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LES FANTASMES D'ISABELLE – Chapitre 21




-Ecarte ses cuisses, idiot, allez ! écarte.

Allen sexécuta en prenant chacune de mes chevilles et en écartant mes cuisses lui dévoilant mon intimité.

-Putain ce que cest beau un sexe de gonzesse ! Regardes elle est toute rasée.

Mathieu toujours plaqué sur moi métouffait littéralement. Javais réussi à recracher le bâillon quil mavait fait.

-laissez-moilaissez-moi je vous promets je ne dirai rien !

-Tais-toi, on va te baiser dabord grommela Mathieu en enfouissant sa main entre mes jambes.

Allez baise-la, tu en as envie tu me las dit tout à lheure.

-Allen je ten prie laisse-moi. Je réussis à dégager une jambe alors quil était en train de vouloir abaisser son pantalon et je le repoussais violemment. Il tomba à lenvers en jurant de tous les diables. Je sentais Mathieu en train dexplorer ma vulve et lécarter, puis passer sa main sous mes fesses et pénétrer son index dans mon petit trou. La violence avec laquelle il lentra me déclencha un cri de douleur. Mais il était déjà entièrement enfoncé dans ma gaine serrée.

-Elle suce tu mas dit hein ?

-Ouais elle ma sucé !

-Alors moi aussi je veux. Tu as joui en elle ?

-Elle ma pompé, cétait super !

-Dis donc tu vas pas jouer ta mijaurée maintenant ! Allez empale-laje te dis quelle nattend que cela.

Je sentis les genoux cagneux dAllen contre mes cuisses grandes ouvertes.

-Cest beau une chatte de femme, putain !

-ten avais déjà vu avant ?

-Non mais celle-là elle est superbe !

-Branle-la tu vas la faire mouiller !

-elle est sèche, précisa Allen en enfonçant deux doigts dans mon vagin.

-Branle-la je te dis elle va mouiller tu vas voir !

Mathieu jouait toujours de son index au fond de mon anus, je ne ressentais plus la douleur, dilaté mon anus ne sentait plus rien sinon lherbe humide. Allen se mit à me branler rapidement entraînant Mathieu dans son massage de mes fesses. Il se releva, déboutonna sa braguette et sortit son sexe, qui était large et trapus. Il dégagea ses bourses et se remit sur moi.

-Bouffe-moi les couilles !

Alors que je refusais de répondre à se demande il se releva à nouveau avec sa main il me força violemment à ouvrir ma bouche et présenta son gland à mes lèvres.

-Suce ! je te dis.

-Nooooonnn !

Avant que je ne pus resserrer les mâchoires et éviter quil me pénètre la bouche, il resserra son étau sur mon menton mobligeant malgré moi à ouvrir la bouche, il en profita pour enfiler son sexe sur toute sa longueur jusquau fond de ma gorge. Jeus un haut le cur et il se mit à me pilonner la bouche. Son sexe large emplissait toute ma bouche, il sentait lurine. Je ne pus résister à un tel assaut alors quAllen après avoir retiré ses doigts, présentait son sexe devant ma vulve.

-Elle commence à mouiller ! regarde dit-il en montrant ses doigts à Mathieu.

-Allez grimpe-la tu vois pas quelle nattend que cela ! Tu bandes comme un âne fiston tu vas te dépuceler.

-Jai envie de lui en mettre plein !

-Regarde comme elle me suce fils ! Putain je vais partir ! Elle me fait claquer !

Avant que je puisse essayer déchapper à lorgasme de Mathieu, il appuya son sexe qui senfonça au fond de ma gorge et là il explosa en moi minondant toute la gorge et déclencha une quinte de toux qui eut pour effet dexpulser sur son pantalon tout le sperme quil avait déversé contre ma volonté ;

-Salope ! tu as souillé mon futal regarde cela.

Allen entrait son sexe dans ma chatte petit à petit.

-Elle est serrée ! elle est très serrée !

-Enfonce lui dun coup et ramone la !

Je sentis le sexe maigrelet dAllen senfoncer au plus profond de moi et ses bourses buter contre le bas de mon sexe. Je me dis que le dépucelage dAllen était des plus torrides et je décidais de devenir passive, de toute façon je ne pouvais pas lutter contre ces deux excités.

Mathieu sentit que je ne résistais pas, il me remit son sexe encore mouillé de son sperme dans la bouche. Je ne résistais plus. Le goût à la fois acre et amer de son sperme menvahissait la bouche en même temps que ses coups de bassin.

A présent Allen avait replié mes deux jambes et me labourait le ventre dans un va-et-vient rapide

-Cest bon putain ! cest bon elle mouille je la sens !

-Crache lui tout ce que tu peux ! allez le môme !

Cest un fait que la nature ne pouvait résister à une telle situation et je sentis mon vagin shumidifier à chaque pénétration du sexe étrangement noueux dAllen.

