Il y a des filles qui sont prêtes à tout pour remonter leur moyenne, bravant l’interdiction en corrompant les professeurs. Je m’étais juré de ne pas y céder lorsque j’avais enfin obtenu un poste. Mais comment aurais-je pu savoir qu’une petite salope allait m’avoir ?
Après mon doctorat, j’avais été accepté dans une université où j’enseignais la littérature du XVIIIe siècle, cela faisait maintenant cinq ans et j’aimais beaucoup ce poste. Étant plutôt bien bâti et toujours souriant, je n’étais pas à ma première élève allumeuse qui souhaitait avoir son année. Cependant, malgré leurs regards charmeurs et des propositions bien alléchantes, je n’avais jamais accepté, ne voulant pas perdre mon poste pour une partie de plaisir.
Jusque-là, j’avais la situation en main et cela ne me déplaisait pas de me faire draguer par de belles étudiantes.
C’est alors qu’elle est arrivée.
Dès le début, j’ai remarqué la différence par rapport aux autres, elle était tout simplement canon ! Des jambes bien définies, un fessier à faire bander un impuissant, une poitrine ferme toujours mise en valeur par des décolletés. Et son visage délicat, souligné par des yeux verts d’eau, aurait inspiré nombre de peintres.
Si encore elle avait simplement suivi les cours et respecté la relation prof-élève, j’aurais fantasmé sur elle puis je serais passé à autre chose.
Sauf qu’elle n’était pas ainsi.
Dès que nos regards s’étaient croisés, une étincelle sauvage avait empli son regard émeraude et j’avais ressenti la sensation d’être une proie.
Ça n’avait pas manqué, à la fin des travaux dirigés, elle s’était approchée d’une démarche féline, me regardant droit dans les yeux.
Monsieur, je n’ai pas bien compris le dernier paragraphe du texte, pourriez-vous me l’expliquer ?
Son ton se voulait innocent, tandis que son attitude faisait tout le contraire. Pendant que je me forçai à me concentrer, elle s’était penchée en avant me donnant une magnifique vue sur sa poitrine rehaussée. Elle mordillait distraitement ses lèvres pulpeuses en me regardant avec détermination, ce qui me troublait fortement. Une fois que j’eus fini, elle vérifia qu’il n’y avait plus personne et me glissa à l’oreille.
Moi, c’est Célia, j’ai entendu dire que vous avez toujours refusé les avances des élèves, on en reparlera quand j’aurais votre queue au fond de ma gorge.
Abasourdi par tant d’audace, je clignai des yeux et elle s’éclipsa en roulant les hanches. Cette fille me voulait, elle ferait tout pour atteindre son but.
C’est ainsi que commença mon supplice, à chaque fois que nous avions cours ensemble, elle me regardait avec gourmandise, léchant doucement ses lèvres, se cambrant faisant ressortir ses fesses que je rêvais de claquer. Comme je résistais toujours, Célia passa à l’étape supérieure, s’amusant de me voir prêt à exploser. Une fois, elle s’était approchée pendant que je rangeais mes affaires et profitant que nous soyons seuls, s’était plaquée contre mon torse pour embrasser mon cou descendant jusqu’à ma ceinture. Sa bouche chaude déposant de doux baisers m’avait presque fait vaciller, mais au prix d’un ultime effort je m’étais dégagé partant sans un mot, tandis qu’elle avait éclaté de rire.
Pendant trois mois, elle me chauffa sans relâche, j’avais de plus en plus de mal à lui résister, car elle voulait à tout prix se taper le beau prof inaccessible.
Au détour d’un couloir, j’avais entendu deux étudiants parler du fait qu’ils la trouvaient super bonne, mais qu’apparemment, elle s’intéressait aux plus vieux.
