincé sur la défensive. Je m’en veux un peu. Au fond, je n’ai pas envie de la repousser.

Il y a deux choses que je déteste par dessus tout dans la vie, Seb. La première, c’est de savoir qu’il y a une queue qui bande en ma présence. La seconde, c’est de savoir qu’elle redevienne molle sans que je n’aie pu la faire éjaculer. Alors enlève-moi ce caleçon tout de suite et laisse moi m’en occuper !

Erika… Tu es folle ! Tu es ma soeur ! On ne peut pas faire ce genre de chose !

  Je n’arrive pas à croire son culot, et je n’arrive encore moins à croire ma propre réaction. Comment puis-je aussi bête pour lui dire non ?!

Oh, arrête de faire ton timide, dit-elle gentiment. Tu en as autant envie que moi.

  Elle a raison. Elle s’avance vers moi à quatre pattes comme une succube, mon cur bat la chamade. Je suis figé, effrayé. Je ne sais pas ce que je crains le plus : de passer à l’acte avec ma sur ou de réaliser qu’elle plaisantait et ne faisait que m’allumer.

Tu dis n’importe quoi, ai-je encore la stupidité de répondre.

  Elle vient se coller contre moi et se met à caresser ma bosse.

Allez, Sébastien, dis-moi que tu en as envie.

Mais non ! Arrête !

Vraiment ? Tu es sûr que c’est ce que tu veux ? Je pourrais te sucer, là, maintenant.

Tu es ma soeur !

Qu’est ce qu’on s’en fou ! Il n’a pas de mal à se faire du bien. Ce n’est pas comme si tu comptais m’épouser, non ?

  Comme je ne dis rien, elle passe sa main sous mon vêtement et prends ma queue bien en main. Ses doigts coulissent lentement le long de ma tige et elle commence à me masturber. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. J’attendais ça depuis si longtemps mais j’ai du mal à l’admettre à voix haute.

Si tu veux que je te fasse une pipe pour te soulager, tout ce que tu as à faire, c’est de me le demander, dit-elle.

  Je savais ma petite soeur libérée, mais l’entendre prononcer de genre de phrase à mon encontre avec autant de légèreté me choque ; et surtout, m’excite. Je rêvais de me jeter sur elle, finalement, c’est elle qui se jette sur moi.

Erika… Je ne peux pas faire ça…

Cela devient très difficile de se contenir. Je dis non, mais j’ai envie qu’elle continue. C’est pour cette raison que je deviens fou lorsqu’elle répond, déçue :

Bon, d’accord, si c’est vraiment ce que tu veux…

  Elle retire sa main et la situation devient encore plus insoutenable pour moi. Je suis dur comme du fer. J’ai atrocement besoin de me calmer et je n’ai aucune envie que ce soit en attendant que ça passe. Je veux jouir, alors pourquoi irais-je courir dans ma chambre pour me masturber quand que j’ai une fille magnifique à mes côtés qui ne demande qu’à m’aider ? Mes dernières inhibitions cèdent, je craque. Je la retiens par le poignet et lui dit ce qu’elle veut entendre :

Erika, tu as raison. J’ai très envie.

Très envie de quoi ? fait-elle d’un ton faussement boudeur.

J’ai très envie que tu me suces et que tu m’aides à éjaculer.

Son visage s’illumine. Elle a enfin ce qu’elle veut, et moi aussi. Je retire mon caleçon et elle reprend sa masturbation.

Elle est belle, ta queue, me confie-t-elle. J’en salive d’avance.

  Je soupire sous la caresse qu’elle me procure. Je me fais branler par ma sur, c’est bon. Nos regards pétillants de luxure se croisent un instant puis elle plonge vers mon entrejambe. Elle commence par me donner des coups de langues discrets sur le gland, juste pour me titiller. Cela me rend fou, j’ai atrocement envie de sentir la chaleur de sa bouche autour de ma queue. Elle pose ses lèvres autour de mon champignon et me lèche vivement. Je gémis lorsqu’elle descend lentement pour m’avaler le plus possible. Elle remonte et démarre un va-et-vient. Je ne dis rien, je me contente de gémir et de la regarder uvrer sur ma bite. Je n’en reviens pas de l’obscénité de la scène : je me fais sucer par ma propre sur. À ma grande surprise, je n’ai pas de honte, juste du désir. Elle est belle, elle est bonne, c’est une salope, j’ai juste envie de baiser avec elle.