Il accéléra le rythme, me battant peau contre peau les fesses et lentrejambe signe quil sentait venir en lui sa jouissance. Je mapprêtais à le recevoir, les choses en étaient ainsi. Un cri, une sorte de miaulement sortit de son maigre thorax

-je vais jouir… ; ouije viensah ce que cest bon ! cest bon mon Dieu !

Je le sentis exploser au fond de moi, je connaissais ces moments dextase qui paralysaient le cerveau, faisant monter une vague de sang dans les tempes jusquà parfois entraîner linconscience. Par longues saccades, Allen venait de jouir pour la première fois de sa vie dans le ventre dune femme. Je laissais retomber mes jambes sur lherbe humide. Allen resta en moi appréciant cette situation jusquà ce que son sexe se détende. Il se retira de mon vagin avec un étrange bruit de succion, laissant échapper sur lherbe sa semence blanchâtre de mon vagin.

-A toi Mat ! la place est chaude !

-je ne veux pas jouir dans ta crème salopard je la veux autrement, tourne la !

-Tu ne vas pas quand même la

-Si… ; si si tourne la je te dis !

Lorsque Allen me prit par la hanche pour me faire comprendre quil fallait que je me retourne, je ne résistais pas, je nen avais plus la force. Je me positionnais de moi-même à quatre pattes, appuyée sur mes coudes, les fesses rebondies. Je sentais le liquide encore tiède me couler sur les cuisses.

-Tiens essuie la ! dit-il en jetant un paquet de kleenex à Allen.

-regarde Mat son sexe est ouvert comme une fleurDiable cela narrête pas de couler, voila 5 mouchoirs que jutilise.

-Tu nes plus puceau lami dit Mathieu en se positionnant derrière moi. Je craignais le pire et je ne me faisais plus dillusion.

-Tu as déjà pris une femme par là ?

-Non, mais dans les films elles aiment cela.

Mathieu enfonça à nouveau son index dans mon petit trou en le faisant tourner. Je savais que jallais avoir droit à une sodomie en règle. Je naimais pas particulièrement être prise par mon petit trou secret, mais je savais à quel point les hommes lapprécie. Au moment où il présenta son gland large et trapu sur mon anus, je savais que si je ne voulais pas avoir mal, il fallait que je pousse afin de décontracter mon sphincter. Le gland butta sur lorifice, puis sappuyant sur mes fesses il poussa forçant le sphincter. Je sentis une douleur menvahir le bas-ventre. Il se retira de moi et se représenta, plusieurs fois sous le regard ébahi dAllen.

-Putain elle crache encore mon sperme !

-la prochaine fois saligaud je passe le premier, tu colles avec ton foutre de débile !

-Elle ne dit rien… ; enfonce lui tout !

Mathieu poussa en force et je sentis coulisser dans mon ventre son sexe… ; étrange sensation qui navait rien à voir avec celle dune pénétration vaginale. Puis se sentant libre de passage il se mit à me pilonner presque à la verticale de mes fesses. La possession de mon entre reins dura plusieurs minutes, je sentais que Mathieu fatiguait. Jétais à présent bien ouverte mon sphincter ayant pris la forme de son pieu. Il accéléra la cadence, et dans un cri indescriptible il se vida au fond de mes entrailles par de longues et voluptueuses saccades.

Il ne tarda pas à se retirer de moi.

-Voila une femme comblée ! Tu en as eu pour ton compte !

-Vous nêtes que des voyous.

-Peut être mais vous en avez profité !

-pas tant que vous. Dégagez maintenant laissez-moi seule, criais-je en essuyant les larmes qui coulaient sur mes joues.

Allen sétait rhabillé ainsi que Mathieu ! Ils se tapèrent dans les mains comme le font les sportifs satisfaits dun résultat !

-Allez on se casse, tu viens Al !

Jentendis la mobylette de Mathieu crépiter et séloigner. Je décidais daller me laver au bord de la rivière. Leau froide me fit le plus grand bien à mon anus dilaté. Jen profitais pour laver à fond ma chatte endolorie. Je ramassais le restant de kleenex pour messuyer et en enfilant ma culotte, je vis au loin Allen remonter la petite côte en pédalant comme un dératé vers le château.

Cette aventure me déstabilisait. Je ne savais que faire, être prise de force, pour ne pas dire violée, pénétrée sans un réel consentement par deux garnements qui ont vécu leurs plaisirs sexuels. Pour ma part, encore cassée par cette agression, je me demandais si je nallais pas demander à Jessey de repartir. Allen le maigrelet avait enfin obtenu ce quil voulait depuis hier de moi, ce Mathieu son complice était insipide pour moi, trop vulgaire. Il avait utilisé mon corps sétait vidé les bourses, mavait à sa grande satisfaction sodomisée. Jen avais mal aux fesses et me dis que remonter en selle du vélo allait être terrible. Pour me décontracter après mêtre correctement rhabillée je décidais de rentrer au château en poussant mon vélo. Et puis basta !

SUITE DANS LE PROCHAIN EPISODE DES FANTASMES DISABELLE N° 13

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