Enfin, les vacances de Noël arrivèrent et j’en profitai pour souffler. Devoir se retenir sans cesse était épuisant, je rêvais de la baiser bien fort pour lui faire comprendre ce que c’était de m’allumer. Pourtant j’étais fier de m’être retenu jusque-là.
Alors que je pensais vivre deux semaines en paix, nous nous croisâmes au cours d’un dîner au restaurant. Je discutais avec mon ami, patientant pour avoir une table, lorsque balayant la salle du regard, je la repérai, se faufilant agilement pour servir les clients. Ce n’était pas possible…
J’allais faire demi-tour quand elle m’aperçut, aussitôt ses yeux s’illuminèrent et elle s’approcha.
Eh bien, Monsieur Guillet, je ne savais pas que je vous manquais à ce point.
J’ignorais que vous étiez serveuse ici, renchéris-je durement.
Il ne fallait pas que je me fasse avoir, elle était tellement bandante ! Sa petite robe noire faisait ressortir ses hanches et moulait sa belle poitrine, je n’étais d’ailleurs pas le seul à qui elle faisait de l’effet, à voir le regard de nombreux clients. Soufflant doucement pour me calmer, je la suivis à notre table un peu en retrait par rapport aux autres. Une fois qu’elle fut partie, Vincent, mon ami, se lâcha.
Putain, mais elle est grave chaude la serveuse ! En plus, tu la connais et tu ne m’as rien dit.
C’est une de mes élèves.
Élève ou pas, moi je l’aurais démontée comme il faut. Comment elle te regardait, elle a envie de toi Florent ! Des filles comme ça, on en croise rarement.
Je ne veux pas perdre mon emploi pour elle, répliquais-je avec moins d’ambition que d’habitude.
T’es trop coincé, amuse-toi pour une fois.
Je déviais la conversation, ne voulant pas en parler. C’était sans compter sur Célia qui revint prendre nos commandes, s’approchant beaucoup trop près de moi, me caressant l’épaule du bout des doigts. La table étant dans un renfoncement, on ne nous voyait pas, ce qui lui permettait de se comporter ainsi.
J’avais de plus en plus de mal à retenir mes pulsions, si seulement je pouvais lui arracher sa robe et la retourner pour la prendre violemment en levrette, cela lui ferait perdre son air innocent.
Vincent s’éclipsa au milieu du repas pour aller aux toilettes, ce qui laissa le champ libre à cette petite cochonne. Cette fois, elle y alla plus franchement, prétextant remplir la panière à pain, elle passa ses mains sur mon torse jusqu’à toucher mon érection. Je sursautai, mais la laissai faire pour une fois, c’était trop bon. Massant mon pénis à travers le pantalon, elle me chuchota.
Eh bien, on ne résiste plus à ce que je constate, Monsieur le professeur.
Qu’est-ce que tu veux à la fin ? demandais-je difficilement.
Je veux ce que les autres n’ont pas eu, je veux que vous me baisiez comme vous ne l’avez jamais fait, je veux enfin voir cette grande queue que j’ai entre les mains. J’ai senti que vous avez une bestialité qui ne demande qu’à être réveillée, que vous contenez depuis trois mois, libérez-la !
Elle me lâcha après une dernière pression et partit rapidement. Vincent revint une vingtaine de secondes plus tard.
Tu va bien ? T’es vachement rouge Florent.
Ouais, c’est le plat, il est super épicé, mentis-je.
Je repensai à ce qu’elle m’avait dit et j’allais braver l’interdit juste une fois. Elle me rendait fou, je ne rêvais que d’elle, me branlant, imaginant ma queue dans son cul et lâchant mon foutre dans ses cheveux. Tant pis pour ma promesse, Vincent avait raison, je devais me lâcher.
Au moment de régler la note, elle me glissa un morceau de papier avec son adresse dessus. Je lui souris et sortis prendre l’air, j’avais trop chaud.
Après avoir déposé Vincent, je pris rapidement une douche, embarqua le paquet de capotes et me rendis chez elle.