  Je pose délicatement ma main sur sa tête en signe d’approbation. Elle s’applique divinement bien, elle ne fait pas semblant. Je ne me souviens pas qu’une de mes ex m’aie déjà pompé comme ça. Elle ne le fait pas juste pour me faire plaisir, elle aime ça, je peux le sentir. Pour m’en assurer, ma main descend lentement le long de son dos. Je la fais passer en dessous de l’ourlet de la jupe de sa chemise de nuit pour lui palper les fesses. Elle a un si beau cul ; je pourrais m’y attarder, mais ce n’est pas ma destination, je glisse encore un peu en dessous pour atteindre sa chatte. J’écarte sa culotte de mon objectif et lui enfonce un doigt. Elle est trempée, j’en étais sûr.

Hmm, Erika, on dirait que cela te plait autant qu’à moi.

Elle gémit à travers ma bite en guise d’acquiescement. Elle est trop absorbée par ce qu’elle fait pour répondre intelligiblement. Elle sort parfois ma queue de sa bouche pour me montrer le travail de sa langue. Elle me lance dans ces moments là des regards sulfureux pour observer ma réaction. Je grogne bruyamment à chaque fois, ivre de plaisir. Elle me fait perdre la tête.

  Je n’en peux plus, elle le sait. Mes bourses hurlent à l’envie de crasher leur venin. Elle accélère le rythme en me branlant plus fort. Cela devient insupportable. Je me retiens de toutes mes forces. Mais plus je résiste, plus elle insiste. Elle veut me faire jouir. Pire, je sens qu’elle en a autant besoin que moi. Mon ex me faisait parfois gicler dans sa bouche pour me faire plaisir, mais elle recrachait et je savais qu’elle n’aimait pas trop ça. Erika, elle, elle a soif de mon foutre, je n’ai jamais vu ça. Je sais que je n’ai qu’à me laisser aller et éjaculer, elle avalerait tout ce que je lui donnerais ; mais je ne veux pas. Non pas que cela ne me plairait pas, au contraire, j’en rêve, mais je ne veux pas que cela se finisse déjà.

Erika, arrête ! dis-je.

  Mais elle ne m’entend pas. Alors je répète mon commandement tout en la forçant à se détacher de ma queue.

Qu’est ce qui a ? Tu n’as pas envie de jouir dans ma bouche ? demande-t-elle, confuse par ma réaction.

Si, bien sûr, mais… Erika… je… J’ai envie de toi…

Elle sourit :

Dis donc, pour quelqu’un qui ne cessait de dire non tout à l’heure, te voilà bien entreprenant.

J’ai envie de bien plus qu’une pipe. J’ai envie de baiser avec toi, Erika.

Je suis contente que tu me le dises. Moi aussi, j’ai envie que tu me baises. Je meurs d’envie de sentir ton gros pieu de chair me transpercer le vagin.

  Elle se relève et m’embrasse. Notre premier baiser, je suis tout en émoi. Ce n’est pas n’importe quelle fille avec qui je m’apprête à faire l’amour. Ce n’est pas une copine, ni ma meilleure amie, ni une inconnue rencontrée pour un coup d’un soir, c’est ma sur. La fille auprès de laquelle j’ai vécu toute ma vie et avec qui je partage un lien unique. Je l’aime, mais pas comme un homme aime une femme dans un couple. C’est quelque chose de différent. D’encore plus fort, je crois. Je suis heureux de pouvoir vivre ce moment avec elle.

  Je l’aide à enlever sa chemise de nuit et je découvre ses seins nus. Ils sont beaux, de belle taille, en forme de poire. Je me jette dessus. Je les soupèse et prends leurs tétons en bouche. Elle pose ses mains contre ma nuque pour m’appuyer contre elle. Elle soupire sous mes caresses. Je joue avec sa poitrine comme un enfant. Elle est si parfaite. C’est la plus belle paire que je n’ai jamais vu. J’ai souvent fantasmé sur elle pendant mon adolescence. Même si c’est ma sur, cela n’a pas été facile de vivre tous les jours à ses côtés, de la voir progressivement passer de gamine à femme et d’être le témoin de ses formes qui murisse de jour en jour. J’ai été jaloux de ses amants, mais c’est fini maintenant. Je vais enfin moi aussi pouvoir profiter de son corps.

  Elle me donne un dernier baiser puis s’allonge sur le dos en écartant les cuisses.

Viens, Sébastien, m’invite-elle. Viens baiser ta sur. Elle te veut.

