Madame doit aller en province pour régler un héritage important. Elle va me manquer pour jouir. Elle manquera à Monsieur pour la même raison. Toutefois comme nous sommes tombés amoureux, notre trio tiendra encore longtemps. Ce matin tôt elle est venue dans ma chambre pour me dire au revoir. Elle me réveille par un profond baiser. Sa langue me plaît beaucoup. Elle me caresse la poitrine en disant Adieu, comme si elle allait disparaître. Tout ça pour deux jours. Elle passe une main sous le drap, elle me fait des chatouilles en passant sur mon nombril avant daller poser toute sa paume sur ma chatte.

— Tu sais je viens de faire lamour avec Gérard. Il en était content, je lai sucé un peu après pour avoir son goût sur ma langue.

— Je sais que tu aimes son sperme.

— Jaime aussi le goût de ta cyprine. Je vais juste de faire un rapide cunnilingus.

— Et que veux-tu de moi ?

— Branle moi une fois seulement.

Sa langue me fait vite jouir, je naurais pas à me branler ce matin. Ma main a vite trouvé son clitoris. Je le branle comme elle adore. Malheureusement elle se relève, ajuste sa robe sous laquelle elle est nue pour ne pas changer.

Dès son départ je prépare le petit déjeuner de mon autre chéri Gérard, son mari. Je croyais lui faire plaisir en le lui portant, manque de chance, il est réveillé. Je reste toujours nue (que cest agréable de vivre ainsi). Lui aussi est comme moi, sauf quil bande un peu. Puisquil est dans de bonnes dispositions je mapprête à les sucer pendant quil petit déjeune. Il préfère menculer. Je me positionne sur la table, couchée sur la poitrine, mes fesses à sa hauteur. Il mouille mon cul avec de la crème fraîche froide, jen suis surprise. Il entre plus que facilement. Nous savons comment faire maintenant si nous sommes seuls un moment. Bien sûr son va-et-vient réveille mes sens, je mouille depuis le départ de Jo, je reste toujours dans les mêmes dispositions.

Que sa queue me fait du bien dans le cul. Jaime quand il commence à me faire la seconde chose que jaime quand il est dans le cul : il me branle.

Je laccompagne pour quil se lave dans la salle de bain . Pour une fois il est pressé. Il se passe de douche pour seulement se laver au lavabo. Je vois sa bite qui pendouille comme je naime pas. Je tiens ses couilles en lui caressant la raie des fesses : il écarte les jambes en sachant bien que je vais lui mettre mon doigt dans le cul. Cest-ce que je fais avec un doigt mouillé par la salive. Il commence à bander. Je laisse mon doigt dans lanus avant que de lautre main je lui prenne la bite . Je tire comme une insensée sur son prépuce. Je sais bien que je lui fais mal, jinsiste un peu avant dactiver mon mouvement. Il tend son bas-ventre en avant comme sil venait à la recherche de ma main. Je suis très attentive à léclosion de sa décharge : jarrive à le faire jouir sur le bord du lavabo. Dès quil a fini, je mempresse de recueillir sa semence dans ma bouche. Jaime son sperme comme je nen ai jamais aimé dautres.

En partant de la maison, Gérard me dit quil maime. Je me trouve seule dans la maison, seule et nue. Je fais vite le ménage puisque après tout je suis payée pour ça. Ensuite je vais prendre seule hélas une bonne douche dans ma chambre. Jai heureusement pris avec moi le double gode. Cest mon premier essai sous la douche avec ce machin qui fait jouir les femmes, et Monsieur.

Leau chaude ruisselle sur mon corps. Je commence à mouiller. Je passe ma main entre mes jambes pour menculer dabord avec un des glands, je le rentre moyennement profond avant de les tordre pour me le mettre dans la chatte. Je force un peu : cest bien plus facile au lit. Une fois calé dans mon ventre je peux le manuvrer pour me faire du bien. Cest tellement bon que je jouis rapidement, trop vite à mon gré. Je le laisse en place pour recommencer. Cette fois je me retiens : mon orgasme est retardé. Je pars dans un grand cri comme quand je jouis trop fort.

Je le sors de mon corps pour le laver et le désinfecter. Maintenant je nai quà préparer le repas. Je ne mets quun couvert puisque Madame est absente. Quand Monsieur arrive il me dispute un peu, comment peut-il manger sans une femme à branler à ses côtés. Je remplace Madame : il se fait un devoir de me masturber. A son tour, il se branle dès que jai joui. Il décharge sur un des mouchoirs en papier, évitant les lavages de la nappe.

Je tourne en rond après ma sieste : Jo ma réveillée trop tôt. Jai même dormi un peu. Je passe un coup de fil à Monsieur en lui demandant si cest possible de venir avec un copain pour une double pénétration. Il sait que jaime me faire mettre par deux hommes. Il ne promet rien, il va faire son possible.