Mon allumeuse arriva peu après, je m’approchai doucement derrière elle et me collai soudainement, lui agrippant les seins. Elle poussa un petit cri puis constatant que c’était moi, remua les fesses contre mon entrejambe.
Alors vous aimez mon cul rebondi Monsieur ?
Il va prendre cher ton cul, répondis-je en lui claquant une fesse.
Nous entrâmes rapidement dans son appartement et aussitôt, je l’embrassai, mes mains caressant ses fesses, les prenant bien en main. Elle méritait une punition pour m’avoir chauffé à ce point. M’asseyant sur le lit, je la fis basculer sur mes jambes et remontai prestement sa robe. Elle portait un string noir en dessous qui rehaussait son postérieur.
Célia, ton comportement était inadmissible ce semestre, je dois te punir.
Hum, c’est vrai que je n’ai pas été sage…
Je lui assénai une première fessée, ce qui la fit gémir, se dandinant davantage. Cette position de soumise, alors qu’elle avait toujours eu le contrôle jusque-là, me donna envie de continuer. À chaque claque, elle gesticulait, me demandant de continuer, qu’elle le méritait. Une fois son fessier bien rouge, j’arrêtai et me dégageai pour enlever mes vêtements. Mon membre n’avait jamais été aussi dressé ! Elle le remarqua et s’en approcha avec gourmandise, me regardant droit dans les yeux. Rien que voir sa bouche pulpeuse à quelques centimètres de mon gland me fit haleter, j’avais tellement attendu ce moment inconsciemment, que je perdais mes moyens.
Célia déposa un baiser sur mon gland, le léchant doucement, puis ouvrit la bouche pour y enfoncer ma tige jusqu’à la garde. Elle me prodigua une gorge profonde sans préambule, j’étais à deux doigts de jouir tellement c’était bon. Elle fit quelques va-et-vient, faisant des pauses pour me laisser souffler. Me redressant, je lui enlevai sa robe, mordillant ses tétons, pelotant fermement sa poitrine, lui ordonnant de me faire une branlette espagnole.
Puisqu’elle était si ouverte, autant réaliser mes fantasmes. La vue des seins autour de mon sexe montant et descendant réveilla un côté insoupçonné en moi et je la pris par les cheveux afin de lui faire sucer mon gland.
Voyant qu’elle appréciait la rudesse, je me mis debout et délaissai la chaleur de ses seins pour lui baiser la bouche. Lui tenant les cheveux, je menais la cadence, elle semblait aimer ce traitement.
Je vais t’enculer maintenant petite traînée.
Je n’avais jamais parlé ainsi à mes partenaires, pourtant lui dire des mots crus me semblait naturel avec elle.
C’est ça que tu voulais petite salope, te faire prendre par tous les trous par ton prof ?
Ouiii allez-y !
J’enfilai la capote puis crachant sur son illet, j’y enfonçai deux doigts, appréciant la vue de ses fesses encore cramoisies. Les préliminaires avaient assez duré, d’un coup, j’enfonçais mon membre au plus profond de son cul, profitant de son cri de surprise et de douleur. Je la tringlai bien fort, me vengeant de ces mois de frustration. La voir le cul bien relevé avec ma queue entrant et sortant, me procurait une satisfaction extrême. Elle criait que c’était trop bon, de ne pas m’arrêter, qu’elle devait être punie. Jamais je n’avais éprouvé un tel plaisir et je sentis que j’allais bientôt jouir. Me retirant, je lui ordonnai de me sucer, voulant éjaculer sur elle. Elle me pompa avec avidité et je perdis pied, mon sperme venant s’écraser sur sa magnifique bouche. Elle nettoya mon gland se léchant les lèvres.
J’étais vidé de toute énergie, c’était de loin ma meilleure baise. Célia se coucha à mes côtés avec un sourire de satisfaction.
Elle avait réussi son coup.