  Elle se donne entièrement à moi, sans retenue ni pudeur. Cela me rend fou. Je la veux plus que jamais. Je m’approche d’elle et lui enlève rapidement sa culotte. Son minou se dévoile enfin. Il est si beau, il est tout rasé. C’est un véritable joyau. J’ai envie de le lécher mais je suis surtout trop impatient de m’enfoncer en elle. Je me place entre ses jambes, la verge dressée, et lui relève le bassin en pressant ses genoux contre sa poitrine. Je guide mon sexe vers son entrée et la pénètre lentement. Nous gémissons tous les deux.

Hmm, oui, vas-y Seb, baise-moi, maintenant.

  Je la pilonne sans tarder. Je suis bien trop excité pour être tendre. Manifestement, elle aussi. Je n’en reviens pas, je saute ma soeur comme un soudard en manque. Je suis dans son vagin interdit et le savoir nous procure encore plus de plaisirs à tous les deux :

Oh mon dieu ! s’exclame-t-elle. J’ai le gros bout de mon grand frère en moi ! Ce que c’est bon ! J’en avais tellement envie. Dis-moi, elle est comment la chatte de ta petite soeur ?

Divine ! J’ai envie de la fourrer !

Alors fourre-la, remplis-moi bien.

  Je me penche sur elle pour l’embrasser, je lui caresse les seins. Je joue avec son corps. Je suis si heureux de pouvoir profiter d’elle. Je me fais du bien et je veux lui en faire aussi. Je veux prendre soin d’elle, la faire jouir. Je veux être un bon amant pour elle. Elle ne pourra jamais m’appartenir et je ne suis pas certains que ce soit ce que je souhaite vraiment, mais je voudrais être celui qu’elle vient voir quand elle est en manque et qu’elle cherche un bon coup. Je veux être là pour elle, toujours, peu importe ses besoins. Ce n’est pas ça être frère et soeur ?

  Nous changeons de positions et c’est maintenant elle qui me chevauche. Je la tiens par les hanches et me régale de cette vision de rêve. Sa poitrine se balance sous ses mouvements. Sa peau est lisse et luisante. Elle me regarde d’un sourire coquin qui me fait fondre. Elle se fait du bien et je suis fier de savoir que c’est ma queue qui lui donne ce plaisir.

Alors, tu aimes baiser avec ton frère ? lui fais-je.

Hmm oui, j’adore sentir ta bite au fond de moi. Elle a une belle taille. Je sens que je pourrais devenir accro.

Moi, je le suis déjà de ton vagin.

Ah, oui ?

Oui !

Je suis heureuse de l’entendre.

  Elle se courbe sur moi pour m’embrasser. Je passe mes mains sur ses fesses pour les peloter. Ce que j’aime son cul. Je la retiens par les épaules lorsqu’elle tente de se relever et je lui donne des coups de reins. Je la sens frémir.

Aaah ! Salaud ! se plaint-elle. Tu vas me faire jouir !

Je n’en peux plus, il faut que je te prenne !

Alors prends-moi, comme une chienne, en levrette.

  Quelle excellente idée, c’est ma position préférée. J’apprendrais plus tard que c’est également la sienne. Elle se met docilement à quatre patte devant moi, m’offrant une vue parfaite sur son cul et sa fente. Cela me fait tout drôle de la voir ainsi : passionnée, offerte. C’est si beau de voir sa soeur réclamer vos coups de reins. Je la saisis par les hanches et la ramone sans tarder. Même son dos est sublime. Je lui donne quelques fessées. Je n’ai jamais été aussi excité de baiser quelqu’un, même lors de ma première fois.

Vas-y, Seb, ravage-moi. Fais de moi tout ce que tu veux.

  Je la lime de plus en plus fort. Je deviens animal. J’ai envie de la traiter comme une salope. Après tout, c’est ce qu’elle est. Je veux découvrir son côté pervers et exprimer le mien. Je lui attrape les cheveux pour la tirer vers moi. Elle m’encourage à la prendre plus fort. Je la maintiens par les avant-bras et la soulève. Seule ma poigne l’empêche de tomber en avant. Elle crie tellement de plaisir que j’ai peur qu’elle réveille les autres. Je n’ai jamais baisé une fille avec autant de hargne et je suis agréablement surpris de constater qu’elle adore ça.

Putain, Erika, tu es vraiment une salope qui aime la bite.

