Maman est repartie le lendemain, officiellement pour vérifier l’état de sa maison.
Je sais que c’est certainement pour me laisser un peu respirer.
Je reprends le cours de ma vie en particulier l’échange de mails avec Gladys, une inconnue qui m’a écrit un jour et avec qui je corresponds depuis des semaines.
Ce n’était pas facile de se livrer avec ma mère dans les parages, je devenais paranoïaque à l’idée qu’elle espionne nos échanges, mais à présent qu’elle est loin je peux y aller plus franchement. Je ne sais rien sur elle, elle me dit qu’elle a eu mon adresse mail par une amie… mais très vite nos courriers sont devenus très chauds.
Elle a plus de quarante ans, elle se dit jolie pour son age, je connais sa taille, ses mensurations, le bonnet de sa poitrine (105 D, comme Maman).
Depuis quelques jours elle m’envoie le plus mystérieux des puzzles. Je reçois des photos montrant quelques détails de son anatomie. J’ai vu ses mains, ses pieds, ses mollets, puis le haut de ses cuisses galbées de bas de soie. J’ai aussi des clichés de ses seins, des gros plans de ses aréoles et de ses pointes dodus.
Il y a quelques jours j’ai reçu une photographie de sa chatte. Elle a le minou très poilu, hirsute même. Tout son entrejambe n’est que broussaille dense, constellé de poils noirs frisés.
Elle aime que je sois honnête, voir très directif, alors j’ai répondu avec deux simples mots:
«Barbu = beurk ! ».
Ce matin j’ouvre ma boite de réception, il y a un nouveau message d’elle, pas une phrase, juste une pièce jointe sur laquelle je me suis empressé de cliquer.
Aussitôt à l’écran s’affiche son minou. Il est tout épilé, parfaitement lisse, je vois sa fente profonde, les replis de ses lèvres et son clitoris tout moite.
Elle s’est sûrement caressée avant d’immortaliser cet instant, son bouton d’amour est bien dressé, terriblement bouffi, prêt à être gobé et suçoté.
Je repense fréquemment au derrière de Maman, maintenant qu’elle est retournée chez elle c’est devenu une obsession. Il faudrait que j’en trouve un qui me le fasse oublier pour que je passe à autre chose, cet état d’esprit devient pesant et frise l’immoralité.
Je tape un courriel, le fondement de mon inconnue s’il est assorti à ce que j’ai vu d’elle doit être fort intéressant, alors je me lance avec malice et je lui demande de le photographier.
Je me suis confié à Gladys, j’ai confessé mes troubles sur les fantasmes que j’ai envers Maman et depuis elle joue un petit jeu polisson avec moi et j’avoue que c’est très agréable.
Je n’ai pas attendu très longtemps, une heure plus tard je découvrais son cul.
Elle a une lune magnifique, bien large, bien rebondie. Pas de cellulite, juste deux fesses bien grosses avec une raie profonde et appétissante.
Le cadrage est particulier, je distingue sa vulve bombée et posé dessus, en simulacre de masturbation, son index enchâssé au beau milieu.
Gladys a juste noté sur la photographie que son postérieur aimait beaucoup les fessées.
Elle me chauffe, elle sait que depuis des semaines je ne pense plus qu’à un fion en particulier…
J’allais éteindre le PC quand un second courriel est arrivé, il est de ma mère.
C’est bientôt les vacances, j’aurai quelques jours de libre et elle me propose de passer à la maison.
Cela fait un mois que nous nous sommes quittés, elle me manque cruellement, alors je réponds que je viendrais rapidement la voir.
Je vais prendre sur moi, essayer de faire abstraction de mes pensées impies et nous allons enfin nous retrouver.
Deux semaines plus tard, après trois heures de route, j’arrive chez elle.
Maman s’est fait belle, petite robe fourreau noires, des escarpins à talons aux pieds qui cambrent ses reins et bombent son popotin.
Elle est coiffée, maquillée comme si elle devait se rendre à un rendez-vous coquin, mais elle me confesse que c’est pour moi qu’elle a soigné sa tenue.
Je me sens flatté, heureux, ma mère reprend son existence en main, elle oublie Papa et c’est ce qu’il fallait qu’elle fasse.
Le séjour se passe à merveille, je retrouve ma mère attentionnée et aux petits soins pour moi. Nous faisons de longues ballades et le soir pendant qu’elle cuisine je consulte ma messagerie.
Gladys m’écrit chaque jour, des lettres enflammées qui m’excitent. Elle voudrait que je sois avec elle pour que je la punisse de toutes les bêtises qu’elle fait en se languissant de moi.
Elle me raconte tout sans tabou, sa sexualité et son imagination semblent sans limite, elle me dit qu’elle se masturbe en pensant à moi, qu’elle songe sans cesse à mes paluches fondant sur sa croupe pour les incendier. Elle voudrait s’allonger sur mes genoux, que je baisse sa culotte et que je lui assène la plus sévère des déculottés.
