Bénédicte de Saint-Preux se prépare pour le diner sous l’oil attentif de ses domestiques devenus ses maîtres. Car Madame de Saint-Preux est bel et bien devenue leur esclave.Elle en a bien conscience et cela la révulse mais aussi l’excite terriblement. Les trois caïds, Rachid, Momo et Brahim sont partis après avoir convenu avec Charles que ce week-end, il emmènerait Madame se faire partouzer dans une cave de leur citée. Maria, la bonniche de Bénédicte, s’impatiente.

— Que Madame se dépêche, ses invités vont arriver.

Bénédicte, rouge de honte, s’observe dans le miroir de sa chambre.Maria l’a forcée à s’habiller comme une pute !.Elle est vêtue d’un chemisier blanc transparent appartenant à Maria. Il est trop petit pour elle et il dissimule avec peine son opulente poitrine. Ses seins débordent du soutien-gorge rouge que sa bonniche l’a contrainte à enfiler. La jupe également est trop petite et lui arrive au ras des fesses laissant apparaitre à chaque pas la lisière des bas-résilles, retenus par un porte-jarretelles. Ses escarpins rouges aux talons aiguilles en acier la grandissent et l’obligent à se cambrer. Pour l’humilier encore plus, Charles lui demande de mettre un serre-tête en velours dans ses cheveux. Ce qui lui donne un air encore plus pervers.Un coup de sonnette retentit et Charles lança avec un regard égrillard :

— Que la fête commence !

Guillaume de Saint-Preux pénétra dans l’immense salon de son manoir et fut étonné de n’y trouver ni ses domestiques et ni son épouse. Il jeta un coup d’oil à sa montre, qui devait coûter le salaire moyen d’un ouvrier de son usine, et se dit que Monsieur Bourbon-Dumas et sa femme n’allaient pas tarder. Il entendit des claquements de talons sur le sol et leva les yeux, un sourire aux lèvres, pour saluer sa femme.Sourire qui resta figé en découvrant le spectacle qui s’offrait à lui.Il sentit le sang se retirer de son visage.Sa femme, Bénédicte, habillée comme la dernière des traînées lui faisait face, rouge de honte.Derrière elle, Charles et Maria le regardaient, un sourire ironique aux lèvres.

— Eh bien, Monsieur n’apprécie pas la surprise de Madame ?

Guillaume, interloqué, le souffle coupé, ne répond pas.Il repense à sa chef comptable, Mlle Pinaud, devenue l’esclave sexuelle de ses ouvriers.Il sentit venir une formidable érection.

Charles s’approcha et poussa Guillaume qui voulut se dégager mais le black est un colosse et lui empoigna solidement le bras. Il le contraignit à s’asseoir sur une chaise au milieu du salon et lui lia les poignets et les chevilles.Il s’assit à côté de lui et lui expliqua la situation..Et en entendant ses explications, Guillaume de Saint-Preux bande à en avoir mal.

Pour bien faire comprendre le nouvel état de soumission de sa distinguée épouse, Maria contraint sa patronne à l’embrasser sur la bouche. Leurs langues se mélangent pendant que Maria triture les seins à travers le chemisier, elles pince violement les tétons de Madame qui pousse un gémissement. Sa fente s’humidifie, très vite, la cyprine coule le long de ses cuisses.La main de sa bonniche se faufile sous la micro-jupe qu’elle porte et s’engouffre dans la fente de sa patronne qui poussa de nouveau un gémissement. Maria lui donne des petites tapes sur son clito et Madame gémit sourdement donnant un coup de reins. Maria retira ses doigts et les montra à son époux.

— Vous voyez ? Monsieur était loin de se douter que son épouse était une chienne en chaleur, n’est ce pas ?

Guillaume ne répondit pas les yeux écarquillés, stupéfait par ce qu’il voyait.

Charles s’approcha de sa patronne et claque des doigts :

— A genoux, chienne, et applique toi !

Docile, Madame Bénédicte de Saint-Preux s’agenouilla devant son chauffeur et de ses doigts manucurés sortit la bite d’ébène qu’elle s’empressa d’avaler. La grosseur de la bite déforme sa mâchoire. Fasciné et écouré, son mari regarde sa femme en train de sucer son chauffeur. La bite qui coulisse entre les lèvres rouges de son épouse l’excite énormément… Encore plus que quand il regardait les ouvriers de son usine baiser sa chef comptable !

Maria s’approcha de lui et devinant les pensés de son patron, elle s’agenouilla à ses pieds et dégagea sa queue gonflée à bloc, le gland violacé. Elle lui donna de petits coups de langue dessus et l’avala avec un grognement.Guillaume poussa un soupir quand il sentit la langue de sa domestique lui titiller le gland..Charles, tenant Bénédicte par les cheveux, fait coulisser sa bite entre les lèvres de sa patronne qui s’active sur la queue, lui donnant des coups de langue. Par moment, voulant reprendre sa respiration, elle arrête de le sucer et lui lèche la hampe puis replonge sur la queue de son chauffeur.A ce rythme là, il ne résista pas longtemps et il éjacula dans la bouche de sa patronne qui avala le foutre de son chauffeur en déglutissant avec peine.

Ne la laissant même pas se nettoyer, Charles força sa patronne à rejoindre son époux, à genoux, les fesses à l’air, pour donner un coup de main, ou plutôt un coup de langue, à Maria. Guillaume, sucé par sa bonniche et sa femme, ne tarda pas non plus à vomir des jets de sperme, qui allèrent s’écraser sur le visage de Bénédicte.

Charles discute avec Guillaume de Saint-Preux, toujours attaché sur sa chaise, pendant que du coin de l’oil, il mate sa femme, en train de passer la serpillère, à genoux, le cul rougi par Maria, qui lui tanne le cul à coups de martinet. Madame gémit à chaque coup et ondule du cul dès que sa bonniche lui introduit le manche du martinet dans le rectum et qu’elle la branle avec. Guillaume vient de tout avouer à Charles. Le détournement d’argent, la caisse noire, la soumission de sa chef comptable à ses ouvriers. Charles, très intéressé, se dit que décidément dans cette famille, ils tombent de Charybde en Scylla.Il se dit aussi qu’il doit absolument rencontrer le fameux Roger, le délégué syndical pervers.Il demande des renseignements sur les Bourbon-Dumas, qui vont arriver. Le PDG est il au courant des malversations de Guillaume ? Oui, répond Guillaume dans un souffle.

Charles sourit et tourne la tête, regardant sa patronne, enfin, son ex-patronne, à genoux sur le sol, gémissant et soufflant, en train de nettoyer les escarpins de sa bonniche avec sa langue.

Il pense à la bourgeoise qui va arriver. Il l’imagine déjà à ses pieds en train de lui pomper la bite.

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