Oui, j’aime la bite, je ne m’en cache pas, mais j’aime surtout la tienne. Donne-la-moi, grand frère.

Oh ça, crois-moi que tu vas la recevoir !

Je la plaque contre mon torse et l’embrasse fougueusement. J’en profite pour lui caresser les seins. J’aime sentir son corps chaud contre le mien. J’ai terriblement faim d’elle.

Seb, j’ai envie que tu m’encules, m’avoue-t-elle.

Quoi ? fais-je en sursautant.

  Je ne suis pas sûr d’avoir bien entendu.

J’ai envie que tu m’encules. Là, tout de suite. S’il te plait !

Tu as déjà fais de l’anal ?

Oui. Et j’adore ça ! Ça te dérange ?

Non ! Bien sûr que non !

  Je n’ai pas osé le lui dire, mais je ne l’ai jamais fais. J’en avais toujours rêvé, je suis heureux que ma sur soit la première. Elle se repenche en avant et se positionne à quatre pattes. Mes yeux sont rivés sur son petit trou de cul. Mon dieu, j’ai tellement fantasmé sur ce moment. Je n’arrive pas à croire qu’il est en train d’arriver. Je mouille un doigt et l’enfonce tendrement dans son anus pour la tester. Elle réagit positivement. Je commence à réaliser qu’elle est sérieuse et qu’elle me veut. Je ne peux plus me retenir. Mon sexe est bien lubrifié, j’espère que cela suffira pour qu’elle n’ait pas trop mal. Je suis tout de même un peu inquiet. J’approche mon gland vers son petit trou et le presse lentement. Son étoile s’ouvre et je m’y enfonce avec douceur. Je la sens frémir à chaque centimètre. De mon côté, c’est extrêmement serré, mais sublimement bon. Je m’attends à ce qu’elle me demande de m’arrêter d’une seconde à l’autre, mais il n’en est rien. Je parviens ainsi à me fichier entièrement au fond d’elle. Troublé par son silence, je lui demande :

Ça va, tu es bien ?

Oui, c’est bon. Tu peux commencer à me prendre.

  Malgré son consentement, j’attends un peu afin de m’habituer moi-même à la sensation. La vue de mon sexe fiché pleinement dans le cul de ma propre sur est incroyable. J’aurais presque envie d’en faire des photos. Je me décide à remuer du bassin. Je commence lentement, comme pour me frayer un passage et la dilater au mieux, puis j’accélère le rythme au fur et à mesure que je rencontre moins de résistance.

Ça va toujours ?

Oui. Allez, c’est bon maintenant, ramone-moi !

Trop impatient, je m’exécute avec bonheur. Je suis aux anges. Je n’arrive pas à croire que tout ceci est réel, je suis en train de défoncer le fion d’Erika. Je retrouve rapidement mon instinct animal. J’ai plus que jamais envie de la sauter comme une salope. Je m’éclate dans son cul comme si j’étais dans sa chatte. Brutalement, sans douceur. Elle aime ça, cela me rend fou. Je m’interroge sur le nombre de fois qu’un mec la ravager par ce trou-là pour que cela lui soit si naturel. Je suis jaloux, cela me donne encore plus envie de la prendre violemment. Manifestement, je ne le suis pas encore assez, parce que je la vois remuer pour s’empaler sur ma queue.

Tu n’es vraiment qu’une salope, Erika ! Je n’en reviens pas !

Oui, je suis une salope qui a envie de se faire enculer sauvagement par son frère. J’assume complètement. Ce que tu me fais est trop bon. Je veux que tu me fasses jouir !

Moi aussi, j’ai envie de jouir, mais je veux que tu finisses ce que tu as commencé tout à l’heure. Je veux que tu me fasses jouir dans ta bouche.

Tout ce que tu veux ! Pourvu que tu me fasses jouir par le cul !

Je redouble de vigueur. J’ai du mal à me retenir, mais le jeu en vaut la chandelle. Elle s’écroule le torse en avant en agrippant les draps. Je lui défonce l’anus comme un marteau piqueur. Je veux que son illet reste à jamais ouvert.

Oooh ! Seb ! C’est bon ! Continue ! Je veux que tu m’encule si fort que tout le monde me voit boiter demain matin.

Quand j’en aurais fini avec toi, tu ne sauras même plus t’assoir ! La raison en sera tellement évidente que maman te demandera le nom de ton nouveau petit copain !

Aaah ! Salaud ! Salaud !