Je bande en lisant sa prose, Maman s’en rend compte et elle peste en silence à chaque fois que j’allume mon ordinateur.
Ce soir elle a consciemment décidé d’aller au clash.
Elle lève les yeux au ciel, elle soupire à peine l’écran s’est allumé, moi idiotement je prétexte des mails du travail à consulter et à peine j’ai fini mon excuse, je l’entends murmurer que je ne dois pas la prendre pour une idiote.
J’essaye de temporiser mais je m’emmêle dans mes explications, c’est là qu’elle m’a balancé en travers de la gueule que je suis aussi faux-cul que mon père…
Aussitôt tout est de nouveau ressorti, mes coups en douce, mes vices, mes penchants que je n’assume pas.
Elle me dit qu’elle n’est pas dupe, qu’elle sait parfaitement à quel genre de type elle a affaire.
Elle me jette au visage qu’elle a lu tout mes courriers, vu les photos que je cache.
Elle m’envoie en pleine tronche que je suis bien le fils de mon paternel, aussi fourbe, aussi lâche, avec autant d’estime de moi même qu’il en avait pour lui, c’est à dire pas grand chose…
Elle me rabaisse, elle s’interroge ouvertement sur mes capacités viriles à régaler une fille, moi qui ai la prétention de me croire assez balèze pour dominer une femme, alors que j’ai tout d’un pitoyable mec, que je suis pathétique et présomptueux sur mes aptitudes sexuelles.
« – J’ai perdu trop de temps avec ton cher papa, je n’en perdrais pas davantage avec une femmelette qui joue au mâle et qui n’a rien dans le slip ! ».
Trop c’est trop, je me suis levé d’un coup, je me suis rué sur elle…
Elle s’est reculé jusqu’à s’acculer contre le buffet et elle ne peut plus fuir. Je la secoue un peu en hurlant, mais très vite je reprends le contrôle.
Elle se rend compte que je me calme, alors elle me fusille du regard et comme pour me mettre au défi elle me crache au visage cette phrase assassine…
« – Tu n’es qu’une couille molle comme ton père ! ».
Je n’ai pas réfléchi, elle avait cet étrange sourire en m’insultant, alors je l’ai retourné et j’ai envoyé une belle baigne sur sa croupe. Elle a poussé un long râle et ce n’était pas de douleur et immédiatement elle a susurré ces mots pour me blesser dans mon orgueil…
« – Tu t’arrêtes déjà couille molle ! ».
Je la frappe de nouveau mais cette fois ci avec bien plus de force et elle répète encore sa phrase blessante. Elle me met à l’épreuve et je viens de comprendre, Maman veut que je la fesse comme une gamine capricieuse.
Je cingle une nouvelle fois sa fesse, elle pousse un cri aigu, mais elle continu à me rabaisser et a chaque coup elle me motive de la plus odieuse des manières.
« – Couille molle ! ».
C’est bien ce qu’elle veut et je vais le lui donner.
J’arrête de la frapper, je la couche sur le meuble et j’écarte ses jambes, elle ne dit plus rien. Je retrousse sa robe et la tire-bouchonne sur son dos, elle reste immobile un instant le dos bien plat puis recule ses pieds pour mieux me présenter son derrière et je l’entends de plus belle murmurer…
« – Fais le, couille molle ! ».
Alors je claque son cul et recommence encore et encore. Je lui envoi claque sur claque et elle commence à s’essouffler, plus je la corrige et plus elle perd son souffle.
Je la fesse et elle se délecte.
J’arrête une seconde, j’ai le souvenir de quelques déculottées mémorable reçues de sa main, alors le vice me prends, j’attrape sa culotte et la descend prestement à mi cuisse.
Elle va l’avoir sa branlée et ce sera cul nu.
« – Vas y couille molle !, vas y… », m’implore t-elle d’une voix tremblotante.
Je reprends la correction, j’ai attrapé sa nuque pour qu’elle reste en position et de l’autre bras je frappe. Chaque châtaigne rougit atrocement sa lune, elle continue ses insultes mais maintenant son timbre trahit son extase.
Je perds toute morale, je n’arrête plus de la punir, ses fesses sont écarlates, elle doit avoir mal et pourtant chacune de ses plaintes me signifie sans pudeur qu’elle se régale. Je tape pourtant de plus en plus fort mais à présent ce ne sont que des « oui » gutturaux qui sortent de sa gorge.
Je change de main, à force de la molester la première me lance et c’est là que je me suis rendu compte de l’impensable.
Ma mère se branle à chaque calotte.
J’abandonne toute retenue, à présent j’y vais franchement, la dégelée n’en finit pas de s’abattre sur son fondement et plus je la bats et plus elle brame son ivresse. Je ne sais plus où j’en suis, la situation est ahurissante mais je m’enflamme.