Je suis certaine quil va tenir parole : il me tarde dêtre à ce soir, jaurai au moins le cul et le con remplis ensemble. Je me demande même si je ne revêts pas une tenue spéciale. Après tout pourquoi faire des frais de toilette, je serais vite déshabillée. Cest aussi agréable de se faire déshabiller par un homme. Et puis zut, je vis bien à poil depuis je ne sais combien de temps : je reste comme suis, naturelle.

Monsieur entre enfin, il est vite nu. Je lembrasse sur la bouche et lui caresse un peu la bite comme il me fait à la chatte.

Cette fois cest moi qui lui dis que je laime, quil est mon unique amant, même si je lui ai demandé den faire venir un autre. Cest vrai que depuis que nous formons un ménage à trois, les choses sont beaucoup plus franches et simples.

— Tu as pu inviter un copain pour ce soir ?

— Quand tu le verras tu voudras me quitter.

— Pourquoi, il est bien monté.

— Non, il va menculer aussi devant toi.

— Tu as aimé quand tu as eu le gode dans le cul lautre nuit.

— Cest vrai. Jai bien joui avec.

Nous attendons un moment que son copain arrive. Cest vrai quil est bien foutu. Il nous imite de suite : il est aussi nu que nous. Cette fois pas de chichi : il est comme nous, il se conduit comme il pense avec moi. Jai sa main sur ma poitrine vite fait. Il caresse bien le salaud. Mes pointes se redressent vite fait. Il passe derrière moi pour bien caresser : je sens sa bite à la naissance de mes fesses. Il me fait mouiller. Je remue mon popotin pour le faire bander encore un peu plus. Il comprend vite la manuvre. Je la sens gonfler encore et encore jusquà être parfaitement en extension. Sa bite mérite quon se fasse enculer par elle.

Un des grands moments arrive. Cest Gérard qui me prend dabord à la missionnaire. Il entre dans ma grotte lentement pour que je déguste bien son entrée. Ensuite il va au fond, tout au fond où il ma faite jouir dune façon indéterminée. Je pars dans une série dorgasmes inouïs. Cest tellement bon que je crie à la fin, quand il mabandonne. Notre invité me caresse les seins comme il peut.

Gérard se retourne quand je suis encore sous lui. Je remets sa pine dans le gouffre. Il me baise à nouveau. Je remue pour maintenir la cadence. Javais oublié le deuxième homme qui lui se souvient parfaitement de moi. Je le sens quand il pose sa jambe contre la mienne. Il hésite un peu pour trouver mon rectum : enfin il le trouve. Il ne m’encule pas de suite, sa bite caresse longuement la raie, le pourtour de ma sortie arrière avant de venir sur elle. Il me tarde qu’il me la mette. Je pousse intérieurement un ouf de contentement. Il entre sur la pointe des pieds en faisant très attention à mes réactions. Quand tout son gland est en moi, qu’il me met son morceau dans le cul complètement que je gémis longuement, il comprend qu’il peut me défoncer la rondelle.

Je ne connais quun seul moyen de manifester mon contentement. Je dis de mots sans suite qui ont tous un rapport avec les deux bites qui sont dans mon ventre.

Ma bouche est bloquée sur celle de Monsieur, mon vagin est bloqué par le même et mon cul par un autre. Je suis au paradis des baiseurs anonymes. Je ne peux même pas dire combien de fois jai joui. Je me souviens seulement que les orgasmes étaient de plus en plus proches.

Je jouis ne dernière fois quand je sens les deux bites lâcher leur sperme.

Létonnant est quils ne débandent pas. Jen suis surprise, surtout que Gérard donne son cul à son copain. Cest un nouveau spectacle pour moi qui mexcite dun rien.

Monsieur est debout, penché en avant comme la fait mettre mon dernier amant.

Il verse une bonne dose dhuile que nous avons dans la chambre commune. Prêt Gérard ouvre ses fesses à deux mains. Je regarde quand il se fait mettre la pine dans le cul. Il bande comme un âne. Je pensais qu’il allait être branlé par celui qui la lui mettait. Ils ne font rien de semblable. Monsieur va jouir simplement avec une bite au cul, comme moi ou Jo. Comme une fille en somme. Je regarde la queue libre secouée par les va-et-vient de lamant.

Je massois pour me branler le cul en les regardant. Ils mettent un bon moment avant de jouir. Je vois le jet de Gérard suivi ou précédé de peu par celui de mon amant dans le cul.

Voilà, la petite partouze est terminée. Le copain sen va en promettant de revenir. Avant de filer au lit, jembrase encore Gérard en lui prenant la queue pour le masturber une dernière fois.

Nous attendons Jo pour lui raconter notre aventure. Elle sera jalouse de ne pas avoir assisté elle aussi à la sodomie de son époux

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