C’est la première fois que j’encule une femme et je prends un pied d’enfer. Je crois que je vais avoir du mal à m’en passer dorénavant. L’anal sera un nouveau prérequis pour mes prochaines copines. Erika semble à l’agonie, les traits de son visage sont tordus par le plaisir. Soudain, je sens son anus se resserrer autour de ma bite et je l’entends crier. Elle jouit, elle jouit par le cul. Je suis sidéré. Je me sens si fier d’être celui qui lui a donné cet orgasme. Elle tremble, je sens son anneau avoir des soubresauts. J’ai l’impression qu’il cherche à me traire. Je me retire avant que l’inévitable arrive et j’en profite pour l’admirer. Son cul n’est plus qu’un cratère béant. C’est tellement obscène que je trouve ça magnifique.

  Elle commence à descendre sur terre, mais elle a toujours besoin de récupérer un peu. Elle se tourne vers moi et me lance un sourire. Elle est heureuse :

Tu es un excellent amant, déclare-t-elle. C’est notre première fois, et tu sais déjà parfaitement comment me prendre.

  Ce sont exactement les mots dont je rêvais d’entendre, je suis comblé. Enfin, pas tout à fait, pas encore. Je n’ai toujours pas éjaculé et bander devient insoutenable.

Erika, est-ce que tu veux bien…

Ne t’inquiète pas, je vais prendre soin de toi maintenant, me coupe-t-elle.

  Elle s’avance vers moi à quatre pattes sur le lit, puis attrape mon sexe d’une main avant de le prendre en bouche sans hésitation. Je réalise seulement qu’il doit avoir le gout de sa chatte et de son cul. Cela ne semble la déranger nullement. Elle est incroyable. Elle me suce bien, mais pas encore assez à mon gout. Elle prend son temps. Elle joue avec mon sexe comme une friandise quand moi j’ai juste envie de gicler un coup. Il faut que je lui en fasse part :

Pitié Erika, je n’en peux plus, achève-moi.

Tu veux jouir ? me dit-elle en me branlant.

Oui.

Pour moi ? Pour ta sur ?

Oui !

Tu veux fondre dans ma bouche et que j’avale ton foutre ?

Oui !

Mon pauvre chéri. Je ferais tout ce que tu veux.

  Elle me reprend dans sa gorge et me pompe pour de vrai. Je gémis de bonheur. Je n’ai plus à me retenir, je n’ai qu’à me laisser emporter par mon plaisir et me laisser éjaculer. Je regrette presque de lui avoir demandé d’avaler. Je la souillerais bien avec mon jus. Tant pis, ce sera pour une prochaine fois. Elle s’applique comme si elle en avait autant envie que moi.

J’aime le sperme, fait-elle pour m’exciter, j’ai hâte de te gouter. Donne-moi tout ce que tu as ! Ne retiens rien !

  Quelle petite trainée ! Je n’en reviens pas ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Entre ses mots, la vision de voir ma sur à quatre patte en train de me sucer et l’anticipation de remplir sa bouche de foutre, je perds complètement la tête. Je sens soudain mes couilles éclater. Elle comprend ce qui se passe quand je pousse un grognement et elle s’apprête à me recevoir. C’est une torture de sentir mon jus coulisser le long de ma tige, mais c’est d’autant plus un soulagement quand je gicle enfin :

Aaah ! Erika ! Je viens ! Je viens !

  Je lui envoie de copieux jets de foutre au fond de la gorge. Elle accélère ses coups de poignet comme pour chercher à me vider entièrement. Je dois dire que c’est très efficace, elle fait ça comme une pro. Elle n’a pas de hauts le cur ni n’en fais tomber à côté. Je l’insulte encore une fois de salope en pensant aux nombre de fois qu’elle a déjà dû faire ça à un homme, je suis à la fois jaloux et heureux.

  Elle continue à essayer de tirer mon jus bien que j’ai fini d’éjaculer. Ma bite fait encore des soubresauts, mais je sens bien que je tire à vide. Lorsqu’elle le réalise, elle lâche mon sexe et ouvre la bouche. Mais quelle pute ! Elle a tout gardé rien que pour le plaisir de me montrer mon sperme ! Elle referme la bouche, déglutit un bon coup et me montre qu’elle a bien tout avalé.

Tu n’es vraiment… qu’une salope… fais-je haletant.

  Cela la fait rire.

Tu as aimé, grand frère ?

Oh ouais, c’était incroyable. Je ne regrette rien.

Moi non plus.

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