Ma mère aime être corrigée et je repense à cette première fois chez moi.
Ce jour là j’ai fait sauter un verrou en elle et durant toute notre séparation elle a dû sacrément se morfondre.
Je la fustige de toute ma fougue, j’aime rougir son fion, je n’aspire plus qu’à une seule chose le marbrer de mauve et de bleu. Je veux qu’elle soit couverte d’hématomes, qu’elle déguste. Ma mère aime la souffrance, elle jouit d’être rabaissée et punie comme une gosse, mais plus encore, elle aime que ce soit moi son tourmenteur.
Ma seconde paluche me fait souffrir, je regarde autour de moi et je vois une de ses brosses à cheveux qui traîne. Je sais pour l’avoir vu sur le net que bien utilisé cet instrument peut s’avérer redoutable. Je serre le manche et sans attendre je reprend la punition. Dès qu’il heurte son fessier le plastique claque dans l’air, le bruit est particulièrement sonore et il accroît ses ardeurs. Ma mère n’en finit plus de se masturber, mais dès lors son émoi est triple, douleur, rabaissement et jouissance viennent de fusionner.
Les premières ecchymoses apparaissent, de gros bleus commencent à azurer sa croupe, je lève bien haut mon avant-bras avant de le faire fondre et cela claque et l’outrage toujours davantage et d’un coup elle perd toute décence…
Elle jouit à tue-tête dans un hurlement incroyable.
J’ai immédiatement stoppé la raclée, je regarde son derrière se convulser, elle n’arrive pas à se contrôler, tout son bassin est pris de spasmes mécanique. On dirait une chienne qui agite désespérément son arrière-train juste après s’être fait saillir.
Elle est à bout de souffle, elle reprend ses esprits avec peine, mais à en juger l’état de sa chatte et de ses doigts elle s’est régalée.
J’aurai pu en rester là, mais non, je veux aller jusqu’au bout du châtiment, alors je l’attrape par la tignasse et la couche sur la table basse.
« – Reste comme cela, la lune bien relevée ! Je vais revenir… ».
Je suis sorti de la pièce, je me suis tapi dans le couloir, je l’observe et comble du bonheur elle ne bouge pas. Elle vient de trouver son maître, je ne suis pas une couille molle comme papa, bien que je sache qu’elle me l’a dit pour que je saute le pas.
Dans la salle de bain j’ai attrapé la boite à pharmacie, je vais pouvoir poursuivre son dressage puisqu’il semble que cela soit son souhait le plus cher.
Je suis revenu près d’elle, j’ai posé la trousse et je l’ai ouverte, j’y ai trouvé mon bonheur, un gros tube d’arnica. J’en mets une grosse rasade dans ma pogne et tout doucettement je commence à panser ses blessures.
Ma paume est toute légères, j’en applique partout, j’enduis méticuleusement chaque meurtrissure. Je l’apaise du mieux que je peux et plus je le fais et plus elle redevient effrontée. Je vois ses phalanges revenir subrepticement sur sa vulve, alors d’une belle mornifle sur sa paluche je lui fais tout stopper sur le champ.
« – Sage ! », et elle n’a plus recommencé.
J’ai tout bien recouvert de gel, ses fesses sont grasses et luisantes, comme sa motte qui ruisselle toujours autant. Cela va cicatriser bien vite et demain elle ne devrait plus avoir la moindre trace, alors je me lève et m’assoit dans le canapé. Elle voulait savoir le genre d’homme que j’étais et bien désormais je sais qu’elle n’est pas déçue.
Elle s’est remise debout, elle caresse sa croupe, moi je feins le type pas intéressé et d’une voix calme je lui ai demandé de réajuster sa tenue et de me servir un verre.
Maman remonte sa culotte et dans ses yeux je devine un peu de tristesse, je me doute qu’elle aurait voulu que cela dérape davantage.
Mais un détail troublant m’a sauté aux yeux, dans l’action je ne l’avais pas remarqué. Son sexe est lisse et glabre et il luit de mille feux.
Il est tard, ma mère dort, je rallume l’ordinateur, je tape à toute vitesse sur le clavier. Je note tout ce qui s’est passé ce soir, jusqu’aux moindres détails et je l’envoie à Gladys.
Nous ne nous cachons rien et j’estime qu’elle doit le savoir.
Il est trois heures du matin, la belle dort probablement, demain elle trouvera ma missive et je suis empressé de connaître son ressenti.
Je regarde la TV, rien de bien à cette heure ci, je vais aller au lit. Machinalement je vérifie ma boite de réception, j’ai un message de mon inconnue, il est court et sans appel.
« Va t-en et laisses la se languir ! ».
Alors en fin de matinée, je suis parti.
J’ai abandonné Maman, avec juste une dernière recommandation griffonnée à la hâte sur une feuille que j’ai laissé sur la table:
« Pas de bêtises en mon absence, sinon gare !… ».